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Israel Etat voyou
6 février 2014 09:07
Rapport : les obligations d’Israël imposées par le droit international, ses violations et leurs implications pour la politique de l’UE

Israel et son idéologie sioniste son plus prêt du Nazisme a l'époque de Hitler que d'un Etat démocratique
La propagande sioniste s'effrite grâce a internet et la possibilité d'informer en dehors des médias inféodés au lobbies juifs extrémistes. Les Juifs, les vrais patriotes qui ne veulent plus souffrir de la mauvaise image et des crimes commis en leurs noms par l'extreme droite raciste des politiciens véreux israéliens, veulent la paix et le respect.
il faut boycotter les politiciens qui défendent en europe cet Etat voyou.
il faut les punir en votant pour les gens honnêtes quelque soit leurs couleur politique ou religion.


Rapport : les obligations d’Israël imposées par le droit international, ses violations et leurs implications pour la politique de l’UE
Jeudi, 30 Janvier 2014 17:46
Les auteurs du document proprement dit :

Michel Waelbroeck, professeur émérite, université libre de Bruxelles, membre émérite de l’institut de Droit international ;
Willem Aldershoff, conseiller de l’Union européenne pour la politique Israël/Palestine

Document à lire sur
[www.eccpalestine.org]

Résumé analytique

Coordination européenne des comités et associations pour la Palestine (ECCP) – 29 janvier 2014


Bien des gens ne semblent pas conscients que, en tant que puissance occupante, Israël est astreint, en vertu du droit humanitaire international, à d’importantes obligations envers la population palestinienne. Ces obligations reflètent le fait que le droit international considère une occupation comme étant, par essence, un phénomène temporaire, et que de ce fait, la puissance occupante ne peut provoquer de changements irréversibles à la structure physique et juridique du pays occupé, tandis qu’elle a le devoir de protéger la population civile contre des privations excessives.

Le document commence en rappelant pourquoi ce qui est généralement dénommé Territoire palestinien occupé (TPO) est bien en effet un « territoire occupé » au sens du droit international, et pourquoi, par conséquent, les instruments internationaux définissant les obligations d’une puissance occupante engagent Israël dans ses relations avec les Palestiniens.

Par la suite, ces obligations seront analysées, basées exclusivement sur les instruments internationaux dont Israël est partie prenante (1), ou qui sont acceptés par lui dans le cadre du droit international coutumier (2). Il sera ensuite expliqué en quoi la politique et la conduite d’Israël contreviennent à ces obligations. Il sera démontré que :

le simple fait qu’Israël continue d’occuper le TPO après plus de 47 ans est en lui-même une violation du droit international ;
Israël ignore délibérément ses obligations fondamentales en tant que puissance occupante lui imposant d’utiliser ses forces au profit de la région occupée comme requis par l’article 43 du Règlement de La Haye (http://www.icrc.org/applic/ihl/dih.nsf/INTRO/195) ;
Israël a apporté des modifications à la législation existante dans le TPO en violation du droit international ;
la politique de colonisation de peuplement d’Israël a été, à raison, condamnée par les plus hautes autorités politiques et juridiques des Nations-Unies comme contraire à l’article 49-6 de la Quatrième Convention de Genève (http://www.icrc.org/dih/INTRO/380) ;
la construction d’une barrière de séparation (« le Mur ») sur le territoire palestinien entrave l’exercice du droit à l’autodétermination de la population palestinienne et contrevient à plusieurs autres dispositions du droit international ;
la destruction de biens meubles et immeubles de Palestiniens est prohibée par l’article 53 de la Quatrième Convention de Genève et plusieurs autres dispositions du droit international ;
la confiscation de biens privés appartenant à des Palestiniens est prohibée par l’article 46-2 du Règlement de La Haye ;
l’exploitation et la destruction de ressources naturelles palestiniennes violent l’article 55 du Règlement de La Haye ainsi que le principe de souveraineté permanente des peuples et nations sur leurs ressources naturelles (http://www.ihedn.fr/userfiles/file/apropos/SAKAI%20%28L%29%20Le%20PRINCIPE%20DE%20LA%20SOUVERAINETE%20PERMANENTE%20SUR%20LES%20RESSOURCES%20NATURELLES%20%20exclusivit%C3%83%C2%A9.pdf)
;
en tolérant la violence des colons, Israël n’est pas fidèle à son obligation stipulée à l’article 43 du Règlement de La Haye d’assurer l’ordre et la sécurité publics dans le TPO ;
l’appropriation de biens culturels palestiniens enfreint l’article 5-1 de la Convention de La Haye pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé du 14 mai 1954 (http://portal.unesco.org/fr/ev.php-URL_ID=13637&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201.html) ;
le régime de détention administrative appliqué par Israël aux détenus palestiniens n’est pas conforme aux dispositions pertinentes de la Quatrième Convention de Genève et au Pacte international relatif aux droits civils et politiques du 16 décembre 1966 (https://treaties.un.org/pages/ViewDetails.aspx?src=TREATY&mtdsg_no=IV-4&chapter=4&lang= fr) ;
en détenant des Palestiniens à l’extérieur du territoire palestinien, Israël viole l’article 76 de la Quatrième Convention de Genève ;
en utilisant son contrôle des points de passage entre lui-même et la bande de Gaza pour imposer une fermeture quasi totale, Israël impose à la population de Gaza une punition collective, laquelle est prohibée par l’article 50 du Règlement de La Haye et l’article 33-2 de la Quatrième Convention de Genève, en plus qu’il agit d’une manière arbitraire qui n’est pas justifiée par des considérations authentiques de sécurité ;
par son inexécution prolongée des nombreuses résolutions du Conseil de sécurité des Nations-Unies, Israël refuse de respecter son obligation stipulée à l’article 25 de la Charte des Nations-Unies « d’accepter et d’appliquer les décisions du Conseils de sécurité conformément à la Charte » (https://www.un.org/fr/documents/charter/).
Les violations ci-dessus doivent être démontrées pour constituer « des transgressions de normes impératives du droit international ». En conséquence, c’est non seulement Israël mais aussi les autres membres de la communauté internationale – dont l’Union européenne – qui sont astreints à une obligation à trois volets :

de coopérer en faisant cesser ces transgressions graves ;
de s’abstenir de reconnaître comme licite la situation créée par ces transgressions ;
de s’abstenir de prêter aide ou assistance et maintenir la situation ainsi créée.
Le document explique ensuite ce qui doit être fait par l’Union européenne pour se conformer à cette obligation. Il deviendra clair que l’approche purement rhétorique qu’elle a suivie jusqu’à récemment a été incapable de produire le moindre changement dans l’attitude d’Israël et qu’elle est par conséquent insuffisante. Plus récemment, certaines mesures limitées, mais toujours insuffisantes ont prises, telles que :



le refus d’un traitement tarifaire préférentiel pour les marchandises venant des colonies ;
le refus d’accorder une aide financière dans le cadre des programmes de l’UE aux entités israéliennes établies ou actives dans les colonies (les « Lignes directrices des subventions ») ;
le refus d’accepter des estampilles certifiant un produit comme biologique venant des colonies.
Les mesures qui précèdent ont besoin d’être consolidées sans délai par des dispositions supplémentaires. Certaines sont déjà en préparation :

l’imposition aux détaillants de l’UE d’une obligation à étiqueter les produits des colonies d’une manière claire et visible de façon à permettre aux consommateurs de les distinguer des produits fabriqués en Israël même, comme exigé par la législation de l’UE ;
une annonce publique pour informer les citoyens de l’UE et le monde des affaires des risques de leur implication dans les activités financières et économiques dans les colonies.
La publication de ces mesures ne constitue pas une sanction infligée à Israël, mais elle s’impose dans le cadre de la législation en vigueur relative à l’information du public ; il n’y a aucune raison pour la faire dépendre de l’issue des négociations en cours entre Israël et la Palestine.

