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hijab ou femme voilee? es ce obligatoire? le debat est lancee
m
8 août 2006 20:03
Citation
sophiag1 a écrit:
Citation
???????? a écrit:
Citation
sophiag1 a écrit:
salam
et je rajoute a ce propos du dessus, que je les ai parcourus rapidement, et j'y reviendrais comme promis in ch'allah, en revanche je note tout de suite, que beaucoup d'agressivite a mon encontre m'interpelle plus que les propos sur l'etat d'esprit de votre foi, c'est a dire, la morale que vous en tirez, vu le ton et l'agressivite que je ressens, alors que moi, a aucun moment, je ne vous ai servi ce genre de reglement de compte???
bon, je vais faire comme si j'avais pas trop vu cela, apres tout, tout ce qui ce dit, dieu en est temoin, et comme j'aime a le repeter, cela me suffit que dieu en soit temoin
que dieu vous donne la clemence
in ch'allah
salam

ALLAH SEUL GUIDE LES GENS ET LUI SEUL SCELLE LES COEURS

ALLAH Y HDIK
salam

ON TA ASSEZ PREVENU DONC LE JOUR DU JUGEMENT DERNIER TU NE POURRA PAS DIRE KTU NE LE SAVAIT PAS. Il faudra ktu dise oui on m'a prévenu mais G FAI LE CHOIX DE NE PAS LE PORTER CAR JE TROUVAIS SA INUTILE YA ALLAH.

pourkoi tu te voiles ( il ya pas de verset ki te dis te de voiler pdt la priére) kan tu prie? c'est bien le prophete saws ki te la dit et bien SACHE KE CE MEME PROPHETE TE DIS TE DE COUVRIR DE LA TETE AU PIEDS DEVANT DES PERSONNES NON MAHRAMS. il faut pas choisir et rejetter ski te conviens pas.

ALLAH AIME SON PROPHETE SAWS TU DOIS L AIMER EGALEMENT ET LUI OBEIR ET MANK DE POT POUR TOI SA C EST ECRIT DS LE CORAN.

ESSAYES DE LIRE LE CORAN AVEC LE COEUR ET LA SINCERITE DE DECOUVRIR LA VERITE ET TU VERRA K CE NEST PAS LA MEME LECTURE ALORS KE LE SUPPORT NA PA CHANGE.

k allah te guide et t'ouvre le coeur.amin

salam ??????
et bien!!!
je te lis, au debut c'est paix, apres c'est incendiaire , ensuite tu prononces le non de Allah?
tu ne trouves pas qu'il y a une contradiction, entre la reponse en majuscule, donc de colere, et le nom d'allah, qui dit paix et misericorde, amour et generosite????
salam

ALLAH Y HDIK

G VRAIMENT PEUR POUR TOI WOULLAH

SI TU SAVAIS SKE TU ENCOURS TU FERAIS MOINS TA MALIGNE ALLAH EST MISERICORDIEUX MAIS AUSSI TRES DUR EN CHATIMENT ET SA NE LOUBLIE JAMAIS.

ton coeur ton scellé je peux rien pour toi a part faire une douas K4ALLAH TE GUIDE3;AMIN

Suis la sunna car elle est indissociable du coran.

Tu n'as pas répondu a mes kestions au passage!!!!!!!!!!! pourkoi?????????
s
8 août 2006 19:58
Citation
BeautéDuRif a écrit:
Je crois franchement que tout a été dit:

- celles qui portent le voile, même si finalement il s'avère que ce n'était pas obligatoire ne seront de toute façon pas perdante puisque ça n'aura pas été haram de le faire.

- Celles qui comme moi choisissent de ne pas le porter, s'il s'avère que c'était finalement obligatoire quelque soit le contexte, et bien que Dieu nous pardonne car il n'y avait pas de mauvaise intention de notre part.

Amine
salam beautedurif
c'est drole , car en te lisant, j'ai envie de dire que cela me rassure, car j'ai excatement la meme conclusion que toi! ce qui signifie bien, que les intentions demeurent prioritaires et la sincerite, cela va de soi!
en fait, cela ne fait que confirmer que la foi, c'est la base de son coeur et de ses intentions!
et que l'on s'en remet a dieu, pour notre bonne foi, ou notre mauvaise foi!
donc,un etat d'esprit a acquerir et non, des regles forgees sans meme les maitriser , en obeissant a un consensus, sans se demander si cela a un sens, et si cela repond bien aux exigences de dieu, si cela sert dieu, si cela va bien dans son sens???
voila, le theme de ce sujet, et non, savoir qui a raison, mais , le bemol, est surtout de ne pas pouvoir accepter de dire que dieu a obliger la femme a se voiler, alors que tout le debat prouve bien, que personne n'a pu ammener une preuve donnant l'obligation du voile sur les cheveux!
conclusion, la tienne, elle est parfaite, comme dit dieu dans un verset "dieu tranchera vos diferents"
ainsi, je me reconforte en me disant que certaines on saisit la subtilite dela foi, en allant chercher et faire parler leurs coeurs!
salam
XCXXXXXXX
s
8 août 2006 20:03
Citation
???????? a écrit:
Citation
BeautéDuRif a écrit:
Je crois franchement que tout a été dit:

- celles qui portent le voile, même si finalement il s'avère que ce n'était pas obligatoire ne seront de toute façon pas perdante puisque ça n'aura pas été haram de le faire.

- Celles qui comme moi choisissent de ne pas le porter, s'il s'avère que c'était finalement obligatoire quelque soit le contexte, et bien que Dieu nous pardonne car il n'y avait pas de mauvaise intention de notre part.

Amine

On t'a prévenu donc tu as choisi en connaissance de cause de ne pas le porter. JE RESPECT TON CHOIX TOTALEMENT.
salam ?????
dis moi, il ne te semble pas dans ton propos qu'il y est une erreur "on t'a prevenue"?
ca ne te semble pas un peu pretentieux que de dire cela?
je vais vite rouvrir le coran pour verifier si il n'existe pas un verset qui permettent aux etres humains de prejuger d'avance de la valeur de sa foi?
on ne sait jamais, mais dans ma memoire, c'est non!
donc, fais de meme, je te le conseille, car craindre dieu, c'est craindre d'etre injuste!
salam
XCXXXXXXX
m
8 août 2006 20:08
Citation
sophiag1 a écrit:
Citation
???????? a écrit:
Citation
sophiag1 a écrit:
salam
et je rajoute a ce propos du dessus, que je les ai parcourus rapidement, et j'y reviendrais comme promis in ch'allah, en revanche je note tout de suite, que beaucoup d'agressivite a mon encontre m'interpelle plus que les propos sur l'etat d'esprit de votre foi, c'est a dire, la morale que vous en tirez, vu le ton et l'agressivite que je ressens, alors que moi, a aucun moment, je ne vous ai servi ce genre de reglement de compte???
bon, je vais faire comme si j'avais pas trop vu cela, apres tout, tout ce qui ce dit, dieu en est temoin, et comme j'aime a le repeter, cela me suffit que dieu en soit temoin
que dieu vous donne la clemence
in ch'allah
salam

ALLAH SEUL GUIDE LES GENS ET LUI SEUL SCELLE LES COEURS

ALLAH Y HDIK
salam

ON TA ASSEZ PREVENU DONC LE JOUR DU JUGEMENT DERNIER TU NE POURRA PAS DIRE KTU NE LE SAVAIT PAS. Il faudra ktu dise oui on m'a prévenu mais G FAI LE CHOIX DE NE PAS LE PORTER CAR JE TROUVAIS SA INUTILE YA ALLAH.

pourkoi tu te voiles ( il ya pas de verset ki te dis te de voiler pdt la priére) kan tu prie? c'est bien le prophete saws ki te la dit et bien SACHE KE CE MEME PROPHETE TE DIS TE DE COUVRIR DE LA TETE AU PIEDS DEVANT DES PERSONNES NON MAHRAMS. il faut pas choisir et rejetter ski te conviens pas.

ALLAH AIME SON PROPHETE SAWS TU DOIS L AIMER EGALEMENT ET LUI OBEIR ET MANK DE POT POUR TOI SA C EST ECRIT DS LE CORAN.

