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j'arrive pas a me mariée
s
5 mai 2006 12:11
Bismillâhir Rahmânil Rahîm



Assalâmoualaïkoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouh



Voici la copie d'un message que j'avais envoyé à une soeur dont les parents refusaient qu'elle épouse un homme en raison de ses origines justement. Vous y trouverez Incha Allah des éléments de réponse par rapport aux questions que vous soulevez.



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J'ai lu attentivement votre message et je suis sûr que beaucoup de jeunes lecteurs et lectrices reconnaîtront leur propre situation au travers de ce que vous évoquez. En effet, il semble que les conflits entre parents et enfants, lors du choix d'un époux ou d'une épouse, ont tendance à se généraliser. Ce qui, à vrai dire, n'est pas surprenant : Les parents et les enfants ne partageant pas les mêmes visions, n'ayant pas une même approche de la vie actuelle et ne poursuivant pas toujours les mêmes objectifs, avec les intérêts qui vont avec, il est inévitable que des situations conflictuelles apparaissent entre eux. Pour être tout à fait franc avec vous, il m'est extrêmement difficile de me prononcer sur ce genre de questions, qui dépassent le simple cadre juridique et qui dépendent de très nombreux paramètres. Seule une personne entièrement informée de votre situation et des raisons motivant réellement le refus de vos parents serait capable de vous apporter une réponse juste. Cependant, je vais quand même essayer de vous aider, en vous fournissant un certain nombre d'informations, qui pourraient éventuellement vous être utiles afin de trouver une solution à votre problème.



A vrai dire, l'Islam a toujours cherché à éviter les scissions au sein de la cellule familiale. C'est la raison pour laquelle, il a été donné, au travers des références musulmanes, un certain nombre de directives portant sur la nature des relations qui doivent unir les parents et les enfants. Seul le respect de ces mesures de la part, aussi bien des parents que des enfants, peut contribuer à sauvegarder l'harmonie de la famille, et dans une plus large mesure, de la société entière. Vous trouverez dans les lignes suivantes quelques une de ces mesures.



En ce qui concerne les enfants :
• La première chose que je voudrai rappeler est l'importance de l'obéissance aux parents et l'importance de bien se comporter envers eux en Islam. Les versets du Coran et les Hadiths sont très clairs sur ce point. Je vous conseille à ce sujet de lire l'article suivant: [www.muslimfr.com]
et ton Seigneur a décrété : "n'adorez que Lui; et (marquez) de la bonté envers les père et mère : si l'un d'eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi; alors ne leur dis point : "Fi ! " et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses, et par miséricorde abaisse pour eux l'aile de l'humilité; et dis : "Ô mon Seigneur, fais-leur; à tous deux; miséricorde comme ils m'ont élevé tout petit".
(Versets 23/ 24- Sourate 17)

Imâm Qourtoubi r.a en commentant ces versets écrit que, dans ce passage, Allah a rendu obligatoire la bonne conduite, le respect et la douceur à l'égard des parents, au même titre que l'est Son adoration. C'est ce qui ressort de la liaison faite entre ces deux devoirs. Dans un autre verset du Qour'aane, Il a lié l'obligation de se monter reconnaissant envers Lui à celui de se montrer reconnaissant envers les parents. Il dit:
"Sois reconnaissant envers Moi ainsi qu'envers tes parents" (Sourate 31 - Verset 14)
Ces deux passages montrent qu'après l'adoration de Dieu, l'obéissance aux parents est le devoir le plus important de l'homme. Cela est confirmé par un Hadith du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam), qui dit en ce sens qu'une personne demanda à l'Envoyé d'Allah (sallallâhou alayhi wa sallam) : "Quelle est l'acte le plus apprécié par Allah ?" Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) répondit: "D'accomplir la prière à son heure." La personne demanda encore: "Et ensuite, quelle est l'acte le plus apprécié ?". Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) dit: "Le bon comportement envers les parents."
Avant de continuer avec le commentaire des premiers versets du Qour'aane cités, on va voir dans les lignes suivantes un certain nombre de Hadiths qui mentionnent les vertus qu'il y a rester au service de ses parents et à se montrer obéissance envers eux.
Aboud Dardâ (radhia allâhou anhou) rapporte que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a dit (en ce sens): "Le père est la porte intermédiaire du paradis. Maintenant tu as le choix: soit tu la protège ou soit tu la détruit."
(Mousnad Ahmad, Tirmidhi, Ibné Mâdja, Moustadrak Hâkim).

