Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
L'armée malienne serait coupable d'exactions à Sévaré
t
21 janvier 2013 13:20
"Etre arabe, touareg ou habillé de façon traditionnelle, pour quelqu'un qui n'est pas de Sévaré, cela suffit à le faire disparaître", témoignent deux jeunes. [m.lexpress.fr]. Mali: le spectre de la vengeance contre Touaregs et Arabes. [m.lexpress.fr]
t
21 janvier 2013 13:36
Alors on dis quoi? J'invite les arabes pro africains a aller chez leurs frère mdrrr
a
21 janvier 2013 16:05
Salam,

Fallait s'y attendre. Les Touaregs - comme tout ce qui se rapproche d'eux : les dindons de la farce ! On peut remercier ces sous-charognes de barbus d'avoir encore tout saboté. Au final, on se rend compte, qu'ils favorisent la Reconquista...
c
21 janvier 2013 16:26
c’était à craindre. et ça risque de pas s'arranger avec des forces africaines étrangères prenant le relais des troupes françaises. .
l’armée malienne a été humiliée. et les barbus se sont dépéchés de se raser et de quitter l'uniforme pour échapper à la traque. mélange explosif.
w
21 janvier 2013 16:43
Salam


Citation
a écrit:
[/bLa conquête française et, dans une moindre mesure, italienne de l'espace saharien, a entraîné une première altération du fonctionnement de la société touarègue. Les tentatives de résistance à l'ordre colonial (1916-17) ont été écrasées dans le sang], décimant durablement l'aristocratie guerrière, affaiblissant le poids des chefferies traditionnelles et rompant le fragile équilibre des mécanismes sociaux internes. Toutefois, les colonisateurs français ne cherchèrent pas à remettre en cause la suprématie traditionnelle des Touaregs vis-à-vis des ethnies voisines, et éprouvèrent même une réelle sympathie en faveur des « hommes bleus ».

Une fois les différentes confédérations défaites et soumises, les Français se contentèrent d'exercer un contrôle relativement lâche, en s'efforçant de perturber le moins possible l'organisation sociale touarègue (la volonté de contrôle des officiers méharistes français se doublait d'une fascination pour un peuple et un mode de vie en totale harmonie avec un environnement rude et exigeant, fascination qui n'est pas étrangère, du reste, à l'attrait touristique qu'offre aujourd'hui le Sahara). Mais la colonisation va inexorablement faire son oeuvre : affaiblissement des grandes confédérations, relâchement des réseaux communautaires, fragilisation de l'économie pastorale par le jeu des contraintes administratives, déclin régulier du trafic caravanier.
Le choc des indépendances

La décolonisation intervenue au début des années 60 se traduit, pour les Touaregs du Niger et du Mali, par l'inversion des rapports dominants/dominés puisque, dans ces deux pays, le contrôle des appareils d'État revient à des ethnies négro-africaines sédentaires. Les anciens « razziés » vont pouvoir assouvir une vengeance historique à l'encontre de leurs « razzieurs ». Autrement dit, la mise à l'écart des Touaregs constitue une sorte une revanche des anciens esclaves noirs contre leurs maîtres.

Cet antagonisme historique (conflits entre populations nomades et sédentaires) ajouté à la logique centralisatrice des nouveaux États souverains va avoir pour effet d'écarteler et de marginaliser les Touaregs. Cette nouvelle situation va les forcer à s'inscrire dans des cadres frontaliers "nationaux", totalement étrangers à leur vision du monde et de l'espace. Dans cette perspective, les Touaregs, nomades, à l'écart des activités économiques et peu respectueux des contraintes administratives, sont perçus négativement, car difficilement contrôlables.

S'estimant marginalisés à la fois politiquement et économiquement, les Touaregs refusent de devenir des citoyens de seconde zone et esquissent un début de lutte armée contre leurs nouveaux maîtres dès les années 1961-63 au Niger et au Mali, tentatives rapidement résorbées.

Comme les élites qui héritent des commandes de l'État postcolonial sont issues des populations sédentaires, leur projet de société exclut d'emblée les préoccupations des nomades. Ainsi, les décisions politiques et économiques sont prise dans le sud, loin des zones de peuplement touarègues. Par conséquent, les Touaregs sont, à quelques exceptions près, exclus du partage du pouvoir.