ESSAYES DE LIRE LE CORAN AVEC LE COEUR ET LA SINCERITE DE DECOUVRIR LA VERITE ET TU VERRA K CE NEST PAS LA MEME LECTURE ALORS KE LE SUPPORT NA PA CHANGE.

k allah te guide et t'ouvre le coeur.amin

salam ??????
et bien!!!
je te lis, au debut c'est paix, apres c'est incendiaire , ensuite tu prononces le non de Allah?
tu ne trouves pas qu'il y a une contradiction, entre la reponse en majuscule, donc de colere, et le nom d'allah, qui dit paix et misericorde, amour et generosite????
salam

c'est surment pas toi ki va me mettre en colére désolée.

en majuscule c'est pour te faire comprendre que c'est important!!!
m
8 août 2006 20:14
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sophiag1 a écrit:
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???????? a écrit:
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BeautéDuRif a écrit:
Je crois franchement que tout a été dit:

- celles qui portent le voile, même si finalement il s'avère que ce n'était pas obligatoire ne seront de toute façon pas perdante puisque ça n'aura pas été haram de le faire.

- Celles qui comme moi choisissent de ne pas le porter, s'il s'avère que c'était finalement obligatoire quelque soit le contexte, et bien que Dieu nous pardonne car il n'y avait pas de mauvaise intention de notre part.

Amine

On t'a prévenu donc tu as choisi en connaissance de cause de ne pas le porter. JE RESPECT TON CHOIX TOTALEMENT.
salam ?????
dis moi, il ne te semble pas dans ton propos qu'il y est une erreur "on t'a prevenue"?
ca ne te semble pas un peu pretentieux que de dire cela?
je vais vite rouvrir le coran pour verifier si il n'existe pas un verset qui permettent aux etres humains de prejuger d'avance de la valeur de sa foi?
on ne sait jamais, mais dans ma memoire, c'est non!
donc, fais de meme, je te le conseille, car craindre dieu, c'est craindre d'etre injuste!
salam

lE PROPHETE SAWS te la dis ds ses hadiths que tu rejettes.

tu joues avec les mots.

le coran oui je te conseille de le lire avec le COEUR.

GSPER KE TU NE DIRAS PAS LE JOUR DU JUGEMENT KTU NE SAVAIS PAS K CEST OBLIGATOIRE C TT SKE JE TE DEMANDE et ke tu as fais le CHOIX de ne pas le porter malgré ke Notre prohete ns a dit comment se couvrir. Je ten serais trés reconnaissante

GSPER KTU ASSUMERAS TES ACTES. c'est important

majuscules = important et non colére pour moi
s
8 août 2006 20:12
Citation
???????? a écrit:
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sophiag1 a écrit:
salam
et je rajoute a ce propos du dessus, que je les ai parcourus rapidement, et j'y reviendrais comme promis in ch'allah, en revanche je note tout de suite, que beaucoup d'agressivite a mon encontre m'interpelle plus que les propos sur l'etat d'esprit de votre foi, c'est a dire, la morale que vous en tirez, vu le ton et l'agressivite que je ressens, alors que moi, a aucun moment, je ne vous ai servi ce genre de reglement de compte???
bon, je vais faire comme si j'avais pas trop vu cela, apres tout, tout ce qui ce dit, dieu en est temoin, et comme j'aime a le repeter, cela me suffit que dieu en soit temoin
que dieu vous donne la clemence
in ch'allah
salam

ALLAH SEUL GUIDE LES GENS ET LUI SEUL SCELLE LES COEURS

ALLAH Y HDIK
salam ???????
manque de pot pour toi?
mais dieu n'est pas un jeu, ou un motif de dispute pour savoir si je vais gagner ou toi perdre, ou l'inverse?
le fait de considerer comme "manque de pot pour toi" le sujet de dieu, c'est faire peu cas de la consideration de dieu?
ce n'est pas une question de bon points a acquerir la relation avec dieu?
si tu la diminue a ce niveau d'interets bassement materiel , et bien, cela est ton probleme, moi non!
moi, je ne calcule pas mes pensees et mes actes vis a vis de dieu?
je suis sincere et spontanee, je ne recherche pas a avoir plus de bon points, je ne recherche que sa satisfaction, qu'il m'aime, comme je l'aime, exprimer ma reconnaissance, comme on le fait pour ses parents, gratuitement, et non, par interet, pour qu'il nous donne ceci ou cela!
je prend ce qu'il decide de me donner, et j'ai confiance et je l'en remercie, et point a la ligne!
ainsi, si je pense sincerement, que mon createur ne m'oblige pas a porter le hijab, et qu'en plus , dans la vie au quotidien, il me confirme du bien fondee de mon choix, je ne vais pas parce que cela fait plaisir aux yeux de certains ou certaines, le mettre ?
dans quel but? pour obtenir quoi? je ne recherche pas de fortune, je ne recherche que l'amour de mon createur,Allah, et c'est tout!
au lieu de critiquer tout le monde, tu devrais te poser des questions sur ta relation avec dieu?
es ce que tu donnes a ta mere, un cadeau dans le but qu'elle te le rende en 10 fois mieux?
ou le fait tu , par amour pour ta mere, pour qu'elle soit satisfaite et contente?
dieu , c'est pareil, on ne fait pas les choses par calcul, alors, pourquoi veut tu que dieu nous en tienne rigueur, si il sait d'avance que nous sommes sinceres dans nos demarches et nos actes?
il ne va pas nous punir alors que l'on voulait faire aux mieux?
tu punis un enfant qui fait la vaisselle pour te faire plaisir mais qu'il l'a mal faite?
tu retiend son intention et c'est tout et apres tu lui reexplique gentiment comment la faire mieux?
ainsi, agit dieu, si l'on se trompe, il nous rectifie gentiment, car pourquoi nous penaliser si on cherche a etre correct avec lui?
salam

ON TA ASSEZ PREVENU DONC LE JOUR DU JUGEMENT DERNIER TU NE POURRA PAS DIRE KTU NE LE SAVAIT PAS. Il faudra ktu dise oui on m'a prévenu mais G FAI LE CHOIX DE NE PAS LE PORTER CAR JE TROUVAIS SA INUTILE YA ALLAH.

pourkoi tu te voiles ( il ya pas de verset ki te dis te de voiler pdt la priére) kan tu prie? c'est bien le prophete saws ki te la dit et bien SACHE KE CE MEME PROPHETE TE DIS TE DE COUVRIR DE LA TETE AU PIEDS DEVANT DES PERSONNES NON MAHRAMS. il faut pas choisir et rejetter ski te conviens pas.

ALLAH AIME SON PROPHETE SAWS TU DOIS L AIMER EGALEMENT ET LUI OBEIR ET MANK DE POT POUR TOI SA C EST ECRIT DS LE CORAN.

ESSAYES DE LIRE LE CORAN AVEC LE COEUR ET LA SINCERITE DE DECOUVRIR LA VERITE ET TU VERRA K CE NEST PAS LA MEME LECTURE ALORS KE LE SUPPORT NA PA CHANGE.

k allah te guide et t'ouvre le coeur.amin
XCXXXXXXX
m
8 août 2006 20:20
Citation
sophiag1 a écrit:
Citation
BeautéDuRif a écrit:
Je crois franchement que tout a été dit:

- celles qui portent le voile, même si finalement il s'avère que ce n'était pas obligatoire ne seront de toute façon pas perdante puisque ça n'aura pas été haram de le faire.

- Celles qui comme moi choisissent de ne pas le porter, s'il s'avère que c'était finalement obligatoire quelque soit le contexte, et bien que Dieu nous pardonne car il n'y avait pas de mauvaise intention de notre part.