Abdoullah Ibné Oumar (radhia allâhou anhou) rapporte que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a dit (en ce sens): "Le contentement d'Allah se trouve dans le contentement du père, et le mécontentement d'Allah est lié au mécontentement du père." (Tirmidhi, Moustadrak Hâkim).

Ibné Abbas (radhia allâhou anhou) rapporte que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a dit (en ce sens): "L'enfant obéissant qui porte un regard de compassion sur ses parents obtiendra en échange de chaque regard porté la récompense d'un pèlerinage (Hadj) accepté." Les gens demandèrent: "Et s'il regarde ainsi ses parents cent fois par jour ?" Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) répondit: "Oui, même s'il le fait en cent fois (il obtiendra cette récompense pour chaque regard.) Allah est Très Grand (c'est à dire que Son Trésor est illimité, et une telle récompense ne le diminuera en rien)."
(Bayhaqui)

Abou Bakra (radhia allâhou anhou) rapporte que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a dit (en ce sens): "Allah retarde le châtiment de tout péché pour celui qu'Il veut jusqu'au Jour Dernier, excepté celui de la désobéissance envers les parents. Le châtiment de péché est en effet infligé dans ce monde aussi , avant la vie future."

Il est à noter cependant que l'obéissance aux parents n'est due qu'en ce qui concerne les actes permis et licites. En effet, il y a unanimité des juristes sur le fait que si les parents ordonnent à l'enfant de faire quelque chose qui est interdite en Islam, il n'est pas permis de les obéir, et ce, en vertu de célèbre Hadith qui dit: "Pas d'obéissance envers une créature dans la désobéissance au Créateur."
Cheikh Achraf Ali Thanwi r.a. écrit, qu'il existe au total trois cas où il n'est pas nécessaire à l'enfant d'obéir aux parents.
1° Lorsque ceux-ci ordonnent à l'enfant de faire quelque chose qui est interdit en Islam.
2° Lorsqu'ils l'interdisent de pratiquer une obligation de l'Islam.
3° Lorsqu'ils l'empêchent de faire une chose qui est permise ou recommandée, et que l'enfant risque d'être confronté à de grandes difficultés s'il ne fait pas cette chose. Par exemple: une personne est pauvre, elle n'a aucune source de revenus et elle n'arrive pas à trouver un emploi dans la ville où elle habite; elle se voit donc contrainte à quitter sa ville pour trouver du travail ailleurs, afin d'améliorer ses conditions de vie. Si dans une telle situation ses parents l'empêchent de partir, il ne lui sera pas nécessaire de les obéir.
(Référence: "Ta'dîl Houqouq oul Wâlidayn"winking smiley.
Cela ne signifie pas pour autant qu'on a le droit, dans ces cas de leur manquer de respect. Ne pas être obligé de les obéir est une chose, et leur manquer de respect en est une autre. Si la première est autorisée dans certains cas exceptionnels, la seconde ne l'est pas.
Il faut aussi savoir que le respect aux parents n'est pas dû seulement s'ils sont musulmans. Asmâ (radhia allâhou anha) demanda une fois au Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) si elle avait le droit de bien agir envers sa mère qui était polythéiste et qui venait la visiter. Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) lui dit: "Entretiens de bonnes relations avec ta mère." (Boukhâri). De même, le Qour'aane, faisant allusion au comportement que doit avoir l'enfant envers ses parents non-musulmans, dit:
"Et si tous deux (ton père et ta mère) te forcent a M'associer ce dont tu n'as aucune connaissance, alors ne leur obéis pas; mais reste avec eux ici-bas de façon convenable. " (Sourate 31 / Verset 15)
L'Islam enseigne aussi que l'on doit bien se comporter et d'entretenir de bonnes relations envers les proches et les amis des parents, plus particulièrement après que les parents aient quitté ce monde. Abdoulla Ibne Oumar (radhia allâhou anhou) rapporte que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a dit: "Une très bonne conduite envers son père consiste à bien se comporter envers ses amis après sa mort." (Boukhâri). Abou Ousayd Badri (radhia allâhou anhou) rapporte qu'une fois, alors qu'il était assis en compagnie du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) , un Ansâri (médinois) vint et demanda au Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam): "Ô Envoyé d'Allah ! Après le départ de mes parents de ce monde, leur reste-t-il encore des droits sur moi (dont je dois m'en acquitter) ?" Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) dit en ce sens: " Oui ! Tu dois prier pour eux et demander le pardon en leur faveur, tu dois mener à terme les engagements qu'ils avaient contractés, tu dois (aussi) respecter leurs amis, tu dois bien entretenir les relations familiales avec les proches de tes parents (…) Ce sont là les droits des parents qui reposent sur toi après leur départ (de ce monde)."

