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histoires....
g
14 mars 2008 11:14
Deux grandes jarres

Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules. L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse cargaison en cours de route.

Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages. Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle
parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille. Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la
moitié de ce dont elle était censée être capable.

Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau, au moment où celui-ci la remplissait à la source.

"Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser."
"Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?"
"Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui fait fuir l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et, à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau. Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts», lui dit la jarre abîmée.

> Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein de compassion, répondit: "Pendant que nous retournons à la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs magnifiques qu'il y a au bord du chemin".

Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit du baume au cœur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau.

Le porteur d'eau dit à la jarre "T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune du côté de la jarre parfaite? C'est parce que j'ai toujours su
que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti. J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et, chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin.
Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses."

Morale de l'histoire: Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées. Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres
ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.

Il vaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il y a de bien et de bon en eux.
g
14 mars 2008 11:16
petite histoire émouvante

Il était une fois un homme très pauvre qui vivait avec son épouse. Un jour, son épouse, qui avait de longs cheveux, lui demanda de lui acheter un peigne pour parvenir à se coiffer. L’homme, très désolé, lui dit qu’il n’avait même pas assez d’argent pour réparer le bracelet de sa montre qu’il venait de casser. Emue elle aussi, elle n’insista pas pour sa demande.


L’homme alla à son travail en passant chez l’horloger. Il lui revendit sa montre abîmée à bas prix et s’en alla acheter un peigne pour son épouse.


Le soir, il revint à la maison, le peigne dans la main, prêt à l’offrir. Quelle fut sa surprise lorsqu’il vit que son épouse s’était coupée les cheveux très courts, les avait vendus et tenait en main un nouveau bracelet de montre.

Des larmes coulèrent simultanément de leurs yeux, non pas pour l’inutilité de leur acte, mais pour la réciprocité de leur amour.
g
14 mars 2008 11:17
Me plaindre moi... Plus jamais !


J'ai vu aujourd'hui dans un autobus, une très jolie jeune fille, avec une chevelure blonde.
Je l'ai trouvé chanceuse, elle semblait si gaie ; j'ai regretté de n'être pas si jolie.

Quand soudainement elle s'est levée pour descendre.
Je l'ai vue boiter tout au long de l'allée s'appuyant sur une béquille; elle n'avait qu'une jambe. En passant, elle m'a souri.
Mon Dieu, excusez-moi de me plaindre, j'ai deux jambes, le monde est à moi.

Je suis entré dans une boutique pour acheter des bonbons. Le garçon qui m'a servi était très gentil. J’ai conversé avec lui… que je sois en retard n'était pas important.
Quand je l'ai quitté, il m'a dit:" Je vous remercie madame ; vous avez été des plus gentille. Ça fait du bien de parler à des gens comme vous parce que vous voyez… je suis aveugle".
Mon Dieu, excusez-moi de me plaindre, j'ai deux yeux, le monde est à moi.

Plus tard, marchant dans la rue, j'ai vu une jeune fille avec des yeux tellement beaux et tellement bleus. Elle regardait les autres enfants jouer. Il me semblait qu'elle ne savait pas quoi faire. Je lui ai demandé : ''Pourquoi ne jouez-vous pas avec les autres ?'' Comme elle ne me répondait pas, j'ai compris qu'elle était sourde.
Mon Dieu, pardonnez-moi si je me plains, j'ai deux oreilles, le monde est à moi.

J’ai deux jambes pour m'amener où je veux
J’ai deux yeux pour voir se lever et se coucher le soleil.
J’ai deux oreilles pour entendre le chant des oiseaux.
Mon Dieu, pardonnez-moi si je me plains, vous êtes là et le monde est à moi.
g
14 mars 2008 11:17
La Brûlure

Un jour, une princesse se promenait seule dans la forêt. La nuit commença à tomber, et elle se rendit compte alors qu'elle était loin de chez elle et se mit à pleurer car elle n'arrivait plus à retrouver son chemin. Seule dans cette forêt, elle avait froid, faim et très peur. Elle marchait dans le but de retrouver son chemin quand soudain, elle aperçut une lumière au loin.

