L’agression psychologique et la violence verbale peuvent parfois causer des dégâts insurmontables à l’enfant. C’est le résultat d’une étude menée par une équipe américaine de l’institut du traumatisme dans le Massachusetts.
Le directeur du centre, Joseph Spinazzola, conclut que la violence psychologique subie par l’enfant est aussi grave que l’agression physique ou sexuelle. Elle conduit à des conséquences pratiquement similaires.
L’étude montre que les enfants ayant vécu des oppressions psychiques développent des personnalités anxieuses, stressées et sont sujettes à la dépression. Ils décrochent très tôt dans les études et sont plus enclins à emprunter les voies obscures du crime organisé.
L’enfant est un être fragile, il a besoin d’amour de douceur et d’un regard bienveillant à son égard. Il ne faut jamais dévaloriser l’enfant et condamner. Il doit toujours comprendre la nature de la sanction infligée et la raison qui l’a motivée.
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