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perlipopette a écrit:
Salam walikoum, euh que dire ?
Eyaaa Angélique elle fait n'imp ! !
!
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lynettescavo88 a écrit:
tu m'as tuée de rire !
toute façon les angeliques dans les grands romans francais génétalement ca fini mal....Citation
perlipopette a écrit:
MMMMDDDRRRRRRR je ne pouvais pas m'empêcher de sortir son prénom il me fait toujours autant rire, en plus dans ma tête je l'arabétise (je sais j'invente des mots ) genre Angilique
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lynettescavo88 a écrit:
toute façon les angeliques dans les grands romans francais génétalement ca fini mal....
des histoires similaires existent aussi avec des musulmanes , mais bon ...Citation
Koul ou skout a écrit:
C'est pour ca qu'on vous conseille de vous mariez avec une musulmane !
Et comme on dit : trop bon trop con !
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Koul ou skout a écrit:
salam aleykoum,
j'ai bien dis musulmane et non arabe, il y a une différence.
L'islam n'autorise pas la polygamie à la femme.
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Koul ou skout a écrit:
salam aleykoum,
j'ai bien dis musulmane et non arabe, il y a une différence.
L'islam n'autorise pas la polygamie à la femme.
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armo a écrit:
As salam alaykoum,
Mon histoire est longue, elle dure depuis plus de quatre mois aujourd'hui. Je suis passé par tous les états : dépression, reconstruction, rechute, colère, pardon, repentir, joie, désespoir...
Le désespoir m'a saisi cette semaine, et j'ai cessé la prière, que Dieu me pardonne.
Je m'appelle Morad, je vais avoir quarante ans, je vis en France. Ma vie n'a jamais été simple, mais je n'étais pas malheureux. A 24 ans, j'ai rencontré la femme qui me donnera plus tard deux enfants, j'ai essayé de l'épouser mais ma famille s'y est opposé. Idiot que j'étais, j'ai pensé qu'aux yeux d'Allah mon union était légitime, alors j'ai laissé la situation tel quelle.Nous avons mon ex-compagne et moi continué notre vie, qui n'était pas si mal, avec des hauts et des bas, je pensais que nous étions profondément amoureux l'un de l'autre et que nous traverserions toutes les épreuves ensemble. Je me focalisais sur mon foyer, j'étais un père aimant, un compagnon attentionné... Notre entourage nous voyait comme une belle petite famille, certains nous en félicitaient, d'autres nous jalousaient clairement. Tant que je travaillais, tout allait bien : maison, voiture, vacances, sorties... Mais les choses vinrent à se compliquer lorsque je fis un burnout. Je ne me laissais pas abattre, je faisais en sorte de rebondir, mais les amis s'introduisaient dans notre vie, à rechercher la faiblesse. Je décidais de rompre les ponts avec les "toxiques", pour me centrer un peu plus encore sur ma famille, 90% de mon temps avec ma compagne et mes enfants, je leur donnais une vie de foyer agréable.
Ma compagne commençait à fréquenter une collègue de boulot, qui avait vécu une séparation pour le moins curieuse à mon sens. Je sentais que cette personne allait apporter son lot de problèmes, et je le faisais comprendre à Angélique, ma compagne.
La vie continuait, mais un jour d'octobre 2014, je tombais sur un historique google où ma compagne recherchait sur les pages jaunes son DRH. Puis une autre recherche : comment déclarer sa flamme à son patron ?
A ce moment, je me précipitais vers elle pour lui demander ce qu'il en était, elle fût gênée, me dit qu'elle m'avait trompée mais "psychologiquement", mais qu'elle m'aimait toujours. Nous avons donc décidé de se rapprocher l'un de l'autre en communiquant davantage, et ça fonctionnait. Mails d'amour, sms dans lesquels elle se disait pressé de me retrouver, nous faisions l'amour tous les jours.
Puis un matin de Décembre 2014, je la sentais distante, alors je lui demandais ce qui n'allait pas. Elle me lança un "je ne t'aime plus" si dur si froid, qu'il sonnait comme un coup de fusil. La terre s'ouvrait sous mes pieds, j'étais abasourdi. Je tombais instantanément en dépression, ne dormant plus, ne mangeant plus. J'ai perdu 7 kilos en 4 jours, j'étais méconnaissable, pour ainsi dire un mort-vivant... Elle m'annonçait trois jours après la rupture être en contact avec le DRH, 10 jours après, qu'elle avait couché avec lui... Elle m'avait dit qu'elle me prendrait les enfants et la maison. UN ENFER !
Je décidais de rentrer chez mes parents pour un temps, au moins pour me sentir aimé.
Une semaine après, je suis de nouveau sur pieds, plein d'une nouvelle force, j'allais me battre pour ce qu'il restait de ma vie, c'est-à-dire mes enfants et ma maison. Je rentrais en contact avec mon ex-compagne pour dialoguer de tout ça. On se voyait donc à notre maison. Elle me dit alors qu'elle voyait que j'allais mieux, que j'étais beau, qu'elle n'aurait pas dû me quitter...