Elle s'en approcha et vit une petite maison ; elle toqua à la porte et un jeune homme lui répondit, il s'étonna de voir une jeune fille à cette heure tardive de la nuit et lui demanda ce qui lui était arrivé.

Elle répondit en sanglotant qu'elle s'était perdue, et il la fit donc entrer chez lui.
Il vivait seul, il se rappela cette phrase : « Quand deux personnes sont seules, Shaitane est la troisième personne ».

Il lui donna à manger, à boire ainsi que des vêtements chauds et lui présenta une chambre ou elle passerait la nuit. Il s'assura qu'elle ne manquait de rien, puis il partit faire la prière. Shaitane lui dit de se dépêcher, car la princesse est seule dans l'autre pièce : c'est une belle fille, parfumée, séduisante.

Pour combattre Shaitane, le jeune homme enchaîna une prière à la suite d'une autre, pendant une bonne partie de la soirée. Mais Shaitane continuait toujours à l'inciter à tenir compagnie à la princesse, et à commettre un péché.

C'est alors qu'il alluma une bougie, mit son doigt dans la flamme pendant quelques secondes jusqu'à ressentir une violente brûlure, puis retourna faire la prière jusqu'au lendemain matin.

Comme il faisait jour, il reconduisit la princesse chez elle ; celle-ci raconta tout ce qui s'était passé à son père, et lui dit qu'elle avait vu le jeune homme mettre son doigt dans la flamme d'une bougie, et avoir très mal.

Le Roi convoqua alors le jeune homme et lui demanda pourquoi il s'était volontairement brûlé le doigt. Il répondit que c'était une affaire entre lui et Allah.

Mais le Roi voulait absolument comprendre et força le jeune homme à répondre.

Alors, il expliqua :

« La punition du péché est le feu de l'Enfer : pour m'empêcher de commettre un péché, j'ai voulu ressentir la sensation du feu : c'est pour cela que j'ai mis mon doigt dans la petite flamme de la bougie, ceci m'a fait mal, même si c'était une petite flamme, alors j'ai pu imaginer un petit instant la punition du feu de l'Enfer ! »
Le pauvre jeune homme avait le doigt tout brûlé.

La princesse, qui avait tout entendu, se convertit à l'Islam et, touchée par la délicatesse de ce jeune homme, l'épousa.

forcez-vous à éviter les péchés...
a
14 mars 2008 11:19
Citation
graziella a écrit:
MAGNIFIQUE...

BarakAllah ou fik pour ces rappels

winking smiley

barakAllah oufik pour ces belles histoires graziella smiling smiley
j
14 mars 2008 11:20
Barak Allah oufik graziella pour tes histoires, je vois que ton sac etait plein d'histoire... thumbs up

Barak Allah oufik Nice_Dido pour avoir ouvert ce post et pour ton histoire excéllente thumbs up
[center]:A:[color=#CC0000][b]Celui qui guide une personne à faire le bien est semblable à celui qui le fait lui même[/b][/color]:A:[/center]
g
14 mars 2008 11:41
Citation
jamal.b a écrit:
Barak Allah oufik graziella pour tes histoires, je vois que ton sac etait plein d'histoire... thumbs up

Barak Allah oufik Nice_Dido pour avoir ouvert ce post et pour ton histoire excéllente thumbs up

en effet j'en ai plein mon sac et dés que je peux je paratge tout cela avec vous... winking smiley
n
14 mars 2008 13:17
Citation
jamal.b a écrit:
Barak Allah oufik graziella pour tes histoires, je vois que ton sac etait plein d'histoire... thumbs up

Barak Allah oufik Nice_Dido pour avoir ouvert ce post et pour ton histoire excéllente thumbs up


salam

barak Allah oufik ghazalia pour les histoire elles sont très riches en leçons

et barak Allah oufik jamal.b et merci toi aussi ton histoire est trop bonne

merci ana et baraka Allah oufik aussi

smiling smiley
n
17 mars 2008 15:10
salam alaykom

alors personne na des histoires????perplexe
k
17 mars 2008 18:39
Citation
graziella a écrit:
Retenez Vos Larmes !!!

