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Est ce que Iben Khaldoun était anti-arabe et islamophobe ???
R
23 janvier 2008 14:53
Les Arabes vus par Iben Khaldoune

La moqaddima de Iben Khaldoune

...Précurseur de la sociologie moderne, Ibn Khaldoun est une référence incontournable dans le domaine de la réflexion sur l'histoire sociale des peuples et civilisations méditerranéennes. En réponse aux arabo-staliniens et aux arabo-intégristes, qui érigent les arabes et leurs "civilisation " en modèle "universaliste ", nous publions un extrait d' "AI Muqaddima" d'Ibn Khaldoun qui parle, justement de cette civilisation arabe et des arabes. Notre objectif est de lutter contre l'amnésie et permettre à nos lecteurs de se faire leur propre opinion. Ce serait ainsi que les arabistes seront invités à davantage de modestie et de relativisme, à se remettre en question et à se situer "objectivement" dans le concert des civilisations. ...

En raison de leur nature sauvage, les arabes sont des pillards et des destructeurs. Ils pillent tout ce qu'ils trouvent sans combattre ou sans s'exposer. Puis ils se replient sur leurs pâturages au désert. Ils n'attaquent ou ne combattent que pour se défendre. Ils préfèrent éviter les forteresses ou les positions difficiles: ils ne les attaquent pas. Les tribus que protègent d'inaccessibles montagnes sont à l'abri de la malfaisance et des déprédations des Arabes. Ceux-ci ne franchiront pas de collines ou ne prendront pas de risque pour aller chercher les montagnards.
Au contraire, les plaines sont livrées à leur pillage et en proie à leur avidité, si leur dynastie est faible ou qu'elles n'aient pas de troupes pour les défendre. Alors- les Arabes y fond des incursions, des pillages, des attaques répétées, parce qu'il s'agit de territoires accessibles. Les habitants peuvent succomber et devenir les jouets des changements de pouvoir, jusqu'à ce que leur civilisation disparaisse. Dieu est tout puissant!

Les Arabes sont une nation sauvage (umma washiyya), aux habitudes de sauvagerie invétérées. La sauvagerie est devenue leur caractère et leur nature. Ils s'y complaisent, parce qu'elle signifie qu'ils sont affranchis de toute autorité et de toute soumission au pouvoir. Mais cette attitude naturelle est incompatible (mund-fiya) et en contradiction (munâqida) avec la civilisation ('ùmrân). Toutes les habitudes des Arabes les conduisent au nomadisme et au déplacement. Or, c'est là l'antithèse et la négation de la sédentarisation (maskûn), qui produit la civilisation. Par exemple: les Arabes ont besoin de pierres pour leurs foyers et leur cuisine -ils les prennent aux maisons, qu'ils détruisent dans ce but. Ils ont besoin de bois pour leurs tentes, pour les étayer et en faire des piquets: ils abattent les toits, pour en tirer le bois dans ce but. La véritable nature de leur existence est la négation de la construction (binâ'), qui est le fondement de la civilisation. Tel est, généralement, leur cas. De plus, c'est leur nature de piller autrui. Ils trouvent leur pain quotidien à l'ombre de leurs lances (rizqu- hum fi zilâl rimâ-i-him). Rien ne les arrête pour prendre le bien d'autrui.