Sont également indispensables :



une interdiction d’importer (et pas seulement une obligation d’étiqueter) des produits des colonies ;
une extension de ce que couvrent les lignes directrices de subventions afin de toucher toutes les entités, y compris celles de l’UE, où l’octroi d’une aide financière impliquerait une reconnaissance de la légalité de l’occupation du TPO ou constituerait une aide ou une assistance au maintien de cette occupation ;
une prohibition des transactions financières qui soutiennent les activités de colonisation ;
une exclusion des marchés publics des produits et entreprises des colonies ;
le retrait de l’octroi de visas aux colons connus comme violents.
Au cours des dernières semaines, l’UE a montré qu’elle était prête à jouer un rôle plus actif pour amener Israël à accepter un règlement définitif et à mettre fin à l’occupation de la Palestine et aux violations qui en découlent du droit international. Le 16 décembre 2013, le Conseil des Affaires étrangères a proposé « un ensemble sans précédent de soutiens européens politiques, économiques et sécuritaires aux deux parties dans le cadre d’un accord sur le statut final » et il a mis en garde « contre les actions qui mineraient les négociations », telles que « l’expansion des colonies, (…) l’incitation, les actes de violences dans le territoire occupé, les démolitions de maisons, et la détérioration de la situation humanitaire dans Gaza », de même que contre « les actions qui mineraient le statu quo des lieux saints, notamment à Jérusalem ».

Même s’il faut bien les accueillir, ces mesures ne réduisent pas la nécessité pour l’UE d’adopter sans plus tarder les mesures qu’elle envisage actuellement, de même que les mesures supplémentaires recommandées ci-dessus. Toutes peuvent être prises sans que ne soit mise en danger la sécurité d’Israël ; il n’est pas nécessaire d’attendre l’issue des négociations pour les publier.

Notes :

1 – Ceci inclut la Quatrième Convention relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre, signée à Genève le 12 août 1949 (http://www.icrc.org/dih/INTRO/380) (Quatrième Convention de Genève) ; le Pacte international relatif aux droits civils et politiques du 19 décembre 1966 ; et la Convention de La Haye pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé du 14 mai 1954.

2 – Ceci inclut les règlements relatifs aux lois et aux coutumes de la guerre sur terre (http://www.icrc.org/dih.nsf/48f761e1a61e194b4125673c0045870f/73bf1431f064aec0c1256417004a0be0), annexés à la Quatrième Convention relative aux lois de la guerre sur terre, signée à La Haye le 18 octobre 1907 (« Règlements de La Haye).
Diffusé par ECCP, le 229 janvier 2014 : [email protected]
Traduction : JPP pour BDS FRANCE

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Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
m
6 février 2014 12:48
israel a fait de la Palestine un camp de concentration.
Aucune règle, aucune loi, le seul but est l'extermination d'un peuple.
m
6 février 2014 13:05
Panique à Jérusalem !
LE 03 FÉVRIER, 2014 DANS INTER-NATIONAL PAR NICO RAMIREZ
Rien ne va plus en Terre Promise où le gouvernement prend la mesure de la montée en puissance du boycott des produits et des activités des colonies israéliennes, sous la bannière du mouvement BDS (Boycott, désinvestissement, sanctions), initié depuis les Territoires palestiniens

Au début de l’année, le fonds de pension néerlandais PGGM a fait connaître sa décision de ne plus investir dans cinq banques israéliennes importantes, en raison de leur implication dans le financement des colonies israéliennes dans les territoires occupés.

Précédemment, une grande société d’eau potable néerlandaise a arrêté sa collaboration avec la société israélienne de distribution d’eau Mekorot, qu’elle a sans coup férir accusée de discrimination vis-à-vis des Palestiniens dans l’accès à l’eau.

L’Union européenne a aussi décidé d’exclure de sa coopération les institutions et entreprises israéliennes ayant des activités dans les territoires occupés. La semaine dernière, l’ONG britannique Oxfam s’est séparée de son ambassadrice internationale, Scarlett Johansson, suite à la polémique entourant le contrat publicitaire de l’actrice avec la société SodaStream. L’association humanitaire de lutte contre la pauvreté reproche à l’entreprise de machines à fabriquer des sodas d’avoir implanté une usine dans une colonie en Cisjordanie occupée. « Un business qui alimente la pauvreté et va à l’encontre des droits de la communauté palestinienne », dixit Oxfam.

Plus d’une quinzaine de compagnies publiques et privées dans le monde ont récemment rompu avec des sociétés israéliennes en raison de leur implication dans la colonisation. De bien belles décisions comme l’on aimerait en voir plus souvent, et qui n’auront dans l’immédiat qu’un impact financier limité, mais pourraient se révéler désastreuses pour l’image du pays, comme ce fut le cas en d’autres temps avec un autre Etat ségrégationniste, le régime d’apartheid en Afrique du Sud.

C’est à terme que le pire serait à venir pour Israël. Selon une étude rendue publique par le ministère israélien des Finances, en cas de boycott prolongé, « les exportations reculeraient de près de 20 milliards de shekels par an (4,2 milliards EUR) et le PIB d’environ 11 milliards de shekels par an (près de 2,3 milliards EUR, sur environ 190), et 9 800 employés seraient licenciés immédiatement ».

Parce que les coups dans le portefeuille sont ceux qui font le plus mal, une centaine d’hommes d’affaires israéliens ont récemment pressé Benyamin Netanyahu de saisir l’occasion des efforts américains pour conclure la paix avec les Palestiniens, craignant que l’échec annoncé des négociations n’aggrave la punition infligée à l’Etat hébreu.

Des doléances qui pourront filer droit dans le Mur des Lamentations, puisque le gouvernement israélien a franchi un cap en livrant ce week-end de très dures critiques à l’encontre de John Kerry, le secrétaire d’Etat américain, accusant ce dernier d’avoir osé évoquer les risques d’un boycott international visant Israël, si les efforts de la diplomatie américaine pour parvenir à un accord de paix n’aboutissaient pas… Les Etats-Unis ont en effet relancé les négociations israélo-palestiniennes en juillet 2013 après trois ans d’interruption.

Parmi le fiel déversé, on retiendra la parole du ministre de l’Economie, Naftali Bennett, chef de file des fachos du parti nationaliste religieux Foyer Juif, qui a déclaré qu’Israël « attendait de ses amis qu’ils se tiennent à ses côtés contre les tentatives antisémites de boycottage, et non pas qu’ils les amplifient ».

Nous y sommes ! Boycotter des fachos est un acte antisémite… « Dénué de morale », a même dit le Congrès juif mondial qui s’y connait bien en humanisme. « Une campagne malveillante animée par l’antisémitisme », a balancé l’impayable loge B’nai Brith.

Le département d’État américain a très vite réagi aux crachats essuyés : « John Kerry est fier de son bilan de trois décennies de ferme soutien à la sécurité et au bien être d’Israël, qui inclut également une ferme opposition à des boycotts », a promis un porte-parole. Avant d’ajouter que « le secrétaire d’Etat a fait référence à un boycott comme une des actions qui pourraient être prises par d’autres, mais à laquelle il s’oppose ». Caca-culotte !
m
6 février 2014 20:43
Code barre sur la plupart des produits israéliens : 729


Produits "israéliens"

Carmel (fruits et légumes) - Jaffa (fruits et légumes) - Kedem (avocats) - Coral (Cerises) - Top (fruits et légumes) -Beigel (biscuits apéritifs) -Hasat (agrumes) - Sabra (repas complets) - Osem (soupes, snacks, biscuits, repas complets préparés) - Dagir (conserves de poissons) - Holyland (miel, herbes) - Amba (conserves) - Green Valley(vin) - Tivall (produits végétariens) - Agrofresh (concombres) - Jordan Valley (dattes) - Dana (tomates cerises) -Epilady (appareils d’épilation) - Ahava (cosmétiques de la Mer morte)

Entreprises américaines ou européennes qui soutiennent l’Etat d’Israël :
COCA-COLA : (marques du groupe : Aquarius, Cherry Coke, Fanta, Nestea, Sprite, Minute Maid, Tropical). Cette entreprise soutient l’Etat d’Israël depuis 1966.

