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Première en Europe : l'Allemagne accueille des trésors tibétains


Extrait du site: [www.chine-informations.com]


La villa Hügel à Essen (ouest) accueille depuis le week-end dernier une prestigieuse exposition sur les trésors de monastères tibétains, une première en Europe.

La villa du célèbre industriel allemand Alfred Krupp, construite au XIXème siècle et devenue un des centres d'exposition les plus prisés de Rhénanie, héberge, jusqu'au 26 novembre, 150 oeuvres d'art de monastères bouddhistes provenant du toit du monde.

La plupart de ces peintures, sculptures et objets de culte n'ont jamais quitté le Tibet auparavant.

Le professeur Jeong-hee Lee Kalisch, responsable de l'exposition, a pendant trois ans parcouru le Tibet à la recherche de ces trésors monastiques, dont certains ont plus de 1500 ans.

"Bien que le concept d'exposer leur art leur soit complètement étranger, beaucoup de monastères nous ont soutenus", rapporte Mme Lee Kalisch. Une majorité de monastères ont cependant refusé d'envoyer leurs trésors en Europe.

Les objets d'art sont exposés sur une surface de 1400 m² à l'étage supérieur de la villa. En cinq grands compartiments, les richesses des monastères de Sakya, Tashi Lhunpo, Gyantse Palkhor Chöde, Shalu et Mindroling ainsi que celles du somptueux palais Potala à Lhasa ou de l'ancienne résidence du Dalaï Lama sont présentées. L'exposition recèle une multitude d'objets parmi lesquels un superbe groupe de dix statues en bronze, à taille humaine, et une statue d'Avalokitesvara, le Bouddha aux mille bras.

Le professeur Paul Vogt, président de l'association culturelle de la Ruhr, souligne qu'"une telle exposition, provenant de monastères nichés entre 3000 et 5000 mètres d'altitude, n'a encore jamais eu lieu".

Le gouvernement chinois avait demandé que les objets soient présentés dans une optique culturelle et artistique et non dans un but de propagande politique pour la cause tibétaine. La région du Tibet est occupée par la Chine depuis 1950.

L'exposition "Tibet - Des monastères ouvrent leurs chambres aux trésors" devrait par la suite être transférée au Musée des arts orientaux à Berlin.

Paracas – trésors inédits du Pérou ancien


1er avril – 14 juillet 2008

extrait du site: [www.quaibranly.fr]

L’exposition rassemble la plus importante série de textiles « Paracas » jamais exposée hors du Pérou : pour la première fois en France, elle présente une partie des textiles exhumés dans la nécropole de Wari Kayan et fait découvrir au visiteur des pièces de ce trésor unique au monde. De décembre 2004 à novembre 2006, celles-ci ont été restaurées dans le cadre d’une coopération internationale scientifique avec le Pérou à laquelle a contribué le musée du quai Branly.

Le musée est donc particulièrement fier de présenter des textiles que le Pérou, en raison de leur grande valeur esthétique et scientifique et de leur extrême fragilité, ne prête que très exceptionnellement pour des expositions à l’étranger.

- Autour de l'exposition parcours audio guidé en français, en anglais et en espagnol

- catalogue Paracas - trésors inédits du Pérou ancien
Co-édition musée du quai Branly et Flammarion, 39 €. 216p.

cliquer ici pour découvrir le catalogue Paracas

- les textiles anciens du Pérou
- réédition de l'ouvrage de Raoul d'Harcourt - co-édition musée du quai Branly et Flammarion. 27 €. 296p.

cliquer ici pour en savoir plus sur l'ouvrage les textiles anciens du Pérou

- carnet de l'exposition - 3 €

- visite guidée sur réservation

commissariat : Danielle Lavallée,
Directeur de recherche émérite au CNRS, spécialiste en archéologie des Amériques


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billetterie réserver votre billet en ligne

infos pratiquesdates : du mardi 1 avril 2008 au lundi 14 juillet 2008



lieu : galerie Jardin

tarifs : billet "expositions temporaires" ou "un jour au musée"

horaires : mardi, mercredi et dimanche de 11h à 19h et jeudi, vendredi et samedi de 11h à 21h

rubrique : expositions temporaires, tous publics

agenda lien vers l'agenda


Retour au complement d'information



musée du quai Branly
37, quai Branly
75007 – Paris
Tél : 01 56 61 70 00
mardi, mercredi et dimanche : de 11h à 19h
Nocturne le jeudi, vendredi et samedi : jusqu’à 21h
l'établissement public | marchés publics | conditions d'utilisation | nous écrire | plan du site | accessibilité | crédits

Les marques pouvant indiquer la présence d’un trésor ou d’une cache

Extrait du site: [www.metaldetection.net]



Beaucoup de nos membres du Club Latincom nous demandent comment savoir qu’un trésor existe en pleine nature ?

En premier il faut savoir que si vous aviez a dissimuler quelque chose d’important et de valeur dans un endroit inhabité, tel que dans un bois, à la montagne ou en quelques collines sauvages, vous ne le feriez pas pour le perdre car vous auriez en tête de le récupérer plus tard. Vous choisiriez donc un endroit facile à reconnaître comme au sommet d’un monticule, au pied d’un grand arbre, dans une faille de rocher, dans une caverne, au bas d’une roche ou à quelques distances bien connues de vous seulement de l'un de ces repères aisé à retrouver. En plus vous marqueriez peut être le lieu, d’une croix ou d’un signe quelconque.

Maintenant que vous êtes imprégné de cette notion fondamentale en détection, ne cherchez plus au hasard, examiner les lieux et dirigez vous sur les points « stratégiques » ; ils ne manquent pas je puis vous l’assurer, il suffit d’un peu de logique et d’un bon sens de l’observation. Beaucoup de trésors se découvrent ainsi, ils ne manquent pas, ils sont des milliers qui n’attendent que de revoir le jour car depuis des siècles et millénaires l’homme n’a fait que dissimuler ses richesses pour des tas de raisons … car de banque en ces temps là il n’y avait pas !