Amine
salam beautedurif
c'est drole , car en te lisant, j'ai envie de dire que cela me rassure, car j'ai excatement la meme conclusion que toi! ce qui signifie bien, que les intentions demeurent prioritaires et la sincerite, cela va de soi!
en fait, cela ne fait que confirmer que la foi, c'est la base de son coeur et de ses intentions!
et que l'on s'en remet a dieu, pour notre bonne foi, ou notre mauvaise foi!
donc,un etat d'esprit a acquerir et non, des regles forgees sans meme les maitriser , en obeissant a un consensus, sans se demander si cela a un sens, et si cela repond bien aux exigences de dieu, si cela sert dieu, si cela va bien dans son sens???
voila, le theme de ce sujet, et non, savoir qui a raison, mais , le bemol, est surtout de ne pas pouvoir accepter de dire que dieu a obliger la femme a se voiler, alors que tout le debat prouve bien, que personne n'a pu ammener une preuve donnant l'obligation du voile sur les cheveux!
conclusion, la tienne, elle est parfaite, comme dit dieu dans un verset "dieu tranchera vos diferents"
ainsi, je me reconforte en me disant que certaines on saisit la subtilite dela foi, en allant chercher et faire parler leurs coeurs!
salam

Un ordre d'Allah doit etre exécuté et non le discuter allah y hidik ! et son prophéte saws on doit également lui obeir c'est écrit ds le coran aussi. TU LA LU EN ENTIER?

c'est ALLAH ki ta cré donc Il sait skié bien pour toi ou non! IL "TA" ENVOYE LE PROPHTE POUR KE TU LE SUIVE ET NON LE CONTREDIRE.

Aimes tu Son prophete sawx sincrément, pries tu sur lui?
m
8 août 2006 20:23
Citation
sophiag1 a écrit:
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???????? a écrit:
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BeautéDuRif a écrit:
Je crois franchement que tout a été dit:

- celles qui portent le voile, même si finalement il s'avère que ce n'était pas obligatoire ne seront de toute façon pas perdante puisque ça n'aura pas été haram de le faire.

- Celles qui comme moi choisissent de ne pas le porter, s'il s'avère que c'était finalement obligatoire quelque soit le contexte, et bien que Dieu nous pardonne car il n'y avait pas de mauvaise intention de notre part.

Amine

On t'a prévenu donc tu as choisi en connaissance de cause de ne pas le porter. JE RESPECT TON CHOIX TOTALEMENT.
salam ?????
dis moi, il ne te semble pas dans ton propos qu'il y est une erreur "on t'a prevenue"?
ca ne te semble pas un peu pretentieux que de dire cela?
je vais vite rouvrir le coran pour verifier si il n'existe pas un verset qui permettent aux etres humains de prejuger d'avance de la valeur de sa foi?
on ne sait jamais, mais dans ma memoire, c'est non!
donc, fais de meme, je te le conseille, car craindre dieu, c'est craindre d'etre injuste!
salam

INJUSTE ???????? parceke je dis ke le prophete ta prévenu kil fallait mettre ton hijab et ke c'est une OBLIGATION ainsi ke ts les gens de ce forum???
s
8 août 2006 20:20
salam
je remet ma reponse a ??????? car il y a eu un melange avec ton texte, donc, je rectifie
desole
salam




salam ??????? manque de pot pour toi?

mais dieu n'est pas un jeu, ou un motif de dispute pour savoir si je vais gagner ou toi perdre, ou l'inverse?
le fait de considerer comme "manque de pot pour toi" le sujet de dieu, c'est faire peu cas de la consideration de dieu?
ce n'est pas une question de bon points a acquerir la relation avec dieu?
si tu la diminue a ce niveau d'interets bassement materiel , et bien, cela est ton probleme, moi non!
moi, je ne calcule pas mes pensees et mes actes vis a vis de dieu?
je suis sincere et spontanee, je ne recherche pas a avoir plus de bon points, je ne recherche que sa satisfaction, qu'il m'aime, comme je l'aime, exprimer ma reconnaissance, comme on le fait pour ses parents, gratuitement, et non, par interet, pour qu'il nous donne ceci ou cela!
je prend ce qu'il decide de me donner, et j'ai confiance et je l'en remercie, et point a la ligne!
ainsi, si je pense sincerement, que mon createur ne m'oblige pas a porter le hijab, et qu'en plus , dans la vie au quotidien, il me confirme du bien fondee de mon choix, je ne vais pas parce que cela fait plaisir aux yeux de certains ou certaines, le mettre ?
dans quel but? pour obtenir quoi? je ne recherche pas de fortune, je ne recherche que l'amour de mon createur,Allah, et c'est tout!
au lieu de critiquer tout le monde, tu devrais te poser des questions sur ta relation avec dieu?
es ce que tu donnes a ta mere, un cadeau dans le but qu'elle te le rende en 10 fois mieux?
ou le fait tu , par amour pour ta mere, pour qu'elle soit satisfaite et contente?
dieu , c'est pareil, on ne fait pas les choses par calcul, alors, pourquoi veut tu que dieu nous en tienne rigueur, si il sait d'avance que nous sommes sinceres dans nos demarches et nos actes?
il ne va pas nous punir alors que l'on voulait faire aux mieux?
tu punis un enfant qui fait la vaisselle pour te faire plaisir mais qu'il l'a mal faite?
tu retiend son intention et c'est tout et apres tu lui reexplique gentiment comment la faire mieux?
ainsi, agit dieu, si l'on se trompe, il nous rectifie gentiment, car pourquoi nous penaliser si on cherche a etre correct avec lui?
salam
XCXXXXXXX
m
8 août 2006 20:31
Citation
sophiag1 a écrit:
Citation
???????? a écrit:
Citation
sophiag1 a écrit:
salam
et je rajoute a ce propos du dessus, que je les ai parcourus rapidement, et j'y reviendrais comme promis in ch'allah, en revanche je note tout de suite, que beaucoup d'agressivite a mon encontre m'interpelle plus que les propos sur l'etat d'esprit de votre foi, c'est a dire, la morale que vous en tirez, vu le ton et l'agressivite que je ressens, alors que moi, a aucun moment, je ne vous ai servi ce genre de reglement de compte???
bon, je vais faire comme si j'avais pas trop vu cela, apres tout, tout ce qui ce dit, dieu en est temoin, et comme j'aime a le repeter, cela me suffit que dieu en soit temoin
que dieu vous donne la clemence
in ch'allah
salam

ALLAH SEUL GUIDE LES GENS ET LUI SEUL SCELLE LES COEURS

ALLAH Y HDIK
salam ???????
manque de pot pour toi?
mais dieu n'est pas un jeu, ou un motif de dispute pour savoir si je vais gagner ou toi perdre, ou l'inverse?
le fait de considerer comme "manque de pot pour toi" le sujet de dieu, c'est faire peu cas de la consideration de dieu?
ce n'est pas une question de bon points a acquerir la relation avec dieu?
si tu la diminue a ce niveau d'interets bassement materiel , et bien, cela est ton probleme, moi non!
moi, je ne calcule pas mes pensees et mes actes vis a vis de dieu?
je suis sincere et spontanee, je ne recherche pas a avoir plus de bon points, je ne recherche que sa satisfaction, qu'il m'aime, comme je l'aime, exprimer ma reconnaissance, comme on le fait pour ses parents, gratuitement, et non, par interet, pour qu'il nous donne ceci ou cela!
je prend ce qu'il decide de me donner, et j'ai confiance et je l'en remercie, et point a la ligne!
ainsi, si je pense sincerement, que mon createur ne m'oblige pas a porter le hijab, et qu'en plus , dans la vie au quotidien, il me confirme du bien fondee de mon choix, je ne vais pas parce que cela fait plaisir aux yeux de certains ou certaines, le mettre ?
dans quel but? pour obtenir quoi? je ne recherche pas de fortune, je ne recherche que l'amour de mon createur,Allah, et c'est tout!
au lieu de critiquer tout le monde, tu devrais te poser des questions sur ta relation avec dieu?
es ce que tu donnes a ta mere, un cadeau dans le but qu'elle te le rende en 10 fois mieux?
ou le fait tu , par amour pour ta mere, pour qu'elle soit satisfaite et contente?
dieu , c'est pareil, on ne fait pas les choses par calcul, alors, pourquoi veut tu que dieu nous en tienne rigueur, si il sait d'avance que nous sommes sinceres dans nos demarches et nos actes?
il ne va pas nous punir alors que l'on voulait faire aux mieux?
tu punis un enfant qui fait la vaisselle pour te faire plaisir mais qu'il l'a mal faite?
tu retiend son intention et c'est tout et apres tu lui reexplique gentiment comment la faire mieux?
ainsi, agit dieu, si l'on se trompe, il nous rectifie gentiment, car pourquoi nous penaliser si on cherche a etre correct avec lui?
salam

ON TA ASSEZ PREVENU DONC LE JOUR DU JUGEMENT DERNIER TU NE POURRA PAS DIRE KTU NE LE SAVAIT PAS. Il faudra ktu dise oui on m'a prévenu mais G FAI LE CHOIX DE NE PAS LE PORTER CAR JE TROUVAIS SA INUTILE YA ALLAH.

pourkoi tu te voiles ( il ya pas de verset ki te dis te de voiler pdt la priére) kan tu prie? c'est bien le prophete saws ki te la dit et bien SACHE KE CE MEME PROPHETE TE DIS TE DE COUVRIR DE LA TETE AU PIEDS DEVANT DES PERSONNES NON MAHRAMS. il faut pas choisir et rejetter ski te conviens pas.