Que leurs yeux tombent sur n'importe quel bien, mobilier ou ustensile, et ils s'en emparent. S'ils arrivent à la domination et au pouvoir royal, ils pillent tout à leur aise. Il n'y a plus rien pour protéger la propriété et la civilisation est détruite.
D'autre part, étant donné qu'ils font travailler de force les artisans et les ouvriers, le travail leur parait sans valeur et ils refusent de le payer. Or, comme on le verra plus loin, le travail est le fondement du profit (al- a'mâl, aslu I-makâsib). Si le travail n'est pas apprécié, s'il est fait pour rien, l'espoir de profit disparaît, et le travail n'est pas productif. Les sédentaires se dispersent et la civilisation décline. Autre chose encore : les Arabes ne portent aucun intérêt ('inâya) aux lois (ahkâm). Ils ne cherchent pas à dissuader les malfaiteurs ou à assurer l'ordre public. Ils ne s'intéressent (hammu-hum) qu'à ce qu'ils peuvent soustraire aux autres, sous forme de butin ou d'impôt. Quand ils ont obtenu cela, ils ne s'occupent ni de prendre soin des gens, ni de suivre leurs intérêts, ni de les forcer à se bien conduire. Ils lèvent des amendes sur les propriétés, pour en tirer quelque avantage, quelque taxe, quelque profit. Telle est leur habitude. Mais elle n'aide pas à prévenir les méfaits ou à dissuader les malfaiteurs. Au contraire, le nombre en augmente: comparée au bénéfice du crime, la perte représentée par l'amende est insignifiante. En régime arabe, les sujets vivent sans lois, dans l'anarchie (fawda). L'anarchie détruit l'humanité et ruine la civilisation. En effet, le pouvoir royal tient à une qualité naturelle de l'homme. C'est lui qui garantit l'existence des hommes et leur vie sociale (ijtimâ'). On a déjà vu cela au début du chapitre.

Et puis, tout Arabe veut être le chef : Aucun ne veut s'effacer devant un autre, fût-il son père, son frère ou l'aîné de sa famille. Il ne s'y résout que rarement, et parce qu'on lui fait honte (-ayâ'). continue...
T
23 janvier 2008 18:42
j invite tous ceux qui nous insultent a lire ce passage,mais aussi a lire ce qu il a écrit sur les bérbéres ,ils auront au moins une idée sur leurs erreurs et essayer d apprendre a vivre avec les autres....
s
23 janvier 2008 20:58
Je suis tout a fait d accord, je n ai jamais pu finir la mocadema, tellement il y a de critique contre les arabe leurs cultures et leurs civilisation, tout ca pendant qu’il vit dans des pales somptueux de Grenade au Fès, alors que les européens vivait encor dans des grottes, je pense d ailleurs que grace a ces idées qu’il est devenue célèbre en occident
T
23 janvier 2008 22:13
tu connais mal,l histoire de l occident pour nous faire avaler qu il vivent dans les grottes au 13é siécle,comme tu connais mal ta propre histoire si tu es maocain, d ailleurs ce qu ils vous apprennent au Maroc c est de la foutaise.tout a été falsifié.on m a dit plusieurs fois qu avant les arabes les bérbéres n habitaient que dans les grottes........d autres civilisations existent avant et aprés la civilisation arabe,le monde évolu,il faut l admettre et prendre ce qui a de bon dans ttes les civilisations et reconnaitre l histoire et non pas rester s enfantasmer sur Haroune Arrachid et Abounouass , tourner en rond et reculer au lieu d avancer........révisez un peu votre histoire et soyez objectif.......ceux qui ont fait la gloire de la civilisation arabe en ANDALOUSIE dans ts les domaines a l exemple d IBNOU KHALDOUN D AVAROUÉS et d autres dans le domaine des arts et sciences etc....ne sont pas venus d Arabie ni du moyen orient,ces savants et ces penseurs sont bien des nords africains,.Ceux qui étaient arabes c étaient des envoyés par les Emirs pour piller le peuple et rien d autre........
b
23 janvier 2008 22:23
Ibn Khaldoune était surtout et avant tout un grand homme de la science. Et en tant que tel il était au service de la vérité scientifique qu'il cherchait par la méthode, peu importe si cela faisait mal ou non.