DANONE : (marques du groupe : Arvie, Badoit, Belin, Blédina, Phosphatine, Chipster, Evian, Galbani, Gervais, Heudebert, Lu, Taillefine, Volvic). Danone vient d’investir dans le Golan, territoire syrien occupé depuis 1967 par Israël.

NESTLÉ : (marques du groupe : Aquarel, Cheerios, Crunch, Frigor, Friskies, Galak, Golden Grahams, Kit Kat, Maggi, Mousline, Nescafé, Ricoré, Quality Street, Vittel, Perrier, Buitoni). La société suisse possède 50,1 % des capitaux de la chaîne alimentaire israélienne Osem. La firme est accusée depuis les années 50 de détruire l’économie et la santé des peuples du Tiers-Monde, notamment par l’imposition de ses laits en poudre pour bébés en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

INTEL : cette grosse entreprise possède des usines en "Israël" et produit la plus grande partie des puces électroniques PENTIUM 4 utilisées par les ordinateurs PC dans son usine de Kyriat Gat, installée sur le site de Iraq Al-Manshiya, un village palestinien rasé après son évacuation en 1949 par les soldats égyptiens. 2 000 habitants furent chassés de leur terre, malgré un engagement écrit, supervisé par les Nations unies, des sionistes à ne pas toucher à la population. Une campagne de leurs descendants aux USA en 2003 a amené INTEL à suspendre un projet d’investissements de 2 milliards de dollars pour une extension de l’usine Fab 18 de Kyriat Gat.

L’ORÉAL : (marques du groupe : Biotherm, Cacharel, Giorgio Armani Parfums, Lancôme, Vichy, La Roche-Posay, Garnier, Héléna Rubinstein, Gemey-Maybelline, Jean-Louis David Shampooings, Le Club des créateurs de beauté (vente de produits cosmétiques par correspondance), Redken 5th Avenue, Ralph Lauren parfums, Ushuaïa). L’Oréal a ainsi investi des millions en créant une unité de production à Migdal Haemeck, à tel point que le Congrès juif américain a exprimé sa satisfaction de voir l’Oréal « devenir un ami chaleureux de l’Etat d’Israël ».

ESTÉE LAUDER : (marques du groupe : Aramis, Clinique, la Mer, DKNY, Tommy Hilfiger). Outre ses investissements, le directeur d’Estée Lauder est le président d’une des plus puissantes organisations sionistes US, le Fonds National juif.

DELTA GALIL : Cette entreprise israélienne est spécialisée dans la sous-traitance de produits textiles notamment dans celui des sous-vêtements. De nombreux sous-vêtements de marques étrangères proviennent ainsi directement des usines de Delta Galil. C’est le cas pour Marks & Spencers, Carrefour (Tex), Auchan, Gap, Hugo Boss, Playtex, Calvin Klein, Victoria’s Secret, DKNY, Ralph Lauren.

LEVI STRAUSS JEANS ET CELIO : (magasins spécialisés dans les vêtements pour hommes) Ces entreprises, fort bien implantées en France, financent les nouvelles colonies en Palestine mais également les écoles des religieux extrémistes dans le monde.

TIMBERLAND : (Vêtements, chaussures, chaussettesÅ ) - tout comme son homologue Ronald Lauder, le PDG de Timberland Jeffrey Swartz est un membre actif du lobby sioniste US. Il a conseillé ainsi d’encourager la communauté juive US à se rendre en "Israël" mais également d’envoyer des soldats "israéliens" pour mener la propagande pro-israélienne aux USA.

DISNEYLAND : (PDG : Michael Eisner) l’entreprise Disney n’a rien d’idyllique et n’a plus rien à voir avec ce qu’elle était au temps du grand Walt Disney. Elle contribue par son soutien à "Israël" à semer la mort en Palestine. Elle approuve ainsi tacitement l’occupation illégale de Jérusalem-Est en faisant de Jérusalem lors d’une exposition au Centre Epcot en Floride la capitale d’Israël, cela en violation des résolutions internationales de l’ONU.

NOKIA : le géant finlandais de la téléphonie commerce activement avec l’Etat "d’Israël". Dans une interview au Jérusalem Post, le manager du groupe déclarait : qu’ Israël faisait partie des priorités de l’entreprise. Un centre de recherche Nokia a ainsi vu le jour en Israël.

MC DONALD’S : entreprise emblématique de l’impérialisme culturel US, la célèbre chaîne de "restaurants" fast-food apporte un soutien non négligeable à l’Etat "israélien". McDonald’s dispose de 80 restaurants en "Israël" et y emploie près de 3000 personnes. Elle y interdit à son personnel de parler arabe. Aux USA, l’entreprise figure parmi les heureux partenaires de l’organisation sioniste « Jewish Community » basée à Chicago. Cette organisation travaille en effet pour le maintien de l’aide militaire, économique et diplomatique apportée par les USA à "Israël".

CATERPILLAR : (équipement pour bâtiment mais également, vêtements, chaussures) - Une large campagne doit être menée en France pour dénoncer la participation criminelle de Caterpillar aux destructions des maisons en Palestine par ses bulldozers géants. C’est avec un Caterpillar que la pacifiste américaine juive Rachel Corrie a été tuée par un soldat "israélien" en 2003.

La chaîne hôtelière ACCOR HOTEL : (Etap, Ibis, Mercure, Novotel, Sofitel) - cette chaîne a plusieurs hôtels en Israël, et récemment, elle a ouvert une succursale dans les territoires syriens occupés, dans le Golan.

Les chaînes alimentaires présentes dans les colonies israéliennes : Domino Pizza, Pizza Hut, Häagen Daaz,Burger King


EN COMPLEMENT
[fr.wikipedia.org]ésinvestissement_et_Sanctions
o
6 février 2014 23:39
il est plus facile de boycotter israel que n'importe quel pays arabe, à voir la liste des nombreuses entreprises citées ci-dessus, s'il s'agissait de boycotter un pays arabe c'est WALOU ! il n'y a rien à boycotter, circulez.
Au moins eux ils fabriquent, ils inventent, ils créent
A
7 février 2014 00:02
Citation
mellindda a écrit:
Code barre sur la plupart des produits israéliens : 729


Produits "israéliens"

Carmel (fruits et légumes) - Jaffa (fruits et légumes) - Kedem (avocats) - Coral (Cerises) - Top (fruits et légumes) -Beigel (biscuits apéritifs) -Hasat (agrumes) - Sabra (repas complets) - Osem (soupes, snacks, biscuits, repas complets préparés) - Dagir (conserves de poissons) - Holyland (miel, herbes) - Amba (conserves) - Green Valley(vin) - Tivall (produits végétariens) - Agrofresh (concombres) - Jordan Valley (dattes) - Dana (tomates cerises) -Epilady (appareils d’épilation) - Ahava (cosmétiques de la Mer morte)

Entreprises américaines ou européennes qui soutiennent l’Etat d’Israël :
COCA-COLA : (marques du groupe : Aquarius, Cherry Coke, Fanta, Nestea, Sprite, Minute Maid, Tropical). Cette entreprise soutient l’Etat d’Israël depuis 1966.

DANONE : (marques du groupe : Arvie, Badoit, Belin, Blédina, Phosphatine, Chipster, Evian, Galbani, Gervais, Heudebert, Lu, Taillefine, Volvic). Danone vient d’investir dans le Golan, territoire syrien occupé depuis 1967 par Israël.

NESTLÉ : (marques du groupe : Aquarel, Cheerios, Crunch, Frigor, Friskies, Galak, Golden Grahams, Kit Kat, Maggi, Mousline, Nescafé, Ricoré, Quality Street, Vittel, Perrier, Buitoni). La société suisse possède 50,1 % des capitaux de la chaîne alimentaire israélienne Osem. La firme est accusée depuis les années 50 de détruire l’économie et la santé des peuples du Tiers-Monde, notamment par l’imposition de ses laits en poudre pour bébés en Afrique, en Asie et en Amérique latine.