Voici une petite histoire suivie de quelques versets très émouvants .
Retenez vos larmes, qui peuvent être des larmes de tristesse, d'amour, d'émotion et d'admiration.

Un jour, l'épouse de Abdoul-lah Ibn Hirâm rendit l'âme, lui laissant la charge de leurs neufs filles et leur garçon unique (Jâber). Le père dut alors faire face et élever seul ses dix enfants qui constituaient une lourde responsabilité. Cependant, ce devoir de père ne l’empêchait pas de combattre dans le sentier d'Allah. En effet, Abdoul-lah participa à la bataille de Badr. Jâber, son fils, demanda à combattre aussi, mais le père refusa en raison de son jeune âge.
Plus tard, à l'aube de la bataille d’Ohod, Jâber ayant acquis une certaine maturité et un certain âge, était fin prêt à combattre au côté des Musulmans. Malheureusement père et fils ne purent partir à l'expédition côte à côte et laisser les filles vouées à elles-mêmes sans tuteur à Médine. Ils étaient animés d'une grande ferveur, tous deux voulurent plus que tout participer au combat, mais l'un des deux devait impérativement rester pour veiller sur les filles. Ils n'eurent d'autre alternative que le tirage au sort.


Le père fut sorti vainqueur du tirage. C’est alors que Jâber se mit à pleurer, des larmes d’amour pour Allah, l’Islam et le Paradis.
Le père voyant son fils triste le réconforta en ces termes : « Mon fils, par Allah, si c’était autre chose que le Paradis, je te l’aurais laissé… ».

Salam Alikoum

BARAKALLAHOUFIK GRAZIELLA, ANA, NICE DIDO.

désolé, je n'en n'ai point.

Le fils continua à pleurer et le père s’approcha de lui et poursuivit : « Jâber, je me vois mort en Chahid aujourd’hui ; même le premier des Chahids. Par Allah, la personne que j’aime le plus, après le Messager d’Allah, c’est toi mon fils. Sache aussi que j’ai des dettes, je te charge des les régler. Je te confie tes sœurs ; soit bon envers elles. »

Le père partit alors au combat et mourut effectivement en Chahid ; il fut même le premier des Chahids de la bataille.

Le jour même, on informa Jâber : « Jâber, ton père est mort ! » Bouleversé, celui-ci courut sur le champ de bataille à la recherche du cadavre de son père, mais les mécréants, après avoir tué ce dernier, l’avaient mutilé si cruellement, que la vue de son corps fut insoutenable, si bien que les compagnons n'autorisèrent pas Jâber à le voir.

Jâber raconte :
« Je voulais voir mon père ; mais les compagnons du Prophète me repoussaient ! Je leur disais de me laisser le voir ! Le Prophète leur donna l'ordre de me laisser m'approcher. J’ai donc regardé mon père, puis j’ai caché mes yeux remplit de larmes dans ma manche… Le Prophète m’a regardé et m’a dit « Mon fils, pleure-le ou ne le pleure pas ; les anges le recouvrent quand même de leurs ailes d’ici jusqu’au Ciel. Sois content, ô Jâber ! ». J’ai répondu :
- content de quoi, ô Messager d’Allah ?
- Jâber, tu sais quoi ?
- Oui, ô Messager d’Allah ?
- Allah ne parle au gens que derrière un voile. Cependant, il a parlé à ton père sans voile ! Allah lui a dit : « oh serviteur, que souhaites-tu ? » Ton père a répondu : « Je souhaite revenir sur le champ de bataille, combattre aux cotés de ton Prophète et mourir sur Ton sentier, parce que j’ai trouvé cette mort magnifique ! » Allah lui a dit : « J’ai déjà affirmé qu’il n’y a de retour vers le bas monde, ô serviteur, souhaite autre chose. » Ton père a donc répondu : « Je souhaite que Tu informes mes frères combien je suis heureux ! »

Des versets ont alors été révélés au Prophète, paix et salut sur lui

« _Wala tahsabanna allatheenaqutiloo fee sabeeli Allahi amwatan bal ahyaonAAinda rabbihim yurzaqoona. »
Ne pense pas que ceux qui ont été tués dans le sentier d'Allah, soient morts. Au contraire, ils sont vivants, auprès de leur Seigneur, bien pourvus

« _Fariheena bima atahumuAllahu min fadlihi wayastabshiroona biallatheenalam yalhaqoo bihim min khalfihim alla khawfunAAalayhim wala hum yahzanoona. »
et soyez joyeux de la faveur qu'Allah leur a accordée, et ravis que ceux qui sont restés derrière eux et ne les ont pas encore rejoints, ne connaîtront aucune crainte et ne seront point affligés.