Il faut avoir l'esprit scientifique pour le comprendre. Dèjà utliser le terme "islamophobe" dans ce contexte est plus qu'inapproprié.
a
23 janvier 2008 22:47
Ibn Khaldoun n'a pas marquer l'humanité



Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/01/08 22:47 par atlas2008.
s
23 janvier 2008 23:59
L´ avancement technologique et culturelle de l Andalousie du 8 eme jusqu´au 15 eme siècle par rapport a sont entourage européen n´est pas a être discuter, je crois que c est bien établie par tout les historiens occidentaux, et je ne veux pas en revenir la dessus, et dire que les arabes n´ont rien ajoute a l´histoire et que seulement les autre races qui ont fait tout a leurs place est vraiment raciste, et superficielle, cela prouve que vous avez une vision très occidentale de la chose, et que vous n avez jamais essayez de creuser un peu la dessus, vous avez dit qu’ ont pensent toujours qu´au passé sans aller vers l avant, laisse moi vous dire Mr que celui qui ne connais pas son passe est comme une arbre sans racine qui est Vouet a tombe sinon a s agrippe au autres pour rester debout, ce qui est notre cas maintenant, mais pourquoi on s inspire pas de l occident sur ce point, puisque tous ses états a l exception des italiens et les grecques ont une civilisation de 500 ou 600 ans au maximum, mais il sont fières de leurs ancêtres et de leurs savant des siècles des lumières, toussent connaissent Goethe voltaire ou da Vinci, alors que nous a part quelque uns, au nombre des doits d une main, on les ignorent complètement
R
24 janvier 2008 07:52
Voila la continuation (2) du texte precédent de Moqqadima d'Iben Khaldoun:

Et puis, tout Arabe veut être le chef : Aucun ne veut s'effacer devant un autre, fût-il son père, son frère ou l'aîné de sa famille. Il ne s'y résout que rarement, et parce qu'on lui fait honte (-ayâ'). Aussi y a-t-il, chez eux, beaucoup de chefs et de princes, et les sujets doivent-ils obéir à plusieurs maîtres - pour les impôts et pour les lois. C'est ainsi que la civilisation décline et disparaît. 'Abd-al-Malik reçut un jour une délégation arabe. Il questionna un nomade (a'rabî) sur (le gouverneur) AIhajjâj, en escomptant en entendre un éloge pour sa façon de commander et son oeuvre civilisatrice. Mais l'Arabe répondit : " Quand je l'ai quitté, il était injuste tout seul! " On remarquera que la civilisation s'est toujours effondrée avec la poussée de la conquête arabe : les établissements se sont dépeuplés et la terre devint toute autre que la terre (tabaddalati l-ard ghayra l-ard). Le Yémen, où vivent les Arabes, est en ruine, à part quelques villes. La civilisation persane en Iraq est complètement ruinée. Il en est de même, aujourd'hui, en Syrie. Quand les Hilâliens et les Banû Sulaym ont poussé jusqu'à la Tunisie et au Maroc, au début du Xie siècle, et qu'ils s'y sont débattus pendant 350 ans, ils ont fini par s'y fixer et les plaines en ont été dévastées. Autrefois, toute la région entre la Méditerranée et le Soudan était peuplée, comme le montrent les vestiges de civilisation, tels que monuments, sculptures monumentales, ruines de villages et d'agglomérations. " Dieu hérite la terre et tout ce qui vit sur elle. Il est le meilleur héritier " (XXI, 89).
En effet, en raison de leur sauvagerie innée, ils sont, de tous les peuples, trop réfractaires pour accepter l'autorité d'autrui, par rudesse, orgueil, ambition et jalousie. Leurs aspirations tendent rarement vers un seul but. Il leur faut l'influence de la loi religieuse, par la prophétie ou la sainteté, pour qu'ils se modèrent d'eux-mêmes et qu'ils perdent leur caractère hautain et jaloux. Il leur est, alors, facile de se soumettre et de s'unir, grâce à leur communauté religieuse. Ainsi, rudesse et orgueil s'effacent et l'envie et la jalousie sont freinées. Quand un prophète ou un saint, parmi eux, les appelle à observer les commandements de Dieu et les débarrasse de leurs défauts pour leur substituer des vertus, les fait tous unir leurs voix pour faire triompher la vérité, ils deviennent alors pleinement unis et ils arrivent à la supériorité et au pouvoir royal. D'ailleurs, aucun peuple n'accepte aussi vite que les Arabes la vérité religieuse et la Bonne Voie, parce que leurs natures sont restées pures d'habitudes déformantes et à l'abri de la médiocrité. La sauvagerie peut être surveillée et s'ouvrir aux vertus, car elle est restée dans l'état de religion naturelle (fitra); loin des mauvaises habitudes qui laissent leur empreinte sur les âmes. Selon la Tradition: " Tout enfant naît dans l'état de religion naturelle.
à suivre...
R
24 janvier 2008 08:05
Et la Continuation (3) :
Les Arabes, plus qu'aucune autre nation, sont enracinés dans la vie bédouine et s'enfoncent profondément dans le désert. Ils ont moins besoin, pour leur vie rude et dure, des produits et des céréales des collines. Ils peuvent donc se passer des autres. Il leur est difficile de se soumettre les uns aux autres, parce qu'ils sont un peuple sans loi, à l'état sauvage. Leur souverain a donc le plus grand besoin des liens du sang ('asabiyya), nécessaires à l'autodéfense.
Il est forcé de gouverner ses sujets en douceur et d'éviter de les heurter. Sinon, il aurait des difficultés avec l'esprit tribal, ce qui causerait sa perte et la leur. D'autre part, cependant, la monarchie et le gouvernement demandent une poigne de fer, seul gage de durée.