INTEL : cette grosse entreprise possède des usines en "Israël" et produit la plus grande partie des puces électroniques PENTIUM 4 utilisées par les ordinateurs PC dans son usine de Kyriat Gat, installée sur le site de Iraq Al-Manshiya, un village palestinien rasé après son évacuation en 1949 par les soldats égyptiens. 2 000 habitants furent chassés de leur terre, malgré un engagement écrit, supervisé par les Nations unies, des sionistes à ne pas toucher à la population. Une campagne de leurs descendants aux USA en 2003 a amené INTEL à suspendre un projet d’investissements de 2 milliards de dollars pour une extension de l’usine Fab 18 de Kyriat Gat.

L’ORÉAL : (marques du groupe : Biotherm, Cacharel, Giorgio Armani Parfums, Lancôme, Vichy, La Roche-Posay, Garnier, Héléna Rubinstein, Gemey-Maybelline, Jean-Louis David Shampooings, Le Club des créateurs de beauté (vente de produits cosmétiques par correspondance), Redken 5th Avenue, Ralph Lauren parfums, Ushuaïa). L’Oréal a ainsi investi des millions en créant une unité de production à Migdal Haemeck, à tel point que le Congrès juif américain a exprimé sa satisfaction de voir l’Oréal « devenir un ami chaleureux de l’Etat d’Israël ».

ESTÉE LAUDER : (marques du groupe : Aramis, Clinique, la Mer, DKNY, Tommy Hilfiger). Outre ses investissements, le directeur d’Estée Lauder est le président d’une des plus puissantes organisations sionistes US, le Fonds National juif.

DELTA GALIL : Cette entreprise israélienne est spécialisée dans la sous-traitance de produits textiles notamment dans celui des sous-vêtements. De nombreux sous-vêtements de marques étrangères proviennent ainsi directement des usines de Delta Galil. C’est le cas pour Marks & Spencers, Carrefour (Tex), Auchan, Gap, Hugo Boss, Playtex, Calvin Klein, Victoria’s Secret, DKNY, Ralph Lauren.

LEVI STRAUSS JEANS ET CELIO : (magasins spécialisés dans les vêtements pour hommes) Ces entreprises, fort bien implantées en France, financent les nouvelles colonies en Palestine mais également les écoles des religieux extrémistes dans le monde.

TIMBERLAND : (Vêtements, chaussures, chaussettesÅ ) - tout comme son homologue Ronald Lauder, le PDG de Timberland Jeffrey Swartz est un membre actif du lobby sioniste US. Il a conseillé ainsi d’encourager la communauté juive US à se rendre en "Israël" mais également d’envoyer des soldats "israéliens" pour mener la propagande pro-israélienne aux USA.

DISNEYLAND : (PDG : Michael Eisner) l’entreprise Disney n’a rien d’idyllique et n’a plus rien à voir avec ce qu’elle était au temps du grand Walt Disney. Elle contribue par son soutien à "Israël" à semer la mort en Palestine. Elle approuve ainsi tacitement l’occupation illégale de Jérusalem-Est en faisant de Jérusalem lors d’une exposition au Centre Epcot en Floride la capitale d’Israël, cela en violation des résolutions internationales de l’ONU.

NOKIA : le géant finlandais de la téléphonie commerce activement avec l’Etat "d’Israël". Dans une interview au Jérusalem Post, le manager du groupe déclarait : qu’ Israël faisait partie des priorités de l’entreprise. Un centre de recherche Nokia a ainsi vu le jour en Israël.

MC DONALD’S : entreprise emblématique de l’impérialisme culturel US, la célèbre chaîne de "restaurants" fast-food apporte un soutien non négligeable à l’Etat "israélien". McDonald’s dispose de 80 restaurants en "Israël" et y emploie près de 3000 personnes. Elle y interdit à son personnel de parler arabe. Aux USA, l’entreprise figure parmi les heureux partenaires de l’organisation sioniste « Jewish Community » basée à Chicago. Cette organisation travaille en effet pour le maintien de l’aide militaire, économique et diplomatique apportée par les USA à "Israël".

CATERPILLAR : (équipement pour bâtiment mais également, vêtements, chaussures) - Une large campagne doit être menée en France pour dénoncer la participation criminelle de Caterpillar aux destructions des maisons en Palestine par ses bulldozers géants. C’est avec un Caterpillar que la pacifiste américaine juive Rachel Corrie a été tuée par un soldat "israélien" en 2003.

La chaîne hôtelière ACCOR HOTEL : (Etap, Ibis, Mercure, Novotel, Sofitel) - cette chaîne a plusieurs hôtels en Israël, et récemment, elle a ouvert une succursale dans les territoires syriens occupés, dans le Golan.

Les chaînes alimentaires présentes dans les colonies israéliennes : Domino Pizza, Pizza Hut, Häagen Daaz,Burger King


EN COMPLEMENT
[fr.wikipedia.org]ésinvestissement_et_Sanctions

Déjà, il faudrait arrêter d'acheter des drones Israéliens
7 février 2014 06:46
la bonne nouvelle est que Nokia est déjà en faillite, il suffit de ne pas acheter soi-même les produits des des sociétés citées. Tous les gens avec une conscience peuvent le faire.
Remplacer Coca-Cola par Pepsi; Mcdo par Burger king ou une nourriture plus saine; Caterpillar par Volvo;etc
il y a toujours une alternative le boycott citoyen.

Israel est un Etat voyou et les gens peuvent leur faire savoir de maniere pacifique; n'achetaient plus les produits tachés de sang palestinien et des larmes des vieillards et enfants dont les maisons sont démolis tous les jours
La démolition des maisons palestiniennes rentre dans la stragégie de l’Etat sioniste d’Israël pour l’annexion de toute la Palestine. Déjà, dès 1945 et lors de sa création, par la destruction de villages, les exécutions et l’occupation. Et depuis, en Israël comme en Palestine, non seulement pour imposer sa domination, mais pour empêcher les Palestiniens de vivre en Israël et dans leur patrie, même réduite après le plan de partage. Et y installer les colonies.
alors qu'ils construisent pour les colons Netanyahou adolf hitler détruis des maisons palestiniennes millénaires
M. Rawley s'est déclaré dans un communiqué "préoccupé après la démolition jeudi par les autorités israéliennes de 36 constructions appartenant à des Palestiniens dans la localité d'Ein al Hilwe, ce qui a provoqué le déplacement de 66 personnes, dont 36 enfants".

"Je suis profondément inquiet des déplacements et des dépossessions de Palestiniens particulièrement dans la vallée du Jourdain, où le nombre de constructions démolies a plus que doublé depuis un an", a ajouté M. Rawley.
Selon lui, ces démolitions sont "contraires au droit international" et "doivent cesser immédiatement".

Le coordinateur a précisé que des "partenaires humanitaires fournissent l'assistance d'urgence nécessaire aux familles qui sont actuellement sans-abri". Mais ces agences humanitaires font face "à des difficultés croissantes pour répondre aux besoins urgents dans la vallée du Jourdain en raison des restrictions imposées par les autorités israéliennes".
[www.lorientlejour.com]
o
7 février 2014 10:56
les importations marocaines d’Israël sont passées de 23 millions de dollars en 2012 à 53,7 millions de dollars en 2103.
130 pour cent d'augmentation
7 février 2014 15:08
Israél n'est pas un état voyou.

C'est un projet colonial. En essayant de se déguiser en état, il devient un état voyou.

Mais ce que je font les Israéliens est une application "moderne" des doctrines coloniales. Ces Israéliens sympas dont tu parles... C'est comme Snowden dans la NSA... Si tu bosse dans la NSA, tu cherche à tout savoir et tu t'en moque si tu ne respecte pas le droit de X ou Y... On s'en moque de cela. C'est "spécial", le droit commun ne s'applique pas.