« _Yastabshiroona biniAAmatin mina Allahiwafadlin waanna Allaha la yudeeAAuajra almu/mineena »
Ils sont ravis d'un bienfait d'Allah et d'une faveur, et du fait qu'Allah ne laisse pas perdre la récompense des croyants.


Qu'Allah nous accorde une mort sur Son sentier. Amine.
p
17 mars 2008 20:44
Citation
nice_dido a écrit:
salam alaykom

j'ouvre ce poste pour tous ceux et celles qui connaissent des bonnes histoires qui ont une relation avec notre religion et qui peuvent nous donner des leçons utiles dans notre vie quotidienne .



bon je commence avec une petite histoire:

Un homme s'est réveillé Tôt pour faire la priére d'al fajr à la mosquée. Après s'être habillé et avoir fait ses ablutions, il se mis en marche vers la mosquée. Une fois rendu à la moitié du chemin ,il trébucha, salissant ainsi ses vêtements. Il rebroussa chemin vers sa maison, refit ses ablutions et pris une seconde fois le chemin de la mosquée. Au même endroit, il trébucha salissant une seconde fois ses vêtements et s'en retourna chez lui pour refaire ses ablutions et changer de vêtements. Sur le chemin de la mosquée, un homme éclairant la route d'une lanterne l'aborda:

-qui es-tu? demanda l'homme à l'inconnu,
- je t'ai vu tomber deux fois, alors j'ai décidé de t'aider en
t'éclairant le chemin.
À la porte de la mosquée, l'homme demanda à l'inconnu d'entrer pour prier avec lui; une offre qu'il déclina vigouresement. L'homme lui demanda la raison de son refus d'entrer à la mosquée:

-Je suis Satan, répondit l'inconnu. Je t'ai fait tomber la première fois pour t'empêcher de prier, mais quand tu es revenu après avoir refais tes ablutions et changé tes vêtements, Allah t'avait pardonné tous tes péchés. La seconde fois que je t'ai fais tomber, Allah pardonna à ta famille. J'ai eu peur qu'Allah pardonne à tout ton village si tu tombais une troisième fois!


Qu'Allah nous guide vers Sa lumière, amine

a vos clavierssmiling smiley


baraka laho fik ca me rapelle des fautes que j'avais fais que dieu me pardonne et nous pardonne tous

merci pr ce beau rapel
' Sois attentif envers Dieu tu Le trouveras devant toi. Rappelle-toi Dieu dans l'aisance, Il se rappellera de toi dans l'adversité. Sache que ce qui t'as manqué ne t'était pas destiné, et que ce qui t'a atteint ne pouvait te manquer. Sache que la victoire accompagne l'endurance, que le soulagement arrive après l'affliction comme la facilité après la difficulté. ' Hadith rapporté par At-Tirmidhî.
n
18 mars 2008 21:22
Les 3 filtres
Il était une fois, à l’époque des califes abbassides, dans la capitale musulmane Bagdad, un grand savant connu pour sa sagesse.
Cet homme avait passé sa vie à étudier le Coran et les paroles du Prophète, et il était très pieux.

Jamais on ne l’entendait dire du mal de quelqu’un, se moquer des autres ni répéter des paroles inutiles.
Tout le monde l’aimait, car il avait toujours une parole gentille ou un sourire pour les gens qu’il rencontrait, et il était toujours prêt à aider les autres.

Un jour, l’un de ses voisins vint le trouver :

As-salamou alaykoum !

Wa alaykoum as-salam wa-rahmatou llahi wa-barakatouhou, répondit le savant.

