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info santé !!
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5 août 2005 21:47
je t'en prie iron man c'est avec grand plaisir ke je les partages avec vous winking smiley
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
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7 août 2005 22:36
Les besoins énergétiques évoluent au cours de la grossesse. Pour éviter les carences nuisibles à votre santé et à celle de votre futur bébé, certaines règles alimentaires sont à respecter. Plus que manger pour deux, il s’agit de se nourrir mieux.

Manger cinq fois par jour

Désormais vous avez droit à trois vrais repas plus deux collations, une dans la matinée et l’autre l’après-midi.
Ce rythme présente l’avantage de limiter les risques de malaises hypoglycémiques ainsi que les troubles digestifs.
Au déjeuner et au dîner, consommez une crudité assaisonnée d’huile végétale, une protéine animale (viande, poisson ou œuf) accompagnée en alternance par des féculents et des légumes verts.
Terminez par un produit laitier et un fruit. Pas de bonne table sans pain, c’est encore plus vrai pendant votre grossesse !
Pour les collations, les produits céréaliers et laitiers ainsi que les fruits sont recommandés. En dehors de ces moments, évitez les produits sucrés responsables des fringales.
Attention ! En dessous de 1500 kcal par jour, le fœtus est en danger.
Mangez équilibré

Les besoins énergétiques évoluent au cours de la grossesse. Pour éviter les carences nuisibles à votre santé et à celle de votre futur bébé, certaines règles alimentaires sont à respecter.

Plus que manger pour deux, il s’agit de se nourrir mieux
Les protides : véritables moteurs pour le développement de l’embryon. Elles doivent représenter 12 à 15 % des calories absorbées dans la journée. On les trouve dans les viandes, poissons, œufs, légumes secs et fromages.
Les glucides : pour le poids de votre futur bébé. La moitié de votre ration quotidienne doit en comporter. Ce sont tous les sucres " rapides " et " lents " : miel, fruits, riz, pomme de terre…
Les lipides : vitaux pour son développement cérébral. La bonne proportion se situe entre 30 et 35 % de votre alimentation quotidienne. Ils doivent être pour deux tiers d’origine animale (beurre cru, viande, œufs et laitage) et végétal pour le tiers restant (huile de colza, noix, soja).
Vitamines et minéraux nécessaire a votre nutrition équilibrée

Le fer. Une carence peut provoquer une naissance prématurée. Les aliments riches en fer : la viande et notamment les abats (foie de porc), le poisson mais aussi le persil, les lentilles, les figues sèches et évidemment les… épinards !
Le calcium : pour ses os et les vôtres. De plus, le calcium réduirait les risques de bébé blues après la naissance. Les nutritionnistes recommandent d’en absorber entre 900 et 1200 mg par jour, soit l’équivalent de quatre grands bols de lait.
Vitamine D : pour fixer le calcium, donc pour consolider son squelette. Les poissons comme le hareng, le saumon ou le maquereau en contiennent abondamment.
Vitamine C : pour le développement des tissus. Pour atteindre les 120 mg recommandés par jour, consommez en abondance des fruits surtout du jus de cassis et des kiwis. Côté légume, épinard et chou-fleur sont les plus recommandes


Les envies de la femme enceinte

Besoin soudain de manger des fraises ou un steak tartare… Certaines femmes comprennent qu’elles sont enceintes en ressentant ces fameuses envies !

