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karima, insoumise et devoilée
c
27 janvier 2010 15:27
- Ni Putes Ni Soumises – Ce 8 avril, sera rendu le jugement du procès en référé intenté par tes parents et tes sœurs pour interdire la vente de Insoumise et dévoilée, le livre dans lequel tu racontes les violences, physiques et morales, dont tu as été victime dans ton enfance et ton adolescence. Que penses-tu de la réaction de ta famille ?

Karima – La réaction de ma famille suite à la publication de mon livre m’a ouvert les yeux. Ça a commencé dès l’annonce de la publication : on me téléphonait en me disant que si le livré était publié, je serais reniée par ma famille, que plus personne ne me parlerait. Mais cela ne m’a rien fait. Ils pensaient certainement que ça allait se passer comme avant. Ils s’imaginaient sans doute que, comme les fois précédentes, j’allais revenir car j’avais besoin d’eux, que s’ils menaçaient de me renier, j’allais réfléchir et tout arrêter. En fait, ils ne m’ont pas comprise. Reniée ou pas reniée, maintenant, je m’en fous. Je n’ai plus peur ! Je me sais soutenue et ne me sens plus seule. C’est grâce aux nombreux soutiens que je reçois, notamment de la part de Ni Putes Ni Soumises, qui est là depuis le début, que je tiens le coup et que j’ai envie d’aller plus loin.

Ce qui me chiffonne, c’est ma sœur. Elle a vécu la même chose. Elle aussi s’est vue coudre un voile dans les cheveux. Elle aussi l’enlevait en cachette. À 16 ans, elle a été mariée à un homme qu’elle ne connaissait pratiquement pas, mais qu’elle a épousé pour pouvoir quitter la maison de mes parents. Je ne comprends pas : elle a vécu les mêmes choses, mais elle vient dire que ça n’a jamais existé et voudrait me faire taire.

- NPNS – Imaginons que tu gagnes le procès. On suppose que les esprits vont un peu se calmer… Qu’imagines-tu après ?

Karima – Aucune idée. Je vais de surprise en surprise. Je n’imaginais pas qu’il y aurait une pétition pour faire interdire le livre. Je ne m’attendais pas, ensuite, à cette procédure en référé. Je ne sais pas ce qu’ils vont vouloir faire après. J’attends et je verrai bien.

- NPNS – Mais toi, tu as envie de faire quoi ? Vas-tu rester cloîtrée à la maison ? Vas-tu continuer à contrôler tes sorties ? Au contraire, vas-tu oser ressortir de chez toi ? reprendre le boulot ?

Karima – Je n’ai pas envie de recommencer tout de suite à travailler, car j’ai envie d’écrire un deuxième livre. Et le plus vite possible ! J’ai aussi envie de consacrer du temps à mes enfants. Sinon, publiquement, je vais recommencer à sortir. Et je ne me tairai pas. Je continuerai jusqu’au bout. Je ne vais pas me morfondre et rester chez moi. Je veux aller plus loin.

- NPNS – Et tu as déjà une idée pour ton prochain livre ?

Karima – J’en ai plein ! Je vais commencer par raconter la suite, c’est-à-dire tout ce qui s’est passé depuis l’annonce de la publication et ce qui se passe maintenant : les intimidations, les menaces, la pétition, la protection judiciaire, la mobilisation, le procès…

J’aimerais également écrire un livre sur une situation alarmante qui existe encore actuellement au Maroc. Certaines familles très pauvres louent leurs filles de 8-9 ans à des familles aisées. Cela s’appelle de l’esclavage. Bien souvent, l’enfant se fait violer, mais elle se tait, elle n’ose pas parler. Parce que c’est le gagne-pain de la famille, parce que ce serait « la honte ». Je veux vraiment dénoncer cette situation.

Car, je le dis, maintenant, je vais tout dénoncer. Je ne m’arrêterai pas.

- NPNS – Qu’as-tu envie de répondre à tous ceux qui tentent de t’intimider et qui t’envoient des menaces ?