Sais-tu ce qu’on vient de me dire à propos de ton ami Abdallah ? poursuivit le voisin.

Attends un peu, répliqua le savant. Je vois que tu brûles d’envie de me dire quelque chose.
Mais avant que tu me le dises, j’aimerais te faire passer un petit test. Cela s’appelle le test des trois filtres.

Des trois filtres ? S’étonna le voisin.

Exactement, poursuivit le savant. Avant que tu ne me parles de mon ami, ce serait une bonne idée de prendre le temps de filtrer ce que tu comptes me dire.
Nous allons faire passer ce que tu voulais me dire dans trois filtres : ce qui en restera, tu pourras me le dire. C’est pourquoi j’appelle cela le test des trois filtres. Tu es prêt ?

Oui, répondit l’homme, de plus en plus étonné. (En effet, quand il bavardait avec ses voisins, il n’avait pas l’habitude de prendre tant de précautions).

Allons-y donc, dit le savant ? Le premier filtre est celui de la vérité. As-tu bien vérifié que ce que tu veux me dire est vrai ?
Non, répondit l’homme. En fait on vient juste de me le raconter et…

Bon, dit le savant. Donc, tu n’es pas du tout sûr que ce soit vrai. Le filtre de la vérité n’a pas gardé ce que tu voulais me dire.

Essayons maintenant le second filtre, celui du bien. Est-ce que ce que tu voulais me dire sur mon ami est quelque chose de bien ?

Euh, non, au contraire…

Ah, poursuivit le savant. Donc tu voulais me dire quelque chose de mal sur mon ami, mais tu n’es pas certain que ce soit vrai.

Je ne sais pas si je vais pouvoir t’écouter…

Mais peut être que tu réussiras quand même le test, car il reste encore un filtre : le filtre de l’utilité.
Si tu me dis ce que tu voulais me dire sur mon ami, est-ce que cela me sera utile ?


Euh bien…non, pas vraiment.

Alors, conclut le savant, si ce que tu voulais me dire n’est pas vrai, n’est pas bien et n’est même pas utile, ce n’est pas la peine de me le dire, tu ne crois pas ?
Les paroles peuvent faire beaucoup de mal, et il ne faut pas les répandre n’importe comment.
Une parole qui n’est ni vraie, ni bonne ni utile ne vaut pas la peine d’être dite.
Alors avant de te dire quelque chose, ou de répéter ce qu’on t’a raconté, n’oublie pas de soumettre tes paroles au test des trois filtres !
Cela t’évitera certainement des péchés.


Allah nous dit dans le Coran :

« Oh vous qui croyez ! Ne vous moquez pas les uns des autres, car il se peut que ceux-ci soient meilleurs que ceux-là.
Que les femmes ne se moquent pas les unes des autres, car il se peut que celles-ci soient meilleures que celles-là.
Ne vous calomniez pas les uns les autres, et ne vous donnez pas de sobriquets injurieux.
Quel vilain mot que « perversion », quand on a déjà la foi. Ceux qui ne se repentent pas, voilà les injustes. »
(Sourate 49, verset 11)


Le voisin, un peu confus, rentra chez lui et réfléchit longuement aux paroles du savant.
Depuis ce jour, il étonna ses voisins en cessant d’écouter les bavardages inutiles

smiling smiley
R
31 mars 2008 07:28
Salam Ailikoum grinning smiley

Un jour, un ami et moi sommes montés dans un taxi. J'ai remarqué que le chauffeur avait déposé sur le devant de la voiture un Coran ouvert, comme le font beaucoup de conducteurs, pour se protéger contre les risques d'accidents. Mon ami fit alors une remarque pertinente et demanda au chauffeur: -Apparemment tu aimes le Coran et tu le vénères, autrement tu ne l'aurais pas déposé dans ta voiture !