Un exemple très évident : Dans un coteau très sauvage situé à environ 300 mètres d'un ancien chemin, de nos jours totalement abandonné, ce signe particulier en forme de croix apparaissait sur une roche recouverte de ronces (voir la photo sur le lien ci-dessus). En se approchant, un membre du Club a pu voir qu'il s'agissait d'une grande pierre d'un mètre de hauteur environ obstruant l’entrée d’une petite grotte. A l’aide de sa pioche il a pu déplacer la pierre et ouvrir un passage. A l'intérieur du boyau, il a découvert une urne de bronze du style 18e siècle d'environ 40 cm qui contenait quelques lettres (détruites par l'humidité), un petit coffret d’argent qui renfermait 6 monnaies d’or et 12 en argent, un grand chapelet et sa chaîne d’or et une grande cuillère à pot également en argent avec les initiales JP gravées sur le manche.

(Manque la Photo à voir sur le lien en haut)

Autre exemple de marque: Un signe en forme de A avec un point en bas

La recherche de météorites ... Une véritable fortune venue du ciel!

Extrait du site: [www.metaldetection.net]


(Manque photo à voir sur le lien)
Cañón Diablo en Amérique (Arizona), un immensse cratère fait par un météorite il y a des millions d'années

La chasse aux météorites:

Les aérolites ou météorites métalliques sont constitués dans leur grande majorité (quand ils sont pas de source minérale) de fer (70% environ) et de nickel (20% environ) + différents autres constituants selon leur origine. Attention de ne pas confondre avec de l’hématite, un genre de minerais de la terre, qui se présente sous forme de blocs noir et brillant, très répandu sur le globe.

Pour rechercher des météorites, le meilleur moyen c'est de ce rendre en zone montagneuse vierge de civilisation et d'y découvrir la forme d'anciens cratères qui avec le temps (centaines de milliers ou millions d’années) peuvent prendre la forme de simples affaissements généralement bien ronds de plusieurs dizaines ou centaines de mètres de diamètre qui peuvent se confondent avec d’anciens cratères volcaniques. Ces affaissements sont souvent remplis d'eau mais d'autres (selon le terrain et le lieu) restent secs.

Les météorites, ou plutôt les fragments sont rarement dans le cratère mais répartis sur de très grandes surfaces autour de l'affaissement. Un bon pulse vous sera d'un grand secours, si non indispensable, pour localiser en profondeur les fragments qui peuvent atteindre quelques grammes à plusieurs kilos. Les zones désertiques, et même l'Antarctique, peuvent être également prospectées avec succès car la civilisation ne les a pas encore atteinte et dans quelques cas le sable ayant disparu au cours des âges par l'effet du vent, les restes du météorite apparaissent bien visibles (matériel marron foncé) au milieu des rocailles ou comme posés sur le sable.

En Antarctique le problème est différent car pour y monter une expédition il faut de toute évidence de gros moyens. Les météorites sont très cotées et valent même des fortunes pour certaines. La web comporte plusieurs adresses de sites « Météorites » qui contiennent des propositions d’achat et vente de ces métaux venus de l’espace dont certains atteignent plus de 1.000 € le gramme !.

La caractéristique principale d'une météorite d'origine minérale est la présence, à sa surface, d'une fine couche noire que l'on nomme croûte de fusion. La météorite est en général entièrement recouverte par cette fine pellicule, et c'est seulement après avoir brisé la pierre que l'on apercevra son intérieur gris clair. Cette croûte de fusion se forme lorsque la météorite traverse l'atmosphère de notre planète : portée à de très hautes températures, la surface de la météorite fond, puis se transforme en verre lors du refroidissement.

Attention de considérer que d'autres météorites pierreuses d'origine martienne peuvent être recouverte non plus d'une couche brune foncée mais d'une fine pellicule blanche .... Pas commode à découvrir surtout qu'un détecteur ne vous sera en pareil cas d'aucune utilité. En fait il est plus facile de se consacrer au météorites métalliques qui en plus "payent" beaucoup plus.

Autre météorite martienne

Service de documentation Deepers Detector

La météorite NWA 817 a été sortie des sables du Sahara Marocain par deux chasseurs de météorites français, Bruno Fectay et Carine Bidaut, en décembre 2000. Elle aurait été découverte à l'intérieur d'un ancien enclos de nomades. La pierre, qui pèse seulement 104 grammes, présente une belle croûte de fusion noire.

Sur le marché des météorites, WA 817 atteint un prix faramineux, puisque le gramme se négocierait à plus de 17 000 € soit un prix total de 1.768.000 Euros ! Une belle fortune pour Bruno et Carine.

Il est difficile de dire quelle météorite peut se vendre ou non.

En principe les météorites métalliques se vendent facilement en rapport avec leur masse (leur densité). Plus élevée est celle-ci au-dessus de 9 ou 10 et plus on a de chance d'intéresser rapidement un acheteur qui sera la plupart du temps un laboratoire. Ce n'est toutefois pas une règle absolue car son origine dans la galaxie peut lui valoir les faveurs d’une super cotation.

Une photo détaillée est nécessaire dans un premier temps pour près identifier une météorite, avec son volume, sa masse et quelques détails sur sa découverte.

Suite météorites.....

Suite météorites.....

Si les probabilités sont bonnes, il faut ensuite faire classer la météorite (indispensable), c'est gratuit (transport aller et retour à votre charge) et on paye avec un fragment de la météorite de 10 à 20%. On envoie l'objet par la poste comme "Echantillon minéral" ... c'est sans problème.
L'expertise demande de 3 à 6 mois car ils sont submergés d'analyses qui se révèlent à 90% négatives (on croyait avoir trouvé une météorite mais c'est un simple cailloux, une scorie voir encore un minerai métallique natif).

Si la météorite est de premier ordre et unique, la vente est très rapide même si le prix est très important, voir exorbitant.