Comme les Arabes; par nature s'emparent des biens d'autrui, de même, ils s'abstiennent de tout arbitrage et de maintenir l'ordre public. Quand ils ont conquis une nation, leur objectif est d'en profiter pour s'emparer des biens de celle-ci. De plus, ils se passent de loi. Ils punissent parfois les crimes par des amendes, pour accroître les revenus du fisc et en tirer, financièrement, avantage. Mais ce n'est pas là un frein pour le crime. Ce serait même plutôt un encouragement, car le mobile d'un crime doit être assez puissant pour compenser le simple paiement d'une amende insignifiante. Ainsi, les méfaits deviennent de plus en plus nombreux et la civilisation décline. Une nation dominée par les Arabes est dans un état voisin de l'anarchie, où chacun s'oppose à l'autre. Ce genre de civilisation ne peut durer: il court à sa perte, aussi vite que l'anarchie elle-même.
Toutes ces raisons éloignent, naturellement, les Arabes de la monarchie. Il faut que leur nature soit profondément transformée par une structure (sibgha), religieuse, qui les amène à se modérer et à maintenir l'ordre public. C'est ce que montrent les dynasties arabes musulmanes. La religion a soudé leur pouvoir temporel à la loi religieuse et à ses prescriptions, qui -de façon explicite ou implicite- sont dans l'intérêt de la civilisation. Les califes suivirent cette voie. La monarchie et le gouvernement des Arabes devinrent grands et forts. Quand Rostam vit les Musulmans rassemblés pour la prière, il s'écria: "'Omar m'a rongé le foie! Il apprend aux chiens les bonnes manières! " 2.
Plus tard, les Arabes furent écartés des dynasties régnantes, pour des générations. Ils négligèrent leur religion, oublièrent la politique et retournèrent au désert. Ils ignoraient le rapport de leur esprit de clan avec la dynastie régnante, car l'obéissance et la loi leur étaient redevenues étrangères. Ils redevinrent aussi sauvages que dans le passé. Le titre de " roi " cessa de leur être appliqué, à l'exception des califes de race (jîl) arabe. Après la disparition du califat, le pouvoir sortit de leurs mains : des Barbares s'en emparèrent. Les Arabes restèrent alors Bédouins au désert, ignorant la monarchie et la politique. La plupart ne savent même plus qu'ils ont régné autrefois, ou qu'aucune autre nation n'a rayonné autant que la leur. Avant l'Islâm, ce furent les dynasties de' Âd et de Thamûd, les Amalécites, les Ijimyarites et les Tubba'; depuis, les Mudarites, les Omayyades et les Abbâsides. Mais, quand les Arabes oublièrent leur religion, ils n'eurent plus de rapport avec la politique, et ils retournèrent à leur désert originel. Farfbis encore, comme au Maroc actuel, ils dominent des dynasties trop faibles, mais leur supériorité ne peut conduire qu'à la ruine de la civilisation. Dieu est le meilleur héritier (XXI, 89) !
L
24 janvier 2008 13:04
Citation
sam79 a écrit:
Je suis tout a fait d accord, je n ai jamais pu finir la mocadema, tellement il y a de critique contre les arabe leurs cultures et leurs civilisation, tout ca pendant qu’il vit dans des pales somptueux de Grenade au Fès, alors que les européens vivait encor dans des grottes, je pense d ailleurs que grace a ces idées qu’il est devenue célèbre en occident