Pour revenir maintenant au verset cité au début ("et ton Seigneur a décrété : "n'adorez que Lui; et (marquez) de la bonté envers les père et mère : si l'un d'eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi; alors ne leur dis point : "Fi ! " et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses, et par miséricorde abaisse pour eux l'aile de l'humilité; et dis : "Ô mon Seigneur, fais-leur; à tous deux; miséricorde comme ils m'ont élevé tout petit". ), il est à noter que dans ce passage, Allah insiste particulièrement sur la bonté envers les parents lorsque ceux-ci ont atteint la vieillesse. Cela ne signifie pas que l'on n'a pas à faire preuve de bonté envers eux à un autre moment de leur existence. A vrai dire, le style habituel du Qour'aane consiste à mettre plus d'emphase et à aborder sous des angles différents les aspects qui posent le plus de difficultés dans l'application d'un devoir, et ce, dans le but de former progressivement l'état d'esprit des gens qui ont à le pratiquer. On remarque ainsi que la vieillesse des parents est justement une période qui pose souvent problème aux enfants, et ce principalement pour deux raisons: D'un côté, à ce stade, les parents ont besoin de beaucoup de soins et d'attentions, et d'un autre côté, leur caractère devient tel, que souvent, ils formulent des demandes (très difficile à satisfaire), ils émettent des critiques ou ont des réactions que les enfants arrivent difficilement à supporter. C'est pour cette raison que le Qour'aane a particulièrement insisté sur le devoir de bonté envers les parents durant la vieillesse. Qui de plus est, dans ce genre de situation, alors que les parents ont particulièrement besoin du soutien de leurs enfants, le plus petit signe d'irritation ou d'inattention de la part de ces derniers devient extrêmement pénible à supporter pour eux. Pour aider l'homme dans ce devoir, le Qour'aane lui a donc rappelé sa propre enfance, période durant laquelle il avait plus besoin de ses parents qu'eux ont besoin de lui aujourd'hui. Pourtant, à ce moment, ses parents n'ont pas hésité à sacrifier leur repos et leurs désirs personnels pour son bien être, et ils ont accueilli les bêtises qu'il faisait ainsi que ses sautes d'humeur avec amour , affection et tendresse. La moindre des choses serait donc de leur rendre la pareille à son tour, maintenant qu'ils sont dans le besoin. C'est justement vers cela que le Qour'aane fait allusion en enseignant cette invocation: "Ô mon Seigneur, fais-leur; à tous deux; miséricorde comme ils m'ont élevé tout petit". Enfin, la formule suivante qui est employée " et par miséricorde abaisse pour eux l'aile de l'humilité" a pour objet de bien montrer que l'humilité envers les parents doit être motivé uniquement par de la miséricorde et de la sincérité, et ne doit pas être fait par ostentation, afin de bien se faire passer aux yeux des gens.
Wa Allâhou A'lam !

• Il existe néanmoins des situations où l'obéissance des parents n'est pas obligatoire : C'est notamment le cas lorsqu'un enfant désire se marier avec quelqu'un de convenable et qu'il est confronté à un refus de la part de ses parents pour des raisons qui n'ont aucun rapport avec la religion, et qui, au contraire, vont plutôt à l'encontre des principes islamiques établis. Voir à ce sujet les Fatâwa suivantes en anglais: [63.175.194.25] et [63.175.194.25]
Question :
A men, who I think is a very good muslim and Allah knows the best, has asked for my hand in marriage. I love him very much but my parents disapprove of this marriage for the following reasons. They think I am too young. They think that he (we) will not be able to support ourselves since both of us are students. They want me to finish school (i am in my last year of high school) and maybe even finish university before getting married for they think that is i get married i will not complete my studies. Please advise me on what i should do and what right i have in this.

