Citation
a écrit:
A l’heure où on a malheureusement de plus en plus tendance, au sein de la communauté :
à oublier ou à négliger les priorités,
à privilégier la forme sur le fond,
à justifier la transgression d’interdictions établies en droit musulman par des arguments plus que discutables (comme la propagation du message de l’islam et la da’wah par exemple).
Ces réalités (énoncées dans « An Niyaat wal Ikhlâss » par al Qardâwi) méritent d’être soulignées et rappelées :
Citation
a écrit:
« Il est établi de façon unanime que l’intention n’a pas d’effet en ce qui concerne l’interdit; ainsi, la beauté de la niyyah et la noblesse de la volonté ne transformeront pas l’illicite en licite et n’y enlèveront pas l’aspect blâmable et la souillure qui sont à la base de son interdiction.
Celui qui prend de l’intérêt, qui vole un bien ou qui se l’approprie par n’importe quel autre moyen prohibé, et ce, dans l’intention de l’utiliser pour construire une mosquée, bâtir un orphelinat, édifier une medersa dédiée à la mémorisation du Qour’aane ou afin de faire aumône de ce bien harâm (illicite) aux pauvres et aux nécessiteux, ou encore dans n’importe quelle autre œuvre bénéfique, cette intention saine et pure n’aura aucun effet et elle ne diminuera en rien pour lui le péché du harâm.
Les Ahâdîth authentiques insistent en effet (sur le fait) que « Allah est Pur et Il n’accepte que le pur ». Et dans le Hadith de Ibnou Mas’oûd (radhia Allâhou anhou), il est dit : « Allah ne fait pas disparaître le mauvais par le mauvais, mais le mauvais par le bon; certes, une immondice n’en efface pas une autre. »(…)
Ceci montre clairement qu’en Islam, la fin ne justifie pas les moyens… Pour la réalisation d’un objectif noble, seul un intermédiaire pur sera agréé. (…) »
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Fleur de jasmin * a écrit:
Salam aleikoum
BarakaLlahou fik, ce post me donne des éléments de réponses à propos d'une question que je me posais.