Le prix conseillé vous est donné en principe par le labo d’expertise si la trouvaille est splendide mais on peut discuter ou ne pas vendre. Les prix peuvent atteindre 10 ou 15.000 Euros le gramme pour certains spécimens uniques, pour d'autres on se contente de 1 USD le gramme et quelquefois moins encore. Un autre site Internet à voir absolument pour plus de détails (en bas de la page) :

Les météorites métalliques sont facilement repérables avec un détecteur performant, elles sont souvent profondes et présentent une apparence brillante du fait de leur fusion en entrant dans notre atmosphère.

Météorite magnétique:


Si un météorite réactionne à un aimant il s'agit certainement d'un métal constitué la plupart du temps de fer et nickel (ferro-nickel), le métal le plus commun des météorites métalliques. Si l'échantillon ne réactionne pas à l'aimant, il se pourrait qu'il s'agisse d'un métal beaucoup plus apprécié sur la terre et qui pourrait valoir un très gros prix au gramme. Si tel est le cas le pas suivant consistera à rechercher sa densité ce qui donnera une idée précise de sa classification dans la table des métaux et sa composition approximative. Rappelons que le fer possède une densité de 7,8, un ferro-nickel de 7,5 à 8 mais que les métaux rares tel le platin est à plus de 21 (21 grammes par centimètre cube de métal ou 21 Kg pour un volume d'un litre). En final il vous restera à consulter un laboratoire pour examiner de plus près votre trouvaille et en fixer le prix.

Si le thème des météorites retient votre attention nous vous conseillons également d'ouvrir cette excellente page:

[www.nirgal.net]

LA PIERRE PHILOSOPHALE : un mythe ?


Extrait du site: [overstorm.dyndns.org]

La pierre philosophale représente pour les alchimistes non seulement le moyen de réaliser la transmutation du plomb en or, mais elle est aussi une promesse d'immortalité. Jésus-Christ lui-même a appelé l'un de ses disciples Pierre, la base de son Eglise, de sa Philosophie : le parallèle est amusant, voir étrange. La fabrication apparaît comme un processus long et complexe. L'alchimiste doit tout d'abord extraire sa matière première des profondeurs du sol, puis procéder en quatre étapes: rendre la matière liquide, évaporer l'eau superflue pour obtenir un produit visqueux, séparer et purifier chacun des éléments de la matière, enfin réunir ces esprits purs pour former la pierre philosophale. C'est donc un expert qui doit maîtriser plusieurs techniques:

"L'œuvre au noir", qui est l'art de débarrasser la matière de ses impuretés;

"L'œuvre au blanc", qui permet de fabriquer la pierre blanche transmutant les métaux vils en argent;

"L'œuvre au rouge" qui produit la pierre rouge transmutant le mercure en or.

Le Grand Oeuvre est la transformation des métaux impurs en or, ce qui correspond au perfectionnement de l'homme, son Illumination Divine (ou le Nirvana pour les bouddhistes). Les Alchimistes plaçaient le Soufre, le Mercure et le Sel dans l'Oeuf Philosophique et celui-ci dans un fourneau appelé Athanor. En allumant le fourneau, le Grand Oeuvre commençait. Dans le cours de ces opérations, la matière prenait plusieurs couleurs, partant de la couleur noire, passant par la couleur blanche, et arrivant à la couleur rouge, la fin de I'œuvre. Après l'ouverture de I'Oeuf Philosophique, il y avait une opération de fermentation, lorsqu'on obtenait la Pierre Philosophale.

Un peu de symbolique :

Avant d'obtenir la couleur rouge, d'autres couleurs secondaires apparaissent. Le changement de couleur signifie l'obtention du perfectionnement graduel de l'Oeuvre, à travers un processus de distillation ou purification. Cette purification commence au moment où le Roi et la Reine (Soufre et le Mercure) descendent dans le sépulcre (Oeuf Philosophique) ; ce couple, parfois, est figuré par l'hermaphrodite, ou Rebis, et il devra engendrer le Mercure Philosophique. Il doit mourir dans le sépulcre pour engendrer la Pierre Philosophale : toute génération provient de la putréfaction ; la mort engendre la vie.

Après la naissance de la couleur rouge, les Alchimistes réalisent la fermentation de la Pierre, opération qui leur permet d'augmenter son pouvoir, de sorte à transformer plus rapidement les métaux. L'opération suivante, par laquelle les métaux impurs sont transformés en or, ou en argent, est appelée projection : il suffit de projeter une petite quantité de la Pierre dans la masse liquéfiée du métal qui doit être purifié. La Pierre Philosophale cure non seulement les métaux impurs, mais aussi l'homme de ses maladies physiques, morales et spirituelles ; elle prolonge sa vie, lui donnant l'immortalité. L'Adepte, en possédant la Pierre Philosophale, peut contempler le Monde Invisible, fermé aux autres hommes.

(manque une image où les signes alchimiques sont répértoriés: voir le lien : [overstorm.dyndns.org])

Visita interiorem terrae rectificando invenies operae lapidem qui signifie, littéralement, "Descends dans les entrailles de la terre, en distillant, tu trouveras la pierre de l'œuvre", possède un sens ésotérique: "Descends au plus profond de toi-même, et trouve la base solide sur laquelle tu pourras construire une autre personnalité, un homme nouveau." Prises l'une après l'autre, les premières lettres de la phrase latine forment le mot "vitriol". Un ingrédient secret ?

CONCLUSION

Nul n’est besoin de vous dire que je vous conseille fortement la lecture de cet ouvrage de Paulo Coelho qui est à lire et à relire tant il empli notre cœur de sagesse et notre esprit, d’une compréhension nouvelle. La connaissance alchimique s'établira par l'aptitude à faire vibrer notre corde intérieure en harmonie avec celle de l'être que l'on désire connaître, qu'il s'agisse d'un humain, d'un animal, d'une plante ou pourquoi pas d'une pierre.