Ces "pulsions" correspondent-elles à de réels besoins ou expriment-elles des caprices ? Entre réalité et superstition, Plurielles s’est penché sur la question
Qu’appelle-t-on les envies des femmes enceintes ?
Ce sont des désirs alimentaires atypiques et nouveaux éprouvés par des femmes au cours de leur grossesse. Ils se manifestent souvent dès les premiers mois.
En effet, le premier trimestre est pour de nombreuses femmes une période de nausées.
Ces dernières sont dues aux changements hormonaux qui s’installent, modifiant la perception des goûts alimentaires.
Superstitions liées à ces envies
Malgré des connaissances scientifiques développées, la maturation d’un enfant dans le ventre de sa mère garde un aspect mystérieux et magique dans l’imaginaire collectif : la femme enceinte fascine.
Dans l’esprit de certains, il paraît dangereux de la contrarier, de peur des conséquences possibles sur le futur bébé.
D’où les superstitions autour de la future maman.
Dans la tradition populaire, on rendait les envies non satisfaites responsables de l’apparition, chez le nouveau-né, de taches cutanées (d’ou le nom d’ " envies " de ces taches), ce qui est bien sûr complètement faux.
Les envies, expression de besoins physiologique ?
Selon les diététiciens, la cause des envies durant la grossesse n’a jamais encore été entièrement établie. Mais une théorie considère que le corps est naturellement conscient de ses besoins nutritionnels. Les envies des femmes enceintes serviraient donc à les satisfaire.
Pendant la grossesse, ce phénomène pourrait être amplifié, en raison notamment des changements hormonaux, susceptibles d’engendrer certaines envies alimentaires bizarres.
Au cours de cette période, l’organisme consume plus rapidement certains apports et se retrouve parfois en état de manque. Les carences en fer ou en calcium créent de nouveaux besoins nutritifs.
Pas étonnant qu’une femme enceinte ait envie de viande rouge, de légumes riches en fer ou de laitage. Certaines odeurs, au contraire, la dégoûtent, parce qu’elles lui évoquent des mets indigestes : les lubies alimentaires sont donc souvent l’expression de besoins physiologiques.
Et le facteur psychologique ?

En fin de grossesse, la cause des envies est plutôt psychologique. Elle réside parfois dans le besoin qu’a la future mère de se sentir aimée et chouchoutée.
Par ailleurs, attendre un bébé implique de renoncer à ne s’occuper que de soi-même.
Les envies impératives sont une façon de repousser l’échéance, en se faisant dorloter comme une princesse des milles et une nuits.

Les idées reçues sur la grossesse

Bien des histoires courent sur la grossesse, relevant parfois de l’observation, mais le plus souvent de l’ignorance populaire de la physiologie et des mécanismes obstétricaux.
Tout un florilège de superstitions explorées par la sage-femme Anne-Marie Mouton, dans le guide pratique «500 conseils pour réussir votre grossesse ».

· " Il ne faut pas croiser les jambes, cela met le cordon autour du cou du bébé "

Faux. Cependant, il vaut mieux éviter cette position pour d’autres raisons : cela gêne la circulation du sang dans les jambes.

· "La manière de porter un bébé révèle le sexe : en rond, c’est un garçon, pointu, une fille "

Faux. La forme du ventre dépend essentiellement de la morphologie. Les aléas de la grossesse et l’évolution du corps au cours des années intervient aussi.

Par exemple, une rétention d’eau anormale arrondira la silhouette, une paroi abdominale tonique tient mieux l’utérus dans l’axe qu’une paroi trop souple, etc…

· " Il ne faut pas aller voir un film d’horreur ou regarder quelqu’un d’anormal car le bébé ressemblera aux personnages affreux ou anormaux "


Faux. Le bébé, dès sa conception, possède un patrimoine génétique que rien ne peut venir modifier.

· " Il faut assouvir les envies de femmes enceintes car sinon le bébé portera la tache des envies inassouvies sur une partie du corps. "
Faux. Les désirs, assouvis ou non n’ont aucune influence sur le bébé. Les taches sont des angiomes bénins dont on ignore l’origine.

· " Le bébé ne bouge plus les derniers mois de la grossesse "

Faux, il doit bouger jusqu’au bout, et toute diminution très importante des mouvements du fœtus doit être signalée immédiatement au médecin.

Le bébé bouge différemment car il a moins de place, mais il doit bouger tous les jours, plusieurs fois par jour.

· " Il faut supprimer le sel en fin de grossesse "

Faux, même si le corps médical recommandait autrefois de le faire pour mieux accoucher, car on prétendait que les tissus étaient moins durs.

En fait les femmes n’accouchent pas plus mal aujourd’hui, au contraire, et l’insuffisance de chlorure de sodium est une cause d’hypotrophie fœtale.

En bref, ne supprimez pas le sel, mais ne mangez pas trop salé, surtout si vous avez tendance à être hyper tendue.


winking smiley


inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
8 août 2005 14:41
Le grignotage : une norme dangereuse ?

Le grignotage alimentaire progresse. Il n'a pas de conséquences particulières sur la santé, tant que les apports énergétiques totaux restent dans les normes. Mais dans le cas contraire, il peut être à l'origine d'un déséquilibre nutritionnel bien réel.

"Tout ce que l'on mange s'intègre, consciemment ou non, dans le bilan énergétique quotidien", explique le Pr Matty Chiva de l'Université Paris X-Nanterre." Par conséquent, on ne risque pas de prendre du poids si le grignotage s'insère dans l'apport alimentaire énergétique de la journée" sans en augmenter la valeur globale, ajoute-t-il.

