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XXXXXXXX a écrit:
Si on parle souvent de l’arrivée de migrants en France, on oublie aussi d'évoquer ceux qui partent. Et ces dernières années, ils ont été nombreux à quitter l’Hexagone. C’est ce que révèle une nouvelle enquête de l’Insee, expliquant cela par l’accroissement de la mobilité professionnelle.
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anwali a écrit:
Les élites dirigeantes de France ne laisseront jamais partir ceux qui font marcher le pays, la vitalité de ce pays, ces milliers de cadres sup, patrons, médecins,sportifs,artistes, travailleurs qualifiés, salariés sur-consommateurs, professeurs, écrivains ect...mais surtout il ne laissera pas la seule communauté qui fait encore des enfants, capable de leurs donner un cadre familiale stable.
L'avenir d'une nation c'est les enfants formés par elle.
Evidemment il y a la télé pour détruire la réalité et faire croire le contraire de ce qui est vrai, transformer ce qui sont en réalité la seule richesse du pays en problème, afin bien entendu de mieux exploiter cette infinie ressource humaine et que ces dernier ne prennent jamais conscience de ceux qu'ils sont en réalité. Le seul gagnant ces les dirigeants du pays et les seuls perdants les émigrés et les pays dont ils sont originaires. En gros meme après la colonisation ils continuent à piller et exploiter nos richesses.
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Unesuggestion a écrit:
Ah, le Renaud, le pseudo-loubard blindé de thunes qui se faisait passer pour ceux qu'à cette époque-là on nommait "un rebelle".
Un fils de riche qui voulait se faire passer pour un prolo.
Il avait beaucoup de clients parmi les soixante-huitards qui sont devenus les bobos d'aujourd'hui.
On versera une larme sur la rebellitude qui a précédé la boboïtude et la ségolénitude.
Ça a énormément changé:
Quand il a écrit cette chanson, il y avait moins d'1 million de chômeurs en France et les zonards étaient 'de souche' et il n'y avait pas de criminel salafiste.
34 ans depuis que la France a adopté les idées de Renaud Séchan.
Il y avait une classe moyenne: Elle n'existe bientôt plus.