J’attends vos remarques. Nous n’avons peut-être pas tous compris les enseignements de ce livre de la même façon et je me suis peut-être fourvoyer. Mais l’important n’est pas de savoir qui a raison, mais plutôt d’avancer vers sa légende personnelle… et n’oubliez pas que « Une quête commence toujours par la chance du débutant et s’achève toujours par l’épreuve du conquérant. »

« Peu importe ce que tu fais, mais il est important que tu le fasses » et peu importe les écueils, il faut toujours avancer.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/05/08 17:53 par N7abb-bladi.

Liste des trésors recherchés à Rennes-le-Château

Extrait du site: [www.octonovo.org]

Cette liste n'a pas la prétention d'être complète, car l'affaire de Rennes-le-Château a suscité, suscite et suscitera de très nombreuses hypothèses de travail. Néanmoins, vous trouverez ci après un certain nombre des thèses émises à ce jour. Si vous avez eu écho d'autres thèses, n'hésitez pas à me les communiquer.
On peut globalement les classer en trois catégories: Les thèses "historiques", les thèses "pas de trésor", les thèses "mystico-occultes".
Certaines des thèses reproduites ici pourront vous surprendre. Je n'ai personnellement essayé de donner qu'un bref aperçu de chacune, en restant le plus neutre possible, car mon but est simplement d'être documentaliste.

LES THÈSES HISTORIQUES

Le trésor de la Reine Blanche de Castille.

Blanche de Castille ayant à faire face à la révolte des pastoureaux, fait mettre le trésor royal à l'abri dans la cité fortifiée de Rhaede où elle demeure. Il y sera finalement oublié, et alors perdu pour la postérité à partir du Roi Philippe le Bel, puis redécouvert par Bérenger SAUNIERE dont il serait à l'origine de la fortune.
C'est une des premières pistes qui ait été explorée. Elle semble historiquement très aventureuse.
VOIR: M. Noël Corbu.

Le trésor des templiers.

Il est recherché sous différentes formes dans les environs de Rennes-le-Château, souvent vers le château du Bézu qui a la réputation d'avoir été templier (sujet souvent débattu, mais il semble bien que le dit château n'ait jamais été une commanderie templière). Les versions diffèrent trop selon les chercheurs pour pouvoir être résumées ici.

Détail intéressant : avant de s'intéresser à l'affaire de Rennes et de la rendre célèbre, Gérard de Sède avait publié "les templiers sont parmi nous" avec le sulfureux Pierre Plantard pour documentaliste.

Le trésor des faux monnayeurs du Bézu.

Cette thèse est fondée sur un fait historique bien étayé: Au XIVe siècle, un dénommé Guillaume CATALANI, neveu du Pape BENOÎT XII, est surpris en train de fabriquer de la fausse monnaie dans le château du Bézu, près de Rennes-le-Château. A cette époque les faux monnayeurs sont généralement condamnés à mort. Celui-ci y échappa, probablement grâce à la situation de son oncle, mais aussi parce que la monnaie qu'il fabriquait était, semble t'il, de bon aloi. Le but n'aurait donc pas été de tromper sur la teneur réelle en or contenue dans la monnaie, mais de donner cours légal à un bon or dont l'origine n'est toujours pas connue à ce jour. Bérenger SAUNIERE aurait alors retrouvé la source de cet or...
VOIR: Histoire du trésor de Rennes-le-Château. Pierre Jarnac, Éditions Bélisane, mars 1985 (page 316).

Le Berger Paris.

Du nom d'un berger qui, à la recherche d'une brebis égarée l'aurait retrouvée dans une grotte au fond de laquelle se trouvait une quantité importante d'or ainsi que des squelettes humains. Revenu au village avec son bonnet plein de pièces, il refusa de répondre aux questions des villageois qui le mettent à mort. Gérard de Sède se sert beaucoup de cette histoire pour prouver la présence d'un vieux trésor à proximité de Rennes-le-Château. Pierre Jarnac situe l'affaire vers 1645.
VOIR: L'or de Rennes, ou la vie insolite de Béranger Saunière... Gérard de Sède. Editions Julliard, Paris 1967 (page 75 et 170).
Histoire du trésor de Rennes-le-Château. Pierre Jarnac, Éditions Bélisane mars 1985 (page 106).

Le trésor de Jérusalem.

Lors de la mise à sac de Jérusalem en 70 E.C., Titus emporte une partie du trésor de Jérusalem. Ce fait historique est attesté. Il aurait ensuite été récupéré par les Wisigoths, lors du sac de Rome en 410. Ceux-ci l'auraient alors ramené dans leurs terres du sud-ouest et auraient été obligés de l'enterrer pour faire face à l'avancée des francs (bataille de Vouillé en 508 A.E.C.). A l'époque Rhaede aurait été une ville forte de suffisamment d'importance qui aurait pu servir de refuge au dit trésor.
Vis à vis de Rennes le Château, cette thèse est d'abord développée par Gérard de Sède dans plusieurs de ses livres. Elle a été reprise et discutée par de nombreux auteurs. Elle a pour origine l'ouvrage de Firmin JAFFUS: "La cité de Carcassonne a t'elle renfermée une partie du trésor de Jérusalem?", qui lui même s'appuie sur une tradition locale plus ancienne.
VOIR: Firmin JAFFUS: "La cité de Carcassonne a t'elle renfermée une partie du trésor de Jérusalem?".
L'or de Rennes, ou la vie insolite de Béranger Saunière curé de Rennes le Château. Gérard de Sède. Éditions Julliard, Paris 1967.

Suite trésors Rennes....



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/05/08 18:36 par N7abb-bladi.

Suite trésors de Rennes...

Le tombeau de Roland.

Celui de la chanson et du col de Roncevaux. J'ai peu d'information sur cette thèse, mais je sais qu'elle inspire encore certains chercheurs actuellement. Chose curieuse, le tombeau de Roland était indiqué au lieu dit Lavaldieu dans un "cartoguide Shell" des années 80.
VOIR: Article dans La Dépêche du Midi, le 5 Juin 1978
Le trésor caché à la révolution.