Or parmi les grignoteurs, nombreux sont ceux qui ne le perçoivent pas comme une prise alimentaire à part entière. D'où une mauvaise évaluation des apports énergétiques globaux, qui peuvent devenir excédentaires quand les grignotages impliquent la consommation de boissons sucrées ou d'aliments extrêmement caloriques. Des sodas, des cacahuètes ou des confiseries industrielles par exemple...

Plutôt que les interdire, mieux vaut conseiller de prendre une collation qui elle, sera intégrée au bilan énergétique global. Si le grignotage n'est pas en soi une maladie, il peut devenir risqué s'il correspond à un mode de consommation dominant, voire exclusif. Dans ce cas, il exprime un trouble du comportement alimentaire et révèle un mal-être sous-jacent. En revanche une chose paraît acquise : la prise répétée d'aliments sucrés et/ou gras favorise indiscutablement la survenue de caries !

Sources: Institut Danone

inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
8 août 2005 19:03
nvarius a écrit:
-------------------------------------------------------
> tt à fait rifia , mais il faut comme meme faire
> attention au contexte de validité de la position
> laterale de securité ( pls) , car on la fait surtt
> aux victimes qui perdent conscience ; dans ce sens
> , elle ne demeure guère importante lors ce qu'il
> s'agit d'une victime qui souffre d'une maladie (
> par exemple : un diabète ) , alors, il vaut mieux
> destresser le malaise en donnant confiance au
> patient , puis le questionner s'il prend des
> medicaments ou bien du sucre dans le general des
> cas ; ensuite , si l'etat de la victime se
> stabilise un petit peu , appeler le secours ...
> enfin , je vs conseille de ne pas intervenir , car
> dans la loi marocaine , vous pouvez avoir des
> accusations , si l'etat de la victime s'aggrave (
> si vs ne popssedez pas du titre de secouriste ).
> merci


Et bien sûr, ne pas manipuler la personne si vous n'êtes pas absolument certains de l'absence de lésions au rachis



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/08/05 19:04 par Hamid.
"Avec un H majuscule"
r
8 août 2005 19:27
Sur l'eau, liberté rime avec prudence...

La météo est un allié de choix pour les véliplanchistes et autres surfeurs. Mais elle peut aussi devenir leur pire ennemi. Voilà pourquoi l'utilisation des planches à voile, surf, body-surf... symboles de liberté, est si encadrée.

Surtout si vous débutez, pliez-vous à quelques règles élémentaires de sécurité :


Respectez les zones balisées et n'entrez pas dans les aires réservées à la baignade ;
Il y a un vent de terre ? Prenez garde, il risque de vous entraîner vers le large ;
S'il fait frais, portez une combinaison isotherme qui maintiendra votre température corporelle.
En cas de problème, n'abandonnez surtout jamais votre planche. D'une part elle flotte. Et vous pouvez vous y agripper. D'autre part, elle est plus facilement repérable que vous. Et d'une manière générale, privilégiez les zones surveillées par des professionnels. Qu'il s'agisse de sauveteurs en mer, de CRS ou de pompiers
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
8 août 2005 19:28
Cancer du sein: le dépistage précoce améliore la survie des malades

MILWAUKEE, Wisconsin (AP) - C'est au dépistage précoce des tumeurs du sein et non aux traitements pourtant de plus en plus efficaces que l'on doit les progrès considérables obtenus dans l'allongement de l'espérance de vie des femmes qui en sont victimes, selon une étude américaine.

L'examen de 25 années d'archives nationales a permis aux chercheurs de conclure que la taille d'une tumeur comptait pour 61% dans l'amélioration de la survie après un cancer du sein lorsqu'elle était locale; ce pourcentage passait à 28% lorsque la tumeur était légèrement étendue.

Au total, ce sont 265.000 tumeurs qui ont été analysés. L'étude conduite par les médecins du centre du cancer du Mémorial Sloan-Kettering de New York a été publiée lundi sur le site Internet de la revue de la Société américaine du cancer. Elle le sera par ailleurs dans le prochain numéro de la revue à paraître le 15 septembre.