Answer :
Praise be to Allaah.
Shaykh Muhammad ibn Saalih al-‘Uthaymeen (may Allaah mercy on him) was asked a similar question and said:
The ruling on that is that it is contrary to the command of the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him). The Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) said: “If there comes to you one with whose religious commitment and character you are pleased, then marry [your daughter or female relative under your care] to him.” Undoubtedly your father’s preventing you from marrying one who is suitable is something that is haraam. Marriage is more important than study, and it does not mean that you cannot study, because the two can be combined. What I advise my brothers who are the guardians of women to do, is to let them complete their studies; a woman may stipulate as a condition of her marriage that she be able to continue studying until her studies are complete.
Fataawa al-Mar’ah al-Muslimah, 2/704-705.
Secondly:
With regard to what you mention about the situation of the one who has proposed marriage and that he is still a student, being a student is not regarded as an impediment to marriage if he can afford to get married and to spend on his wife on a reasonable basis.
But if his being a student means that he cannot afford to get married and spend on his wife – apart from the unreasonable demands that some families make in the conditions that they stipulate – this is addressed by the words of Allaah (interpretation of the meaning):
“And let those who find not the financial means for marriage keep themselves chaste, until Allaah enriches them of His Bounty”
[al-Noor 24:33]
Al-Qurtubi (may Allaah have mercy on him) said: In this verse, Allaah commands everyone who is unable to get married and cannot find any means of doing so to keep himself chaste, because the most common obstacle to marriage is lack of money. So Allaah promises independence of means by His bounty, so that He will provide what one needs to get married or to find a woman who will accept a small mahr, or else remove from him the desire to marry.” Tafseer al-Qurtubi, 12/242
It should be noted that the mahr and maintenance are the rights of the woman, not of her guardians. She has the right to agree to a little and to marry one whom she knows is poor, but it has to be pointed out that many woman may agree to marry a man even though he is poor when he proposes to her, then shortly after marriage the woman may start to complain, and that leads to arguments and divorce. This should be taken into consideration.
Thirdly:
We advise families and guardians not to be an obstacle to keeping their daughters and female relatives chaste because of the unreasonable conditions that they stipulate regarding spending on the basis that they want to be reassured about their daughters’ future. This puts off the men who want to marry them, which leads to them being left on the shelf and the evils that result from that, especially nowadays when fitnah (temptation) is so widespread. Thus they harm themselves and their daughters when their intention is to do good.
We ask Allaah to set the affairs of the Muslims straight.
And Allaah knows best.

Islam Q&A (www.islam-qa.com)

Question :
I have a friend who is 28 years old, and a young man has proposed marriage to her. He is religiously-committed and of good character, and he comes from a rsespectable family, as her own family have attested, because they know him from before. My friend was astonished when her father and mother refused this man, even though they praised his religious-commitment and good character. The reason they gave for their refusal was that he is not from their tribe, and it is a shame for them to let their daughter marry someone who is not from their tribe. My friend tried every way to convince them, but without success. She asked some people to speak to her father and two of her male cousins went and asked about the man and found out that he is good, and they went to her father (to convince him to let her marry him), but without success. She tried to remind her father that she is getting too old and has few chances of marriage, and she told him that Allaah would punish him, but without success, because he is under the thumb of the mother who does not want her to get married, not because of tradition or custom, but because she wants her to find a job as a teacher so she can take her salary. This is the problem. My question is, should this girl go to the court so that the qaadi will marry her to this young man? Will that take a long time before the marriage is done, i.e., will the qaadi summon her father and will there be lengthy procedures? This makes her afraid because if she goes to the court the first time and the judge makes an appointment for the hearing on another day, her family may prevent her from attending and the matter may be decided without her being present. Please advise us on this matter, may Allaah reward you with good.