Nous étions séparés, et tant qu'il y aurait ce DRH entre nous, il ne pourrait plus rien y avoir entre nous. Elle m'expliqua alors qu'elle était perdue, qu'elle faisait sa crise du milieu de la vie. Je lui demandais alors de revenir sur ses pas, de cesser ce jeu immonde où tout le monde souffrait. Elle me répondit qu'elle avait mis le doigt dans un engrenage. Je lui dis que je ne la suivais plus, qu'elle était vraiment égarée...
Nous avons alors décidé de cohabiter, le temps de vendre la maison, mais les disputes étaient quasi quotidiennes. Je lui expliquais alors que dans ces conditions il valait mieux que je rentre chez mes parents le temps que les choses s’apaisent et surtout pour éviter que les choses finissent dans le sang comme elle me l’avait déjà dit. Un jour que je rentrais du boulot assez tôt je passais à la maison pour voir les enfants. Angélique était de bonne humeur, on a discuté de nous, elle exprimait son regret et je lui fis la même réponse que la première fois, « quitte le, attendons trois mois alors je t’épouserai ». Je me réinstallais donc dans notre maison.
Mais elle persista dans son erreur. De mon côté, je reprenais une vie « normale » avec des envies somme toute humaines, je contactais des femmes dans le but de refaire ma vie, mais surtout pour me rassurer. Un jour elle me vit joyeux, en pleine discussion avec une amie. Elle ne supporta pas, se renfrogna en me disant que j’étais un hypocrite, qu’aux yeux de Dieu et de mes principes je faisais du mal. Je refusais d’entrer dans son jeu et la laissais chercher d’autres moyens de m’atteindre. Je lui dis que la tension était presque palpable et qu’il valait mieux que je la laisse prendre du recul en retournant une fois de plus chez mes parents. Ce que je fis.
Une semaine passait, où elle m’envoyait des messages qui ne m’étaient pas destinés, où elle m’appelait pour récupérer un survêtement qu’elle m’avait cédé, et où finalement elle finissait par me dire que malgré que l’on soit séparés elle me « kiffait » toujours. Je voyais où elle voulait en venir mais je ne savais pas où en était sa relation avec le monstre qui avait détruit ma famille. Un soir, après le boulot, je passais prendre mon courrier et voir mes enfants au passage. Je devais les garder la nuit puisqu’elle travaillait cette semaine-là. Elle commençait à 21h00 mais elle me dit qu’elle partirait à 18h30. Je lui dis que ce n’était pas ce qui était convenu, et lui demande pourquoi. Elle me dit qu’elle va boire un thé avec le DRH. Je refusais de garder les enfants pendant qu’elle allait voir ce « paillasson », mais dans une colère furieuse, elle se mit à me pousser et à me donner des coups de poing sur la poitrine, je m’éloignais d’elle pour éviter une bagarre mais elle me poursuivait, je la suppliais d’arrêter. Mais fatigué de me sauver, je la laissais me saisir par la gorge et m’étrangler trois ou quatre longues secondes, je lui saisis les poignets pour me défendre et sans lui faire de mal je l’écartais de moi pour me sauver chez mes parents. J’ai pris un temps de réfléxion avant de retourner garder les enfants, je me disais que si elle était toujours agressive alors je laisserais tomber et elle se débrouillerait pour faire garder les enfants. Mais elle était calme, je passais donc la nuit à la maison et je m’en irais au matin quand elle rentrerait du boulot.
Je cachais la vérité à mes parents, mais ma voix ne pouvait mentir, elle m’avait écrasé la gorge si fort qu’elle m’avait cassé un anneau trachéal, résultat : une voix rauque, des difficultés à avaler, et une douleur pendant plus d’un mois. Mais elle ne m’avait pas fait assez de mal, le soir-même elle m’appelait pour une nouvelle dispute, elle vint chez mes parents et fit un esclandre. Ma sœur la mit à la porte sans ménagement, mais humiliée elle se mit à insulter tout le monde. Je la suivais parce que j’avais vu la peine qu’elle avait pu ressentir, et pour essayer de la calmer, mais elle en vint encore aux mains. Cette fois je ne la laisserais pas me frapper en gardant les bras baissés, je l’ai maitrisée sans la moindre violence. Alors elle est rentrée, mais elle était partie en trombe et j’ai eu peur, je l’ai donc suivie. A la maison, elle continuait à hurler, à me taper sur la poitrine. Excédé, je l’ai saisie par les poignets et je l’ai forcée à s’asseoir, je lui ai dit alors « Toi et lui vous mériteriez de crever ! ».