Pour les femmes de 65 ans et plus dont le cancer est diagnostiqué à un stade précoce, le scénario le plus courant, c'est la taille de la tumeur qui favorise le pronostic. "Nous ne voulons en aucun cas diminuer le bénéfice des traitements qui est très important, a déclaré la directrice de l'équipe de recherche, Elena Elkin. "Mais on ne peut pas leur attribuer la totalité de ce bénéfice. La taille de la tumeur a largement contribué à cette amélioration".

Le but de l'étude n'était pas d'évaluer l'efficacité des traitements ou de la mammographie, mais plutôt des bénéfices d'un diagnostic précoce.

"Ceci nous a aidés à démontrer l'importance du dépistage", a souligné Debbie Saslow, extérieure à l'étude, mais qui dirige la recherche sur le cancer du sein de la Société américaine du cancer. "En plus de la découverte de tumeurs de plus petite taille, nous avons aussi moins trouvé de grosses tumeurs".

A l'heure actuelle, les deux tiers des tumeurs sont diagnostiquées à un stade précoce, lorsque celles-ci sont bien localisées. Dans les années 70, seule la moitié l'était. Le nombre de tumeurs dépistées de moins d'un centimètre est passé de moins de 10% de 1975 à 1979, à 25% entre 1995 et 1999. Concernant les tumeurs étendues aux ganglions lymphatiques ou aux tissus avoisinants, mais sans métastases, le pourcentage des tumeurs de moins de deux centimètres est passé de une sur cinq à une sur trois.

Ensuite, les chercheurs ont comparé le taux de survie à cinq ans pendant ces deux mêmes périodes, en prenant en compte la taille de la tumeur. Pour les femmes dont la tumeur était localisée, le taux de survie est passé de 91% à plus de 97%. Autrement dit, la taille de la tumeur compte pour 61% dans l'amélioration de la survie.

Pour les cancers "régionaux" sans métastases, la survie est passée de 68% à 80%. La taille de la tumeur représentait une plus grande différence pour les femmes les plus âgées que pour les plus jeunes.

inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
s
8 août 2005 19:34
SALAM G PA LE COURAGE DE TOUT LIRE DITES MOI C KOI LE SU?JET;
r
8 août 2005 19:35
c'est tout ce qui concerne la santé winking smiley
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
8 août 2005 23:42
Entre 1993 et 2000, 2.298 personnes séronégatives qui consultaient pour une infection (virus herpès, gonocoque, tréponème), ont été suivies. Au sein de cette population, 62% des sujets circoncis étaient musulmans, tandis que les non-circoncis étaient majoritairement hindouistes.
Après analyse, les auteurs constatent que la circoncision n'apporte aucune protection contre le virus herpès, le gonocoque, le tréponème ou le VIH2. En revanche, le risque d'être contaminé par le virus du sida VIH1 est 6,7 fois plus faible, comparé à celui des sujets non-circoncis. Parallèlement, la fréquence des ulcérations génitales ou des muqueuses ne modifie pas cette observation.



La protection offerte par la circoncision serait due à la disparition des cellules cibles du VIH lors de l'acte chirurgical. Quant aux autres agents infectieux, ils utiliseraient une autre voie d'entrée pour pénétrer à l'intérieur de l'organisme. Cette hypothèse expliquerait pourquoi la circoncision protègerait uniquement vis-à-vis du virus VIH1.
"Avec un H majuscule"
r
9 août 2005 22:30
le concombre


Il peut être mangé à volonté l'été. il est rafraîchissant, peu calorique,
Les fibres sont contenues dans la peau du concombre, non épluché, car sa peau contient de la pepsine, une substance qui facilite la digestion. Elle facilite l'élimination urinaire.
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
9 août 2005 22:31
Cancers cutanés: les cabines de bronzage sur la sellette

PARIS (AP) - L'exposition aux rayons ultraviolets (UV), que ces rayons soient d'origine naturelle ou artificielle, augmente le risque de cancer cutané, selon une étude qui recommande notamment que l'utilisation des cabines de bronzage soit une pratique mieux encadrée.

"Il existe un flou artistique concernant les émissions d'UV dans les cabines de bronzage", a déclaré mardi à l'Associated Press le Dr Michèle Froment-Védrine, directrice de l'Agence française de sécurité sanitaire environnementale (AFSSE), agence co-responsable de l'expertise.

En dépit d'une réglementation mise en place en France en 1997, la situation demeure inquiétante, même si les textes prévoient que les appareils utilisés à des fins de bronzage artificiel soient au minimum conformes aux normes internationales de sécurité relatives à ce type de matériel.