Answer :
Praise be to Allaah.
Parents’ insisting on marrying their daughters to men from the same tribe, even if that means delaying their marriage, is a serious wrongdoing and a betrayal of the trust which Allaah has given to them.
The evil consequences which come from denying women the opportunity to get married, or delaying it, are known only to Allaah. Anyone who looks at the state of society will see that clearly.
The Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) referred to these evil consequences when he said: “If there comes to you (to propose marriage to your daughter) one with whose religious commitment and character you are pleased, then marry (your daughter) to him, for if you do not do that, there will be fitnah (tribulation) on earth and widespread corruption.” Narrated by al-Tirmidhi, 1084, from Abu Haatim al-Muzani. This hadeeth was classed as hasan by al-Albaani in Saheeh al-Tirmidhi.
If a man prevents a female relative under his guardianship from marrying a man who is compatible and who is religiously-committed and of good character, then guardianship passes from him to the next (relative) in line.
Ibn Qudaamah (may Allaah have mercy on him) said: “Preventing a woman from marrying means preventing a woman from marrying a compatible man if she wants to get married and if each of them wants to marry the other. Ma’qil ibn Yassaar said: I married a sister of mine to a man, then he divorced her. When her ‘iddah ended, he came to propose marriage to her again. I said to him, ‘I married her to you, I was kind and I honoured you, then you divorced her, and now you come proposing marriage again! No, by Allaah, she will never go back to you.’ There was nothing wrong with the man, and she wanted to go back to him. Then Allaah revealed the words (interpretation of the meaning):
‘do not prevent them from marrying their (former) husbands, if they mutually agree on reasonable basis’
[al-Baqarah 2:232]
I said, ‘Now I will do that O Messenger of Allaah.’ So he married her to him. Narrated by al-Bukhaari.
It is the same whether she asks for marriage with a mahr like that of a woman of equal standing to her, or with less. This is the view of al-Shaafa’i.
If she wants to marry someone of equal standing, and the wali wants to marry her to a different person of equal standing, and he refuses to marry her to the person whom she wants to marry, then he is preventing her from marrying.
But if she wants to marry someone of different standing, then he has the right to stop her, and in this case he is not preventing her from marrying in the wrongful sense.
Al-Mughni, 9/383
Shaykh Muhammad ibn Ibraaheem (may Allaah have mercy on him) said: “When a woman reaches the age of puberty, if there comes to you one with whose religious commitment and character she is pleased and who is compatible, and the wali does not have any proof that he is not compatible, then the wali has to respond to his request and marry her to him. If he refuses to do so, then his responsibilities towards his charge should be pointed out to him. If he still insists on refusing after that, then he forfeits the right of guardianship and it passes to the next closest relative on the father’s side.”
From the Shaykh’s Fataawa, 10/97.
Shaykh Ibn ‘Uthaymeen (may Allaah have mercy on him) said:
If the wali refused to let a woman marry a man whose religious commitment and character are good, then guardianship passes to the next closest male relative on the father’s side, then the next closest and so on. If they refuse to arrange her marriage, as usually happens, then guardianship passes to the qaadi, and the qaadi should arrange the woman’s marriage. If the matter is referred to him and he knows that her guardians have refused to arrange her marriage, then he should do that, because he is the wali in cases where there is no specific wali.
The fuqaha’ (may Allaah have mercy on them) stated that if the wali repeatedly refuses marriage proposals from suitable men, then he is a faasiq (evildoer) and is no longer regarded as being of good character or as being a wali, rather according to the best known view of the madhhab of Imam Ahmad, he also forfeits the right to lead prayers and it is not valid to offer any congregational prayer behind him. This is a serious matter.
Some people, as we have referred to above, refuse offers of marriage from compatible men, but the girl may feel too shy to come to the qaadi to ask for her marriage to be arranged. This is something that does happen. But she should weigh the pros and cons, and decide which has the more damaging consequences, staying without a husband and letting her wali control her life according to his mood or his whims and desires, and when she grows old and no longer wants to get married, then he will arrange her marriage, or going to the qaadi and asking him to arrange her marriage because that is her right according to sharee’ah.
Undoubtedly the second alternative is preferable, which is that she should go to the qaadi and ask him to arrange her marriage, because she has the right to that, and because her going to the qaadi and his arranging her marriage serves the interests of others too, because others will come just as she has, and her coming to the qaadi will serve as a deterrent to those who wrong those whom Allaah has put under their care and prevent them from marrying compatible men. In other words, this serves three purposes:
1. The woman’s own interests, so that she will not stay without a husband.
2. The interests of others, because it will open the door for women who are waiting for someone to set a precedent they can follow.
3. Preventing those oppressive walis who make decisions for their daughters or other women under their guardianship according to their own moods or what they themselves want.
This also serves the purpose of establishing the command of the Messenger (peace and blessings of Allaah be upon him), who said: “If there comes to you (to propose marriage to your daughter) one with whose religious commitment and character you are pleased, then marry (your daughter) to him, for if you do not do that, there will be fitnah (tribulation) on earth and widespread corruption.”
It also serves a specific interest, which is arranging marriages for those who are suitable in terms of religious commitment and character, thus protecting them from going astray and falling into haraam.
Quoted from Fataawa Islamiyyah, 3/148.
Shaykh Ibn ‘Uthaymeen also said:
Would that we could reach a level where a woman can dare, if her father refuses to let her marry one who is suitable in terms of religious commitment and character, to go to the qaadi and he could say, “Arrange her marriage or I will do it, or a guardian other than you will do it.” Because this is the girl’s right, if her father refuses to arrange her marriage (it is her right to complain to the qaadi). This is her right according to sharee’ah. Would that we could reach this level, but shyness keeps most girls from doing that.
See also question no, 10196
The one who has most right to arrange a woman’s marriage is her father, then his father, (and grandfathers) no matter how far the line of ascent extends; then her son and grandson, no matter how far the line of descent extends; then her brothers through her father and her mother; then her brother through her father only; then their sons, no matter how far the line of descent extends; then her paternal uncles; then their sons, no matter how far the line of descent extends; then the father’s paternal uncles; then the ruler.
Al-Mughni, 9/355
We do not know whether the court procedures will take a long time or not. You could always alert the qaadi to the fact that the father may prevent his daughter from attending the court in the future. We ask Allaah to make things easy for you and to give you a way out from your difficulty.
And Allaah knows best.