Ben le citoyen démocrate en Israél, il est bien gentil par rapport aux autres... Mais il ne sert à rien.

C'est comme l'humaniste, droit de l'hommiste chez les Nazis... Non... Juste non... Pendant que toi tu dis "ah mince, c'est pas gentil de tuer les races inférieures.", tes potes qui ont comprit le principe, ils vont massacrer... à la fin, tu vas servir d'exemple pour dire "ils sont pas tous si méchants."

Si vous vous retrouvez dans un débat télévisé avec un Sioniste, la meilleure façon de le contrer, c'est d'être d'accord avec lui et d'aller plus loin que lui.

Vous dites que les Palestiniens ont des droits aussi... Il va vous dire "oui, mais on le pense aussi, mais ce sont des terroristes parfois... On se protége."

Résultat? Statut Quo. RIEN DU TOUT.

Par contre, si vous arrivez pour dire "Il faut tuer tout les arabes, et prendre leurs terres. Dieu nous a donné cette terre. Et israél, qui est une démocratie reconnue par les autres états Occidentaux, n'a pas une consitution qui limite son territoire. Donc, on peut faire ce qu'on veut... et on est protégé par les plus puissants, on peut faire ce qu'on veut car on s'en moque des Arabes. C'est des singes pour nous les blancs. Et ces sémites sont antisémites."

Et voilà, contradictions, racisme, impérialisme, colonisation... Tout est à découvert... Comme se retrouver nu sur un terrain plat devant une mitrailleuse...
m
7 février 2014 21:20
ISRAËL: Un échantillon de citations intéressant à méditer

21 JANVIER 2010 | PAR FXAVIER


Citations hautement significatives Sélection :
Miftah.org «Si j'étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C'est normal; nous avons pris leur pays. Il est vrai que Dieu nous l'a promis, mais comment cela pourrait-il les concerner? Notre Dieu n'est pas le leur. Il y a eu l'antisémitisme, les Nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce leur faute? Ils ne voient qu'une seule chose: nous somme venus et nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils accepter cela?» David Ben Gourion, cité par Nahum Goldmann dans «Le Paradoxe Juif», p. 121.«Nous devons utiliser la terreur, l'assassinat, l'intimidation, la confiscation de terres, et la suppression de tous les services sociaux pour débarrasser la Galilée de sa population arabe.» Israel Koenig, «The Koenig Mémorandum», non daté.«Laissez-moi pousser plus loin la logique de Benny Morris (G2, 3 octobre) affirmant que si l'épuration ethnique des Palestiniens en 1948 avait été totale, il pourrait y avoir eu la paix aujourd'hui au Proche Orient. Si le programme nazi de solution finale au problème juif avait été achevé, il ne fait aucun doute qu'il y aurait aujourd'hui la paix en Palestine.» Prof. Baruch Kimmerling, Université Hébraïque, Jérusalem. The Guardian, 5 octobre 2002.«Il y en a qui pensent que la population non juive, même en pourcentage élevé à l'intérieur de nos frontières, sera davantage sous notre surveillance; et il y en a qui pensent le contraire, c'est-à-dire, qu'il est plus facile de surveiller les activités d'un voisin que celles d'un locataire. [J'ai] tendance à soutenir la dernière opinion et j'ai un argument supplémentaire:... la nécessité de maintenir le caractère d'un État qui dorénavant sera juif... avec une minorité non juive limitée à 15%. J'avais déjà appuyé cette position essentielle dès 1940 [et] c'est inscrit dans mes mémoires.» Joseph Weitz, responsable du Département de Colonisation de l'Agence Juive, cité par Uri Davis, «Israel: An Apartheid State», p. 5.«Ce qui compte n'est pas de maintenir le statu quo. Nous devons créer un État dynamique, orienté vers l'expansion.» David Ben Gourion, non daté«Après la création de l'État, qui fera de nous une force puissante, nous abolirons la partition et nous nous étendrons à toute la Palestine.» David Ben Gourion, non daté.«Repoussez discrètement hors frontière la population sans le sou en lui refusant le travail... Tant le processus d'expropriation que le transfert des pauvres doivent être menés discrètement et avec circonspection.» Théodore Herzl, fondateur de l'Organisation Sioniste Mondiale, à propos des Arabes de Palestine. Journal, à la date du 12 juin 1895.«En dehors du danger politique, je ne peux supporter l'idée que nos camarades soient moralement capables de se comporter d'une telle manière envers des humains d'un autre peuple, et involontairement cette pensée me vient à l'esprit: s'il en est ainsi maintenant, quelle sera notre relation avec les autres si en vérité nous remportons à la fin des temps le pouvoir en Eretz Israël? Et si c'est cela le 'Messie': je ne veux pas voir son avènement.» Ahad HaKI'am, écrivain et philosophe juif russe, dans une lettre écrite en 1913.«Nous et eux [les Palestiniens] voulons la même chose: nous voulons tous les deux la Palestine. Et c'est le conflit fondamental.» David Ben Gourion en 1936.«Ne nous racontons pas d'histoire... Politiquement, nous sommes les agresseurs et ils se défendent... C'est leur pays, parce qu'ils y habitent, alors que nous voulons venir ici et coloniser, et de leur point de vue, nous voulons nous emparer de leur pays.» Discours de David Ben Gourion en 1938, cité dans Simha Flapan, «Zionism and the Palestinians», 1979.«Un État Juif partiel n'est pas une fin, mais seulement un début. Je suis certain que nous ne pourrons pas être empêchés de coloniser d'autres parties du pays et de la région.» David Ben Gourion, dans une lettre à son fils, 1937.«Entre nous, il doit être clair qu'il n'y a pas de place pour deux peuples dans ce pays... Il n'y a pas d'autre solution que de transférer les Arabes dans les pays voisins, de les transférer tous; pas un village, pas une tribu ne doit subsister.» Yosef Weitz du Fonds National Juif. Journal, 1940.«La Terre promise s'étend du Nil à l'Euphrate. Elle comprend des parties de la Syrie et du Liban.» Rabbi Fischmann, membre de l'Agence Juive pour la Palestine, dans son témoignage devant la Commission d'Enquête de l'ONU en 1947.«Il y a quelques centaines de milliers de Nègres, mais c'est une question sans importance.» Les autorités britanniques à Chaïm Weizman à propos des Palestiniens d'avant 1948.«Nous devons nous préparer à passer à l'offensive. Notre but est d'écraser le Liban, la Transjordanie et la Syrie. Le point faible est le Liban, parce que le régime musulman est artificiel et facile pour nous à déstabiliser. Nous établirons là un État chrétien, et ensuite nous frapperons la Légion Arabe, éliminerons la Transjordanie; la Syrie nous reviendra. Puis, nous bombarderons, avancerons et prendrons Port Saïd, Alexandrie et le Sinaï.» David Ben Gourion, mai 1948, à l'État-Major.«L'événement le plus spectaculaire dans l'histoire contemporaine de la Palestine - plus spectaculaire dans un sens que la création de l'État Juif - est l'évacuation en masse de sa population arabe qui a entraîné avec elle également des milliers d'Arabes de régions menacées et/ou occupées par nous en dehors de nos frontières.» Moshé Shertok [Sharett], ministre israélien des Affaires étrangères, dans une lettre à Goldmann, 15 juin 1948.«Je ne connais pas cette chose appelée Principes Internationaux. Je jure que je brûlerai tout enfant palestinien qui sera né dans ce secteur. La femme palestinienne et son enfant est plus dangereuse que l'homme, parce que l'existence des enfants palestiniens implique que des générations continueront, mais l'homme cause un danger plus limité.» Ariel Sharon, dans une interview avec le Général Ouze Merham en 1956.«Je jure que si j'étais juste un civil israélien et que je rencontre un Palestinien, je le brûlerais et je le ferais souffrir avant de le tuer. J'ai tué 750 Palestiniens d'un seul coup (à Rafah en 1956). Je voulais encourager mes soldats à violer les filles arabes, car la femme palestinienne est une esclave pour les Juifs, et nous leur faisons de toute façon ce que nous voulons et personne ne nous dit ce que devons faire, mais nous disons aux autres ce qu'ils doivent faire.» Ariel Sharon, dans une interview avec le Général Ouze Merham, 1956.Nous devons réduire la population arabe à une communauté de bûcherons et de garçons de café.» Description par Rabin de la conquête de Lydda après l'achèvement du Plan Dalet. Uri Lubrani, conseiller spécial de Ben Gourion sur les Affaires Arabes, 1960. Cité par Sabri Jiryas dans «The Arabs in Israel».«Le terme annexion est déplacé. Les mesures adoptées ont trait à l'intégration de Jérusalem dans les sphères administratives et fournissent une base légale pour la protection des lieux saints de Jérusalem.» Abba Eban, ministre israélien des Affaires étrangères, devant l'Assemblée des Nations Unies le 4 juillet 1967.«Nous devons tout faire pour nous assurer qu'ils [les Palestiniens] ne reviendront jamais dans leurs maisons. (...) Les vieux mourront et les jeunes oublieront.» David Ben Gourion dans ses mémoires, le 18 juillet 1948, cité par Michael Bar Zohar, «Ben-Gurion: the Armed Prophet», Prentice-Hall, 1967, p. 157.«Comment pouvons-nous rendre les Territoires occupés? Il n'y a personne à qui les rendre.» Golda Meir, Premier Ministre israélien. 8 mars 1969.[www.miftah.org]
A
8 février 2014 17:57
Israel est inquiète de voir la Turquie se doter d'un porte-avions
[www.jpost.com]
8 février 2014 18:52
AyseDeCharleroi, les portes avions, c'est du sérieux. C'est pas pour les lunatiques sortis d'asile psychiatrique...