Or, "tous les appareils ne sont pas contrôlés par la Direction générale de la consommation et de la répression des fraudes", s'inquiète le Dr Froment-Védrine. "Il existe des appareils privés que vous pouvez commander à La Redoute et je ne suis pas sûre que les appareils des centres de remise en forme soient tous contrôlés".

La réglementation prévoit par ailleurs que l'usage de ces appareils soit interdit aux mineurs, en raison du risque particulier de l'exposition aux UV chez les jeunes. "Le contrôle des mineurs nécessite de demander la carte d'identité. Je ne pense pas que ce soit fait systématiquement", a-t-elle ajouté. Quant à l'information du consommateur, elle reste, selon elle, insuffisante.

"On ne peut pas dire aux gens, comme le font certains médecins, que les cabines, ce n'est pas dangereux. Toutes les machines ne sont pas équivalentes, certaines ne nécessitent que quelques minutes d'exposition, d'autres 35 minutes et les utilisateurs ne le savent pas".

Face à l'augmentation considérable du nombre de cancers de la peau et en particulier des mélanomes dont on connaît le lien avec l'exposition aux rayonnements UV, Michèle Froment-Védrine préconise "un renforcement de la sécurité des appareils et de leur traçabilité ainsi qu'une meilleure information du public".

L'expertise rendue publique mardi a été menée conjointement par l'AFSSE, l'Institut de veille sanitaire (InVS) et l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps). Elle a été réalisée à la demande des ministères de la Santé et de l'Ecologie en avril 2004. Son objectif était de faire le point sur l'état des connaissances concernant l'exposition et les risques sanitaires imputables à l'exposition aux UV.

Pour rappel, les cancers cutanés sont en constante augmentation en France, avec environ 80.000 nouveaux cas diagnostiqués, chaque année. Parmi les cancers cutanés, le mélanome est le plus sévère. L'InVS estime entre 7.000 et 8.000 le nombre de nouveaux cas de mélanome cutanés apparus en France cette année. AP

inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
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10 août 2005 22:48
Après une brûlure, ayez le bon geste !


Vous venez de vous brûler ? N'oubliez pas que toute brûlure étendue doit être montrée à un médecin. En revanche, vous pouvez vous occuper vous-même des atteintes plus légères. Celles qui, superficielles, sont circonscrites à quelques centimètres carrés.
A condition bien sûr de prévenir tout risque de surinfection et de savoir éviter quelques erreurs. Tout d'abord, n'appliquez jamais d'alcool ni de mercurochrome. Cela brûle et ne sert à rien.
Abstenez-vous également de percer la cloque s'il s'en est formé une, même si c'est tentant ! La cloque joue en effet, un rôle protecteur essentiel pour les tissus qui se trouvent sous la brûlure... En revanche, vous pouvez soulager la douleur par un lavage à l'eau froide pendant quelques minutes.
Et pour ce qui est de la cloque, le simple fait de soigner rapidement la brûlure préviendra sans doute sa formation. Appliquez donc pour cela une couche généreuse d'un produit hydratant comme la Biafine. Vous en trouverez en pharmacie et même en l'absence de brûlure, vous pourrez aussi l'utiliser en guise de lait après soleil...
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
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10 août 2005 22:48
L'ail : condiment et... médicament !


Voilà une invention qui n'est pas neuve! Ce sont en effet les Kirghizes, un peuple d'Asie centrale, qui ont les premiers découvert les vertus de ce bulbe parfumé. Aujourd'hui encore ils en font grande consommation à tous les repas de la journée.
Nous l'employons surtout comme condiment, mais il est aussi et à juste titre considéré comme un médicament. Réputé " bon pour le coeur " et paré de vertus stimulante sur le plan sexuel, il ferait même fuir les vampires... Mais toutes ses mirifiques vertus ne sont pas scientifiquement prouvées.
Les médecines traditionnelles lui prêtent de nombreux pouvoirs. Contre les microbes, les mycoses, l'athérosclérose, l'hypertension artérielle et la thrombose. Or il est prouvé que l'ail diminue le taux de mauvais cholestérol et de triglycérides. Ce qui justifierait de son utilité contre l'athérosclérose.
Par ailleurs, il est établi qu'une gousse d'ail par jour pendant 16 semaines (!) provoque d'importantes modifications sanguines. Lesquelles témoignent d'une action réelle sur les plaquettes, et par conséquent sur la coagulation sanguine.
Mais des études effectuées sur le rat ont également démontré qu'il agit sur l'histamine, une substance impliquée dans les réactions allergiques. D'autre part, en bloquant la transformation dans l'organisme des nitrates en nitrites, l'ail exercerait un effet anti-tumoral. Mais personne n'a encore prouvé que les gros mangeurs d'ail présentaient moins de cancers que les autres...
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
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10 août 2005 22:49
L'habit ne fait pas le moine...