Islam Q&A (www.islam-qa.com)


• Le droit ultime du choix de l'époux(se) ou de l'épouse revient à l'enfant. Cependant, le Prophète (sallallahou alayhi wa sallam) a sévèrement condamné le fait qu'une jeune fille se marie sans le consentement préalable de ses parents. La plupart des écoles juridiques considèrent même le mariage contracté sans l'autorisation du "waliy" (responsable légal) comme étant nul. Néanmoins, dans le cas où le "waliy" abuse de son autorité et refuse de marier la jeune fille sans raison valable, celle-ci pourra exposer sa situation à une autorité musulmane reconnue, qui pourra alors éventuellement procéder à son nikâh, et ce, même sans l'accord du "waliy".




En ce qui concerne les parents :



Dans ce genre de conflits au sujet de mariage, les parents devraient garder à l'esprit un certain nombre de choses.
• Tout d'abord, le Prophète (sallallahou alayhi wa sallam) dit en ce sens :
"Si une personne, dont le caractère et la condition religieuse vous convient, vous envoie une demande en mariage, alors vous devriez accepter.

Si vous ne le faites pas, cela provoquera de graves troubles et des crises profondes."

(Tirmidhi)


• Par ailleurs, le critère de choix de l'époux et de l'épouse qui a été retenu par le Prophète (sallallahou alayhi wa sallam) dans les Hadiths est bien la condition religieuse, et non pas l'appartenance raciale ou ethnique. Ainsi, il a demandé à ce que priorité soit accordée à la condition religieuse d'une personne par rapport à sa condition matérielle, à sa position sociale ou à sa beauté. Cela est notamment rapporté dans un Hadith de Abou Dâoûd qui dit en ce sens : "On épouse une femme (généralement) pour quatre raisons: pour sa richesse, à cause de sa famille et de sa notoriété, pour sa beauté, pour sa piété et sa condition religieuse. Obtenez le succès de votre mariage en choisissant celle qui est pieuse." Il est à noter que si ce Hadith est en rapport avec le choix de l'épouse, il n'en reste pas moins que d'après les savants, la même règle s'applique pour le choix de l'époux.

• Une des enseignements fondamentaux d'ordre moral et social présentée à travers le message de l'Islam a été justement la lutte contre toutes les formes de discrimination raciale qui existaient à l'époque et l'effort pour le rétablissement et la reconnaissance de l'égalité de tous les hommes devant Allah. Le Qour'aane proclame clairement : "O les gens ! Nous vous avons crées d'un homme et d'une femme, nous vous avons répartis en peuples et en tribus afin que vous vous reconnaissiez. Le plus noble d'entre vous auprès de Dieu est le plus pieux." (Sourate 49 / Verset 13). Le Prophète Mouhammad sallallâhou alayhi wa sallam) disait pour sa part dans un Hadith rapporté par Ibnou Mâdja: "En vérité, Dieu ne regarde pas vos visages, ni vos biens, mais il s'intéresse à (ce que contient) vos coeurs et à vos actions." Lors de son dernier pèlerinage, il affirmait : "O les gens ! Ecoutez ! Votre Seigneur est unique, et votre père l'est aussi. Ecoutez ! Pas de supériorité de l'arabe par rapport au non arabe, ni du non arabe par rapport à l'arabe, ni encore du blanc sur le noir ou du noir sur le blanc !"




En tout état de cause, le meilleur conseil que je puis vous donner est le suivant : Le mariage étant une relation faite pour durer, elle se doit de débuter de la meilleure façon qui soit, notamment avec l'agrément et la joie des parents. C'est pourquoi, essayez de trouver autour de vous un membre de votre famille ou quelqu'un d'autre qui soit sage et respecté et chargez-le de jouer le rôle d'intermédiaire entre vous et vos parents, afin d'essayer de trouver un arrangement qui soit convenable à chacun. Personnellement, je pense que l'Imâm de votre localité pourrait jouer ce rôle de médiateur.



Bien entendu, de votre côté, continuez à implorer constamment Allah afin qu'Il vous guide vers la chose qui contient le plus de bien pour vous, par la prière de consultation notamment. En effet, il est toujours possible que vous soyez persuadée que cette union vous sera bénéfique, alors qu'Allah en ait décidé autrement. C'est pourquoi, demandez à Allah de réaliser pour vous ce qu'il y a de meilleur. S'il y a un bien à ce que vous épousiez cette personne, Allah fera en sorte, Incha Allah, que l'avis de vos parents changera en votre faveur.