L'abbé Saunière aurait retrouvé le trésor caché par son prédécesseur Antoine BIGOU, prêtre réfractaire à la révolution. En effet, lors de la révolution française, les biens de l'église furent souvent accaparés et les curés avaient l'obligation de prêter serment à la république naissante. Le curé de Rennes-le-Château de l'époque refusa de prêter ce serment (1792) et fût obligé de s'exiler en Espagne ou il mourut en 1794. Il n'est pas invraisemblable de penser qu'avant de partir, il cacha les biens de son église à l'intérieur de celle ci avec un message caché à l'intention de son successeur pour des temps plus cléments.

VOIR: L'or de Rennes, ou la vie insolite de Béranger Saunière curé de Rennes le Chateau. Gérard de Sède. Editions Julliard, Paris 1967.
Histoire du trésor de Rennes-le-Château. Pierre Jarnac. 1985.
Rennes le Château et l'énigme de l'or maudit. Jean Markale, 1985. (Page 108 et suivantes)

Le trésor en pièces d'or arabes.

A au moins deux reprise dans les environs de Rennes-le-Château ont été trouvées des pièces d'or arabes amalgamées dans du bitume. Ces deux affaires, semblables mais intervenant à plusieurs années d'écart, n'ont jamais reçu d'explication satisfaisante. La première trouvaille eut lieu en 1860 au Bézu par M. ROUGE.
VOIR: Article du Midi Libre, le 16 Mai 1986.

Le trésor des Cathares.

Ce trésor est célèbre et recherché. Lors de la chute de Montségur en 1244, quatre cathares s'échappent avec un "trésor" (on ne sait pas de quoi il était exactement constitué: or, documents....) qu'ils cachent des croisés. Le mont BUGARACH aurait eu une importance sacrée pour les cathares qui auraient choisi de l'enterrer par là.

Il est à remarquer d'une part que Montségur et Bugarach sont franchement éloignés et que le trajet aurait présenté beaucoup de risques dans un pays contrôlé par les croisés. D'autre part, lors de la croisade, Rennes n'est déjà plus une ville d'importance. La chanson de la croisade rapporte la prise du château du Bézu (dès le début des hostilités la région est contrôlée par les armées de Simon de MONTFORT qui attaquent aussi Coustaussa), mais ne signale même pas Rennes-le-Château.
Le trésor des Volkes tectosages.

Un proconsul romain du nom de Cæpion a retiré d'un lac votif 80 tonnes d'or et d'argent refondues immédiatement pour beaucoup en lingots.Ces derniers auraient disparu durant leur transport vers le port de Narbonne à la suite d'une attaque des Volkes tectosages ulcérés par cette profanation. Ils se seraient alors retirés par la haute vallée de l'Aude et auraient caché le dit trésor dans cette région facile à défendre.

LES THÈSES SANS TRÉSOR.

Le trafic de messes (1).

L'abbé Saunière se serait enrichi illégalement en procédant à un vaste trafic de messes. A l'époque, les curés pouvaient demander des messes à dire pour arrondir leurs fins de mois, procédé dont aurait abusé le curé de Rennes-le-Château.
Ce qui est certain c'est qu'il a effectivement demandé beaucoup de messes, plus qu'il n'aurait pu en dire. Les discussions vont toujours bon train pour savoir si cela aurait été suffisant pour financer ses travaux et son train de vie. C'est sous cette accusation que son évêque Mgr de Beauséjour lui intentera un procès.
VOIR: Carnets de correspondance 1915-1917
La semaine religieuse de Carcassonne de février 1911
L'incroyable destin de l'abbé Saunière Le procès 1909-1910, éditions Belisane 1994.
Notice sur Rennes-le-château et l'abbé SAUNIERE (René Descadeillas)

Le trafic de messe (2).

Étant avéré que l'abbé Saunière demandait plus de messes qu'il ne pouvait en honorer (voir par exemple ses carnets de correspondances, voir aussi l'annonce parue dans la semaine religieuse de Carcassonne), il semble aussi qu'il en redistribuait à divers de ses confrères. Cette approche de la thèse du trafic de messe a plusieurs implications: D'une part, les messes demandées auraient été honorées. D'autre part, en procédant ainsi, Béranger Saunière aurait court-circuité l'autorité de son évêque, car généralement c'est l'évêché qui redistribuait des messes à ses curés. C'est en particulier l'une des propres thèses de défense de Bérenger SAUNIERE.
VOIR: Claire CORBU, Antoine CAPTIER, L'héritage de l'abbé Saunière. éditions Bélisane 1985.
L'incroyable destin de l'abbé Saunière Le procès 1909-1910, éditions Belisane 1994.

Suite trésors Rennes...

Suite trésors Rennes...

Trafic d'or avec l'Espagne.

L'abbé Saunière se serait enrichi en faisant un trafic d'or avec l'Espagne. Une enquête de gendarmerie de la brigade de Couiza aurait eu lieu dès 1917.Les autorités espagnoles auraient, à leur tour mené une enquête dans ce sens vers 1930.
VOIR: Article in L'indépendant, 22 Mars 1980.

La famille princière des HABSBOURG.

Pour des motifs qui restent à éclaircir, l'abbé SAUNIERE aurait été en contact avec cette famille illustre qui lui aurait commandé des travaux et l'aurait financièrement entretenu . A l'appui de cette thèse, le souvenir d'un personnage reçu au village par l'abbé qu'on surnommait l'étranger à cause de son accent prussien . Certains parlent aussi d'un compte en banque qu'il aurait possédé en Hongrie.