Elle voulait que je m’en aille, je lui dis que je m’en irais quand elle se sera calmée, elle essaya de me sortir de force mais je résistais. Finalement, elle a appelé la police, mais quand ils sont venus ils lui ont expliqué que j’étais chez moi et qu’ils ne pouvaient rien y faire. Furieuse, elle prit les enfants avec elle et partit chez sa collègue qui comme je l’avais préssenti l’influençait. De mon côté, je suis rentré chez mes parents. Je la recontactais le lendemain pour organiser la garde des enfants, mais pas de réponse. Elle me laissera un message pour me dire que j’avais obligation de participer à la garde des enfants, ce que je conçois parfaitement, mais si elle refuse d’en parler nous sommes dans une impasse. Elle m’ignora ainsi pendant 48 heures. Moi, je savais quel soir je gardais les enfants donc je me présentais à notre maison comme convenu les semaines précédentes. Mais là, je ne trouve personne. Je l’appelle pour savoir ce qu’il se passe, mais elle ne me répondra pas. Angoissé, je lui laisse des messages, je finis même par appeler la police, mais ils ne peuvent rien faire. Je pris ma voiture et me rendis chez sa collègue, qui me dit qu’elle n’était au courant de rien. Alors, je filais chez le DRH, les larmes aux yeux, tout en essayant de joindre Angélique. Ce con-là m’ouvre et m’invite à boire un thé ! Je suis à la recherche de mes enfants, cette ordure a détruit mon foyer, et là il veut que je m’asseye avec lui pour boire un thé… Heureusement, je suis trop pressé, sinon je crois que je l’aurais mis en pièces. Finalement, Angélique m’appela, pour me dire que les enfants étaient chez sa tante, je lui demandais alors pourquoi ? Elle me répondit que je ne l’avais pas appelée. Un comble ! J’allais donc chez sa tante pour récupérer mes enfants, mais elle refusa. MES ENFANTS ! Je lui demandais au moins de me laisser parler une minute au plus grand, pour qu’ils sachent que je ne les ai pas abandonnés. Mais j’essuyais un nouveau refus. En larmes, je sortis devant l’immeuble et appelais mon fils quitte à ameuter tout le voisinage. En vain. La police vint me prendre, et je fus conduit au commissariat. Quelle fut ma surprise lorsqu’on m’informa que Mme avait porté plainte contre moi, pour violence conjugale et menace de mort. On me mit en garde à vue, les 24 heures les plus longues de ma vie. Traité comme un criminel ! J’ai pleuré toute la nuit, j’ai supplié le Seigneur de me venir en aide. Mais rien ! Je vous passe les détails, lorsque je suis sorti j’avais interdiction d’entrer en contact avec Mme, donc difficile de voir mes enfants. Dix jours, sans contact avec eux, moi qui étais si présent ! J’ai pensé à mettre fin à mes jours plusieurs fois.
Je suis passé au tribunal au mois de mars dernier, un arabe contre une belle métisse, le juge m’a défoncé, trois mois de sursis !!! MOI !!! TROIS MOIS DE SURSIS !!! Elle m’a frappé, elle a caché mes enfants, et la justice me sanctionne ! Peu s’en faudrait pour que je passe le pas du suicide.
Cette histoire, elle est vraie, elle est dure ! Mais le pire dans tout ça, c’est de me dire que cette femme à qui j’étais prêt à pardonner, cette femme que J’AIME, et bien cette femme est mon pire ennemi !
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armo a écrit:
Si dans tous les commentaires il y en a énormément qui ne valent rien, juste le tien suffit à me faire dire que ça valait la peine de subir les mauvaises langues.
Vraiment merci ! Du fond du coeur, merci Puduhepa, j'attendais la réponse d'un homme sincère et je l'ai. Mesure, tact, bonté... Il est des hommes qui ont le coeur !
Le courage me vient avec des paroles aussi justes, et peu importe l'issue, je voulais qu'on me confirme que je n'étais pas forcément dans l'erreur. Maintenant, si je me casse les dents je n'aurai qu'à m'en prendre à moi-même.
Merci aux frères et soeurs qui se donnent la peine de répondre à l'attente d'autres frères et soeurs qui sont dans le besoin d'une écoute amicale. Que Dieu vous garde.
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armo a écrit:
ath fraisoo, les blagues puériles d'un adulescent m'importent peu.
ça sent le célibataire endurci qui n'aura jamais que sa main pour partager les longues nuits en solitaire.
Une française, oui ! ça te pose un problème ?
Non, je ne lèverai pas la main sur une femme, fusse-t'elle une boxeuse...
Jouer le caïd dis-tu, lol. J'ai fait l'armée, AMX 10, infanterie de marche. Des racailles dans ton genre j'en mangeais deux au petit déj'. Mais toi, tu dois certainement être le plus grand pour frapper une femme ! Je dois m'incliner.
Merci à tous ceux qui m'apportent leur soutien et surtout qui ne nous jugent pas.
Je retiens vos conseils, à savoir reprendre la prière avant tout.
Que Dieu vous garde !
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haidi8110 a écrit:
salam,
excuse moi mais la mère de tes enfants n'est pas normale du tout !
elle a un gros probleme psychologique
c'est une manipularice de 1 ere !
il faut vraiment que tu te préserve, elle va te tué à petit feu !
je pense que tu aimes une image d'elle que tu tes fait, mais la vrai personne c'est celle qui
te fait du mal !
fais attention à toi et à tes enfants
bon courage