Qu'Allah vous aide et vous accorde la force et le courage de traverser cette épreuve.


Amine.

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Wa Allâhou A'lam !



Wassalâmoualaïkoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouh
N
5 mai 2006 13:09
Declaration universelle des droits de l'Homme :

Article 16
1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.

2. Le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein consentement des futurs époux.

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COUR EUROPEENNE DES DROITS DE L'HOMME

Article 12 - Droit au mariage
A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme ont le droit de se marier et de fonder une famille selon les lois nationales régissant l'exercice de ce droit.
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On ne parle pas du consentement du père ou de la mère ! la loi française permet à chacun de se marier avec qui il le veut ! Alors un peu de respect pour la loi républicaine

Par ailleurs, je m'étonne des propos racistes tenus sur ce forum ! ça veut dire quoi la préférence ethnique .
s
5 mai 2006 13:28
Citation
Nephilim a écrit:
Declaration universelle des droits de l'Homme :

Article 16
1. A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille. Ils ont des droits égaux au regard du mariage, durant le mariage et lors de sa dissolution.

2. Le mariage ne peut être conclu qu'avec le libre et plein consentement des futurs époux.

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COUR EUROPEENNE DES DROITS DE L'HOMME

Article 12 - Droit au mariage
A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme ont le droit de se marier et de fonder une famille selon les lois nationales régissant l'exercice de ce droit.
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On ne parle pas du consentement du père ou de la mère ! la loi française permet à chacun de se marier avec qui il le veut ! Alors un peu de respect pour la loi républicaine

Par ailleurs, je m'étonne des propos racistes tenus sur ce forum ! ça veut dire quoi la préférence ethnique .

salamalikoum
il n'est pas kestion ici de loi mais de religion alors barakallahoufik respecte nous merci bien
[b][i][u][center][color=#9966FF] LA CREATION D’UNE FEMME[/color][/center][/u][/i][/b][b][i][center][color=#FF00CC] La femme fut créée d’une côte de l’homme, Pas de sa tête pour être au dessus de lui, Ni de ses pieds pour être piétinée, Mais d’une de ses côtes pour être son égale, Sous son bras pour être protégée Et près de son cœur pour être aimé. [/color][/center][/i][/b]
N
5 mai 2006 13:34
tu veux dire qu'un croyant n'a pas à respecter les lois républicaines ?
s
5 mai 2006 13:45
là n'est pas la question, tu confonds tout! un croyant respecte les deux, l'un n'empêche pas l'autre

Citation
Nephilim a écrit:
tu veux dire qu'un croyant n'a pas à respecter les lois républicaines ?
k
5 mai 2006 13:53
POuk relis toi c'est très intéressant :
" on demande pas a haby d'accepter le mari que ces parents lui proposeront, elle est tout a fait libre de le refuser. Par contre, on lui demande d'accepter le refus de ces parents. Voila, tu comprend la nuance ? "
Si tu ne trouves pas la grosse erreur je t'aiderai ! C'est hallucinant comment on peut perdre la raison, et tu m'inquiète pour tes études de médecines ! Lol !
" Assamtou halamtou arrida " voilà l'horreur que l'on impose aux filles !
Pour ceux qui ne cessent de parler de parents, je les invite à lire " Le pophète " de Jabrane Khalil Jabrane le chapitre " Les enfants ".
les droits de l'homme et de la femme ont cette intelligence de rapprocher les humains et ne soucient guère de la couleur des chaussetes et du croissant ou les tartines au miel au petit déjeuner des personnes.
N
5 mai 2006 15:35
Citation
salma26 a écrit:
là n'est pas la question, tu confonds tout! un croyant respecte les deux, l'un n'empêche pas l'autre

Citation
Nephilim a écrit:
tu veux dire qu'un croyant n'a pas à respecter les lois républicaines ?

la preuve que si !
k
5 mai 2006 16:13
Haby
comme tout cela est compliqué je te conseille d'écouter Léo Ferré dans la chanson " IL N'Y A PLUS RIEN "
s
5 mai 2006 16:53
Kricha

est ce que tu es sensé là?

Si Haby a posté dans le forum Islam, c'est bel et bien parce qu'elle recherche ce que dit l'Islam par rapport à son problème! Tout de même!