ALLAH AIME SON PROPHETE SAWS TU DOIS L AIMER EGALEMENT ET LUI OBEIR ET MANK DE POT POUR TOI SA C EST ECRIT DS LE CORAN.

ESSAYES DE LIRE LE CORAN AVEC LE COEUR ET LA SINCERITE DE DECOUVRIR LA VERITE ET TU VERRA K CE NEST PAS LA MEME LECTURE ALORS KE LE SUPPORT NA PA CHANGE.

k allah te guide et t'ouvre le coeur.amin

TU JOUES AVEC LES MOTS comme a ton habitude.

Tu sais il ya pleins de personnes ki ne croivent pas Allah et ne suivent pas son PROPHETE SAWS Et pourtt ils ont la belle vie tu n'as pas remarké?

KE PENSES TU DU PROPHETE mohamed SAWS? Allah t'as dit de laimer et de le suivre à ton avis? ou plutot ton interprétation du coran.

En tant ke musulmane je me dois de condamner et de l'interdire le blamable. c'est écrit ds le coran encore une fois.

Il ya la méséricorde d'Allah mis il aussi Son chatiment je te le répéte!
T
8 août 2006 20:32
Salam

Il ne s'agis que de mon avis, que je reconnais peut être un peu trop moralisateur sad smiley mais :


1 - Sur le mot "paix" (qui doit régner sur ce forum winking smiley :


Islam a pour racine originelle « SLM », « Paix ». Dans le Coran, les termes Silm et Salâm, au sens de Paix, reviennent dans 49 versets.

Littéralement, « Islâm » signifie « Religion de Paix ». Dans la Sourate de L'exode, « Paix » est l'un des plus beaux noms donnés à Dieu : « es-salamou » , « L'Apaisant ». Pas une fois dans la Révélation, Dieu n'est dit « le guerrier ». Lorsque des croyants se rencontrent ou se séparent, leurs souhaits réciproques expriment cette Paix : « es-salamou alaykoum » : « que la Paix sois sur toi ! » (litt. : « La Paix sur toi ») ; « bslama » : « Que la Paix t'accompagne » (litt. : « Avec la Paix »).


De ce premier sens découle le second : l' « Islâm », c'est « Entrer en Paix avec Dieu », « S'abandonner à Lui, se laisser conduire à Lui ». L’abandon à Dieu (Islâm) qui conduit à la Foi (Îmân) et à l'excellence (Ihsân). Dans sa forme verbale, Islâm signifie « se rendre à », se consacrer à ».


« Les bédouins disent : « Nous croyons ! » Réponds : « Vous ne croyez pas. Dites plutôt : nous nous abandonnons ». Car la foi n'a pas encore pénétré dans votre cœur. Cependant, si vous obéissez à Dieu et à Son Prophète, aucune de vos actions ne sera perdue. Dieu est Celui qui pardonne, Il est Miséricordieux » .




2 - Sur l'importance du Coran et de la Sunna :

A - Le Coran

La source première du droit musulman est bien sûr le Coran.


Le Coran constitue-t-il pour autant une législation, un code, voire un programme politique ? La réponse est négative.


Traditionnellement, les théologiens musulmans considèrent que le Coran comprend 634 versets normatifs sur les 6236 que compte l’ensemble (205 sur 4663 pour la période mecquoise et 429 sur 1573 pour la période médinoise). En outre, les versets normatifs n’ont pas tous trait aux questions politiques ou juridiques : une grande partie portent sur les pratiques cultuelles ou des règles de conduite morale qui n’impliquent aucune sanction à l’égard de celui qui ne les observe pas, sinon celles que lui infligerait sa conscience. Par ailleurs, certains versets ont pu être ultérieurement abrogés par d’autres (cf. infra). Enfin, comme le proclame le Coran lui-même, il faut tenir compte du fait que certains des versets dits normatifs sont « clairs » et d’autres « équivoques » (Sourate 3, la famille d’Imrân, verset 7) :


C’est Lui qui a fait descendre sur Toi le Livre. Certains de Ses versets sont clairs [autre traduction possible : immuables], ils sont la Mère [= le fondement] du Livre, d’autres sont équivoques [ou : figuratifs, ou : à prendre au sens figuré, ou : susceptibles d’interprétations]. Ceux dont le cœur est déviant ne s’attachent qu’aux seconds, par attrait pour la discorde et par passion pour la spéculation. Mais nul n’en connaît l’exégèse, sinon Dieu et celles et ceux qui sont enracinés dans la science, lesquels disent : « Nous croyons en ce qu’Il contient : tout ce qu’Il renferme vient de notre Seigneur ! ».


Au final, moins de 250 versets, soient 4 %, ont une réelle dimension législative ou juridique et moins de 400, soient 6 % au plus, une dimension canonique. Ainsi, le Coran ne dit rien quand au droit des transactions, base pourtant du droit commercial, pas plus, en matière canonique, quand à l’apostasie .


Un autre écueil est de prendre les versets du Coran de manière isolée : le Livre Saint est un Tout cohérent et unifié, dont chaque élément vient confirmer l’ensemble, une « vision du monde », pour reprendre les termes de Fazlur Rahman . Il ne peut être parcellisé ; seule une approche thématique et chronologique en dévoilera les richesses : Dieu, les Prophètes, l’homme, la création, le bien et le mal, les cinq piliers de l’Islam, les relations avec les autres religions, les relations humaines, ... Des versets différents peuvent s’éclairer mutuellement. Un livre tel que celui de Jean-Luc Monneret, Les grands thèmes du Coran (éditions Dervy - 2003), qui propose une classification thématique des versets, sera alors d’une grande utilité. Pour ce qui est de la chronologie, il sera intéressant de combiner la chronologie traditionnelle, qui, rappelons-le, n’est pas celle de l’ordre des sourates, et la chronologie proposée par l’orientaliste Régis Blachère. Cette question de la chronologie sera abordée infra.



B - La tradition (sunna) et les hadiths :


Dans le Coran, le terme « Sunna » ne fait jamais référence à la Sunna en tant que « tradition du Prophète ». Il apparaît une dizaine de fois, au sens de « coutume », « loi », « disposition constante », tel dans ce passage :


« Dis aux dénégateurs que, s’ils en finissent, il leur sera pardonné les méfaits antérieurs. S’ils recommencent… Eh bien, la coutume des anciens est révolue ! ».
(Sourate 8, le butin, verset 38)


Usuellement, les musulmans emploient le terme de Sunna du Prophète, que l’on pourrait qualifier de « geste littéraire » : elle est la somme des paroles, des faits, gestes et actes du Prophète, y compris ses silences approbateurs, rapportés par ses premiers compagnons et les générations qui les ont suivis et que l’on dénomme les hadiths. En quelque sorte, la Sunna est l’héritage du Prophète donné à la communauté des musulmans (umma), sous deux formes : la biographie ou chronique (al-sîra) et les hadîths.