est qu'ils est possible de ne pas tomber dans les extrême systhématiquement

"les arabes étaent ..." est une généralisation de mauvais gout tout comme les "occidentaux étaent ..."*

ce qui est certain c'est qu'il y a un net recul civilisationel entre le 3 eme siécle et les X éme, que les arabes ne faisaient pas des voyages ou des reconnaissances (comme j'ai put lire dans ce forum) mais des raids guerriers
l'islamisation tout comme la christianisation se sont faite dans la violence

il faut voir l'histoire d'une maniére détachée comme si elle n'était pas la notre (1), pour avoir une plus grande objectivité

(1) d'ailleurs elle n'est pas la notre, il faut arrêter de voir l"'histoire avec des yeux de contemporain, autrefois la vie et les principes les plus doux n'étaient pas trés tendres avec un regard moderne grinning smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/01/08 13:04 par La Boetie.
R
25 janvier 2008 11:58
Le but de ce topic est de voir l'analyse faite par Ben Khaldoun sur les conquêtes arabes, ni moins ni plus. Si ces phrases ont été écrites par un marocain contemporain, il serait traité de tous les qualificatifs d'anti-rabe, anti-musulman, prosioniste, etc...
25 janvier 2008 17:46
Si Dieu a envoye le prophete Mohamed aux Arabs d'abords, c'est justement parcequ'ils etaient au bord du precipice et dans la debauche total. Ils leur a envoye le prophete comme un "avertisseur et un porteur de bonnes nouvelles" (ceci est ecrit dans le coran). ceux qui ont vraiment et honetement suivi les commandes de dieu se sont fait rachetes. Quant a la technology et la sience (l'astromony, les math...), beaucoups de livres ont etaient traduits des autres langues.
k
25 janvier 2008 18:57
Citation
sam79 a écrit:
Je suis tout a fait d accord, je n ai jamais pu finir la mocadema, tellement il y a de critique contre les arabe leurs cultures et leurs civilisation, tout ca pendant qu’il vit dans des pales somptueux de Grenade au Fès, alors que les européens vivait encor dans des grottes, je pense d ailleurs que grace a ces idées qu’il est devenue célèbre en occident

C'est un homme des sciences et le fait de vivre aux plais à Fes ou ailleiurs ne doit pas l'empecher de critiquer la societé ou le pouvoir
L
26 janvier 2008 00:31
Ibn Khaldoun, est un "historien" de son temps, c'est a dire qu'il faisait de la sociologie un peu raciste grinning smiley
ce n'est pas gravissime a une époque ou c'était courant
c'est pourquoi, il faut prendre les choses avec des pincette

si il est vrais que les conquêtes arabes furent d'une violence qui est souvent cachée , que c'était préparé par de raid destructeurs qui mettaient la région visée à genoux avant la conquête réelle

s'il est vrais que le pillage était monaie courante a cette époque ... par contre son analyse "sociologique" n'est plus admissible, tant envers les arabes qu'envers les noirs
 
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