Karima – A ces gens-là, la première chose que j’ai envie de leur dire, c’est : « Lisez le livre avant de parler ! ». La plupart ne l’ont pas lu. Je leur dis aussi : « Est-ce que, vous, vous étiez là au moment où, moi, j’ai vécu tout ça ? » Ils n’étaient pas là, tout simplement.

Le problème, c’est que mon père, que je respecte, est considéré dans la communauté maghrébine et musulmane comme un saint, un religieux. Ils ne peuvent donc tout simplement pas imaginer qu’un religieux tel que mon père ait fait ça à sa propre fille. Parce qu’il leur montre une belle image de lui. C’est facile de jouer ce double jeu. Je l’ai joué pendant des années chez mes parents : à la maison, j’étais la fille soumise, mais à l’extérieur, je m’éclatais. Mon père, c’est la même chose : devant les gens, il est très bien, mais à l’intérieur… on a vécu ce qu’on a vécu.

Quant aux menaces… Au début, il est vrai, on panique. Mais ça retombe vite aussi. Après tout, des menaces, j’en avais déjà reçues quand j’ai quitté mes parents. La communauté marocaine m’avait déjà collé des étiquettes sur le dos : j’étais partie, j’étais donc une prostituée ; je fumais, j’étais donc une toxicomane ; tous des trucs du genre.

En fin de comptes, je l’ai quand même bien vécu. Je me suis forgée. Ça rend plus fort et ça donne envie d’aller plus loin. Moi, ça me donne l’envie de dénoncer plus de chose, tout simplement.
c
27 janvier 2010 15:28
NPNS – Et à ceux qui disent que c’est l’islam qui est attaqué à travers ce livre ?

Karima – Encore une fois, qu’ils lisent le livre et qu’ils relisent le Coran, ou qu’ils demandent une bonne traduction du Coran. Ce que j’ai vécu, ce n’est pas l’islam. L’islam n’a jamais imposé le voile. C’est interdit par la religion d’imposer le voile. Les mariages forcés sont également interdits par l’islam. Mon père même me l’a dit un jour. Il connaît bien l’islam. Il impose des choses, alors qu’il sait très bien que ce n’est pas dans la religion islamique. Pour eux, être croyant et pratiquant ne suffit pas, il faut montrer une « image musulmane », et donc porter le voile. Moi, je dis que ce n’est pas ça l’islam. Tous ces gens devraient relire à deux fois le Coran. Ils ont tendance à confondre la religion et la coutume.

- NPNS – Quand tu étais à l’école secondaire, voyais-tu une différence entre les autres et toi, dans la façon de vivre ?

Karima – Oui. C’est d’ailleurs ça qui me révoltait. C’est pour ça que j’ai commencé à enlever mon voile en cachette. La différence était flagrante. Et pas seulement avec les Belges. Avec les Maghrébines aussi, les Marocaines, qui ne portaient pas le foulard, s’habillaient à l’occidentale, parlaient avec les garçons, se baladaient en ville…

- NPNS – Tes amies belges étaient au courant de ce que tu vivais ?

Karima – Non. Elles n’étaient pas au courant de tout. Une partie seulement. Avant d’écrire ce livre, jamais je n’avais tout raconté. À personne. Notamment, quand je suis entrée dans l’adolescence, avec les sous-vêtements ou les serviettes hygiéniques. Chez moi, il n’y avait pas de serviette. Je me débrouillais avec du papier toilette. Et s’il y avait une trace dans ma culotte, je la jetais à la poubelle, bien cachée au fond, ou encore dans le WC. J’avais honte d’avoir mes règles ! Ma mère ne m’en a jamais parlé. Je ne sais toujours pas comment elle faisait. C’est une de mes sœurs qui m’a expliqué et m’a montré ce qu’il fallait faire.