Avec la chaleur, on se jette sur les boissons fraîches. Davantage par un réflexe conditionné que par nécessité. Car les boissons les plus froides ne sont ni les plus rafraîchissantes, ni les plus désaltérantes. Il s'en faut même parfois de beaucoup !
Les Touaregs qui boivent le thé brûlant, mais aussi les Sud-Américains, friands de café très chaud sur les hauts-plateaux ou de maté dans la pampa, en font une démonstration évidente. En fait nous répondons en buvant, à des besoins bien différents : d'abord, celui de reconstituer le "stock" d'eau de notre corps, partiellement éliminé par la transpiration qui permet à notre organisme de lutter contre l'élévation de notre température interne. Laquelle peut se produire sous l'influence d'un effort physique ou bien sûr de facteurs extérieurs, notamment météorologiques.
Nous avons également besoin de boire pour éliminer les résidus que notre corps sécrète : par le filtre rénal bien sûr, mais aussi par la voie intestinale pour le fonctionnement de laquelle les apports liquides constituent un élément "plastique" important. Ce qui explique pourquoi, pour lutter contre la constipation, on recommande toujours de boire suffisamment. Cela dit, en dehors des périodes de diarrhées, l'élimination d'eau par les selles n'est pas très importante.
La boisson peut cependant nous apporter bien davantage qu'un peu de fraîcheur ou qu'un effet de "ballast"... Par la transpiration et les urines, nous n'éliminons pas seulement des scories ou des déchets organiques mais également des éléments essentiels au bon fonctionnement du corps, en particulier des sels minéraux. A ce titre, le choix de votre boisson n'est pas anodin. Car sans en faire des "médicaments", telle ou telle boisson sera recommandée en fonction de situations particulières. Chaud ou froid, profitez donc de l'été pour boire davantage d'eau bien sûr, vous vous en porterez certainement très bien!
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
11 août 2005 13:16
Le fluor de plus en plus surveillé !


Les eaux minérales contenant plus de 1,5 mg/l de fluor doivent mentionner sur leurs étiquettes qu'elles ne conviennent pas à l'alimentation régulière des bébés et des jeunes enfants. Car l'excès de fluor est nuisible pour la santé.
Ingéré en trop grandes quantités quand les dents sont encore en formation, il peut provoquer l'apparition de tâches sur ces dernières : c'est la fluorose dentaire. Par ailleurs, il augmente le risque d'ostéopétrose, une maladie des os qui les déforme et les fragilise.
Elément naturel, le fluor se rencontre dans de nombreux aliments : le poisson, les épinards et le thé en contiennent de petites quantités. La mise à jour de ses bienfaits a conduit à en ajouter dans certains sels de cuisine, pour compenser les déficits qui dans de nombreux pays, existaient encore dans les années 60. Mais le marketing s'est mis de la partie : Chewing-gums, sucettes et bonbons tentent de faire oublier qu'ils donnent des caries en s'enrichissant de fluor ! Des comprimés au fluor sont même proposés, comme compléments alimentaires.
Considérez donc le fluor pour ce qu'il est, un médicament qui se prend à doses limitées et s'achète en pharmacie. Le problème du surdosage ne se posera plus. Même si cela ne fait pas le bonheur des marchands de friandises ou de produits d'hygiène "surgonflés" au fluor.
Sources: 60 millions de consommateurs, N° 369
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
16 août 2005 10:24
Naître à terme, c'est vraiment important !

Les nouveau-nés prématurés dont le poids de naissance est inférieur à 1 kilo sont plus exposés à la maladie que les enfants de poids normal. Asthme, troubles visuels, déficits moteurs... ces tout-petits requièrent une attention particulière.

Sans grande surprise, une nouvelle étude confirme l'extrême fragilité des enfants nés prématurément. Une équipe de Cleveland aux Etats-Unis, a comparé l'état de santé de 219 prématurés pesant moins de 1 kilo avec celui d'un groupe de 176 petits dont le statut pondéral était considéré comme normal.

