Israël est-il le IIIe Reich miniature ? Le même modus opérandis, la même violence, les mêmes agissements, la même arrogance, le même racisme. Le nouvel Etat nazi est-il né ? Cette fois-ci, l’Europe est épargnée c’est au cœur du Proche-Orient que le nazisme renaît-il de ses cendres ? La question cosmogonique se pose de plus en plus avec acuité. Le passé semble se conjuguer avec le présent. Israël et ses guerres, le sang des innocents versé, pour aucune cause valable fait craindre le pire. Le sol de cette région du monde est souillé depuis 60 ans par cet Etat qui ne cesse d’humilier et de tuer.
Après leur cohorte de criminels de guerre jamais jugés, leurs crimes contre l’humanité perpétrés contre Libanais et Palestiniens, leur arrogance et la surprotection dont il bénéficie des Etats-Unis, ce pays est indéfinissable. Il s’est inscrit tout seul au banc des accusés et se plaint de n’être pas aimé. Ses agissements font de lui, le monstre des temps modernes, le chantre de l’horreur absolue...Même les pro-sionistes les plus acharnés préfèrent prendre leur quartier d’été de peur de s’exprimer tellement, la perversité de leur Nation est plus que diabolique. Même le sempiternel chantage à l’antisémitisme n’a plus droit de cité sur leur discours mortifère. Il n’y a plus un seul argument à faire valoir pour justifier l’injustifiable.
Pour deux soldats donc, on nous sermonne avec un droit de défense sans nom, issu de la JURISPRUDENCE ISRAËL qui donne un permis de tuer et de détruire les infrastructures des autres en toute impunité. La mort de la jeune photographe freelance Layal Nagib du magazine libanais Al-Jaras et de l’AFP(Agence France Presse) ou du technicien Suleiman al-Chidiac, sans compter le massacre de Cana, viennent nous remontrer la vraie nature de ce pays soi-disant démocratique. Même au XIVe siècle, lorsque le roi de France, Jean II le Bon fut fait prisonnier par les Anglais, il n’y eu pas autant de dévastation pour réclamer sa libération, au contraire même, il eut négociation avec le paiement d’une rançon. Le Moyen-Âge pourtant considéré comme un crépuscule de l’Histoire n’arriva pas à ce spectacle morbide que nous donne Tsahal.
L’amour de la vie ne fait pas partir de l’apanage des Sionistes ? Le respect de la vie humaine est-il aussi éloigné de leurs mœurs ? Comment dans ces conditions, peut-on traiter convenablement les militaires enlevés ? Israël les a probablement vendu pour servir sa propagande. Faut-il rappeler que ces deux hommes ont été capturés en territoire libanais alors que personne n’ose le mentionner dans nos torchons dits Grands Médias ? Aujourd’hui, au nom de quel principe ce pays se défend-il ? Au nom de quelle loi seuls ses citoyens ne doivent être capturés alors qu’en même temps, des édiles Palestiniens ont été enlevés et embastillés ? A quoi rime ce théâtre où seul, se joue une même rengaine, la symphonie du « juste persécuté » par ses voisins alors qu’il est plus fort technologiquement et sur le plan militaire ?
Entre terrorisme, promptitude et amnésie.
Demain, quel mobile et quel mécanisme utilisera cet Etat voyou pour dénoncer son « tout le monde est contre nous » ? Comment pourra-t-il expliquer demain sa défaite qui se précise face au Hezbollah ? Gagner une guerre n’est pas détruire des infrastructures. En violant à maintes reprises la Convention de Genève, le pays du fils d’Hitler Ehoud Olmert, ne pourra pas condamner la guerre asymétrique contre laquelle il lutte. Face à un adversaire qui ne respecte aucune règle en ayant pourtant l’hégémonie militaire, il n’y a pas d’autres alternatives pour le combattre. La résistance n’est pas le terrorisme à mon avis. En voulant l’extermination du peuple libanais sous couvert de combattre le Parti de Dieu, l’Etat hébreu leur a fait le plus beau des cadeaux. Le Liban, à la prochaine élection, verra ce parti renforcé. Par sa résistance, le Hezbollah et Nasrallah sont aujourd’hui vénérés comme des Dieux vivants. La patrie du sionisme qui dit lutter contre le terrorisme, l’a pourtant créé et continue de le faire en renforçant les rancoeurs accumulées. La leçon du Hamas n’a pas suffit à cette bande de cancres qui gouvernent à Tel-Aviv...
Il n’est plus possible de se cacher derrière le spectre, que dis-je, le bouclier de l’antisémitisme pour freiner toutes les critiques justifiées. Ceux qui n’aiment pas ce pays sont ceux qui aujourd’hui ne le condamnent pas. Ne dit-on pas que, qui aime bien châtie bien ? Dire que depuis déjà des décennies, ce pays est la représentation ecce homo de la planète. Après son pronunciamiento contre le Hamas, sa réaction démesurée contre le Liban, d’ores et déjà, le constat est amer. Ce pays vogue à vau l’eau. Y’a-t-il un pilote à bord ? Probablement pas tant, l’amateurisme est criard au sein du Gouvernement des tueurs de femmes et d’enfants.
Les criminels sont empêtrés dans un anti-roman pathologique. Si l’on se base sur l’explication du Larousse, il y a effectivement ce rejet de l’intrigue, poussé à son paroxysme, avec effacement du héros. S’ajoute à cela, un flou temporel et un refus de l’analyse psychologique de la part de ses gouvernants ; un vrai "petit pays" par ses pratiques obscènes et indignes. Dans sa mise en scène, Israël met en place, un monde de l’absurde. Dans un échafaudage toujours aussi pervers, la guerre contre le Hezbollah selon la formule consacrée n’est qu’un plan savamment concocté par les rois de la mythomanie. L’incohérence des actions et des menaces montre bien la nature profonde de ces hommes dépassés par les évènements d’aujourd’hui...
La trêve n’est qu’un leurre car, Iisraël a perdu de sa superbe et est obligé de négocier. Quel camouflet de Tsahal ! L’arrogance laissera la place à la négociation avec échange de prisonniers qu’il le veuille ou pas. Plus que jamais, le sionisme est véritablement, la plaie du Proche-Orient. Comment peut-on être aussi violent ? Comment peut-on mentir ainsi ? Avant la naissance par césarienne de l’Etat hébreu, après l’ablation de nombreuses cellules de la mère, on sait maintenant que les séquelles de l’accouchement ne guériront point. Pitié pour ces hommes et ces femmes qui ne savent pas et/ou plus ce qu’ils font. Ils vivent encore au Moyen Âge.
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