En raison du fractionnement de l'espace saharien, l'économie traditionnelle touarègue va survivre très difficilement à l'instauration de frontières de plus en plus étanches et à la mise en place d'administrations nationales (douane, fisc, police), largement dominées par les ethnies sudistes négro-africaines, qui ne vont avoir de cesse de contrarier les déplacements transfrontaliers. Les zones touarègues vont alors être prises entre deux maux : soit elles seront marginalisées (le pouvoir central n'engagera aucun projet de développement en faveur des populations qui sont laissées à l'abandon et à la misère : attitude adoptée par les autorités nigériennes jusqu'au grave incident de Tchin Tabaraden en 1990), soit elles seront soumises à une politique volontariste visant à « nationaliser » les populations nomades en les sédentarisant par tous les moyens, y compris les plus coercitifs (cette attitude de discrimination ethnique se retrouvera plus volontiers au Mali et surtout en Libye et en Algérie). Dans les deux cas, actions ou inactions gouvernementales vont susciter frustrations et rancoeurs.

A cela s'ajoute l'attitude de l'ancienne métropole : lorsque les Français s'installèrent à Arlit en 1971 (à 275 km au nord-ouest de l'oasis d'Agadès au Niger) pour exploiter un des plus grands gisements d'uranium de la planète, ils n'hésitent pas à faire « monter » des « Sudistes » pour extraire le minerai. Les Touaregs en ressentiront une grande amertume d'autant que les retombées financières seront, pour eux, dérisoires. Possible source de revenus pour un peuple paupérisé et déstabilisé par les sécheresses, le partage des royalties sera au coeur des revendications des mouvements rebelles, mais la chute récente des cours mondiaux de l'uranium en a fortement dévalué l'intérêt.

Le rôle néfaste joué par la France en ces temps à des répercutions encore aujourd'hui.

On n'oublie pas ce qui c'est passé au Rwanda par ce pays nommé la France; Ce pays qui sème le terrorisme à tout va pour appliquer lui même son terrorisme à une échelle encore bien plus grande.

Un peu comme l'oncle Sam. Ces nations on du sang plein les mains.

Toute ses frontières qui coupent des village, région en deux sont l'art de la politique diabolique de la france.
a
21 janvier 2013 17:58
Salam,

- Toute ses frontières qui coupent des village, région en deux sont l'art de la politique diabolique de la France.

Oui, mais pour le Rif marocain - occupé par d' autres Berbères - , là on applaudit la politique diabolique de la France, avec Pétain et Lyautey... Un peu de moutarde ?!

ça risque de pas s'arranger avec des forces africaines étrangères

Venger les Noirs de Libye... Torturés, décapités, incinérés ! - Et ces Touaregs, dont beaucoup était pro-kadhafi, payent pour les autres.

J'ai une question pour les Irabyen : vous êtes avec qui ?


- [postedeveille.typepad.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/01/13 18:02 par abde12.
X
21 janvier 2013 19:18
Ces exactions seront commises à l'aide d'armes françaises et européennes. L'armée malienne est bien plus barbare que ceux qu'elle prétend combattre. La France est intervenue pour installer au Mali un gouvernement "ami" (comprendre "vassal"winking smiley.

Qui croit vraiment que 1000 combattants du Nord auraient été capables de prendre Bamako aux dizaines de milliers de soldats et de militaires? Les villes du Nord ont été conquises car l'état y était faible. Bamako est la capitale économique et politique, ce n'est pas un village du désert sahélien.

Nous avons même entendu des propagandistes français qu'après Bamako, les Jihadistes auraient tenté de prendre Dakar.
c
21 janvier 2013 20:01
ce sont les djihadistes qui ont tenté une offensive.
il n'etait pas prévu que la france envoie des militaires.
tout au plus une mission de l'onu etait prévue à l'automne prochain.
ces abrutis barbus ont joué aux conquérants et aujourd’hui détalent en laissant armes et munitions et n'enterrent méme pas leurs morts dans leur fuite éperdue.
d'un coté, c'est tout bénef puisque aqmi a déja tenté de fomenter des attentats en france.
donc autant en détruire un max avant de repartir. .
a
21 janvier 2013 23:45
Salam,

- donc autant en détruire un max avant de repartir.

[www.yabiladi.com]

Faut-il tous les éliminés général Grosjean ? - Non, nos barbus peuvent encore servir dans ces régions ! Ordre formel de Paris !



- ces abrutis barbus ont joué aux conquérants et aujourd’hui détalent en laissant armes et munitions et n'enterrent même pas leurs morts dans leur fuite éperdue.

Voir + haut : (...) Au final, on se rend compte, qu'ils favorisent la Reconquista...