- Oui, je l'aime et je le sanctifie, mais je le mets ici surtout pour rechercher la bénédiction et pour me protéger contre les dangers, dit le chauffeur.
- Mais est- ce que tu le lis ?, lui demande mon ami
- Non, répond-il
- Si tu avais un pot de miel pur sur une étagère de ta cuisine, l'aurais-tu laissé comme un décor sans le savourer, en sachant surtout qu'à part sa douceur, le miel est un remède pour toutes sortes de maladies?
- Certainement pas , je l'aurais dévoré, autrement je ne l'aurai pas acheté, dit le chauffeur.
- Il en va de même pour le Coran. C'est un miel pur... pourtant tu l'as laissé sur le bord de la voiture, tout comme quelqu'un qui délaisse le pot de miel. Pourquoi n'essaies tu pas de le goûter?

Le chauffeur ayant saisi l'allusion, sourit et dit : " je le ferai Incha Allah "
Pendant que ma pensé plongeait dans les propos de mon ami je contemplais l'omniprésence de la verdure exubérante du printemps et je me demandais comment les gens pouvaient abandonner les coupes cristallines du miel coranique sur les étagères de leurs bibliothèques, de leurs maisons et les bords de leurs voitures sans tenter d'en tester la saveur. Car je suis sûre que, s'ils y goûtaient, ils ne s'en détourneraient jamais au profit de quelque chose d'autre. C'est un miel qui n'est pas comme les autres miels dont la saveur disparaît dès qu'il quitte la langue. En effet, la douceur du miel coranique ne quitte jamais la langue de l'intellect, la langue du coeur et la langue de l'âme...

C'est un appel qui s'adresse à vous, jeune Musulman et jeune Musulmane, pour que vous débouchiez avec moi les coupes de ce miel afin d'y goûter ou d'apprendre comment le savourer...


Bonne appétit !




Ailikoum Salam winking smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 31/03/08 08:32 par Rrrrgh.
j
31 mars 2008 12:19
barakallaho fikom pour ces histoires de rappel ,de moralité bref qui réchauffe nos coeur ,jai pas tout lu ais jy compte bien

salam halaykom
31 mars 2008 23:22
Citation
Rrrrgh a écrit:
Salam Ailikoum grinning smiley

Un jour, un ami et moi sommes montés dans un taxi. J'ai remarqué que le chauffeur avait déposé sur le devant de la voiture un Coran ouvert, comme le font beaucoup de conducteurs, pour se protéger contre les risques d'accidents. Mon ami fit alors une remarque pertinente et demanda au chauffeur: -Apparemment tu aimes le Coran et tu le vénères, autrement tu ne l'aurais pas déposé dans ta voiture !

- Oui, je l'aime et je le sanctifie, mais je le mets ici surtout pour rechercher la bénédiction et pour me protéger contre les dangers, dit le chauffeur.
- Mais est- ce que tu le lis ?, lui demande mon ami
- Non, répond-il
- Si tu avais un pot de miel pur sur une étagère de ta cuisine, l'aurais-tu laissé comme un décor sans le savourer, en sachant surtout qu'à part sa douceur, le miel est un remède pour toutes sortes de maladies?
- Certainement pas , je l'aurais dévoré, autrement je ne l'aurai pas acheté, dit le chauffeur.
- Il en va de même pour le Coran. C'est un miel pur... pourtant tu l'as laissé sur le bord de la voiture, tout comme quelqu'un qui délaisse le pot de miel. Pourquoi n'essaies tu pas de le goûter?

Le chauffeur ayant saisi l'allusion, sourit et dit : " je le ferai Incha Allah "
Pendant que ma pensé plongeait dans les propos de mon ami je contemplais l'omniprésence de la verdure exubérante du printemps et je me demandais comment les gens pouvaient abandonner les coupes cristallines du miel coranique sur les étagères de leurs bibliothèques, de leurs maisons et les bords de leurs voitures sans tenter d'en tester la saveur. Car je suis sûre que, s'ils y goûtaient, ils ne s'en détourneraient jamais au profit de quelque chose d'autre. C'est un miel qui n'est pas comme les autres miels dont la saveur disparaît dès qu'il quitte la langue. En effet, la douceur du miel coranique ne quitte jamais la langue de l'intellect, la langue du coeur et la langue de l'âme...

C'est un appel qui s'adresse à vous, jeune Musulman et jeune Musulmane, pour que vous débouchiez avec moi les coupes de ce miel afin d'y goûter ou d'apprendre comment le savourer...