Comme pour les sous-vêtements. C’est ma sœur qui m’a dit que je devais mettre un soutien-gorge. Elle, elle n’en avait qu’un, qu’une de ses amies lui avait donné. Or, il n’était pas question d’en parler à ma mère et de lui demander de m’en acheter un. J’ai donc profité d’un jour où ma mère m’avait envoyée faire des courses pour en voler un. Ce vol a impressionné ma sœur qui, par la suite, me faisait sa petite liste de choses à voler. Et j’ai continué. Je volais de tout : des maquillages, des parfums, des déodorants, des fringues… J’ai également commencé à revendre ce que je volais, à mes sœurs, mes frères, ma voisine, mes amies. Même à ma mère ! J’avais inventé que le père d’une amie tenait un magasin et qu’elle me vendait les objets à moitié prix. Cela me permettait d’avoir un peu d’argent. Pour aller aux excursions de l’école, pour m’acheter le matériel nécessaire pour mes cours de couture, ou même pour m’habiller.

- NPNS – Finalement, pour pouvoir ressembler à toutes les jeunes filles de ton âge, tu as été obligée de passer par le vol ?

Karima – Oui. Mais maintenant, c’est fini tout ça. J’ai arrêté quand j’ai quitté la maison de mes parents et quand j’ai trouvé un emploi. J’ai continué mon petit business, c’est-à-dire que je revendais des choses que je savais volées et que j’achetais à moitié prix, mais je ne volais plus.

- NPNS – Et tu ne t’es jamais fait prendre ? Tes parents n’ont jamais rien vu ? Pour le maquillage, par exemple, tu ne te maquillais pas à la maison ?

Karima – Non. Je les cachais derrière les haies de la maison. J’y cachais mes vêtements aussi. Et quand je partais à l’école, je prenais mes vêtements et le maquillage, et je me changeais, je retirais mon foulard et je me maquillais. Et avant de rentrer, je faisais pareil, je me rechangeais et je cachais mes affaires. Je n’avais aucun endroit où les cacher dans la maison. À chaque fois que je sortais ou que je rentrais, mon sac était fouillé. Ma chambre était fermée à clé. On ne l’ouvrait que quand je devais y entrer ou en sortir.

- NPNS – Et tes frères ? Avaient-ils plus de liberté que toi et tes sœurs ? Et avaient-ils plus de liberté qu’un garçon belge de leur âge peut en avoir ?

Karima – Même plus. Mes frères, ils sortent et ils rentrent quand ils veulent. Ils ont des copines, ils font rentrer leurs copines sans problème, même dans la chambre. Des copines belges ou marocaines, musulmanes ou non. Avec ma mère dans la maison. Un de mes frères passait même des nuits et des nuits dans le lit de mes parents avec sa copine, alors que mon père était en Arabie Saoudite. Ma mère leur donnait son lit ! Ils avaient plus de liberté qu’un garçon belge.
c
27 janvier 2010 15:28
NPNS – Et tes frères ? Avaient-ils plus de liberté que toi et tes sœurs ? Et avaient-ils plus de liberté qu’un garçon belge de leur âge peut en avoir ?

Karima – Même plus. Mes frères, ils sortent et ils rentrent quand ils veulent. Ils ont des copines, ils font rentrer leurs copines sans problème, même dans la chambre. Des copines belges ou marocaines, musulmanes ou non. Avec ma mère dans la maison. Un de mes frères passait même des nuits et des nuits dans le lit de mes parents avec sa copine, alors que mon père était en Arabie Saoudite. Ma mère leur donnait son lit ! Ils avaient plus de liberté qu’un garçon belge.

- NPNS – Comment expliques-tu que tes parents ne vous accordaient pas autant de liberté, à toi et tes sœurs ?

Karima – Parce que, nous, nous sommes des filles. Et que, pour eux, une fille, ça doit rester vierge. Sinon, elle ne vaut plus rien ! La fille, sa place, c’est à la maison. Elle doit apprendre à servir l’homme plus tard. Pas besoin d’étudier. L’école, ça ne mène à rien. La fille n’a pas besoin de bagage, elle n’a pas besoin de diplôme. C’est son mari qui travaillera et gagnera de l’argent. Chez les parents, la fille apprendra à faire à manger, à nettoyer, parce que quand elle quittera la maison, ce sera parce qu’elle sera mariée. Et que le mari n’a pas à faire le ménage, ce n’est pas sa place. Une fille, pour quitter la maison, est obligée de passer par un mariage. Un garçon peut prendre un appartement tout seul, il ne sera pas mal vu. Tandis qu’une fille, elle sera cataloguée comme une fille facile, une pute. Moi, c’est l’étiquette qu’on m’a mise, quand je suis partie.