Citation
kricha a écrit:
Haby
comme tout cela est compliqué je te conseille d'écouter Léo Ferré dans la chanson " IL N'Y A PLUS RIEN "
p
5 mai 2006 18:54
Citation
kricha a écrit:
POuk relis toi c'est très intéressant :
" on demande pas a haby d'accepter le mari que ces parents lui proposeront, elle est tout a fait libre de le refuser. Par contre, on lui demande d'accepter le refus de ces parents. Voila, tu comprend la nuance ? "
Si tu ne trouves pas la grosse erreur je t'aiderai ! C'est hallucinant comment on peut perdre la raison, et tu m'inquiète pour tes études de médecines ! Lol !
" Assamtou halamtou arrida " voilà l'horreur que l'on impose aux filles !
Pour ceux qui ne cessent de parler de parents, je les invite à lire " Le pophète " de Jabrane Khalil Jabrane le chapitre " Les enfants ".
les droits de l'homme et de la femme ont cette intelligence de rapprocher les humains et ne soucient guère de la couleur des chaussetes et du croissant ou les tartines au miel au petit déjeuner des
personnes.

Je crois que je vais détaillé un peu cette nuance que tu n'a pas l'air de percevoir.( faut tjr tot expliqué, sinon la plébe ne comprend plus )

Dans un cas les parents impose un homme que la femme doit accepter malgrés qu'elle n'aime pas l'homme proposé. C'est ce qu'on apelle le mariage forcée.

Dans l'autre cas, la femme choisit l'homme qu'elle aime, mais, pour l'epouser, elle doit obtenir le consentement des parents.

En France, deux personnes qui s'aiment doit avoir le consentement de La Loi, les mariages incestueux sont donc interdit. Il faut l'approbation de la loi. En islam, faut l'approbation des parents ( et de la Loi aussi, bien sur ). C'est simplement une condition de validité du mariage.

C'est deux cas extremement different !( m'enfin, chui ptetre completement c*on...)
h
5 mai 2006 20:32
salam aleycoum

merci pour toutes ces réponses
jvien d'avoir une bonne nouvelle aujourd'hui,comme vous me l'avez conseillé j'ai bien parlé avec mon pere et il est en train de changer d'avis.
Donc voila j'espere que je vais bientot me marier
LA PATIENTE EST LA VERTU DU MUSULMAN

wassalam
F
5 mai 2006 21:07
bonne nouvelle!
h
5 mai 2006 21:15
excuse je ne comprens pa le point d'exclamtion
soit plus explicite ma soeur
F
5 mai 2006 21:17
Citation
haby a écrit:
excuse je ne comprens pa le point d'exclamtion
soit plus explicite ma soeur

hein???moody smiley

je dis que c'est une bonne nouvelle que tu ai pu parler avec ton pere.
c'est la joie qui te met sur la défensive?
h
5 mai 2006 21:26
ah non pa du tou ma soeur
je ne suis vraiment ^pa sur la defensive
c juste que javvai pa compris, excuse moi ma soeur si tu la mal pris,c t pa mon but
bonne soirée
F
5 mai 2006 21:28
Citation
haby a écrit:
ah non pa du tou ma soeur
je ne suis vraiment ^pa sur la defensive
c juste que javvai pa compris, excuse moi ma soeur si tu la mal pris,c t pa mon but
bonne soirée
pas de soucis
bonne soirée à toi
k
6 mai 2006 02:21
Haby donc happy end, voilà une bonne nouvelle sans point d'exclamation. Bonne chance de tout coeur.
PS : répéter toujours " ma soeur-mon frère " je trouve cela parfois à la limite ( le mot que je vais utiliser je l'avoue un peu fort je m'en excuse car je ne trouve pas un autre adjectif tout de suite ) malsain !
l
6 mai 2006 12:39
de toute façon kricha,tout ce ki se rapporte à l'islam,te parrait malsain,donc ta remark,me semble justifiée venant de toi!
Le sourire est la perfection du rire. le sourire appelle le sourire : il rassure l'autre sur soi et toutes choses autour.
k
6 mai 2006 13:55
Ah bon il n'y a que dans l'islamn que l'on utilse ses expressions, Bizarre je l'ai beaucoup entendu dans d'autres religions ! Et je dirai même en politique le terme qui se rapproche un peu des ces exp^ression "camarade " je le tropuve malsain, tu vois ! En fait je vais t'expliquer, tous ces termes d'apprence positifs ne veulent rien dire car ils faussent les rapports humains et il vaut mieux attendre avant de rentrer en intimité avec les autres. Il faut certes rester ouverts à tous le monde mais pour éviter la ségrégation, mettre au départ tout le monde sur le même niveau et après connaissance trouver un mot une expression un adjectif approprié à chacun.
l
6 mai 2006 13:58
je ne t pas dit k'il y'a ke dans l'islam ke l'on trouve cette expression!bong sang prends ton temps pour lire se k'il y'a ecrit!!relit se ke g dit et rappelle moi!!
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