Comme il se posait à la communauté musulmane de nombreux problèmes non couverts par une affirmation claire du Coran, on eut naturellement recours à une autre source d’autorité, celle de la Tradition, recueillie au travers des hadîths. D’une certaine façon, la Sunna joue pour le Coran le même rôle que le Talmud par rapport au Pentateuque de la bible hébraïque. Chez les Chrétiens, la correspondance serait les Evangiles. Le Coran ne se lit pas en dehors de la Tradition : en effet, elle vient restituer au texte son contexte et ce qu’en disait le Prophète. Ainsi, si l’importance de la prière est bien soulignée par le Coran, le fait même que le musulman prie cinq fois par jour et sa codification ont pour source la Sunna. En ce sens, la lecture « littéraliste » prônée par les fondamentalistes est une illusion.


Parmi les biographies, on peut citer celle d’Ibn Ishâq, à la fin du 8ème siècle, dont seule une version expurgée par un certain Ibn Hishâm nous est parvenue ; des auteurs comme Tabarî et Bukhârî aux 9ème siècle ont cependant eu accès à la version originale. On citera aussi les biographies de de Ibn Sa’d ou encore de Wâqidî, rédigées aux 9ème et 10ème siècle.


Les six principaux recueils de hadîths sont, par ordre d’importance et de valeur :
- Bukhâri (mort en 870) ;
- Muslim-l-Qushayri (mort en 875) ;
- Abû Dawûd (mort en 888) ;
- Tirmizi (mort en 892) ;
- Ibn Hanbal (mort en 856) ;
- Nasâ’i (mort en 915).


On peut aussi citer les recueils de Malik bin ‘Anas (795), Ibn Mâja (886), Dârimi (870) et Nawawî (1277)


Il est essentiel de comprendre que le hadîth est une concrétisation de la Révélation plutôt qu’un complément : il n’ajoute rien de nouveau au Coran et ne l’abroge jamais. Il le particularise seulement.


La sunna et le hadîth ne peuvent être mis sur le même plan que le Coran. Si le Coran est authentique, il n’en va pas systématiquement de même de la Sunna. Dès sa naissance, cette dernière a été remise en question : les biographies et hadîths ont été rédigés, pour les moins tardifs, plus d’un siècle et demi après le décès du Prophète, à l’époque abbasside et se sont parfois davantage révélées apologétiques (par trop dithyrambiques), hagiographiques (à la manière de la vie d’un saint), piétistes ou idéologiques qu’un travail objectif d’historien ; en outre, le Prophète lui-même avaient montré sa méfiance quant à ce que la possibilité que l’on puisse raconter sa vie ; quant au nombre de hadîths, il varie dans un rapport de 1 à 300 (100 à 30 000) selon les sources. En effet, la période de transmission orale des hadîths s’est étendue sur près de deux siècles. Avec la montée des partis politiques et des schismes, des récits forgés pour l’occasion, de fausses informations, furent mis en circulation. La probabilité d’inauthenticité, d’altération, de distorsion ou de déperdition s’en est trouvée renforcée.


Cela a donné lieu à la science du hadith qui fournit les critères permettant de distinguer une tradition vraie ou vraisemblable d’une tradition fausse, par l’analyse de la transmission (les chaînes de rapporteurs, appelés aussi garants : isnâd) et du contenu (matn) et, au final, de classer les hadîths selon leur degré d’authenticité, de leur caractère irrécusable (sahîh) au rejet (mawdû’).


Les musulmans sont bien conscient que le critère de la chaîne de transmission est complexe ; en conséquence, l’authenticité est plus ou moins vérifiée selon le nombre de transmetteurs (risque de « téléphone arabe »), leur qualité (un transmetteur qui n’aurait rapporté qu’un hadîth sera plus sujet à caution, de même qu’en cas d’intermédiaire dans la chaîne dont le nom n’est pas connu), leur autorité (dignité de foi, existence ou non d’un serment de rapporter la vérité), leur proximité avec le Prophète (familiale, premiers compagnons), le nombre de sources distinctes (hadîth concordant rapporté par des sources indépendantes), la célébrité du hadîth (un hadîth répandu vaut plus qu’un hadîth diffusé en une seule région). Les experts des hadîths ont rédigé des biographies des transmetteurs, dites takabat. Aïcha, épouse du Prophète et fille de l’un de ses premiers compagnons, Abû Bakr, qui sera aussi le premier calife au décès de Mohammed, serait à elle seule à l’origine d’environ 1200 hadîths. Un autre grand pourvoyeur est Ibn’ Abbâs, cousin du Prophète : il n’avait que treize ans au décès de celui-ci mais en avait été toujours très proche et, doué d’une grande mémoire, pendant son enfance et après, recueillit de nombreux hadîths.


Quand au critère du contenu, il se base sur une évidence : tout hadîth en contradiction avec le Coran, avec sa lettre ou avec son esprit est à écarter.
m
8 août 2006 20:39
Citation
???????? a écrit:
Citation
sophiag1 a écrit:
Citation
???????? a écrit:
Citation
BeautéDuRif a écrit:
Je crois franchement que tout a été dit:

- celles qui portent le voile, même si finalement il s'avère que ce n'était pas obligatoire ne seront de toute façon pas perdante puisque ça n'aura pas été haram de le faire.

- Celles qui comme moi choisissent de ne pas le porter, s'il s'avère que c'était finalement obligatoire quelque soit le contexte, et bien que Dieu nous pardonne car il n'y avait pas de mauvaise intention de notre part.

Amine

On t'a prévenu donc tu as choisi en connaissance de cause de ne pas le porter. JE RESPECT TON CHOIX TOTALEMENT.
salam ?????
dis moi, il ne te semble pas dans ton propos qu'il y est une erreur "on t'a prevenue"?
ca ne te semble pas un peu pretentieux que de dire cela?
je vais vite rouvrir le coran pour verifier si il n'existe pas un verset qui permettent aux etres humains de prejuger d'avance de la valeur de sa foi?
on ne sait jamais, mais dans ma memoire, c'est non!
donc, fais de meme, je te le conseille, car craindre dieu, c'est craindre d'etre injuste!
salam

INJUSTE ???????? parceke je dis ke le prophete ta prévenu kil fallait mettre ton hijab et ke c'est une OBLIGATION ainsi ke ts les gens de ce forum???

gsper simplement ktu diras toutes tes belles phrases le jour du jugement dernier et ke tu assumeras ton choix de ne pas l'avoir porté et en plus d'avoir dir ke ce n'est pas une obligation ( mensonge sur Allah et son prophéte).

le coran et la sunna du prophete saws sont indissociables.

k'Allah te guide et enléve le voile sur ton coeur. Amin

J'ai fais mon devoir auprés d'Allah.

Bonne continuation.

Salem aleycoum
T
8 août 2006 20:44
Salam



Suite de mon précédent post (précisions de ma réflexion propre, qui n'engage que moi) :


C - La méthodologie d’interprétation du Coran et de la Sunna


A ces deux sources essentielles du droit musulman, le Coran et la Sunna, s’applique une méthode systématique (outre l’évaluation du niveau d’authenticité des hadiths) :


C1 - Portée des textes :


Il s’agit de définir si le texte recouvre un sens littéral ou métaphorique, un sens apparent ou caché.


C2 - Les circonstances de la révélation, de l’acte ou du dit :


La théologie musulmane appelle cela les asbâb al nuzûl, les causes ou les circonstances de la descente (littéralement : les portes de la descente).


Par quelque méthode d’analyse qu’on le prenne, « Le Coran est un texte historique : il a été révélé à une époque spécifique, en un lieu spécifique, en une langue spécifique - l’Arabe -, en somme dans un contexte culturel » .


Il s’agit donc de reprendre le contexte dans lequel le verset coranique a été révélé ou les propos et gestes du Prophète survenus pour en indiquer la portée générale ou particulière : ce que l’exégèse musulmane définit comme « les causes de la Révélation » en préconisant de rechercher constamment le contexte et les circonstances les plus précises de l’avènement de chaque verset sans lesquels ce dernier ne peut être compris.


Le penseur iranien Abdul Karim Soroush relève ainsi : « Aller directement au Coran et au hadîths ne donnera pas grand-chose. Vous devez aller à l’Histoire et, de là, revenir au Coran et aux hadîths afin de mettre l’interprétation dans son contexte historique » .


De nos jours, les musulmans « littéralistes » omettent ce principe de spécificité des causes de la Révélation.