Le pillage de tombes

En 1895, l'abbé SAUNIERE entreprit de restaurer le cimetière de Rennes-le-Château qui était en mauvais état. Ces travaux nocturnes réalisés avec l'aide de sa bonne Marie DENERNAUD firent scandale et provoquèrent des réactions vives et indignées du conseil municipal de l'époque. Certains émettent l'hypothèse selon laquelle le curé aurait pu profiter de ces travaux pour réaliser des fouilles, voire tout simplement piller des tombes.
A remarquer qu'en 1895, l'abbé avait déjà engagé des dépenses importantes, en particuliers pour la rénovation de l'église.
VOIR: Deux lettres de plainte du conseil municipal concernant les travaux de l'abbé SAUNIERE dans le cimetière.
Notice sur Rennes-le-château et l'abbé SAUNIERE (René Descadeillas)
M. Noël Corbu.

LES THESES MYSTICO-OCCULTES

POUSSIN et TENIER.

Il existait jusque vers 1990, au lieu-dit Les Pontils un tombeau qui évoquait le tableau des bergers d'Arcadie. Certains ont essayé de faire une relation entre cette construction tardive, Nicolas Poussin et Fouquet, leurs relations, la fortune subite de ce dernier et sa disgrâce subite et définitive.


La Vraie Langue Celtique.

Le curé de Rennes-les-bains, est l'auteur d'un ouvrage déjà très controversé lors de sa sortie en 1886: La vraie langue celtique et Le Cromleck de Rennes-les-Bains. Par cet ouvrage, l'abbé BOUDET, conformément à la mode "celtisante" de l'époque, souhaitait réhabiliter une langue celtique originale. Mais les nombreuses curiosités de l'ouvrage ont amené certains chercheurs à penser qu'il pouvait s'agir là d'un ouvrage codé menant à un secret ésotérique.
Cette thèse est probablement l'une des plus exploitée ces dernières années.
VOIR: L'alphabet solaire. J.L. CHAUMEIL et J. RIVIERE, Guy Trédaniel éditeur (1996).

Le Chemin de Croix et le plan de l'église.

Cette thèse, qui est due à Gérard de Sède, veut que le curé ait véritablement caché le plan d'accès au trésor dans le symbolisme ésotérique de son église, tant dans son plan que dans sa décoration.
VOIR: L'or de Rennes, ou la vie insolite de Béranger Saunière curé de Rennes le Chateau. Gérard de Sède. Editions Julliard, Paris 1967.
Clef du Royaume des morts, dossier n°3. A. GÖTE, SPATZ, éditions atelier empreinte.

Le trésor alchimique.

L'abbé Saunière aurait été détenteur du fabuleux secret qui permet la transmutation des métaux vils en or. Il existe des témoignages concernant la présence de livres d'alchimie dans la bibliothèque de l'abbé Saunière, sans que j'ai pu réunir d'indices concernant leur quantité et leur qualité présumée.
VOIR: Les faiseurs d'or. Richard KHAITZINE, ADJ 1990

Les relations occultes.

Dans de très nombreux livres, il est fait état des relations supposées de Bérenger SAUNIERE avec les milieux occultistes de son temps. Or les traces de celles-ci sont inexistantes à ce jour. En revanche, Alfred SAUNIERE son frère, prêtre lui aussi, fréquentera le gratin de la franc-maçonnerie occultiste en étant un familier de la famille de CHEFDEBIEN. De même, il était l'amant de la marquise de BOURG DE BOZAS, martiniste notoire. Dans son mémoire de défense pour son procès de 1909-1910, Bérenger SAUNIERE déclare que sur 193.000 F de revenus, 20.000 lui proviennent de M.de C. (Marquis de Chefdebien?) et 30.000 F de son frère Alfred (mort en 1905).

A noter, encore de nos jours, l'intérêt particulier que ces mêmes milieux occultes ou leurs successeurs, (voire des mouvements les plus divers, sans relation avec l'occultisme) portent à Rennes-le-Château.
A noter aussi que suite à un scandale mal éclairci, l'abbé Alfred SAUNIERE eut de gros problèmes avec sa hiérarchie (vers 1890-95).
VOIR: Maçonnerie égyptienne, Rose-Croix et néo-chevalerie. Gérard GALTIER, 1994, éditions du Rocher.

Suite trésors Rennes...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/05/08 18:27 par N7abb-bladi.

Suite trésors Rennes..

Le prieuré de Sion (1): Le mythe de la conspiration.

L'abbé SAUNIERE aurait été en relation avec une société secrète toute puissante et influente du nom de Prieuré de Sion, à laquelle auraient appartenu Claude DEBUSSY, Emile HOFFET et Emma CALVE, ... Cette dernière aurait financé les travaux de l'abbé pour des raisons qui sont mal élucidées (cela dépend des auteurs).

A noter que la création officielle du prieuré de Sion date de 1956... tout simplement sous la forme d'une association de loi 1901. Son grand maître Pierre Plantard présente la particularité d'avoir été le documentaliste de Gérard de SEDE, d'Henry LINCOLN et de quelques autres auteurs.
VOIR: L'Enigme Sacrée, M. BAIGENT, R. LEIGH, H LINCOLN éditions Pygmalion 1983.
Le Message de l'Enigme Sacrée. M. BAIGENT, R. LEIGH, H LINCOLN éditions Pygmalion 1987
Les dessous d'une ambition politique, M. PAOLI, éditeurs associés, 1973.

Le Prieuré de Sion (2): Les parchemins secrets.

L'une des raisons avancée pour expliquer l'aide que le Prieuré de Sion aurait apportée à Bérenger SAUNIERE, tient à ce qu'il aurait retrouvé des parchemins et des archives appartenant à l'ordre lors des travaux de son église. Selon les versions, il aurait commencé les travaux sur leurs indications et se serait fait rémunérer, ou bien il les aurait revendu après avoir retrouvé les dits parchemins lors des travaux de son église.
A remarquer que cette thèse a généré beaucoup de documents apocryphes qui sont aujourd'hui considérés comme des faux.
VOIR: L'Enigme Sacrée, M. BAIGENT, R. LEIGH, H LINCOLN éditions Pygmalion 1983.
Le Message de l'Enigme Sacrée. M. BAIGENT, R. LEIGH, H LINCOLN éditions Pygmalion 1987

Le prieuré de Sion (3): La descendance mérovingienne.