Bonne appétit !






Ailikoum Salam winking smiley


ton humour laisse à désirer...sad smiley
i
1 avril 2008 01:17
salam alikoum wr wb

je vais commencer à vous raconter une petite histoire qui m est arrivée en juin 2006

j'ai pris route très tot le matin et j allais faire un voyage assez long, pour cela j'ai pris avec moi mon livre de coran que j ai commencé à lire dès que le chauffeur a démarré

Le problème était que ce dernier avait allumé la radio.. ceci m avait déconcentré au début mais après j ai plus senti la présence de quiconque

j'ai pu lire sourate youssef jusqu'à sourate araad .......en arrviant à la fin de sourate arraad ... le conducteur a mis une cassette de coran et par respect g fermé mon livre pour écouter ladite cassette ...2 minutes après, je me suis dit pourquoi pas ne pas suivre avec la cassette en lisant sur mon livre en cherchant le verset j'ai trouvé que j ai loupé quelque ayates depuis l'endroit justement ou j ai arreté ma lecture

du coup j'ai eu les larmes aux yeux, car j'ai jamais rencontré une telle coincidence... fallait que ca tombe justement sur le verset et la sourate que je lisais , j'ai senti une joie incomparable et une présence divine plus proche de moi que jamais ...

j'ai continué à lire en parallèle avec le récitateur qui avait une voix extraordinaire jusqu'à mon arrivée ..j'ai souhaité à ce que ca continue plus que ca mais fallait bien que le voyage se termine

Hamdoulilah pour tout..
[center]Une seule et unique :zen: I S L A H :zen: [/center]
R
1 avril 2008 08:15
Citation
nasanditaf a écrit:
Citation
Rrrrgh a écrit:
Salam Ailikoum grinning smiley

Un jour, un ami et moi sommes montés dans un taxi. J'ai remarqué que le chauffeur avait déposé sur le devant de la voiture un Coran ouvert, comme le font beaucoup de conducteurs, pour se protéger contre les risques d'accidents. Mon ami fit alors une remarque pertinente et demanda au chauffeur: -Apparemment tu aimes le Coran et tu le vénères, autrement tu ne l'aurais pas déposé dans ta voiture !

- Oui, je l'aime et je le sanctifie, mais je le mets ici surtout pour rechercher la bénédiction et pour me protéger contre les dangers, dit le chauffeur.
- Mais est- ce que tu le lis ?, lui demande mon ami
- Non, répond-il
- Si tu avais un pot de miel pur sur une étagère de ta cuisine, l'aurais-tu laissé comme un décor sans le savourer, en sachant surtout qu'à part sa douceur, le miel est un remède pour toutes sortes de maladies?
- Certainement pas , je l'aurais dévoré, autrement je ne l'aurai pas acheté, dit le chauffeur.
- Il en va de même pour le Coran. C'est un miel pur... pourtant tu l'as laissé sur le bord de la voiture, tout comme quelqu'un qui délaisse le pot de miel. Pourquoi n'essaies tu pas de le goûter?

Le chauffeur ayant saisi l'allusion, sourit et dit : " je le ferai Incha Allah "
Pendant que ma pensé plongeait dans les propos de mon ami je contemplais l'omniprésence de la verdure exubérante du printemps et je me demandais comment les gens pouvaient abandonner les coupes cristallines du miel coranique sur les étagères de leurs bibliothèques, de leurs maisons et les bords de leurs voitures sans tenter d'en tester la saveur. Car je suis sûre que, s'ils y goûtaient, ils ne s'en détourneraient jamais au profit de quelque chose d'autre. C'est un miel qui n'est pas comme les autres miels dont la saveur disparaît dès qu'il quitte la langue. En effet, la douceur du miel coranique ne quitte jamais la langue de l'intellect, la langue du coeur et la langue de l'âme...

C'est un appel qui s'adresse à vous, jeune Musulman et jeune Musulmane, pour que vous débouchiez avec moi les coupes de ce miel afin d'y goûter ou d'apprendre comment le savourer...


Bonne appétit !