A l'âge de 8 ans, 14% des prématurés présentaient une paralysie faciale, contre... 0% chez les autres. Un sur cinq souffrait d'asthme tandis que dans le groupe des enfants nés à terme, cette proportion n'était que d'un sur dix ! Mais ce n'est pas tout, puisque le quotient intellectuel des anciens prématurés s'est également avéré plus faible.

Or le nombre de naissances avant-terme ne cesse d'augmenter. La France en a dénombré 34 500 en 1995. Un chiffre qui est passé à 50 955 en 2003, soit une augmentation de 48% ! Aujourd'hui les progrès réalisés dans la prise en charge de la prématurité ont permis de diminuer la mortalité. En revanche les handicaps, eux, n'ont pas disparu...


winking smiley
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
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16 août 2005 10:25
Un nouveau-né écoute de la musique, le 11 août 2005 à l'hôpital de Kosice-Saca

Mozart pour apaiser le trauma de la naissance dans un hôpital slovaque


KOSICE (AFP) - Sur leur toute petite tête, les nouveaux-nés ont un casque stéréo et leurs petits mains bougent au rythme de la musique. A l'hôpital de Kosice-Saca, dans l'est de la Slovaquie, les nourrissons écoutent Mozart dès les premières heures de leur vie.

Le but n'est pas de produire une génération de musiciens géniaux mais de stimuler les fonctions mentales et physiques des bébés grâce aux bienfaits de la musicothérapie.

"L'accouchement est un processus très difficile et représente pour chaque bébé un stress énorme", explique à l'AFP Mme Slavka Viragova, médecin-chef de la maternité de l'hôpital de Kosice-Saca, qui a mis en place le projet.

"Dans le ventre de la maman, l'enfant écoute le battement du coeur de sa mère qui représente pour lui une source de protection et des émotions positives. Pour que le bébé se rappelle sa mère dans la période qui suit immédiatement l'accouchement quand il n'est pas avec elle, nous lui faisons écouter de la musique", dit-elle.

Dans une pièce aux murs et fenêtres ornés de dessins d'animaux de contes de fée, une dizaine de nourrissons en maillot sont placés dans des petits lits, l'un à côté de l'autre, sur deux rangs. Ils écoutent de la musique et dorment tranquillement.

De temps en temps, ils ouvrent leurs yeux, remuent, bâillent et grimacent.

Juste à côté, se trouve une autre pièce avec des couveuses pour des enfants nés avant terme ou avec des problèmes de santé. Ils écoutent également de la musique.

"Nous avons remarqué qu'une musicothérapie bien choisie aide à une meilleure décongestion des organes chez des nourrissons nés avant terme donc à une stabilisation de leur respiration. En général, la musicothérapie aide un bébé à augmenter son poids, à se débarrasser du stress et à mieux supporter la douleur", souligne M. Viragova.

Mère de deux fils de 15 et de 12 ans, Slavka Viragova, a appliqué cette méthode à ses propres enfants. Elle leur a fait écouter des compositions de Mozart.

"On a relevé que la musique de Mozart a un très bon effet sur le développement du quotient intellectuel", précise-t-elle.

A l'hôpital, les nourrissons écoutent cinq ou six fois par jour un morceau de dix minutes d'une oeuvre classique de Mozart, d'une composition pour piano de Richard Clayderman, d'une mélange des sons de forêt vierge ou encore d'une musique relaxante.

"La musique est très douce et calme, son intensité est comprise entre 30 et 50 décibels ce que l'on peut comparer au son d'une marche normale ou à l'ouverture d'une porte", explique le médecin-chef.

Le plus souvent, la musique est jouée dans toute la pièce et atténue également le stress des infirmières souvent débordées avec les 20 à 30 bébés présents en permanence dans la maternité.

Les casques sont utilisés pour créer pour le bébé une ambiance encore plus calme et relaxante.

Certains bébés sont pendant toute la journée avec leurs mères lorsque celles-ci se sentent suffisamment fortes après l'accouchement. Ces chambres sont équipées de petites chaînes stéréo. Il est donc possible d'apporter ses propres CD et cassettes.

Ce projet, unique en Slovaquie et en Europe centrale, a commencé il y a deux ans et est très bien accueilli par les femmes accouchées.

"Il s'agit certainement d'une très bonne idée et l'influence sur le bébé est très positive", dit Livia Oliarova, 30 ans, dont le deuxième fils, Adrian, vient de naître à la maternité de Kosice-Saca.