La fondation du Prieuré de Sion remonterait à la destitution du dernier des rois mérovingiens, DAGOBERT II par les usurpateurs carolingiens. Sa mission aurait alors été de faire remonter sur le trône cette famille "légitime". Bérenger SAUNIERE aurait retrouvé dans son église des documents établissant la généalogie menant de DAGOBERT II à la famille Plantard et les aurait alors revendu au Prieuré de Sion.
Là encore, les apocryphes qui ont circulé (LOBINEAU entre autre) sont des faux.
VOIR: L'Enigme Sacrée, M. BAIGENT, R. LEIGH, H LINCOLN éditions Pygmalion 1983.
Le Message de l'Enigme Sacrée. M. BAIGENT, R. LEIGH, H LINCOLN éditions Pygmalion 1987

Le prieuré de Sion (4): La descendance Christique.

En continuité avec l'hypothèse précédente, et en relation avec la suivante, la famille PLANTARD descendrait en ligne directe du Christ (qui ne serait pas mort sur la croix) et de Marie Madeleine (sa femme légitime). Ceux-ci seraient venus s'installer vers 40 E.C. en Provence. Bérenger SAUNIERE, en trouvant les preuves de ce fait etc... conspiration etc... Prieuré de Sion etc... bla bla bla (tient? j'ai craqué!).
Ah! Au fait, tant qu'on y est: les apocryphes qui ont pu circuler à ce sujet...
VOIR: L'Enigme Sacrée, M. BAIGENT, R. LEIGH, H LINCOLN éditions Pygmalion 1983.
Le Message de l'Enigme Sacrée. M. BAIGENT, R. LEIGH, H LINCOLN éditions Pygmalion 1987

Le tombeau de Jésus.

Bérenger SAUNIERE aurait retrouvé le tombeau du Christ. Cette hypothèse s'appuie en partie sur la tradition des Saintes Maries de la mer. Après la crucifixion, celles-ci (Marie de Magdala et la Sainte Vierge) quittent la Palestine à bord d'un bateau et abordent en Provence. La variante est ici qu'elles sont accompagnées du Christ qui a survécu à la crucifixion (une idée défendue par certains depuis longtemps). Leur tombeau serait situé, selon les versions, soit à Rennes-le-Château même (sous l'église, dans un champ à proximité), soit dans les environs (Rennes-les-Bains, Pech Cardou).
Cette thèse nie donc la divinité de Jésus et sa résurrection.


Le haut lieu tellurique.

Pour certains, Rennes-le-château et ses environs sont un haut lieu tellurique et magique, et ce depuis la nuit des temps, en particuliers grâce au fameux "Cromleck".
C'est en particulier pour cette raison que la "Rainbow family" entretient continuellement un camps de base dans les environs de Rennes-les-Bains

La recherche en aveugle avec un Deepers


extrait du site: [www.metaldetection.net]


Ne pas oublier que le sous sol change en permanence (résistivité, magnétisme, conductivité, minéralisation, humidité ...etc) sans pour autant que l’on s’en aperçoive fatalement en surface. La détection performante et profonde demande donc plus d’attention. Une très bonne méthode consiste à « Rechercher en aveugle » c’est à dire que l’on opérera comme un aveugle qui avance pas à pas en manœuvrant sa canne de gauche à droite pour « détecter » les obstacles qui pourraient représenter un éventuel danger à sa progression. De même le chercheur averti opérera en manœuvrant la tête de détection d’un mouvement uniforme de gauche à droite à 5/10 cm du sol environ (en terrain libre) et à une vitesse de 1 mètre seconde en moyenne (plus lentement pour des terrains rocailleux ou fortement minéralisés). Toute cible, même profonde, sera localisée par votre Deepers par forte augmentation subite du son aux écouteurs juste au passage de la tête au-dessus de la cible et même si elle est très profonde. On règle le son à sa convenance avec le bouton AJUST et le niveau de discrimination avec le bouton DISCRI pour éliminer les boîtes de conserve et autre gros déchets. C'est très performant et confortable.

Nicolas - Tête Hyper sensitive Deepers MF

Citation
N7abb-bladi a écrit:
Merci Afroboy,



tu as fait un très intéresant résumé de ce topic et je te remercie.

Il reste à te demander si tu connais des histoires de recherche de trésor hantés par les gardiens dit Jnoun? si oui, raconte nous toutes les histoires pour bien approfondir les connaissances de ce sujet. De même pour les autres yabiladiens, on vous demande de nous raconter vos histoires.

Merci.

mon mari connait quelqu'un, cependant, tout ce que je sais c'est que cette personne eest tres cale dans l'islam, pour pouvoir ressortir vivant de ces endroits, je demanderais à mon mari, il viendra vous en dire plus

Ce sujet me passionne pour d'éventuel recherche voici un bon début quelques cartes ancienne difficile a supperposer aux nouvelles cartes car le nom des villes on changer et l'échelles des cartes n'est pas respecter (compréhensible)
Par exemple Fidellah = Mohammedia

cartes ancienne du maroc : [www.lexilogos.com]

Des cartes anciennes intéressantes
le nom des villes on beaucoup changer donc difficile à déterminer qui est qui
Exemple Fidallah = Mohammedia

lexilogos
lexilogos

[www.lexilogos.com]

Citation
tea51 a écrit:
Ce sujet me passionne pour d'éventuel recherche voici un bon début quelques cartes ancienne difficile a supperposer aux nouvelles cartes car le nom des villes on changer et l'échelles des cartes n'est pas respecter (compréhensible)
Par exemple Fidellah = Mohammedia

cartes ancienne du maroc : [www.lexilogos.com]

On attend l'intervention de géographes, historiens, ethnologues, archéologues, ...qui connaissent bien ce sujet et le changement des noms de localités (Toponomie) au cours de l'Histoire.