Ailikoum Salam winking smiley


ton humour laisse à désirer...sad smiley

salam ailikoum grinning smiley

Maintenant que tu as essayé de rigouler perplexe, va plus loin quant à la reflexion de ce texte du moins "essaye"

Courage !!! Allah y hawenek smiling smiley

ailikoum salam winking smiley
n
13 avril 2008 18:32
Salam Alaykom et merci pour toutes ces belles histoire

sinon j'ai une nouvelle histoitesmiling smiley


les 4 femmes

Il était une fois un riche commerçant qui avait 4 femmes :



la 4°femme : C’est celle qu’il aimait le plus. Il l’ornait avec de luxueuses robes et la traitait avec délicatesse.
Il prenait grand soin d’elle et ne lui offrait que le meilleur.



La 3°femme : Elle aussi il l’aimait beaucoup
Il était très fier d'elle et voulait toujours la mettre en valeur auprès de ses amis.
Cependant, le commerçant craignait toujours le fait qu'elle puisse partir avec un autre homme.



La 2°femme : Il aimait aussi sa 2e femme.
C’était une personne très prévenante, toujours patiente et elle était la confidente du commerçant.
Chaque fois qu’il rencontrait des problèmes, il se tournait vers elle et elle l’aidait toujours à s’en sortir.



La première femme était une partenaire très loyale, elle avait aussi bien contribuée à maintenir ses richesses qu’à prendre grand soin de sa maison.
Pourtant, le commerçant ne l’aimait pas alors qu’elle l’aimait profondément,
il lui prêtait à peine attention.



Un jour, le commerçant tomba malade.

Il avait le pressentiment qu’il allait mourir bientôt.

Il pensa à sa luxueuse vie et se disait, “maintenant j’ai 4 femmes,

Mais quand je mourrais, je serai seul,

Quel solitaire je serai !"

Donc, il demanda à sa 4e femme :

“je t’aime le plus, je t’ai doté des plus fins habits et pris grand soin de toi. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre pour me tenir compagnie?" “Nulle part!" répondit la 4e femme

et elle s’en alla sans un autre mot.

La réponse coupa le cœur du commerçant comme un couteau tranchant.



Le triste commerçant demanda alors à sa 3e femme :

-“je t’ai beaucoup aimé toute ma vie. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre et me tenir compagnie?"

-"Non!" répondit la 3e femme. "La vie est si belle ici! Je me remarierais quand tu mourras!"
*le cœur du commerçant se brisa



Alors il demanda à sa 2e femme :

-“je me suis toujours tourné vers toi et tu m’as toujours aidé. Maintenant j’ai à nouveau besoin de ton aide. Quand je mourrais, est ce que tu me suivras et tu me tiendras compagnie?"

-“je suis désolée, je ne peux pas t’aider!" répondit la 2e femme. “dans le meilleur des cas, je ne peux que t’accompagner vers la tombe."

*la réponse tomba comme du tonnerre et le commerçant fût dévasté.



Alors appela une voix :

-“j’irai avec toi, Je te suivrai là où tu iras"

-le commerçant leva les yeux, ce fut sa 1e femme.

-Elle était si maigre, comme si elle souffrait de malnutrition.

*Très touché, le commerçant disait : “j’aurais du prendre beaucoup mieux soin de toi pendant que je pourrais







Réellement nous avons tous 4 femmes dans notre vie !



*La 4°femme : c’est notre corps

Nous nous donnons tant de mal pour prendre soin de lui, il nous laissera tomber quand nous mourrons.



*La 3°femme : c’est nos richesses

Quand nous mourrons, ils iront à d’autres.



*La 2° femme : c’est notre famille et nos amis

Très proches de nous comme ils l’avaient été durant notre vie,

Le mieux qu’ils puissent pour nous c’est de nous accompagner à la tombe.



*La 1°femme : c’est notre âme

Souvent négligée dans notre quête de biens matériels et de plaisirs sensuels. C'est la seule chose qui nous suivra réellement là où nous irons. C’est Peut-être une bonne idée de la cultiver et de la fortifier maintenant plutôt que d'attendre jusqu'à ce que nous soyons sur le lit de la mort pour le regretter.
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