C3 - La question de la chronologie du Coran


La recension d’Othmân, qui constitue le Coran tel que nous le connaissons, ne suivant pas l’ordre chronologique, il est tout naturel de souhaiter retrouver l’agencement originel des sourates et des versets. C’est en quelque sorte retrouver aussi le Prophète et sa vie, indissociables du Coran. Cela est aussi indispensable pour l’élaboration du droit et du « credo » musulman et pour comprendre, avec sûreté, les désaccords internes du Coran au travers du système de l’abrogeant - cf. infra. Il serait toutefois illusoire de penser que l’on pourrait aboutir à une reconstitution chronologique incontestable, verset par verset, parfois même sourate par sourate, de la Révélation. C’est là un consensus, tant des chercheurs musulmans que des non musulmans. Cela fait partie des mystères du Coran qui n’appartiennent qu’à Dieu. En revanche, les travaux des un et des autres ont dégagé les méthodes et outils permettant un regroupement relativement affiné des versets et sourates, distinguant non seulement les Révélations pré hégiriennes des Révélations post hégiriennes, mais également les redistribuant au sein de sous groupes.


Traditionnellement, quatre périodes sont distinguées, trois à la Mecque et une à Médine. La première de ces périodes portent du début de la révélation (610) à la première émigration d’une partie des fidèles en Abyssinie (615). La seconde va jusqu’en 619, année du décès de l’épouse de Mohammed, Khadîja et de son oncle protecteur, Abû Talib. La troisième porte jusqu’à l’Hégire à Médine (622) et la dernière de celle-ci au décès du Prophète (632). Toutefois, certains versets ont pu être révélés à Médine, mais faire référence à des événements intervenus à La Mecque.


Pour cela, le chercheur dispose de plusieurs outils :


- la tradition, après dépouillement prudent de ses aspects apologétiques ou visiblement apocryphes, qui nous rapporte dans quelles circonstances tel ou tel verset a été révélé ;

- l’étude du texte : principalement :


* la longueur des sourates : grosso modo, les sourates les plus longues, placées en tête du Coran, correspondent à la période médinoise ; les sourates moyennes et courtes, en général de la période mecquoise, se trouvent plus vers la fin (La Fatiha fait bien sûr partie des exceptions notables) ; ce qui n’empêche pas, bien sûr, des sourates « mixtes », telle la sourate 16, dite des « abeilles » ;


* vocabulaire : « ô gens » se trouve dans les révélations mecquoises, « ô croyants » dans les sourates médinoises ; « fils d’Israël » est une expression de l’époque mecquoise, par référence aux Hébreux de la Bible, remplacée par « Juifs » durant la période médinoise, par référence aux communautés de la ville avec lesquelles le Prophète est en contact direct ; la formule « Obéissez à Dieu et à son Prophète » témoigne de la période médinoise, tandis que les formules sacramentelles (telle : « Par les étoiles… ») marquent la période mecquoise ; les hypocrites (ces musulmans convertis mais qui, de manière sournoise, renient leur religion) se réfèrent à la période médinoise ;


* styles : les versets les plus lyriques, rythmés et rimés dénotent la période mecquoise ; les versets « oratoires » la période médinoise ; les versets brefs marquent la période mecquoise, les versets étirés, « déployés », chargés d’incidentes, la période médinoise ;


* références à des évènements historiques connus, notamment batailles, qui fixent des repères chronologiques : conflits entre perses et byzantins, entre mecquois et médinois ;


- les thématiques du message et les publics auxquels le Prophète s’adresse : il importe d’abord de rappeler la différence de contextes entre La Mecque et Médine :


* la Mecque se présentait quasi exclusivement comme une ville polythéiste, païenne ; a contrario, Médine était déjà ouverte au monothéisme, d’importantes communautés juives et, dans une moindre mesure chrétienne, y étant présentes ; la nature des réponses et les réactions à l’annonce de l’Islam ne pouvaient donc qu’être différentes.


* Un autre élément distingue les deux périodes : juste avant l’hégire, la communauté se réduit à une centaine, ou à peine plus, de fidèles ; arrivée à Médine, son développement est très rapide, car sur un terreau plus favorable ; il devient donc nécessaire de l’organiser en profondeur.


* Enfin, troisième élément : comme pour tout apprentissage, une pédagogie bien construite exige une progression, ce qui explique que toutes les thématiques ne peuvent être abordées dès les premières années ou que certaines seront révélées sous des angles différents au fur et à mesure du temps.


Ces différences environnementales expliquent :


- que les versets apocalyptiques et eschatologiques, les descriptions du paradis et de l’enfer, sont de période mecquoise,


- ou encore les références à des récits et légendes de l’Arabie préislamique ou bibliques,


- la thématique du jour dernier et de la résurrection ;


- les versets d’ordre politique, législatif, organisationnel, cultuel, les relations interreligieuses et les controverses avec les communautés juives et chrétiennes, sont d’époque médinoise ,


- a contrario les répliques aux croyances polythéistes et païennes sont l’apanage de la période pré hégirienne ;


- si les versets législatifs sont médinois, l’époque mecquoise n’en était pas pour autant totalement exemptée, mais sous une forme moins précise, l’énonciation d’orientation et de valeurs.


Bien sûr, il s’agit là d’indicateurs de la période, mais qui ne se suffisent pas à eux même et souffrent de nombreuses exceptions.


C4 Les règles de l’abrogation :


Il est nécessaire de tenir compte de ce que le Coran lui-même appelle le système de l’abrogation (nâskh), de l’abrogeant (nâsikh) et l’abrogé (mansûkh) : « Nous n’abrogeons un verset ni n’en faisons passer à l’oubli [autre traduction possible : ni n’en déclarons caducs] sans en apporter de meilleur ou semblable. Ne sais-tu pas que Dieu est Tout-puissant ? » (Sourate 2, La génisse, verset 106).


- Ibn Abbas a ainsi commenté ce verset : « Dieu n’abroge ou ne change la loi d’un verset sans que le deuxième verset ne soit plus profitable et plus commode ». Les trois religions monothéistes ont en commun cet exemple : Dieu, pour mettre à l’épreuve Abraham, lui ordonne d’immoler son propre fils puis lui interdit de le faire en lui demandant de lui substituer un mouton ;


- la descente du Coran s’est déroulé sur une période de vingt-trois années (en comparaison, Jésus n’a prêché que durant moins de 4 quatre ans) : certaines prescriptions, aisées pour une communauté réduite ont pu ne plus l’être par la suite, quand il s’agissait de quelques milliers de personnes ;


- lorsque deux versets se contredisent, le dernier en date annule le premier, non cependant en ce qu’un verset en annihilerait un autre, qui perdrait alors toute signification et valeur, mais en ce qu’un statut légal définitif se substitue à un statut légal provisoire. Conserver le plus ancien dans le Coran permet toutefois de mieux comprendre la valeur de ce statut et ses motifs, notamment moraux et éthiques ;


- toutefois, si deux versets se contredisent et, qu’à l’évidence, le plus récent, par sa teneur, viendrait en annihilation et non en substitution du plus ancien, sans qu’aucun progrès puisse apparaître, l’hypothèse que le plus récent n’abroge en rien le plus ancien doit être posée, élément du raisonnement que les courants intégristes de l’Islam oublient régulièrement : il est en effet fort probable que ces deux versets ont été révélés dans des circonstances déterminées, totalement différentes, qui justifient et l’un et l’autre : c’est le cas de nombreux versets révélés à Médine, qui n’abrogent pas pour autant des versets mecquois.


- dans le même ordre d’idées, il ne peut être omis qu’un verset qui énonce une règle générale ne peut être abrogé par un verset qui ne vaut que pour une situation particulière. C’est ainsi que les versets qui prônent la tolérance ont une portée universelle, tandis que les versets qui prônent le combat sont relatifs à un environnement déterminé d’hostilité et de menaces.


Notons aussi que, de même, un hadith postérieur peut venir abroger un premier.


C5 Le degré plus ou moins obligatoire (force relative) du texte :


Traditionnellement, l’Islam distingue cinq degrés d’obligation :


C5.1 Les actions obligatoires (wâgib = qui résultent d’une obligation morale majeure, fard = qui se réfèrent à une prescription coranique) :


Elles ne souffrent aucun manquement, par exemple assister une personne en danger. Celui qui les accomplit sera récompensé, celui qui les néglige sera puni.