- NPNS – As-tu l’impression que les choses évoluent à ce niveau ? Quand tu vois les jeunes filles de 20-25 ans, as-tu l’impression que ça change ?

Karima – Non. C’est toujours pareil.

- NPNS – Et crois-tu qu’elles ont envie que ça change ?

Karima – Elles n’attendent que ça. Elles ne demandent pas mieux, mais n’osent pas le dire. Elles le pensent tout bas. Elles en rêvent. Mais elles le taisent.

- NPNS – Elles attendent que le changement vienne des hommes ?

Karima – Non. Il faut que le changement vienne des lois. Il faut qu’il y ait des lois qui imposent.

- NPNS – Mais les lois imposent…

Karima – Oui, les lois imposent. Mais les parents ne le savent pas. Ils ignorent la moitié des lois. Et quand ils enfreignent la loi, bien souvent on ne leur dit rien. Même des policiers qui sont au courant, qui connaissent des cas de mariages forcés, de ports de voile obligatoires. Ils le savent, mais ils ne bougent pas. Ils ne réagissent pas. Pourquoi ? Parce qu’il faut des preuves. Il faudrait qu’on puisse réagir, même sans preuve. C’est ça le problème. Car pour avoir des preuves, il faut que la fille, la victime, dénonce. Mais elle ne le fera jamais, parce qu’elle a peur. Peur pour sa sécurité et peur d’être reniée, par sa famille et la communauté.

- NPNS – On pourrait imposer la loi, mais à l’intérieur des maisons, on ne sait pas ce qu’il se passe…

Karima – Mais il y a des indices. À l’école, par exemple, les chutes de points sont une indication. Parce que la fille ne peut pas faire ses devoirs, parce qu’elle est maltraitée. Une fille est révoltée ? Elle fait les 400 coups à l’école ? Il ne faut pas chercher très loin. Bien souvent, c’est qu’il y a un problème chez elle, à la maison. Il faut éviter de téléphoner aux parents pour leur dire : « votre fille, ça ne va pas », car ça risque d’aggraver encore la situation. Il faut augmenter le nombre d’assistants sociaux dans les écoles, qui vont détecter les signaux, mettre la fille, ou le garçon, en confiance, afin qu’il ou elle ose parler et se laisse aider.

Il faut que les filles, les femmes, aient le courage de parler. Il faut qu’elles osent dire : « Moi, j’ai vécu ceci. », « J’ai une sœur, une cousine, une tante, une mère, qui a vécu ça. » Il faut vraiment que les gens parlent. Une seule personne, ce n’est pas assez. Il faut que les gens, en particulier les filles, n’aient plus peur de parler.

Propos recueillis pour le Comité belge Ni Putes Ni Soumises, par Dominique Célis et Sophie François.
Reproduction autorisée avec mention de la source : interro_liens_callback
N
27 janvier 2010 15:39
elle est ou la petition pour interdire la vente de ce livre ?
♪ ♥ ♫ ♪ ♥ ♫ ♪ ♥ ♫ ♪ ♥ ♫
D
27 janvier 2010 15:44
et??????
N
27 janvier 2010 15:50
Citation
DJ kilo maticha 3afak a écrit:
et??????


il n'y a rien a comprendre ... il est juste en train de semer ses petits cailloux le petit poucet ...
♪ ♥ ♫ ♪ ♥ ♫ ♪ ♥ ♫ ♪ ♥ ♫
l
27 janvier 2010 15:51
Citation
NoirDésir a écrit:
elle est ou la petition pour interdire la vente de ce livre ?

LOL

Coldman veut tout simplement nous faire dire du mal de cette fille.

Quelle publie son livre c'est son droit!!
l
27 janvier 2010 15:52
Citation
a écrit:
elle est ou la petition pour interdire la vente de ce livre ?


grinning smiley
L
27 janvier 2010 15:56
Est ce que vous avez lu le livre de Loubna Méliane ?
I
27 janvier 2010 16:00
Citation
La Boetie a écrit:
Est ce que vous avez lu le livre de Loubna Méliane ?