Alors, On demande plus d'explications d'un spécialiste ou d'un expert.

Citation
tea51 a écrit:
http://www.lexilogos.com/maroc_carte.htm

Tu nous a donné les cartes, alors on attend maintenant le lieu du trésor....et c'est fifty/fifty...

En voyant ces cartes, j'ai pensé à un film western dont le but est de chercher un trésor: le bon, la brute et le turand...Il y avait 2 acteurs dans ce film....un qui connaissait la cimetière où se trouve le trésor, l'autre (Blandin) connaissait le nom de la tombe où est caché ce trésor et un troisière (Birth Lancaster) les suivaient en cachette pour les tuer et le récupérer tout seul.

C'est le 3ème qui va mourir et les 2 premiers qui vont prendre le trésor après un duel à tois des plus mystérieux puisque chacun doit tuer les 2 autres...Mais, comme Blandin avait déjà pris les balles de son ami et que ces derniers ne le savait pas, alors Blandin savait qu'il n'avait qu'un seul ennemi à tuer (celui qui les suit)...alors que les 2 autres pensaient qu'ils avaient 2 ennemis chacun à tuer...Un film Extra sur les trésors à voir absolument....

Voici un document qui donne des informations et des noms traduits en plusieurs langues. Il y a même les noms des lieux en plusieurs langues. Il pourra aider ceux qui ont des documents de recherche de trésor ayant des noms dans l'une des langues.


[www.hezkuntza.ejgv.euskadi.net]

Découverte d'un dépôt de l'âge du bronze contenant 500 objets dont 268 haches


Extrait du site: [www.metaldetection.net]


La plus grande concentration de haches de l'Âge de Bronze a été trouvée cette semaine par un conducteur de bus dans le comté de Dorset, au sud de l'Angleterre.

Le conducteur Tom Pierce, qui attendait près de son véhicule que revienne un groupe d'enfants d'une fête dans une ferme voisine, a demandé au propriétaire agricole du lieu de lui prêter son détecteur de métaux pour passer le temps (un VLF ludique).

Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir dans un champ non loin de son véhicule, quelques objets en bronze. Malgré sa persévérance il ne trouva plus rien.

Il les présenta à un ami archéologue qui vivait près de chez lui. Le lendemain matin Monsieur Pierce revint au même endroit accompagné de son ami qui avait pris la précaution de se munir d'un puissant détecteur de métaux à inductions pulsées. Durant les trois jours suivants, ils réussirent à déterrer entre 70 cm et un mètre de profondeur, environ 500 objets en métal de l'âge du bronze (1.000 avant J.C.), dont 268 têtes de haches en parfait état (voir la photo).

Les dépôts étaient concentrés en trois endroits différents distants d’une 50 de mètres l’un de l’autre. Il s'agissait certainement d'un ou plusieurs ateliers de fondeurs reconnaissable par la similitude de fabrication des différents groupes d'objets retrouvés. Cette très belle collection en parfait état est évaluée à plus de 100.000 Dollars.

Monsieur Peirce, comme le veut la loi, répartira équitablement le produit de la vente avec le propriétaire de la ferme, Monsieur Alfie O'Connell et son ami archéologue, après que l’inventaire détaillé soit réalisé et officialisé.

Il retrouve la mémoire et indique l’emplacement d’un trésor:

histoire racontée en relation avec un membre du site: [www.metaldetection.net]

Ceci est l’aventure peut banale qui est arrivée à l’un de nos clients.

Son grand père avait caché en 1940 un vieux fusil dans un trou du potager attenant à leur maison située dans l'Est de la France. Il indiqua le lieu à son plus jeune fils âgé de 11 ans à l’époque.

Puis quelques mois plus tard il décéda non des causes de la guerre qui venait d’éclater mais d’une embolie qui l’emporta dans la nuit de la Saint Sylvestre.

Banale comme histoire me direz vous et bien non car elle ne fait que commencer.

Les troupes occupantes réquisitionnèrent la maison en laissant une seule pièce et un appentis à la veuve et à son enfant.

Une nuit le jeune garçon surpris l’un des gradés de la troupe cacher quelque chose dans le potager. Il n’en broncha mot à sa mère pour ne pas trahir ses escapades nocturnes et finit, avec le temps, par oublier ce détail.

Atteint de la maladie d’Alzheimer il fut conduit en 2005 à l’âge de 75 ans dans une institution spécialisée. Son fils de 50 ans le visitait chaque fin de semaine et c’est alors que son père qui retrouvait une extraordinaire mémoire mais seulement pour des faits datant de plus d’un demi siècle (phénomène bien connu chez les personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer), lui conta l’histoire du fusil et deux semaines plus tard l’histoire du soldat allemand.

Très curieux et voulant en savoir plus sur les dires de son père il se rendit dans l'Est de la France et retrouva l’ancienne maison de son grand père. Les occupants, intrigués par cette histoire le laissèrent visiter les lieux et l’ancien potager transformé de nos jours en jardin d’agrément. Ne retrouvant aucun des repères indiqués par son père il acheta un détecteur Deepers à notre compagnie et profitant d'un grand week-end il revint deux mois plus tard. Au bout du quatrième trou il localisa le fusil qui se trouvait à une bonne cinquantaine de centimètres de profondeur puis plus loin, après quelques trous qui contenaient divers ferrailles, le détecteur signala une autre cible encore plus profonde. Aidé par le propriétaire qui se prenait à l’aventure, ils déterrèrent une grande boite de fer blanc, ou du moins ce qu’il en restait, qui contenait 2 plats d’argent, 48 couverts de même métal et 184 Louis d’or.


Un grand merci à "Mathieu" pour nous avoir raconté son histoire et toutes nos félicitations.

(Ne voulant pas trahir notre informateur - Le prénom utilisé n'est qu'un pseudonyme)