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un homme courageux : l'algérie n'a jamais existé.
9 novembre 2010 16:20
hommage à tous les hommes et femmes libres de ce monde qui osent dire la vérité !

[www.youtube.com]
la vie est éphémère, mieux vaut bien la vivre avant de la perdre.
D
9 novembre 2010 16:28
Encore ?! Vous la mettez partout cette vidéo sleeping

Et de quel courage tu parles ? Faut être courageux pour dire ça ? N'importe quoi...
W
9 novembre 2010 16:32
Citation
Djemila75 a écrit:
Encore ?! Vous la mettez partout cette vidéo sleeping

Et de quel courage tu parles ? Faut être courageux pour dire ça ? N'importe quoi...

Pourquoi elle te dérange a ce point là ?

Les vérités blessent toujours ceux qui sont de mauvaise fois !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/11/10 17:01 par Sahara .M.
9 novembre 2010 16:33
Citation
Djemila75 a écrit:
Encore ?! Vous la mettez partout cette vidéo sleeping

Et de quel courage tu parles ? Faut être courageux pour dire ça ? N'importe quoi...

quel poids lourd !
lisez bien :

Bernard Lugan, né le 10 mai 1946 à Meknès (Maroc), est un historien français spécialiste de l'Afrique. Il est maître de conférences hors classe à l'Université de Lyon III, où il assure depuis 1984 différents cours autour de l'Histoire de l'Afrique et de la francophonie[1]. Il dispense également des conférences à l'Institut des hautes études de défense nationale ainsi qu'au Collège interarmées de défense (ancienne École de guerre) au sein du module Histoire et géostratégie de la francophonie. Docteur en histoire et docteur d'État ès lettres, cet africaniste a enseigné pendant onze ans (1972-1983) à l'Université nationale du Rwanda, pays dans lequel il a mené des fouilles archéologiques. En 2009, il a publié une histoire universelle de l'Afrique publiée sous le titre Histoire de l'Afrique, des origines à nos jours.

Contributeur régulier de plusieurs titres réputés proches de la droite ou de l'extrême droite[2] dans les années 1980, via notamment des entretiens sur la situation africaine, il a aussi créé et animé pendant 12 ans la revue L'Afrique réelle. Il s'est néanmoins retiré de la vie politique dès 1971 afin de se consacrer à ses recherches historiques. Il a reçu en 1989 le prix Louis-Marin de l'Académie française pour son livre Huguenots et Français, ils ont fait l'Afrique du Sud. Il a été appelé comme expert de la défense par quelques-uns des principaux accusés de génocide au Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR).

Ses analyses sur l'Afrique du Sud, sur la colonisation, sur le génocide au Rwanda ont suscité des polémiques et lui ont valu des critiques
la vie est éphémère, mieux vaut bien la vivre avant de la perdre.
D
9 novembre 2010 16:46
Un poids lourd ?! Lourd de bêtise et de racisme oui !
Renseigne-toi un peu sur le personnage à qui tu rends hommage...
J'ai pas trop le temps là mais je repasserai ce soir inchallah.

Tiens un peu de lecture, en attendant :

Bernard Lugan livre une contribution au recueil "Rencontres avec Saint-Loup" édité en hommage à l'ancien Waffen SS français. Son texte s'intitule "Une tribu blanche d'Afrique australe". Plume facile bien que redondante, Lugan collabore à Identités, la revue théorique du Front National où il prône la création d'un état blanc d'Afrique du Sud, seul susceptible de garantir la "survie de l'identité blanche". On retrouve ses chroniques dans Minute-la France, Présent, National-Hebdo où, sous le titre "Adieu à un vieux camarade", il pleure Poulet-Dachary, adjoint au maire de Toulon, assassiné par un gamin ramassé nuitamment dans un bar de la ville basse.

L'épopée coloniale le hante, et dans Le Crapouillot il laisse libre cours à sa fascination pour les Boers-Afrikaners, inventeurs de l'apartheid:

"confrontés à des populations noires qui menaçaient de les submerger sous leur nombre, les Boers se crurent prédestinés et eurent bientôt la conviction d'appartenir à la race élue par le Seigneur pour apporter la civilisation à cette partie de l'Afrique".

C'est certainement cette conviction d'être détenteur de la civilisation qui pousse, chaque Mardi Gras, Bernard Lugan, auteur de "L'Occident sans complexe", à paraître devant ses étudiants de première année déguisé en colon, coiffé d'un casque et brandissant un fouet. Parmi les chants qu'il entend faire apprendre par coeur, on se souvient, à Lyon, de celui-ci:

"Nos officiers se tapent des japonaises
Alors que nous pauvres marsouins fauchés
Nous nous tapons ce qu'on nomme la terre glaise
Spécialité de nos girons nhaqués".

Saisie de la protestation du Comité Anti-Fasciste et Anti-Raciste (Cafar), la doyenne de la Faculté de lettres et civilisations, Colette Demaizière, qui militait dans le syndicat étudiant très droitier UNI, rend public un communiqué:

"Il est inadmissible que des éléments extérieurs interviennent pour interdire de parole tel ou tel. Il est intolérable que des cours, même détournés exceptionnellement en plaisanterie carnavalesque, tournent au pugilat. Il est anormal que des étudiants qui n'ont pas la compétence pour le faire, s'érigent en juges de la qualité des cours d'enseignants".