Vivre libre, c'est ça?

Non car je n'aime pas ce genre de lecture....
[b]Tu dis que si les élections Ca changeait vraiment la vie, Y'a un bout d'temps, mon colon, Qu'voter ça s'rait interdit ! Ben si l'école ça rendait Les hommes libres et égaux,L'gouvernement décid'rait Qu'c'est pas bon pour les marmots![/b] Renaud
I
27 janvier 2010 16:01
Cette Karima elle me fait vomir....

Je plains sa famille!

NoirDésir je te jure t'es trop marrante!
[b]Tu dis que si les élections Ca changeait vraiment la vie, Y'a un bout d'temps, mon colon, Qu'voter ça s'rait interdit ! Ben si l'école ça rendait Les hommes libres et égaux,L'gouvernement décid'rait Qu'c'est pas bon pour les marmots![/b] Renaud
1
27 janvier 2010 16:05
Pauvre coldman,

Je n'ai pas le temps de répondre en détail içi mais bon.

La fameuse soeur de cette collaborettes, celle a qui un voile est cousue sur la tête, eh bien elle fréquente un chrétien avec qui elle a plusieurs enfants. Et sa famille ne l'a pas renié.

Il existe une plainte contre ce livre, mais ce n'est pas en raison de ce qu'il dit, mais parce qu'il ne respecte pas le droit à la vie privée de sa soeur et de ses parents. En aucun cas un reniement de sa fille.

J'ai d'ailleurs sa pauvre mère pleuré à la télévision car elle ne reconnait pas sa fille et que tout ce qu'elle dit est faux. Sa mère s'est sentie humiliée, et elle a pensée que sa fille faisait partie d'une secte. Malgré tout la haine que sa fille a écrite, sa mère, je la plains, est prête à pardonner à sa fille.
Quand a son père, je crois qu'il a eu une maladie quand il a découvert les horreurs qu'a écrite sa fille.

Mais que voulez vous, pour NPNS, peu importe le mensonge et la famille, l'essentiel c'est de se renier et inventé des histoires pour avoir la gloire et l'argent. Quoique l'argent non, car ils n'en touchent pas beaucoup. On donne aux singes des cacahuètes qu'on appelle télévision et articles de presse.

Dans cette histoire, je n'ai qu'une seule pensée, c'est pour sa mère et son père que Dieu leur vienne en aide dans cette épreuve.
Ni radin ni pigeon, chacun paie sa part...
c
27 janvier 2010 16:06
un temoignage plein de courage....
D
27 janvier 2010 16:07
Citation
NoirDésir a écrit:
Citation
DJ kilo maticha 3afak a écrit:
et??????


il n'y a rien a comprendre ... il est juste en train de semer ses petits cailloux le petit poucet ...

ou alors il tente de faire diversion apres l echec de ses amis dans l histoire de l imam de drancy. combien de temsp tu as passé sur le net pour trouver ce nouveau sujet??? mais je crois qu on va pas te suivre encore une fois coldman, parcequ il y en a marre de votre propagande. que cette fille ecrive son livre ou mille livre pour trainer sa famille dans la boue, ça la regarde. au moins elle a trouvé un boulot. parcequ la société belge n en donne pas a tous les enfants d immigré, c est comme en france.
c
27 janvier 2010 16:12
Citation
118218 a écrit:
Pauvre coldman,

Je n'ai pas le temps de répondre en détail içi mais bon.

La fameuse soeur de cette collaborettes, celle a qui un voile est cousue sur la tête, eh bien elle fréquente un chrétien avec qui elle a plusieurs enfants. Et sa famille ne l'a pas renié.

Il existe une plainte contre ce livre, mais ce n'est pas en raison de ce qu'il dit, mais parce qu'il ne respecte pas le droit à la vie privée de sa soeur et de ses parents. En aucun cas un reniement de sa fille.