Israél? peur d'un porte avion? D'un porte avion turque?

Tu es si bête que cela?

Israél est parfaitement équipé pour détruire des armes conventionnelles, comme toutes les armées occidentales.

Alors un porte avion pour eux, c'est du pain béni. Et il faut être inculte pour ne pas voir cela.

Les ricains leurs ont déjà fourni des missiles anti-porte avions, j'en suis sûr.
b
8 février 2014 19:22
Citation
LeMask a écrit:
AyseDeCharleroi, les portes avions, c'est du sérieux. C'est pas pour les lunatiques sortis d'asile psychiatrique...

Israél? peur d'un porte avion? D'un porte avion turque?

Tu es si bête que cela?

Israél est parfaitement équipé pour détruire des armes conventionnelles, comme toutes les armées occidentales.

Alors un porte avion pour eux, c'est du pain béni. Et il faut être inculte pour ne pas voir cela.

Les ricains leurs ont déjà fourni des missiles anti-porte avions, j'en suis sûr.

Porte-avion turque? Que la rigolade!
Pour quel ocean? La Mediterranee, le Marmara, la mere noire? Ou surtout pour le Bosphore?
A
8 février 2014 20:34
Citation
biougri a écrit:
Citation
LeMask a écrit:
AyseDeCharleroi, les portes avions, c'est du sérieux. C'est pas pour les lunatiques sortis d'asile psychiatrique...

Israél? peur d'un porte avion? D'un porte avion turque?

Tu es si bête que cela?

Israél est parfaitement équipé pour détruire des armes conventionnelles, comme toutes les armées occidentales.

Alors un porte avion pour eux, c'est du pain béni. Et il faut être inculte pour ne pas voir cela.

Les ricains leurs ont déjà fourni des missiles anti-porte avions, j'en suis sûr.

Porte-avion turque? Que la rigolade!
Pour quel ocean? La Mediterranee, le Marmara, la mere noire? Ou surtout pour le Bosphore?

Il faut lire l'article

Je ne comprendrai jamais ce que vous voulez

Qd un pays arabe ou mouslim se fait humilier par Israel, vous pleurnichez
Qd un pays commence à fabriquer ses propres hélico, ses propres chars, ses propres bateaux, vous pleurnichez aussi
Restez confortablement enfoncés ds vos fauteuils et regardez sotchi
8 février 2014 21:46
AyseDeCharleroi, tes catégories sont infantiles et ridicules.

Pays "mouslim"? Quelle esprit simpliste, ca frôle le crime d'être aussi pathétique.

Fabriquer ses propres chars et hélicos? Moui... C'est pas mal. Mais franchement, il faut se poser certaines questions:
Angle 1:
On a besoin de chars et d'hélicos pour se battre et protéger la partie. Et les produire soit même, ca permet d'économiser des sous, de faire travailler les siens, de se protéger en comptant sur sa propre technologie etc...

Dans ce cadre là, et dans ce cadre bien précis. Produire ses propres armes, c'est mieux. C'est pas bien, c'est mieux.

Mais sincérement, vous pensez que ces armes vont servir les intérêts du peuple? Car connaissant la logique des industries, pour que ca marche, il faut produire BEAUCOUP. Ca coûte cher la technologie derrière ces armes. Et pour la rentabiliser, il faut produire des quantités conséquentes de chars, de blindés légers, d'armes, de missiles, d'hélicos, de navires...

Tu ne peux pas avoir une industrie qui dort... Car si elle dort, elle perd sa force. Elle ne renouvelle pas sa technologie...
Donc, produire ses tanks, cela peut mener vers le probléme du complexe industriel militaire, comme aux USA aprés la deuxiéme guerre. Pour ne pas devoir envoyer ses hommes aux massacres, on veut produire les meilleures armes, et pour produire les meilleures armes, on fait taire les meilleurs hommes et on les remplace par des idiots inconscients... Et pour soutenir cette industrie, il faut des guerres, de l'argent etc etc... Et c'est pour ca que c'est le b***** dans le monde.

Deuxiéme angle:
A quoi sert un tank?
Un tank est une plateforme d'armes lourdes, blindée. Donc, ca sert en gros à tuer sans se faire tuer... Hmmm, laisse moi réfléchir. Qui veut tuer sans se faire tuer?
Le brave gars qui défend sa maison, il veut bien risquer sa vie.
Mais celui qui veut tuer sans être tué... C'est le mercenaire ou le soldat professionnel qui veut tuer, et passer au prochain meurtre indemne.
Le porte avion?
Ca sert à avoir une petite base aérienne, souvent accompagnée d'une flotte et d'une force d'invasion pour attaquer loin de chez soi. Encore une arme d'agression.
Les hélicos, je suis mitigé là dessus... Mais c'est encore un moyen de tuer discrétement... Etc etc...

Si on est des justes. On veut juste se protéger. Et pour se protéger, sur ses terres, qu'on connait bien. Rien ne vaut l'infanterie légére. Ne laissez pas le nom vous tromper. L'infanterie légére, contrairement à l'intanterie mécanisée, transporte ses armes dans son sac à dos. Et ca peut fonctionner plus ou moins sans appui logistique. Idéal pour tenir une position contre l'ennemi.

Et ca utilise quoi? des armes légéres. Donc, fusils et missiles antichar/antiaérien. Et ca, c'est une épine dans le pied pour n'importe quelle armée.

Exemple; Guerre du Liban entre le Hezbollah et Israél. Qu'on n'aime pas le Hezbollah parce que c'est des Shiites... Je comprends plus ou moins. Mais ces rigolos adeptes du coup de fouet jusqu'au sang en public, ont arrêté une attaque de blindés modernes. Je le rappelle et le rappelle encore.

On n'a pas besoin de tanks, d'hélicos. C'est bien pour massacrer le peuple quand il se révolte: Exemple: Egypte. Exemple: Syrie.

Mais rien ne vaut une petite population d'hommes solides et déterminés à se battre jusqu'à la mort, avec un équipement adapté à la guerrilla... Avec ca, tu rends le terrain impénétrable à l'ennemi. en particulier dans les montagnes, les villes denses, les terrains complexes...
Et les missiles guidés font des merveilles dans les terrains ouverts comme les déserts...