Ainsi l'ordre des choses est-il constitué par le mépris, la vulgarité, le racisme le plus éculé, et le trouble par un sursaut de dignité. Nous sommes en France, à Lyon, à l'Université, dans un siècle qui s'achève. Le XXe.
[www.amnistia.net]
N
10 novembre 2010 21:26
De région berbère à province romaine, puis camps militaires arabes, puis province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français (le plus grand). L'Algérie, c'est vrai, n'a jamais existé avant 1962. Merci à Mohammed V et Jamal Abdel Nasser.
E
10 novembre 2010 22:18
Certes l'Algerie existe depuis 1962 , avec une histoire horrible baignee de sang et incapable de vivre en paix et harmonie avec son peuple avec ses voisins .

Contribution dans le cadre de l'examen périodique universel
Les massacres (1993-2006)

Algeria-Watch, 20 novembre 2007
Contexte

Dans le cas de l'Algérie, l'examen périodique universel englobe une période marquée, à la suite des attentats commis le 11 septembre 2001 aux États-Unis, par la lutte internationale contre le terrorisme. Le gouvernement algérien s'inscrit dans ce programme, se félicitant d'une coopération internationale, alors que l'Algérie avait - selon la version officielle - dû faire face seule au terrorisme durant les années 1990.

En janvier 1992, l'armée était intervenue pour interrompre les premières élections législatives pluralistes qu'a connues le pays, afin de déjouer la victoire certaine du Front islamique du salut. L'état d'urgence a été instauré. Il est maintenu jusqu'à nos jours. Cet état d'urgence a permis, selon un rapport officiel de 2001 du professeur Mohand Issad, juriste algérien de renom, un « glissement subtil de l'état d'urgence vers ce qui s'apparente plutôt à l'état de siège (1) » . Les pouvoirs donnés aux commandants des régions militaires par un arrêté interministériel non publié du 25 juillet 1993 sont exorbitants, caractéristiques, selon lui, de l'état de siège.

La mise en place de cet arsenal répressif, tant sur le plan juridique que policier, avait pour but de criminaliser et poursuivre toute véritable opposition, qu'elle soit pacifique ou armée. Le chef de la Direction du contre-espionnage (DCE) des services secrets de l'armée (Département de renseignement et de sécurité, DRS), le général Smaïl Lamari (décédé en août 2007), n'avait-il pas déclaré dès le mois de mai 1992, lors d'une réunion regroupant de nombreux officiers de la DCE, qu'il était « prêt et décidé à éliminer trois millions d'Algériens s'il le faut pour maintenir l'ordre que les islamistes menacent (2) ».

Qualifiés de « terroristes » ou soupçonnés de soutenir le terrorisme, les membres et sympathisants du FIS ont été arrêtés arbitrairement, puis détenus dans des camps de concentration ou des centres secrets. Un très grand nombre d'entre eux ont été torturés, avant d'être exécutés sommairement, alimentant la liste des « disparitions forcées ». De 1992 à 1999, les victimes de torture, d'exécutions extrajudiciaires et de disparitions forcées se comptent par dizaines de milliers. En 2006, le gouvernement a reconnu que près de 7 000 étaient imputables aux forces de sécurité de l'État, alors que les ONG parlent de près de 20 000.

Les gouvernements algériens successifs n'ont jamais marqué de rupture avec le régime issu du putsch de janvier 1992 . En conséquence, ils ont refusé de reconnaître et de poursuivre les violations des droits de l'homme commis par leurs agents. Et afin de tirer un trait sur cette période et éviter toutes poursuites à l'encontre des forces de sécurité, une loi dite de « réconciliation nationale » a été promulguée en février 2006. Celle-ci interdit toute plainte à l'encontre des forces de sécurité et sanctionne pénalement toute expression critique vis-à-vis de ces derniers.

Dans ce rapport, nous évoquons la question cruciale des terribles massacres commis en Algérie. S'il est vrai que les plus importantes tueries ont été commises entre fin 1996 et début 1998 (voir la liste en annexe), celles-ci n'ont pas totalement disparu depuis. De 1999 à 2007, de nombreuses opérations militaires se sont soldées par des massacres de civils. Très peu d'informations fiables filtrent sur ces offensives de l'armée, mais il est parfois possible de réunir des informations par le biais d'habitants des régions touchées. C'est ce que nous avons pu faire pour le massacre de Seddat, qui s'est déroulé au printemps 2006.
Des exécutions sommaires aux massacres

À partir des années 1993, les forces de sécurité algériennes ont procédé à des bouclages et des ratissages de quartiers et de villages dont les habitants étaient soupçonnés de sympathie et de soutien au FIS ou aux insurgés ayant pris le maquis. Pendant le couvre-feu, des unités de l'armée ou combinées (militaires, gendarmes, policiers, forces spéciales), accompagnées souvent de milices à partir de 1994, débarquaient et faisaient sortir des hommes dans la rue. Ces derniers étaient embarqués ou liquidés sur place. Ceux qui étaient emmenés étaient souvent tués après torture, puis jetés morts sur les routes ; et beaucoup d'autres, « enterrés sous X ».