J'ai d'ailleurs sa pauvre mère pleuré à la télévision car elle ne reconnait pas sa fille et que tout ce qu'elle dit est faux. Sa mère s'est sentie humiliée, et elle a pensée que sa fille faisait partie d'une secte. Malgré tout la haine que sa fille a écrite, sa mère, je la plains, est prête à pardonner à sa fille.
Quand a son père, je crois qu'il a eu une maladie quand il a découvert les horreurs qu'a écrite sa fille.

Mais que voulez vous, pour NPNS, peu importe le mensonge et la famille, l'essentiel c'est de se renier et inventé des histoires pour avoir la gloire et l'argent. Quoique l'argent non, car ils n'en touchent pas beaucoup. On donne aux singes des cacahuètes qu'on appelle télévision et articles de presse.

Dans cette histoire, je n'ai qu'une seule pensée, c'est pour sa mère et son père que Dieu leur vienne en aide dans cette épreuve.


donc cette histoire n'est pas credible, ne pourrait en aucun cas se produire? grinning smiley
et pourtant meme en france les mariages forcés existent encore. ça tend à disparaitre heureusement.
elle a eu le courage de s'emanciper c'est l'esentiel.
27 janvier 2010 16:22
Citation
coldman a écrit:
un temoignage plein de courage....


bjr coldman

tout ce genre de temoigange é bon mais il y a aussi de fille de francaise qui subisse bien plus é la personne pour les edites

je suis contre cette violance envert toute personne mais certain trouve le plaisir a nous montre du doit quand il sagit de parler des musulmant
cette association devrait deja changer de leur sigle car ces vraiment vulguere
L
27 janvier 2010 16:24
Citation
ISMALIA a écrit:
Citation
La Boetie a écrit:
Est ce que vous avez lu le livre de Loubna Méliane ?

Vivre libre, c'est ça?

Non car je n'aime pas ce genre de lecture....

moi non plus j'aime pas trop le sujet
mais si tu en a 'occasion lis le on en parlera, c'est plein de pudeur, pas du tout revendicatif ni aigri ...

c'est domage que personne n'en ai parlé
on critique toujours npns, fabala grinning smiley, mais on ne parle pas du militantisme ordinaire, des choses de la vie
L
27 janvier 2010 16:26
plus que ces choses là, le spectacle... j'aimerai qu'il y a ai plus de gens pour contredire quand par exemple des gens de ce forum disent banalement " c'est normal que le frère s'occupe de sa sœur"
N
27 janvier 2010 19:28
jaime pas du tt aussi ce kel a fait: c'est a dire tt devoiler et raconté nimpoprte koi! mais il ya une phrase kel a di et qui est vrai. les signe chez la fille a lecole qui est maltraité par son pere ou sa mere! c'st la verité a cause de ce qu'il se passe a l maison on fai les 400 coup a lecole pr se defoulé! c'est ce ki m'est arrivé, mai j'ai tjr respecté mes parent! et eux par apré ausi! sinon pr les serviete hygienique c grave! comment une maman ninforme pa sa fille sur les regle? normalmen la maman veu pa ke sa fille se ridiculise avec des tache sur ses vetmen? c'est pr ca ke moi je pense qu'elle dit n'importe koi ds cette intervw. el est juste en coler et se venge! et di des mensonge pr les touché! el a reussi! mais je n'aimerai pa etre a sa place lorsq'elle sera dvt Dieu! hamdullah je ne sui pa devenu kom elle! javou ke j'etai a 2doigt de faire ce kel a fai!
s
27 janvier 2010 21:35
Etant dans le social, je peux vous dire que des cas de jeunes filles françaises de "souche" rencontrant de graves problèmes familiaux, il y'en a pas mal !
Cette association de m.erde s'est faite une spécialité sur les maghrébines.
Je ne dis pas que certains problèmes n'existent pas mais de là à pointer du doigt toute la communauté arabo-musulmane, il y'a comme quelque chose d'insupportable.
Si je pouvais vous étaler les nombreux témoignages de victimes vous seriez effrayé mais le secret professionnel m'impose le silence, sauf devant un juge bien sûr.
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