Un pays qui veut se protéger doit inverstir sur ca:
Armes à feu légéres. (fusils de précision, fusil d'assaut etc...)
Missiles antichars (guidés ou non guidés)
Developper des défenses informatiques.
Développer des missiles anti satellites.
Drones et drones offensifs (capacité à tirer à côté de chez soi)

Bref... Du léger. le lourd, c'est pas utile.
9 février 2014 05:44
l'etat raciste et criminel de nethanyahou adolf Hitler s'attaque aux Chrétiens de Palestine.
C'est pas nouveau mais on en parle pas dans les pays dis démogogiques. La raison est pour ne pas nuire a l'image du pays anti humaniste.

Le patriarche latin de Jérusalem, Mgr Fouad Twal, a vivement protesté, mardi 5 novembre, contre la démolition par les forces israéliennes d’une propriété du Patriarcat qui hébergeait une famille palestinienne à Jérusalem-Est annexée, un cas sans précédent selon lui.

« Cet acte est contre la loi, la justice et l’humanité, elle est contre toute idée de paix à bâtir. Elle accroît la ségrégation et la haine », a estimé Mgr Twal, la plus haute autorité catholique en Terre Sainte, qui s’est rendu sur place en compagnie de religieux de toutes les dénominations chrétiennes locales, près du checkpoint contrôlant l’accès à la ville palestinienne de Bethléem.

Les forces de sécurité israéliennes, accompagnées de bulldozers, ont procédé à la démolition, à l’aube lundi 4 novembre, en affirmant que la maison avait été érigée sans permis de construire. Les résidents expulsés, une famille musulmane de 14 personnnes, ont trouvé abri sous une tente.

UNE MAISON EXISTANT AVANT L’OCCUPATION DE JÉRUSALEM-EST PAR ISRAËL
Mgr Twal a affirmé que la propriété était légale et que le Patriarcat latin n’avait reçu aucun ordre de démolition de la part des autorités israéliennes.

« Il s’agit d’un terrain religieux et il le sera toujours. Le ministère (israélien) de l’intérieur et la municipalité (israélienne) de Jérusalem savaient fort bien que ce terrain appartenait au Patriarcat », a déploré le patriarche qui a l’intention de saisir la justice israélienne et internationale.

D’après le site Terrasanta.net, une photo aérienne israélienne prouve l’existence de la maison avant l’occupation de la partie orientale de la ville par les troupes israéliennes en 1967.

Le ministère de l’intérieur et la mairie de Jérusalem se sont refusés à tout commentaire. La démolition de cette habitation est survenue 48 heures avant une nouvelle visite du secrétaire d’État américain John Kerry, censée relancer un processus de paix en difficulté. John Kerry devait rencontrer mercredi 6 novembre le président palestinien Mahmoud Abbas à Bethléem (Cisjordanie).

« NOUS EXAMINONS LA POSSIBILITÉ D’UNE ACTION EN DOMMAGES-INTÉRÊTS »
Dans un communiqué publié mardi, l’association israélienne pour la défense des droits civiques en Israël (ACRI) a prévenu que la municipalité israélienne de Jérusalem avait notifié ces derniers jours à des centaines de familles palestiniennes de Jérusalem-Est qu’elle avait requis des ordres de démolition en arguant que leurs logements avaient été construits sans permis.

Selon les chiffres de l’Office des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA), 91 maisons ont été détruites à Jérusalem entre le 1er janvier et le 30 octobre 2013. 265 personnes ont été déplacées. Dans la même période l’an dernier, 64 maisons avaient été détruites ; 71 personnes expulsées.

L’avocat du Patriarcat, Mazen Qupty, a annoncé engager des poursuites contre les autorités israéliennes : « Nous allons reconstruire la maison. En même temps, nous examinons la possibilité d’une action en dommages-intérêts. »

Le secteur de Jérusalem-Est, à majorité arabe, est occupé et annexé par Israël depuis juin 1967. Cette annexion n’est pas reconnue par la communauté internationale.

Avec AFP et Terrasanta.net
6/11/13 - 15 H 30

[www.la-croix.com]
13 février 2014 09:02
l'Etat voyou montre son vrai visage et insulte le président du parlement européen car il ose dire la vérité aux sionistanaient. je comprends qu'ils mentent au monde pour caché les massacres, le nettoyage ethnique et les meurtres au quotidien. Mais ils croient leurs propre mensonge?. J'ai rien vu sur se sujet dans les medias formatés vendus aux sionistes

Les députés du Foyer juif quittent l'enceinte de la Knesset pendant le discours du président du Parlement européen

N. Bennett (Foyer juif) exige des excuses du président du Parlement européen après des propos "mensongers"

Naftali Bennett, le ministre israélien de l'Economie et dirigeant du parti Foyer Juif (droite nationale-religieuse) a annoncé sur sa page Facebook mercredi après-midi exiger des excuses de Martin Schulz, le président du Parlement européen qui a prononcé un discours à la Knesset dans lequel il dénonçait, sur la foi d'informations dont il dit lui-même qu'elles sont sujettes à caution, le fait qu'un Palestinien ne puisse utiliser que 17 litres d'eau par jour alors qu'un Israélien a une consommation quotidienne de 70 litres.

Martin Schulz a également évoqué le blocus de Gaza. "Le blocuss de Gaza est votre réponse aux attaques contre les civils israéliens et je peux le comprendre. Mais on étouffe tout développement économique et cela conduit les gens au désespoir - le désespoir qui à son tour est exploité par les extrémistes. Le blocus peut en fait nuire, plutôt que de renforcer, la sécurité d'Israël", déclarait Martin Schulz, des paroles qui ont donc provoqué un tollé au sein des députés du Bayt Hayehudi.

Naftali Bennett et les députés de sa formation ont alors ostensiblement quitté l'enceinte du Parlement israélien en plein milieu du discours de Martin Schulz affichant leur colère à l'égard des propos du dirigeant européen.

"Les propos qui ont été tenus aujourd'hui à la Knesset sont gravissimes. Le président du Parlement européen a énoncé deux mensonges entretenus par les Palestiniens lors de son discours. Se taire face à la propagande mensongère offre une légitimité à des activités contre les citoyens d'Israël", a déclaré Bennett.

"Malheureusement, personne ne s'est soucié de protester contre ces déclarations ou de les corriger", a écrit Bennett. "Je n'accepterai pas cette morale trompeuse faite au peuple d'Israël et à la Knesset israélienne. Je ne vais certainement pas l'accepter en allemand."

S'exprimant devant le Parlement israélien en allemand, Martin Schulz avait abordé d'autres thèmes, dont le passé nazi de son pays natal et la capacité d'Israël à renaître des cendres de la Shoah.

Il a qualifié d''honneur", le fait de s'exprimer au "coeur de la démocratie israélienne", le "symbole d'espoir pour le peuple juif".

Le président du Parlement a tenu à porter "la responsabilité qui découle des massacres perpétrés au nom de ma nation", bien qu'il soit né après-guerre. Il a ensuite déclaré qu'il est de son devoir, en tant qu'allemand, d'honorer le serment "plus jamais ça".

Il a par ailleurs rappelé qu'un Iran nucléaire n'est pas seulement une menace pour Israël mais pour le monde entier.

Schultz a soutenu une solution négociée à deux Etats en disant que la construction de "colonies en Cisjordanie" est un "obstacle à une solution pacifique".

Il a cité l'ancien Premier ministre israélien Ariel Sharon qui avait déclaré: "il n'est pas possible d'avoir un Etat juif et démocratique et de contrôler toute la terre d'Israël".

Martin Schulz reçu par Shimon Peres

Le président israélien Shimon Peres a accordé mercredi dans sa résidence officielle à Jérusalem une audience au président du Parlement européen Martin Schulz. Les deux hommes ont eu un entretien au cours duquel ils ont évoqué les pourparlers de paix entre Israël et les Palestiniens et les relations entre Israël et l'Union européenne.