Le 4 mai 1994 par exemple, 173 cadavres étaient retrouvés dans la forêt d'El Marsa, dans la région de Ténès (Chlef). Selon le témoignage de leurs familles, ils auraient fait partie d'un groupe de plus de 200 hommes arrêtés par des militaires le 25 avril 1994 dans les villages de Taoughrit, Ouled Boudoua, Sidi Moussa et Tala Aïssa, en représailles à la mort d'une quinzaine de militaires dans une embuscade dans la région de Ténès (3).

Dans les premières années, les auteurs de ces exécutions sommaires étaient identifiables, car il s'agissait généralement de membres des forces de sécurité en uniforme débarquant avec des véhicules officiels. Par la suite, ces campagnes d'arrestations et de liquidations étaient aussi le fait de militaires travestis en combattants islamiques. En 1998 - pour ne citer qu'un témoignage parmi beaucoup d'autres -, un transfuge de l'armée algérienne, Adlane Chabane, rapporta qu'une section spéciale de la Direction centrale de la sécurité de l'armée (DCSA) était constituée d'« éléments [qui] rentrent dans les localités et ciblent des familles bien précises, celles auxquelles appartiennent les islamistes recherchés. Ils frappent à la porte en criant : "Ouvrez, nous sommes les Moudjahiddines." Dès que la porte s'ouvre, les occupants sont tous tués. Au petit matin, le bilan s'élève à environ une trentaine de morts (4) ».

Les milices armées par les autorités à partir de 1994 ont elles aussi participé à ce genre d'exactions. Habib Souaïdia, jeune officier dissident (membre des forces spéciales jusqu'en 1995), a cité en 2001 l'exemple de la milice d'El-Mekhfi, sévissant dans la région de Lakhdaria en 1994 : elle « ne s'est pas contentée de protéger les villages : elle a aussi traqué les terroristes dans les maquis avoisinants. El-Mekhfi et ses hommes se sont attaqués à tous les villages où des jeunes avaient rejoint le maquis, semant la mort et la désolation sur leur chemin (5). »

C'est à partir de fin 1996 que les massacres de villageois, puis de citadins, se sont multipliés. Ils étaient attribués systématiquement aux Groupes islamiques armés (GIA), qui d'ailleurs souvent les revendiquaient. Mais leurs auteurs réels devenaient de plus en plus difficilement identifiables, d'autant plus que la guerre entre groupes armés faisait rage dans certaines régions. Aux yeux de la population, d'innombrables questions se posaient sur la nature même de ces groupes armés, les raisons qui les poussaient à ces crimes, mais aussi sur l'attitude incompréhensible des forces de sécurité, apparemment incapables de protéger la population et de poursuivre les auteurs de ces crimes, au point d'ancrer la conviction du rôle direct de l'armée dans les massacres.

Ces carnages, faisant chaque fois entre dix et plusieurs centaines de victimes, ont connu leur apogée entre l'été 1997 et le début 1998. Leur ampleur s'est ensuite réduite, mais ce n'est qu'à partir de 2004 que leur fréquence comme le nombre de victimes de chaque action ont vraiment marqué une décrue. La majorité des tueries se sont déroulées dans l'Algérois, siège de la 1 re région militaire, la plus peuplée et aussi la plus quadrillée par les forces de sécurité : cette région comptait le plus grand contingent militaire, avec plus de 100 000 hommes, sans compter la police et les milices. D'où les interrogations, dès mi-1997, sur la capacité des « terroristes » de perpétrer impunément ces massacres dans cet environnement hyper-sécurisé. Et donc sur la probable responsabilité de l'armée, notoirement engagées dans une stratégie de « contre-insurrection » telle que l'ont connue différents pays d'Amérique Latine.
Les grands massacres dans l'Algérois durant l'été 1997

Entre 1996 et 1997, les massacres se sont déplacés des régions montagneuses du sud vers les plaines proches d'Alger. Tandis que les populations des campagnes de Blida, Médéa, Aïn-Defla, M'sila, etc., fuyaient vers la plaine de la Mitidja pour échapper aux hordes de tueurs, ces derniers les rattrapaient à la périphérie d'Alger à partir de l'été 1997. Nous rapportons ici trois des plus grands massacres (voir en annexe la chronologie détaillée des massacres).

Le 28 août 1997, un carnage se déroulait à Er-Raïs dans la commune de Sidi-Moussa, à quelque 25 km d'Alger. Les habitants rapportèrent que des hommes armés avaient débarqué à 23 h 45 d'un convoi de camions pour investir le quartier (à quelques centaines de mètres d'un campement militaire). Plus de 300 personnes furent tuées et 200 autres blessées dans ce massacre, qui a duré plus de 5 heures. Officiellement, seulement 38 morts sont reconnus. Les tueurs étaient munis de kalachnikovs, sur lesquelles étaient fixées des torches électriques, des poignards de « commandos » et des haches. Après leur forfait, ils disparurent dans la nature, sans que les militaires soient intervenus, ni pour protéger la population, ni pour poursuivre les assaillants. Au contraire, les rescapés ont rapporté que les militaires avaient bouclé le quartier, les empêchant de fuir.

Le même scénario s'est reproduit dans la nuit du 5 au 6 septembre 1997, dans le quartier populaire de Sidi-Youcef à Béni-Messous (Alger) : 70 à 150 personnes (selon les sources) ont été tuées par des hommes armés venus dans des camions, dont certains portaient des tenues militaires. De nombreux enfants et femmes ont été effroyablement mutilés avant d'être assassinés. Le massacre s'est déroulé à quelques centaines de mètres du siège de la garde présidentielle et à quelques minutes des casernes du DRS, au cour même de la zone la plus militarisée du pays, où l'on ne compte pas moins de quinze casernes sur quelques kilomètres carrés (6).

Dans la nuit du 22 au 23 septembre 1997, c'est le quartier de Haï-Djilali à Bentalha (commune de Baraki), à moins de 20 km à l'est d'Alger, qui est attaqué par plusieurs dizaines d'assaillants. Les habitants du quartier s'y étaient préparés et depuis des semaines ils montaient des gardes en implorant l'armée pour qu'elle leur fournisse des armes et installe un poste militaire au centre du quartier. En vain. Officiellement, 85 citoyens auraient été tués, tandis que les survivants et les sources hospitalières parlèrent de plus de 400 morts et 120 blessés. Là aussi, des camions ont transporté les hommes en armes qui ont procédé très systématiquement à la recherche de personnes précises pour les tuer. Les miliaires avaient là aussi bouclé le quartier et empêché les survivants de fuir. Ce sont les habitants des quartiers environnants qui, au petit matin, ont investi Haï-Djilali et ont porté secours aux blessés et rescapés. Les assaillants ont pu fuir, emportant avec eux femmes et biens. Les femmes kidnappées ont été retrouvées plus tard égorgées (7).
L'appel à une enquête sur les massacres.

À partir de la fin de l'été 1997, de plus en plus d'organisations de défense des droits de l'homme ont demandé que des enquêtes soient diligentées afin de faire la lumière sur les massacres. Kofi Annan, secrétaire général de l'ONU, déclarait fin août 1997 qu'il n'était pas possible d'« abandonner la population algérienne à son propre sort (8) », propos qui n'était pas pour plaire au gouvernement algérien. La pression augmentant, ce dernier accepta qu'une mission d'information sur les questions des droits de l'homme, mandatée par Kofi Annan, se rende en Algérie en juillet-août 1998. Cette mission d'information se substitua en fait à une commission d'enquête. La sélection des membres du panel avait été soumise à l'approbation du pouvoir algérien. Et, sans surprise, le ministre des Affaires étrangères de l'époque, Ahmed Attaf, déclara : « Le rapport est conforme à ce qui a été conclu entre nous et l'ONU. »

Dans ses observations finales publiées en septembre 1998, la délégation reproduisit la version officielle algérienne, martelant que les commanditaires des massacres étaient connus, qu'il s'agissait des tueurs du GIA et que l'État allait les poursuivre et les condamner. Ce rapport a toutefois été rejeté par la totalité des ONG de défense des droits de l'homme : Amnesty International et la FIDH ont constaté que, « dans la perspective des droits de l'homme, la visite de la mission de l'ONU a été un blanchiment et ne remplace pas une enquête indépendante ».

Pourtant, peu avant, en juillet 1998, le Comité des droits de l'homme de l'ONU avait publié ses observations et recommandations, faisant état d'« allégations persistantes de collusion de membres des forces de sécurité dans la perpétration d'actes de terrorisme », d'« absence de mesures opportunes ou préventives de protection des victimes de la part des autorités de police et du commandement de l'armée », de « maigres renseignements concernant l'organisation des groupes de légitime défense », de préoccupations quant aux informations relatives à l'emploi systématique notamment des exécutions extrajudiciaires. Le Comité demandait alors au gouvernement algérien « d'adopter des mesures efficaces :

a] pour empêcher des attaques et, si elles se produisent quand même, intervenir rapidement pour protéger la population ;

b] pour garantir que des enquêtes appropriées soient menées par une instance indépendante pour identifier les coupables et les traduire en justice ;

c] pour faire en sorte que, dans tous les cas de massacres, une enquête indépendante soit menée sur le comportement des forces de sécurité à tous les échelons, du plus petit jusqu'au plus élevé, et que des sanctions pénales et disciplinaires soient prises à leur encontre, selon qu'il convient (9). »

Dans ses constatations publiées en novembre 2007, le Comité des droits de l'homme revient sur ce dossier douloureux des massacres pour constater que le gouvernement algérien n'a pas respecté ses engagements et que des enquêtes indépendantes doivent être engagées pour faire la lumière sur les massacres et les responsables de crimes graves, qu'il s'agisse d'agents de l'État ou de membres de groupes armés, afin qu'ils soient poursuivis et condamnés (10).

Lors de l'examen du dernier rapport périodique algérien, l'un des experts du Comité des droits de l'homme de l'ONU, Sir Nigel Rodley, a qualifié ces graves violations des droits humains de « crimes contre l'humanité ». Il a estimé que ces milliers d'enlèvements, de décès et les massacres « ne se font pas par hasard ou par accident », considérant qu'il y a là une « pratique systématique ».
.et la réponse du gouvernement algérien

Le gouvernement algérien a toujours refusé tout questionnement à propos des auteurs des massacres et de leurs commanditaires. Les personnes et les organisations qui osent s'interroger à propos des circonstances réelles dans lesquelles se sont déroulées les tueries sont traitées de suppôts du terrorisme. Les autorités, elles, ont toujours prétendu que les responsables étaient connus. Il est vrai que des personnes ont été arrêtées pour leur implication présumée dans ces crimes ; mais à notre connaissance, il n'a jamais été procédé à des enquêtes judiciaires sérieuses et transparentes.

En fait, il n'y a pas eu d'enquête du tout. Sinon, comment expliquer que l'ancien chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, ait déclaré dans une conférence de presse le 21 mars 2006 que les massacres commis à Ramka et Had Chekala (Relizane), début janvier 1998, auraient fait 1 000 victimes, alors qu'officiellement il avait toujours été question de 150 morts ? Il expliquait : « Nous avons caché la vérité, parce qu'on ne dirige pas une bataille en sonnant le clairon de la défaite. Ceux qui faisaient les massacres collectifs ne le faisaient pas pour massacrer, mais pour faire lever la communauté internationale contre nous (11). » Ces propos montrent à eux seuls qu'aucune enquête n'a été diligentée pour établir et les faits et les responsabilités dans ces massacres.

Dans les années qui ont suivi les tueries, il n'y a eu que quelques rares semblants de procès de certains suspects. La plupart - selon les versions officielles - auraient été tués dans des accrochages avec les forces armées. L'un d'entre eux est Fouad Boulamia, accusé aussi d'avoir assassiné en novembre 1999 A. Hachani, un dirigeant du FIS. Lors de son procès, il dira avoir été contraint sous la torture d'« avouer » ce meurtre. Il prétend même avoir été menacé personnellement par le chef du DRS, le général-major Mohamed Médiène (12). À l'instar de ses coaccusés, il nie totalement avoir participé au massacre de Bentalha, pour lequel il a été condamné à mort lors d'un procès expéditif qui n'aura duré que quelques heures (13).

Les autorités algériennes, peu enclines à faire la lumière sur les massacres, se sont empressées à mettre en place un dispositif législatif interdisant toute recherche de vérité et de justice. En 1999, déjà, la loi sur la « concorde civile » prévoyait des exonérations ou réductions de peines pour les membres des groupes armés qui se rendaient, à condition qu'ils n'aient pas commis de massacres, attentats à la bombe ou viols. Or, la procédure que devaient engager les « repentis » n'était pas transparente et, en l'occurrence, leur véritable culpabilité ne pouvait être établie publiquement.

Non satisfaits d'occulter les multiples responsabilités dans les graves violations des droits de l'homme commises durant la décennie de sang, l'État algérien a promulgué en février 2006 une loi dite de « réconciliation nationale ». Celle-ci pousse le déni de Justice encore plus loin, puisque « aucune poursuite ne peut être engagée, à titre individuel ou collectif, à l'encontre des éléments des forces de défense et de sécurité ». Et, en conséquence, « toute dénonciation ou plainte doit être déclarée irrecevable par l'autorité judiciaire compétente ». La loi interdit aussi toute dénonciation de l'État et de ses agents pour les crimes commis sous peine d'un emprisonnement de 3 à 5 ans. Le 1 er novembre 2007, le Comité des droits de l'homme de l'ONU a demandé l'amendement du premier volet de cette loi d'amnistie, qui promeut l'impunité, et l'abrogation du second, qui porte atteinte à la liberté d'expression.
Le massacre des monts Seddat en mai 2006

Depuis le début des années 2000, la lutte antiterroriste est menée à coups d'offensives militaires dans des régions soupçonnées d'abriter des groupes armés. Ce qui se passe réellement durant ces campagnes pouvant durer des semaines est placé sous le sceau du secret. L'opinion apprend à peine le bilan des « terroristes » tués, sans pouvoir se faire une idée de leur véritable identité.

Dans le cas de l'offensive militaire qui s'est déroulée dans les monts Seddat dans la wilaya de Jijel, la presse algérienne a rapporté qu'à l'issue de l'encerclement d'une grotte dans laquelle se seraient cachés des terroristes pendant plus de cinquante jours, un premier assaut de « quinze heures » lancé contre la grotte, « du mardi après-midi [9 mai 2006] au lever du jour de mercredi [10 mai] », se serait soldé par la mort de nombreux « terroristes », dont des femmes et des enfants. Certains avancèrent même le chiffre de 120 terroristes tués. Des témoins oculaires affirment même avoir vu le chef d'état-major Gaïd Salah sur les lieux.

Après avoir localisé des personnes dans cette grotte, l'armée aurait lancé un assaut. Les membres de la protection civile dépêchés dans la grotte à la suite de l'attaque pour en sortir les cadavres en ont compté trente-sept, parmi lesquels vingt-deux enfants (dont le plus âgé n'avait pas quatorze ans), neuf femmes et six hommes. « Les corps étaient rigides, pétrifiés dans des positions qui font dire à ces agents que des gaz toxiques ont été à l'origine de leur mort. Ils rapportent par exemple avoir vu une femme assise donnant un biberon à son enfant, avec à ses côtés deux enfants assis, tous les quatre figés dans le mouvement où la mort les a surpris (14). » Se pose donc la question : qui étaient ces « terroristes » enterrés par la suite anonymement dans une fosse commune et quelles substances l'armée a-t-elle utilisées ?

Il est indispensable que des enquêtes indépendantes et impartiales soient menées pour faire la lumière sur les nombreux massacres commis en Algérie au cours des quinze dernières années. Il est impossible d'accéder à une véritable réconciliation entre les Algériens et entre les Algériens et leurs institutions sous le règne de l'impunité et la loi du silence.
W
11 novembre 2010 09:36
Citation
amir-al-bahr a écrit:
De région berbère à province romaine, puis camps militaires arabes, puis province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français (le plus grand). L'Algérie, c'est vrai, n'a jamais existé avant 1962. Merci à Mohammed V et
Jamal Abdel Nasser.



On donné naissance a un serpent vénimeux thumbs down
h
12 novembre 2010 01:33
Citation
Sahara .M a écrit:
Citation
amir-al-bahr a écrit:
De région berbère à province romaine, puis camps militaires arabes, puis province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français (le plus grand). L'Algérie, c'est vrai, n'a jamais existé avant 1962. Merci à Mohammed V et
Jamal Abdel Nasser.



On donné naissance a un serpent vénimeux thumbs down

si ce n'était le soulévement algérien en 54 tu serais encore sous colonisation française !!
W
12 novembre 2010 11:19
Citation
hyksos a écrit:
Citation
Sahara .M a écrit:
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amir-al-bahr a écrit:
De région berbère à province romaine, puis camps militaires arabes, puis province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français (le plus grand). L'Algérie, c'est vrai, n'a jamais existé avant 1962. Merci à Mohammed V et
Jamal Abdel Nasser.



On donné naissance a un serpent vénimeux thumbs down

si ce n'était le soulévement algérien en 54 tu serais encore sous colonisation française !!


ça se voit sur vous que vous êtes les zorros de la terre !grinning smiley
D
12 novembre 2010 14:26
Citation
Sahara .M a écrit:
Citation
hyksos a écrit:
Citation
Sahara .M a écrit:
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amir-al-bahr a écrit:
De région berbère à province romaine, puis camps militaires arabes, puis province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français (le plus grand). L'Algérie, c'est vrai, n'a jamais existé avant 1962. Merci à Mohammed V et
Jamal Abdel Nasser.



On donné naissance a un serpent vénimeux thumbs down

si ce n'était le soulévement algérien en 54 tu serais encore sous colonisation française !!


ça se voit sur vous que vous êtes les zorros de la terre !grinning smiley

P'têt pas mais on a été les zorros de la décolonisation, oui monsieur. Même Mandella a rendu hommage aux membres du FLN qui l'ont aidé dans sa lutte. tongue sticking out smiley
W
12 novembre 2010 14:45
Citation
Djemila75 a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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hyksos a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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amir-al-bahr a écrit:
De région berbère à province romaine, puis camps militaires arabes, puis province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français (le plus grand). L'Algérie, c'est vrai, n'a jamais existé avant 1962. Merci à Mohammed V et
Jamal Abdel Nasser.



On donné naissance a un serpent vénimeux thumbs down

si ce n'était le soulévement algérien en 54 tu serais encore sous colonisation française !!


ça se voit sur vous que vous êtes les zorros de la terre !grinning smiley

P'têt pas mais on a été les zorros de la décolonisation, oui monsieur. Même Mandella a rendu hommage aux membres du FLN qui l'ont aidé dans sa lutte. tongue sticking out smiley


C est CHARLES DE GAULLE qui a décidé de lâcher l affaire de l algerie en 62 , et non vous avez décolonisé .
Par ailleurs vous avez été jusqu' a proignarder ceux qui vous ont épaulés à l époque dans le meilleur ,et dans le pire ! et pour finir vos compatriotes ont massacrés des ALgériens en 90 ,et le FLN a fermé les yeux voir complice ,car ils en voulaient a ceux qui ont voté pour le FIS . Alors bla bla bla des exilés et immigrés algeriens en France après avoir soit disant décolonisé leur pays , moi ça me fait marrer grinning smiley


Du genre : j ai dégagé ma voisine de chez moi et je vais habiter chez elle ptdr



Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/11/10 17:59 par Sahara .M.
D
12 novembre 2010 19:22
Citation
Sahara .M a écrit:
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Djemila75 a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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hyksos a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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amir-al-bahr a écrit:
De région berbère à province romaine, puis camps militaires arabes, puis province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français (le plus grand). L'Algérie, c'est vrai, n'a jamais existé avant 1962. Merci à Mohammed V et
Jamal Abdel Nasser.



On donné naissance a un serpent vénimeux thumbs down

si ce n'était le soulévement algérien en 54 tu serais encore sous colonisation française !!


ça se voit sur vous que vous êtes les zorros de la terre !grinning smiley

P'têt pas mais on a été les zorros de la décolonisation, oui monsieur. Même Mandella a rendu hommage aux membres du FLN qui l'ont aidé dans sa lutte. tongue sticking out smiley


C est CHARLES DE GAULLE qui a décidé de lâcher l affaire de l algerie en 62 , et non vous avez décolonisé .
Par ailleurs vous avez été jusqu' a proignarder ceux qui vous ont épaulés à l époque dans le meilleur ,et dans le pire ! et pour finir vos compatriotes ont massacrés des ALgériens en 90 ,et le FLN a fermé les yeux voir complice ,car ils en voulaient a ceux qui ont voté pour le FIS . Alors bla bla bla des exilés et immigrés algeriens en France après avoir soit disant décolonisé leur pays , moi ça me fait marrer grinning smiley


Du genre : j ai dégagé ma voisine de chez moi et je vais habiter chez elle ptdr

Wep, je suis partout chez moi moi, citoyenne d'un monde libre. Danse

Quant à ton blabla brouillon, pas envie de m'étaler encore une fois (ça devient lassant à la longue), sache juste que la bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe. Angel
W
12 novembre 2010 20:58
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Djemila75 a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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Djemila75 a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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hyksos a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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amir-al-bahr a écrit:
De région berbère à province romaine, puis camps militaires arabes, puis province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français (le plus grand). L'Algérie, c'est vrai, n'a jamais existé avant 1962. Merci à Mohammed V et
Jamal Abdel Nasser.



On donné naissance a un serpent vénimeux thumbs down



si ce n'était le soulévement algérien en 54 tu serais encore sous colonisation française !!


ça se voit sur vous que vous êtes les zorros de la terre !grinning smiley

P'têt pas mais on a été les zorros de la décolonisation, oui monsieur. Même Mandella a rendu hommage aux membres du FLN qui l'ont aidé dans sa lutte. tongue sticking out smiley


C est CHARLES DE GAULLE qui a décidé de lâcher l affaire de l algerie en 62 , et non vous avez décolonisé .
Par ailleurs vous avez été jusqu' a proignarder ceux qui vous ont épaulés à l époque dans le meilleur ,et dans le pire ! et pour finir vos compatriotes ont massacrés des ALgériens en 90 ,et le FLN a fermé les yeux voir complice ,car ils en voulaient a ceux qui ont voté pour le FIS . Alors bla bla bla des exilés et immigrés algeriens en France après avoir soit disant décolonisé leur pays , moi ça me fait marrer grinning smiley


Du genre : j ai dégagé ma voisine de chez moi et je vais habiter chez elle ptdr

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djemila75 a écrit:
Wep, je suis partout chez moi moi, citoyenne d'un monde libre. Danse

Quant à ton blabla brouillon, pas envie de m'étaler encore une fois (ça devient lassant à la longue), sache juste que la bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe. Angel
Là t a plus rien a dire .
Tu est partout chez toi , citoyenne d un monde libre soit disant , mais ton coeur n y est pas ,sinon tu t acharnera pas a braquer les gens sur ce qui se dit sur l algerie et rien d autre , ton coeur est dans ton pays sur lequel tu n a aucun pouvoir .

En ce qui concerne le bla bla reconnais qu on est sur un forum Marocain , et c est toi qui viens attaquer les gens sur leurs territoire ,et en plus tu est arrogante reconnait au moins tes défauts .
Allah idaoui halak !
Si tu considère que mes écris sont du bla bla brouillon comme tu le prétends , et bien tu t aurais pas donné autant de mal pour y répondre , et me suivre partout ou j interviens grinning smiley


La France a mal fait de quitter l Algérie ! après tout c est eux qui ont construit le Pays .



Modifié 2 fois. Dernière modification le 12/11/10 21:34 par Sahara .M.
D
12 novembre 2010 22:34
T'as qu'à arrêter de dire des bêtises sur l'Algérie, tu m'auras moins sur le dos. tongue sticking out smiley
h
12 novembre 2010 22:53
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Sahara .M a écrit:
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Djemila75 a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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hyksos a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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amir-al-bahr a écrit:
De région berbère à province romaine, puis camps militaires arabes, puis province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français (le plus grand). L'Algérie, c'est vrai, n'a jamais existé avant 1962. Merci à Mohammed V et
Jamal Abdel Nasser.



On donné naissance a un serpent vénimeux thumbs down

si ce n'était le soulévement algérien en 54 tu serais encore sous colonisation française !!