De manière presque involontaire. C'est ça qui est terrible. Comme si il y avait damnation.
i
22 janvier 2013 01:06
Citation
coldman a écrit:
c’était à craindre. et ça risque de pas s'arranger avec des forces africaines étrangères prenant le relais des troupes françaises. .
l’armée malienne a été humiliée. et les barbus se sont dépéchés de se raser et de quitter l'uniforme pour échapper à la traque. mélange explosif.
voila ou nous mène vos conneries et je pense qu'on a encore rien vu.
on va droit au massacre et aux attentats et a une somalisation du Mali.
bravo les crétins de franco-francais-franchouillard imbéciles, prétentieux et ignorants du monde !
(coldman, tu es le représentant sur ce forum de cette bêtise franco-francaise qui va foutre la merde dans le monde au nom de valeurs mal comprises et d'une ignorance crasse et imbécile).
c
22 janvier 2013 07:31
mais non, ça va bien mieux au mali, t'inquiétes.
quand au terrorisme, c'est pas en le ménageant qu'on le fait changer.
ces fondamentalistes, ils font la féte quand un train ou mieux une gare pleine de kouffars explose.
donc oui, autant en envoyer un max au paradis tant qu'à etre sur place.
X
22 janvier 2013 09:48
Citation
a écrit:
Une enquête réalisée dans la région de Mopti par une journaliste de L'Express, publiée dimanche soir, révèle que des massacres ont été commis par les forces de sécurité maliennes. "Dans le quartier de Waillhirdé, non loin de l'hôpital, des soldats en uniforme ont jeté dans un puits, aux yeux de tous, des cadavres présentés comme ceux de "rebelles"", écrit la journaliste. Les témoins parlent de vingt-cinq à trente corps enfouis.

C'est ici qu'entrent les questions d'ethnie, de couleur de peau. "Noirs" contre "Blancs" ou "Rouges" (Touareg). "Dans notre village [Fafa, au sud de Gao], un Peau-Rouge ne peut pas faire la loi", avertit Ibrahim Diallo. "Quand je vois un Mujao, je peux l'identifier tout de suite." Les milices, réorganisées au cours des derniers mois, n'ont pas été armées massivement à ce stade, mais elles risquent de "porter le chapeau pour certaines bavures", assure un observateur de la région. "Cela a déjà été observé dans les phases de massacres précédentes, dans les années 1990. Parfois, l'armée massacre dans une région, puis on accuse les milices."


Le Monde.fr

Les graines de la haines sont semées.
c
22 janvier 2013 14:12
c'est vrai que les fondamentalistes sont forts pour faire monter la haine. on peut leur reconnaitre cette faculté.
B
22 janvier 2013 14:57
Qui faut il croire?
Pinochio ou Pirandello?

Mali: l'armée française n'a "aucun indice" confirmant des exactions

Par LEXPRESS.fr, publié le 21/01/2013 à 09h46, mis à jour à 22h01

Lors d'une conférence de presse, l'état major français a réagi à un article de L'Express faisant état d'exactions perpétrées par les forces de sécurité maliennes.
X
22 janvier 2013 15:20
Ils ont un bon modèle.
Je ne sais pas si vous vous souvenez de ce reportage de M6 avec des soldats français en Afghanistan. On y voit des militaires bombarder un village et se réjouir en s'imaginant les femmes et les enfants tués à l'intérieur.
Espérons que nos soldats seront moins barbares que les soldats américains qui ont massacré des familles entières en Irak et en Afghanistan. Mais bon, la France est trempée jusqu'au cou dans le génocide Rwandais donc pour l'éthique de la guerre, on repassera.
c
22 janvier 2013 15:24
se réjouir en s'imaginant des gosses et des femmes massacrées? ptdr
franchement, c'est pas en assénant des mensonges pareils que ça devient des vérités.
tu confonds avec ceux qui ont fété la chute des corps se jetant des tours jumelles.
B
22 janvier 2013 15:27
Pas de quoi se réjouir, mais le troll SIONISTE Goldman, était le premier à se réjouir de la mort d'un homme
X
22 janvier 2013 15:33
[youtu.be]

Je ne sais pas si le lien fonctionne. Je le corrigerai ce soir إن شاء الله.

Troll sioniste repéré et désactivé.
X
22 janvier 2013 15:35
Écoutez bien les commentaires. Ces gens-la sont 1000 fois plus barbares que le plus barbare des barbares qu'ils prétendent combattre.

C'est abjecte. Aucune commission d'enquête. Aucune sanction.
c
22 janvier 2013 23:26
mais ils plaisantent justement parce qu'il n'y a pas de civils.
non, les sauvages, ce sont ceux qui égorgent les blessés, lapident des femmes etc...
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook