Palestine Le cri, les larmes ; Le sacre, le charme ; Passage vers le ciel. Tes secrets tes histoires ; Tu racontes des merveilles Toi grande fille ; Ta patience c’est le miel. Palestine Les crimes ; la gloire Le sang qui coule. Sur les ponts, sur tes trottoirs. C’est l’ancre qui Ecris ton futur ; tes rimes Toi la triste rose. Ton doux parfume, s’impose. Le sang des glorieux Martyrs ; face a la mort Face aux cartouches. Allah Akbar une musique, Dans leurs bouche. Les petits anges ; Des gavroches. Ceux qui concassent Les roches. Poitrines nues contre ; Les me trailles. Ils jettent leurs pierres, Avec leurs prières. Un poison, des petits Doses ; des cuillères. Sur le complot sioniste ; De l’extrême droit radicale. Il crient ils persistent. Ils hurlent effacent l’ennemi, Celui d’hier et toujours. Contre les assains de l’amour. Des soldats idiots frimeurs; Ils se croient vrai en guerre. De quelle guerre ils parlent ; De quelles balances ; Ce n’est pas un champ d’honneur ; C’est l’origine de leurs peurs. De schizophrénie ; de leurs Souffrances. Ces soldats pourrissent ; leurs vie. La vérité ils masquent ; Le bien, ils défient. Imagine ces soldats ; Après leurs fin de service, L’enfer dans leurs têtes ; Leurs âmes. Après que dieu les condamnent. Des fous, des ivrognes Des clochards. Des malades seront ils ; Des chiens de vie ; Le suicide ils auront ; Toujours envie.