Shimon Peres a rendu hommage aux efforts de Martin Schulz en faveur du processus de paix. "Nous apprécions beaucoup la proposition de l'Union européenne de rehausser le statut d'Israël et des Palestiniens après la signature d'un accord de paix", a déclaré le président de l'Etat d'Israël.

"L'Union européenne est aux côtés d'Israël pour ce qui est de sa sécurité", a déclaré Martin Schulz, ajoutant cependant une nuance: Il faut savoir que même entre amis il y a parfois des différends".

Il n'y aura pas de boycott de l'UE

Mardi soir, au cœur de Jérusalem, lors de son discours donné à l’Université hébraïque, M. Schulz avait déclaré que l’Europe n’interférera pas dans les négociations de paix israélo-palestiniennes en cours et il a fortement appuyé les efforts du secrétaire d’Etat américain John Kerry.

Le Président du Parlement européen Martin Schulz recevait un doctorat honorifique à l’Université hébraïque de Jérusalem. À cette occasion, il a également exprimé son avis sur le boycott contre Israël et assuré que l’Union Européenne n’a pas été et ne sera jamais en faveur d’un boycott contre Israël : "Il n’y a pas de boycott d’Israël de la part du Parlement européen et il n’y en aura jamais par le simple fait qu’une telle décision ne recueillera jamais la majorité", avait-il précisé.

Schulz avait ajouté que les pays qui ne sont pas membres de l’UE, comme la Norvège, pourraient décider de boycotter les produits israéliens mais que cela n’est pas du tout la position de l’Europe.



TAGS ASSOCIÉS
ISRAËL KNESSET NAFTALI BENNETT SCHULZ
m
13 février 2014 19:58
[stoptortureenfantspalestiniens.wesign.it]
S’il vous plait, pouvez-vous signer et faire signer cette pétition concernant la torture des enfants palestiniens ? Celle-ci nous aidera à interpeller le gouvernement et les ONG concernées.
o
13 février 2014 20:00
Encore des mensonges, le président du parlement européen n'a été insulté par personne. Il a dit son point de vue et qui n'a pas plus au parti Foyer juif. C’est aussi son droit à Bennett de dire son point de vue c’est la démocratie, car d’apres lui les chiffres présentés par Mr Schultz ne sont pas exacts car sur 700 millions de mètres cubes utilisés par les foyers israeliens annuellement 600 millions proviennent du dessalement eau de mer.
En tout cas la visite de Mr Schulz en Israel s’est très bien passée, il n’y aura pas de boycott de l’UE
m
13 février 2014 21:10
Citation
Btof a écrit:
l'Etat voyou montre son vrai visage et insulte le président du parlement européen car il ose dire la vérité aux sionistanaient. je comprends qu'ils mentent au monde pour caché les massacres, le nettoyage ethnique et les meurtres au quotidien. Mais ils croient leurs propre mensonge?. J'ai rien vu sur se sujet dans les medias formatés vendus aux sionistes

Les députés du Foyer juif quittent l'enceinte de la Knesset pendant le discours du président du Parlement européen

N. Bennett (Foyer juif) exige des excuses du président du Parlement européen après des propos "mensongers"

Naftali Bennett, le ministre israélien de l'Economie et dirigeant du parti Foyer Juif (droite nationale-religieuse) a annoncé sur sa page Facebook mercredi après-midi exiger des excuses de Martin Schulz, le président du Parlement européen qui a prononcé un discours à la Knesset dans lequel il dénonçait, sur la foi d'informations dont il dit lui-même qu'elles sont sujettes à caution, le fait qu'un Palestinien ne puisse utiliser que 17 litres d'eau par jour alors qu'un Israélien a une consommation quotidienne de 70 litres.

Martin Schulz a également évoqué le blocus de Gaza. "Le blocuss de Gaza est votre réponse aux attaques contre les civils israéliens et je peux le comprendre. Mais on étouffe tout développement économique et cela conduit les gens au désespoir - le désespoir qui à son tour est exploité par les extrémistes. Le blocus peut en fait nuire, plutôt que de renforcer, la sécurité d'Israël", déclarait Martin Schulz, des paroles qui ont donc provoqué un tollé au sein des députés du Bayt Hayehudi.

Naftali Bennett et les députés de sa formation ont alors ostensiblement quitté l'enceinte du Parlement israélien en plein milieu du discours de Martin Schulz affichant leur colère à l'égard des propos du dirigeant européen.

"Les propos qui ont été tenus aujourd'hui à la Knesset sont gravissimes. Le président du Parlement européen a énoncé deux mensonges entretenus par les Palestiniens lors de son discours. Se taire face à la propagande mensongère offre une légitimité à des activités contre les citoyens d'Israël", a déclaré Bennett.

"Malheureusement, personne ne s'est soucié de protester contre ces déclarations ou de les corriger", a écrit Bennett. "Je n'accepterai pas cette morale trompeuse faite au peuple d'Israël et à la Knesset israélienne. Je ne vais certainement pas l'accepter en allemand."

S'exprimant devant le Parlement israélien en allemand, Martin Schulz avait abordé d'autres thèmes, dont le passé nazi de son pays natal et la capacité d'Israël à renaître des cendres de la Shoah.

Il a qualifié d''honneur", le fait de s'exprimer au "coeur de la démocratie israélienne", le "symbole d'espoir pour le peuple juif".

Le président du Parlement a tenu à porter "la responsabilité qui découle des massacres perpétrés au nom de ma nation", bien qu'il soit né après-guerre. Il a ensuite déclaré qu'il est de son devoir, en tant qu'allemand, d'honorer le serment "plus jamais ça".

Il a par ailleurs rappelé qu'un Iran nucléaire n'est pas seulement une menace pour Israël mais pour le monde entier.

Schultz a soutenu une solution négociée à deux Etats en disant que la construction de "colonies en Cisjordanie" est un "obstacle à une solution pacifique".

Il a cité l'ancien Premier ministre israélien Ariel Sharon qui avait déclaré: "il n'est pas possible d'avoir un Etat juif et démocratique et de contrôler toute la terre d'Israël".

Martin Schulz reçu par Shimon Peres

Le président israélien Shimon Peres a accordé mercredi dans sa résidence officielle à Jérusalem une audience au président du Parlement européen Martin Schulz. Les deux hommes ont eu un entretien au cours duquel ils ont évoqué les pourparlers de paix entre Israël et les Palestiniens et les relations entre Israël et l'Union européenne.

Shimon Peres a rendu hommage aux efforts de Martin Schulz en faveur du processus de paix. "Nous apprécions beaucoup la proposition de l'Union européenne de rehausser le statut d'Israël et des Palestiniens après la signature d'un accord de paix", a déclaré le président de l'Etat d'Israël.

"L'Union européenne est aux côtés d'Israël pour ce qui est de sa sécurité", a déclaré Martin Schulz, ajoutant cependant une nuance: Il faut savoir que même entre amis il y a parfois des différends".

Il n'y aura pas de boycott de l'UE

Mardi soir, au cœur de Jérusalem, lors de son discours donné à l’Université hébraïque, M. Schulz avait déclaré que l’Europe n’interférera pas dans les négociations de paix israélo-palestiniennes en cours et il a fortement appuyé les efforts du secrétaire d’Etat américain John Kerry.

Le Président du Parlement européen Martin Schulz recevait un doctorat honorifique à l’Université hébraïque de Jérusalem. À cette occasion, il a également exprimé son avis sur le boycott contre Israël et assuré que l’Union Européenne n’a pas été et ne sera jamais en faveur d’un boycott contre Israël : "Il n’y a pas de boycott d’Israël de la part du Parlement européen et il n’y en aura jamais par le simple fait qu’une telle décision ne recueillera jamais la majorité", avait-il précisé.

Schulz avait ajouté que les pays qui ne sont pas membres de l’UE, comme la Norvège, pourraient décider de boycotter les produits israéliens mais que cela n’est pas du tout la position de l’Europe.



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