ça se voit sur vous que vous êtes les zorros de la terre !grinning smiley

P'têt pas mais on a été les zorros de la décolonisation, oui monsieur. Même Mandella a rendu hommage aux membres du FLN qui l'ont aidé dans sa lutte. tongue sticking out smiley


C est CHARLES DE GAULLE qui a décidé de lâcher l affaire de l algerie en 62 , et non vous avez décolonisé .
Par ailleurs vous avez été jusqu' a proignarder ceux qui vous ont épaulés à l époque dans le meilleur ,et dans le pire ! et pour finir vos compatriotes ont massacrés des ALgériens en 90 ,et le FLN a fermé les yeux voir complice ,car ils en voulaient a ceux qui ont voté pour le FIS . Alors bla bla bla des exilés et immigrés algeriens en France après avoir soit disant décolonisé leur pays , moi ça me fait marrer grinning smiley


Du genre : j ai dégagé ma voisine de chez moi et je vais habiter chez elle ptdr
charles de gaulle a décider de lacher l'affaire quand il a vu qu' 1 million de soldats français entre 54 et 62 n'ont pas réussis à
vaincre l'insurrection politiquement et militairement ..et surtout que 30 000 morts français , ca commencait à faire beaucoups.

eh ouai mon gars , on a pas eu la chance d'avoir notre indépendance aprés un fax envoyé de paris .
c
12 novembre 2010 23:24
On était sur protectorat pas une colonie et notre pays exister déjà !

Donc ne compare pas l'incomparable! Un pays millénaire n'a rien a envier a u
Un pseudo état crée par des kouffars et qui était d'abord un département français!
W
12 novembre 2010 23:35
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Djemila75 a écrit:
T'as qu'à arrêter de dire des bêtises sur l'Algérie, tu m'auras moins sur le dos. tongue sticking out smiley

Alors là c est sûrement pas toi qui va me dire ce que je dois dire , t avoir sur le dos ? mais moi je te calcule même pas ,tes réactions me font juste marrer , dès que tu vois le mot algérie tu accourt comme si tu a senti l odeur de la viande " a bon entendeur"
N
12 novembre 2010 23:39
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hyksos a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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Djemila75 a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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hyksos a écrit:
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Sahara .M a écrit:
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amir-al-bahr a écrit:
De région berbère à province romaine, puis camps militaires arabes, puis province almoravide puis almohade et de province ottomane à département français (le plus grand). L'Algérie, c'est vrai, n'a jamais existé avant 1962. Merci à Mohammed V et
Jamal Abdel Nasser.



On donné naissance a un serpent vénimeux thumbs down

si ce n'était le soulévement algérien en 54 tu serais encore sous colonisation française !!


ça se voit sur vous que vous êtes les zorros de la terre !grinning smiley

P'têt pas mais on a été les zorros de la décolonisation, oui monsieur. Même Mandella a rendu hommage aux membres du FLN qui l'ont aidé dans sa lutte. tongue sticking out smiley


C est CHARLES DE GAULLE qui a décidé de lâcher l affaire de l algerie en 62 , et non vous avez décolonisé .
Par ailleurs vous avez été jusqu' a proignarder ceux qui vous ont épaulés à l époque dans le meilleur ,et dans le pire ! et pour finir vos compatriotes ont massacrés des ALgériens en 90 ,et le FLN a fermé les yeux voir complice ,car ils en voulaient a ceux qui ont voté pour le FIS . Alors bla bla bla des exilés et immigrés algeriens en France après avoir soit disant décolonisé leur pays , moi ça me fait marrer grinning smiley


Du genre : j ai dégagé ma voisine de chez moi et je vais habiter chez elle ptdr
charles de gaulle a décider de lacher l'affaire quand il a vu qu' 1 million de soldats français entre 54 et 62 n'ont pas réussis à
vaincre l'insurrection politiquement et militairement ..et surtout que 30 000 morts français , ca commencait à faire beaucoups.

eh ouai mon gars , on a pas eu la chance d'avoir notre indépendance aprés un fax envoyé de paris .


La différence entre la guerre pour l'indépendance du Maroc, et celle pour l'indépendance de l'Algérie c'est que le Maroc a commencé a inquiéter les Français avant même qu'ils n'y entrent par la force. Les attentats de Casablanca contre les Européens faisant des dizaines de morts côté européens ont débuté en 1907. Et la guerre menée par les Rifains et l'Emir Abdel Krim Al Khattabi contre les Espagnols et les Français a duré au moins 5 ans. Sans compter la pacification du pays qui s'est terminée à la veille même de l'indépendance... Alors oui, Paris a bien fait d'envoyer un fax à Rabat pour plier bagages.

Au moins, il y a eu le mérite d'écourter le protecorat (44 ans), et le mérite d'avoir épargné des vies innocentes en même temps qu'il n'y a pas eu de harkis parmi les Marocains.

En même temps, la guerre d'Algérie, bien qu'honorable, n'a pas fait des Algériens des conquérents de l'espace...
D
13 novembre 2010 00:16
Pour autant que je sache, il n'y a pas eu de guerre pour l'indépendance du Maroc, vu qu'il n'y a pas eu colonisation...
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