C5.2 Les actions prohibées (harâm) :


Par exemple le crime, le vol, le mensonge. Celui qui volontairement ne les réalise pas est récompensé ; leur négligence est sanctionnée ;


C5.3 Les actions recommandées (mandûb) :


Par exemple, le souci de l’environnement, les gestes de solidarité, la visite aux malades, les prières surérogatoires. Elles sont récompensées, mais leur négligence n’est jamais punie.


C5.4 Les actions réprouvées (makrûh) :


Par exemple la futilité, la paresse, la dureté de caractère. Elles ne sont pas sanctionnées mais leur non accomplissement volontaire est rétribué.


C5.5 Les actions licites (mubah = tolérées ou jâ’iz = indifférentes) :
Par exemple des usages traditionnels qui ne seraient pas par ailleurs prohibés ou réprouvés. Ces actions sont acceptées, sans être spécialement ni condamnées ni encouragées.


Tout ce qui n’est pas expressément interdit ou réprouvée est halâl.


C6 Valeur relative des commentaires du Coran par le Prophète et des actes du Prophète :


S’agissant des commentaires, Mohammed les énonce inspirés par Dieu lui-même, en réponse à des questions des premiers croyants sur le sens de tel ou tel verset. Ses paroles sont mûrement réfléchies.


Les actes du Prophète ne peuvent être mis sur le même plan : à l’inverse du christianisme, où les Evangiles présentent Jésus sous un aspect saint et d’une nature surhumaine, l’Islam nous montre Mohammed sous un aspect tout différent. Il est homme ; homme dans ses douceurs, dans sa bonté, dans ses caprices, dans ses passions, dans ses jalousies, avec ses qualités et avec ses faiblesses. Cela explique que la tradition puisse nous rapporter des actes à première vue en opposition entre eux, ou dérogeant aux recommandations mêmes de Mohammed : c’est ainsi que nous apprenons qu’il est arrivé au Prophète, après avoir dormi profondément, de réciter à son réveil ses prières sans même renouveler ses ablutions.
m
8 août 2006 20:52
Citation
TOUNE a écrit:
Salam



Suite de mon précédent post (précisions de ma réflexion propre, qui n'engage que moi) :


C - La méthodologie d’interprétation du Coran et de la Sunna


A ces deux sources essentielles du droit musulman, le Coran et la Sunna, s’applique une méthode systématique (outre l’évaluation du niveau d’authenticité des hadiths) :


C1 - Portée des textes :


Il s’agit de définir si le texte recouvre un sens littéral ou métaphorique, un sens apparent ou caché.


C2 - Les circonstances de la révélation, de l’acte ou du dit :


La théologie musulmane appelle cela les asbâb al nuzûl, les causes ou les circonstances de la descente (littéralement : les portes de la descente).


Par quelque méthode d’analyse qu’on le prenne, « Le Coran est un texte historique : il a été révélé à une époque spécifique, en un lieu spécifique, en une langue spécifique - l’Arabe -, en somme dans un contexte culturel » .


Il s’agit donc de reprendre le contexte dans lequel le verset coranique a été révélé ou les propos et gestes du Prophète survenus pour en indiquer la portée générale ou particulière : ce que l’exégèse musulmane définit comme « les causes de la Révélation » en préconisant de rechercher constamment le contexte et les circonstances les plus précises de l’avènement de chaque verset sans lesquels ce dernier ne peut être compris.


Le penseur iranien Abdul Karim Soroush relève ainsi : « Aller directement au Coran et au hadîths ne donnera pas grand-chose. Vous devez aller à l’Histoire et, de là, revenir au Coran et aux hadîths afin de mettre l’interprétation dans son contexte historique » .


De nos jours, les musulmans « littéralistes » omettent ce principe de spécificité des causes de la Révélation.


C3 - La question de la chronologie du Coran


La recension d’Othmân, qui constitue le Coran tel que nous le connaissons, ne suivant pas l’ordre chronologique, il est tout naturel de souhaiter retrouver l’agencement originel des sourates et des versets. C’est en quelque sorte retrouver aussi le Prophète et sa vie, indissociables du Coran. Cela est aussi indispensable pour l’élaboration du droit et du « credo » musulman et pour comprendre, avec sûreté, les désaccords internes du Coran au travers du système de l’abrogeant - cf. infra. Il serait toutefois illusoire de penser que l’on pourrait aboutir à une reconstitution chronologique incontestable, verset par verset, parfois même sourate par sourate, de la Révélation. C’est là un consensus, tant des chercheurs musulmans que des non musulmans. Cela fait partie des mystères du Coran qui n’appartiennent qu’à Dieu. En revanche, les travaux des un et des autres ont dégagé les méthodes et outils permettant un regroupement relativement affiné des versets et sourates, distinguant non seulement les Révélations pré hégiriennes des Révélations post hégiriennes, mais également les redistribuant au sein de sous groupes.


Traditionnellement, quatre périodes sont distinguées, trois à la Mecque et une à Médine. La première de ces périodes portent du début de la révélation (610) à la première émigration d’une partie des fidèles en Abyssinie (615). La seconde va jusqu’en 619, année du décès de l’épouse de Mohammed, Khadîja et de son oncle protecteur, Abû Talib. La troisième porte jusqu’à l’Hégire à Médine (622) et la dernière de celle-ci au décès du Prophète (632). Toutefois, certains versets ont pu être révélés à Médine, mais faire référence à des événements intervenus à La Mecque.


Pour cela, le chercheur dispose de plusieurs outils :


- la tradition, après dépouillement prudent de ses aspects apologétiques ou visiblement apocryphes, qui nous rapporte dans quelles circonstances tel ou tel verset a été révélé ;

- l’étude du texte : principalement :


* la longueur des sourates : grosso modo, les sourates les plus longues, placées en tête du Coran, correspondent à la période médinoise ; les sourates moyennes et courtes, en général de la période mecquoise, se trouvent plus vers la fin (La Fatiha fait bien sûr partie des exceptions notables) ; ce qui n’empêche pas, bien sûr, des sourates « mixtes », telle la sourate 16, dite des « abeilles » ;


* vocabulaire : « ô gens » se trouve dans les révélations mecquoises, « ô croyants » dans les sourates médinoises ; « fils d’Israël » est une expression de l’époque mecquoise, par référence aux Hébreux de la Bible, remplacée par « Juifs » durant la période médinoise, par référence aux communautés de la ville avec lesquelles le Prophète est en contact direct ; la formule « Obéissez à Dieu et à son Prophète » témoigne de la période médinoise, tandis que les formules sacramentelles (telle : « Par les étoiles… ») marquent la période mecquoise ; les hypocrites (ces musulmans convertis mais qui, de manière sournoise, renient leur religion) se réfèrent à la période médinoise ;


* styles : les versets les plus lyriques, rythmés et rimés dénotent la période mecquoise ; les versets « oratoires » la période médinoise ; les versets brefs marquent la période mecquoise, les versets étirés, « déployés », chargés d’incidentes, la période médinoise ;


* références à des évènements historiques connus, notamment batailles, qui fixent des repères chronologiques : conflits entre perses et byzantins, entre mecquois et médinois ;


- les thématiques du message et les publics auxquels le Prophète s’adresse : il importe d’abord de rappeler la différence de contextes entre La Mecque et Médine :


* la Mecque se présentait quasi exclusivement comme une ville polythéiste, païenne ; a contrario, Médine était déjà ouverte au monothéisme, d’importantes communautés juives et, dans une moindre mesure chrétienne, y étant présentes ; la nature des réponses et les réactions à l’annonce de l’Islam ne pouvaient donc qu’être différentes.


* Un autre élément distingue les deux périodes : juste avant l’hégire, la communauté se réduit à une centaine, ou à peine plus, de fidèles ; arrivée à Médine, son développement est très rapide, car sur un terreau plus favorable ; il devient donc nécessaire de l’organiser en profondeur.


* Enfin, troisième élément : comme pour tout apprentissage, une pédagogie bien construite exige une progression, ce qui explique que toutes les thématiques ne peuvent être abordées dès les premières années ou que certaines seront révélées sous des angles différents au fur et à mesure du temps.