"Nous allons sans doute continuer à lui faire écouter de la musique même à la maison", dit-elle.

L'hôpital est maintenant un peu victime de sa renommée. Et certaines femmes sont prêtes à voyager plusieurs centaines de kilomètres pour venir accoucher dans cette maternité, tout à l'est de la Slovaquie.


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n'est il pas mignon? winking smiley
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16 août 2005 11:55
Le sport, c'est bon contre le cancer du sein !

Selon un travail américain, les femmes atteintes d'un cancer du sein et qui pratiquent au moins une heure de marche hebdomadaire ont une espérance de vie supérieure à celle des autres. Un constat qui pour l'heure, reste inexpliqué.


Le Pr Michelle Holmes et son équipe à Boston, ont analysé les réponses de près de 3 000 infirmières chez lesquelles un cancer du sein avait été diagnostiqué entre 1984 et 1998. Toutes avaient répondu à un questionnaire comportant un certain nombre de questions relatives à leurs styles de vie.

Et les résultats établissent clairement la diminution du risque de décès dès lors que le niveau d'activité physique est plus élevé. Or selon l'auteur, "généralement après un diagnostic de cancer du sein, les femmes diminuent d'environ deux heures leur activité physique. Et moins d'une sur trois suit les recommandations qui ont cours aux Etats-Unis". Lesquelles rappelons-le, prescrivent au moins 30 minutes d'exercice quotidien, 5 jours par semaine.

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16 août 2005 23:08
Pourquoi les crèmes glacées donnent mal à la tête !

Nous sommes près d'un tiers à souffrir de céphalées lorsque nous dégustons une crème glacée. Différents travaux avaient déjà démontré qu'il s'agissait d'un phénomène essentiellement estival. Aujourd'hui, une étude canadienne contredit cette hypothèse.

L'équipe de Maya Kaczorowski, de l'université d'Hamilton dans l'Ontario, s'est sérieusement penchée sur le problème : les maux de tête sont-ils plus ou moins fréquents en fonction de la vitesse à laquelle sont consommées les glaces ?

Parmi 145 écoliers séparés en 2 groupes, il s'est avéré que la gloutonnerie donne mal à la tête. Des céphalées ont été observées dans 25% des cas chez les enfants qui avalaient leur glace en 5 secondes au plus, contre 13% chez ceux qui prenaient leur temps et mettaient 30 secondes à la consommer... Et c'était de vrais maux de tête : près de 10 secondes, pour la moitié des enfants !

Ces résultats confirment que la stimulation du palais par le froid double le risque de céphalées. Maya Kaczorowski affirme aussi que "contrairement aux résultats des études précédentes, les maux de têtes provoqués par la crème glacée surviennent en hiver comme en été, et cela que l'enfant dévore sa glace ou qu'il la déguste". Dix secondes de souffrance, pour quelques minutes de bonheur...

Sources: British Medical Journal, Vol 325

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18 août 2005 17:12
Le soja, c'est pas pour Bébé !

"Les laits de soja ont une composition nutritionnelle très différente de celles du lait maternel ou des laits maternisés." L'Agence française de Sécurité sanitaire des Aliments (AFSSA) met en garde les mères tentées par la solution du soja.

En France, les laits à base de soja ne représentent que 2,1% de la consommation de laits infantiles, contre 25% aux Etats-Unis. Certes ce n'est pas encore le raz-de-marée qui prévaut Outre-Atlantique. L'AFSSA tient toutefois à rappeler qu'en comparaison des laits maternels ou de vache, les produits à base de soja contiennent de grandes quantités d'isoflavones, aussi appelées phytoestrogènes.

Les adultes allergiques au lait de vache également concernés

Compte tenu des incertitudes quant aux effets à long terme de l'ingestion par un nourrisson, de fortes doses d'isoflavones, l'Agence prône la vigilance. "Il paraît prudent de ne pas recommander de la naissance jusqu'à l'âge de 3 ans, l'utilisation de préparations à base de soja, si celles-ci ne sont pas à teneur réduite en isoflavones et de contrôler les apports journaliers."

Par ailleurs souligne l'AFSSA, "les aliments à base de soja sont parfois utilisés par les personnes allergiques aux protéines de lait de vache. Il faut savoir que les protéines de soja peuvent elles-mêmes être responsables d'allergies."



voici la photo de bébé grinning smiley

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