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LeMage a écrit:
Les vrai serviteur de Dieu sont les francs maçon. Pour entre en franc maçonnerie faut jurer soit sur la Bible soit sur le Coran. Ils vénérent l'architecte de l'univers. Dans les loges y a des gens de toutes confession. Le coran dit :"O gens du livre venons à une parole commune n'adorons que Dieu seul et sans rien lui associers". Cela s'est réalisé dans la francs maçonnerie puisque des individus d'origine chrétienne juifs et musulmanes vénérent le même Dieu le Créateur. Lisez sur le billet américai
"En Dieu nous
croyons" c les francs maçon qui en sont à l'origine. En plus ils attendent le messie que les musulmans appellen. Le mahdi. Au départ ils étaient persécuté par l'Eglise catholique qui est au service de Satan . Ensuite Dieu leur donna la victoire sur cet Église car ils sont à l'origine de la séparation de l'Eglise et de l'Etat et c grâce à eux qui'il y liberté de culte en France. Les religieux vouent une profonde haine pour les maçon. C pour ça qu'ils essayent de salire leur image. Que leurs reprochent ils sinon de servir de Dieu. Beaucoup d'avancée sociales proviennent des francs maçon. Voilà ceux que Dieu a guidé dans sa miséricorde. "Nous allons placer ceux qui ont foi en toi (en parlant à Jésus)au dessus de ceux qui n'ont pas foi en toi jusqu'au jour de la résurrection"Le coran. Cela explique que les francs maçon contrôlent le monde car c Dieu qui leur a accordé ses faveurs.
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aqvayli a écrit:
Bonjour,
je voudrais vous soumettre cette question philosohique:
la démocratie est elle compatible avec l'islam ? ou l'islam est il compatible avec la démocratie ?
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aqvayli a écrit:
alors est ce que quelqu'un peut recentrer le débat et me dire si oui o non l'islam et la démocratie sont compatibles.
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(René Guénon, "La crise du monde moderne", p.131. Folio Essais). a écrit:
«Si l'on définit la « démocratie » comme le gouvernement du peuple par lui-même, c'est là une véritable impossibilité, une chose qui ne peut pas même avoir une simple existence de fait, pas plus à notre époque qu'à n'importe quelle autre ; il ne faut pas se laisser duper par les mots, et il est contradictoire d'admettre que les mêmes hommes puissent être à la fois gouvernants et gouvernés, parce que, pour employer le langage aristotélicien, un même titre ne peut être « en acte » et « en puissance » en même temps et sous le même rapport. Il y a là une relation qui suppose nécessairement deux termes en présences ; il ne pourrait y avoir de gouvernés s'il n'y avait aussi des gouvernants, fussent-ils illégitimes et sans autre droit au pouvoir que celui qu'ils se sont attribués à eux-mêmes ; mais la grande habilité des dirigeants, dans le monde moderne, est de faire croire au peuple qu'il se gouverne lui-même ; et le peuple se laisse persuader d'autant plus volontiers qu'il en est flatté et que d'ailleurs il est incapable de réfléchir assez pour voir ce qu'il y a là d'impossible. C’est pour créer cette illusion qu'on a inventé le « suffrage universel » : c'est l'opinion de la majorité qui est supposée faire la loi ; mais ce dont on ne s'aperçoit pas, c'est que l'opinion est quelque chose que l'on peut très facilement diriger et modifier ; on peut toujours, à l'aide de suggestions appropriées, y pourvoir des courants allant dans tel ou tel sens déterminé ; nous ne savons plus qui a parlé de « fabriquer l'opinion », et cette expression est tout à fait juste, bien qu'il faille être dire, d'ailleurs que ce ne sont pas toujours les dirigeants apparents qui ont en réalité à leur disposition les moyens nécessaires pour donner ce résultat.»