Ces différences environnementales expliquent :


- que les versets apocalyptiques et eschatologiques, les descriptions du paradis et de l’enfer, sont de période mecquoise,


- ou encore les références à des récits et légendes de l’Arabie préislamique ou bibliques,


- la thématique du jour dernier et de la résurrection ;


- les versets d’ordre politique, législatif, organisationnel, cultuel, les relations interreligieuses et les controverses avec les communautés juives et chrétiennes, sont d’époque médinoise ,


- a contrario les répliques aux croyances polythéistes et païennes sont l’apanage de la période pré hégirienne ;


- si les versets législatifs sont médinois, l’époque mecquoise n’en était pas pour autant totalement exemptée, mais sous une forme moins précise, l’énonciation d’orientation et de valeurs.


Bien sûr, il s’agit là d’indicateurs de la période, mais qui ne se suffisent pas à eux même et souffrent de nombreuses exceptions.


C4 Les règles de l’abrogation :


Il est nécessaire de tenir compte de ce que le Coran lui-même appelle le système de l’abrogation (nâskh), de l’abrogeant (nâsikh) et l’abrogé (mansûkh) : « Nous n’abrogeons un verset ni n’en faisons passer à l’oubli [autre traduction possible : ni n’en déclarons caducs] sans en apporter de meilleur ou semblable. Ne sais-tu pas que Dieu est Tout-puissant ? » (Sourate 2, La génisse, verset 106).


- Ibn Abbas a ainsi commenté ce verset : « Dieu n’abroge ou ne change la loi d’un verset sans que le deuxième verset ne soit plus profitable et plus commode ». Les trois religions monothéistes ont en commun cet exemple : Dieu, pour mettre à l’épreuve Abraham, lui ordonne d’immoler son propre fils puis lui interdit de le faire en lui demandant de lui substituer un mouton ;


- la descente du Coran s’est déroulé sur une période de vingt-trois années (en comparaison, Jésus n’a prêché que durant moins de 4 quatre ans) : certaines prescriptions, aisées pour une communauté réduite ont pu ne plus l’être par la suite, quand il s’agissait de quelques milliers de personnes ;


- lorsque deux versets se contredisent, le dernier en date annule le premier, non cependant en ce qu’un verset en annihilerait un autre, qui perdrait alors toute signification et valeur, mais en ce qu’un statut légal définitif se substitue à un statut légal provisoire. Conserver le plus ancien dans le Coran permet toutefois de mieux comprendre la valeur de ce statut et ses motifs, notamment moraux et éthiques ;


- toutefois, si deux versets se contredisent et, qu’à l’évidence, le plus récent, par sa teneur, viendrait en annihilation et non en substitution du plus ancien, sans qu’aucun progrès puisse apparaître, l’hypothèse que le plus récent n’abroge en rien le plus ancien doit être posée, élément du raisonnement que les courants intégristes de l’Islam oublient régulièrement : il est en effet fort probable que ces deux versets ont été révélés dans des circonstances déterminées, totalement différentes, qui justifient et l’un et l’autre : c’est le cas de nombreux versets révélés à Médine, qui n’abrogent pas pour autant des versets mecquois.


- dans le même ordre d’idées, il ne peut être omis qu’un verset qui énonce une règle générale ne peut être abrogé par un verset qui ne vaut que pour une situation particulière. C’est ainsi que les versets qui prônent la tolérance ont une portée universelle, tandis que les versets qui prônent le combat sont relatifs à un environnement déterminé d’hostilité et de menaces.


Notons aussi que, de même, un hadith postérieur peut venir abroger un premier.


C5 Le degré plus ou moins obligatoire (force relative) du texte :


Traditionnellement, l’Islam distingue cinq degrés d’obligation :


C5.1 Les actions obligatoires (wâgib = qui résultent d’une obligation morale majeure, fard = qui se réfèrent à une prescription coranique) :


Elles ne souffrent aucun manquement, par exemple assister une personne en danger. Celui qui les accomplit sera récompensé, celui qui les néglige sera puni.


C5.2 Les actions prohibées (harâm) :


Par exemple le crime, le vol, le mensonge. Celui qui volontairement ne les réalise pas est récompensé ; leur négligence est sanctionnée ;


C5.3 Les actions recommandées (mandûb) :


Par exemple, le souci de l’environnement, les gestes de solidarité, la visite aux malades, les prières surérogatoires. Elles sont récompensées, mais leur négligence n’est jamais punie.


C5.4 Les actions réprouvées (makrûh) :


Par exemple la futilité, la paresse, la dureté de caractère. Elles ne sont pas sanctionnées mais leur non accomplissement volontaire est rétribué.


C5.5 Les actions licites (mubah = tolérées ou jâ’iz = indifférentes) :
Par exemple des usages traditionnels qui ne seraient pas par ailleurs prohibés ou réprouvés. Ces actions sont acceptées, sans être spécialement ni condamnées ni encouragées.


Tout ce qui n’est pas expressément interdit ou réprouvée est halâl.


C6 Valeur relative des commentaires du Coran par le Prophète et des actes du Prophète :


S’agissant des commentaires, Mohammed les énonce inspirés par Dieu lui-même, en réponse à des questions des premiers croyants sur le sens de tel ou tel verset. Ses paroles sont mûrement réfléchies.


Les actes du Prophète ne peuvent être mis sur le même plan : à l’inverse du christianisme, où les Evangiles présentent Jésus sous un aspect saint et d’une nature surhumaine, l’Islam nous montre Mohammed sous un aspect tout différent. Il est homme ; homme dans ses douceurs, dans sa bonté, dans ses caprices, dans ses passions, dans ses jalousies, avec ses qualités et avec ses faiblesses. Cela explique que la tradition puisse nous rapporter des actes à première vue en opposition entre eux, ou dérogeant aux recommandations mêmes de Mohammed : c’est ainsi que nous apprenons qu’il est arrivé au Prophète, après avoir dormi profondément, de réciter à son réveil ses prières sans même renouveler ses ablutions.


barak'allah ou fik

k'allah te récompense pour ton effort. Amin
T
8 août 2006 21:02
Citation
???????? a écrit:
Citation
sophiag1 a écrit:
Citation
???????? a écrit:
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sophiag1 a écrit:
salam

Il ya la méséricorde d'Allah mis il aussi Son chatiment je te le répéte!



Salam


Il y a quand même avant tout la miséricorde ! smiling smiley Le droit à l'erreur est un droit que nous a donné Dieu winking smiley


Le problème de l'Islam contemporain ne serait-il pas que les musulmans eux-mêmes ont tendance à en faire une religion où il nous faut agir par la seule crainte de Dieu !


Plûtôt que par confiance en Lui ou Amour pour Lui ?


Un autre grave problème (à mon avis) : il faudrait faire "comme cela" sans même essayer de comprendre, parce que c'est ainsi (ce serait ainsi) ! L'intelligence de la foi existe (et, indissociable, le doute, auquel la prière vient répondre, mais aussi, souvent, le partage avec les frères et soeurs). Et parfois on aboutit à la conclusion que seul Dieu sait et que même si nous ne comprenons pas complètement, c'est très probablement mieux comme cela.


Pour des amis non musulmans, je traduis souvent Islam par "abandon à Dieu", plutôt que par "soumission à Dieu". Et j'ajoute "volontaire" smiling smiley
m
8 août 2006 21:08
si je te dis bon ben demain je vais faire un péché mais ta vu vu k Allah est méséricordieux et ben il pardonne! n'est ce pas? donc je fais le faire et puis aprés me répentir!

c'est de l'hypocrise pur et simple.

Si on fait un péché par ignorance ou par faiblesse oui heureusement kil pardonne walakin kan c'est prémidité je pense pas Allah ou ahlem;
m
8 août 2006 21:08
si je te dis bon ben demain je vais faire un péché mais ta vu vu k Allah est méséricordieux et ben il pardonne! n'est ce pas? donc je fais le faire et puis aprés me répentir!

c'est de l'hypocrise pur et simple.

Si on fait un péché par ignorance ou par faiblesse oui heureusement kil pardonne walakin kan c'est prémidité je pense pas Allah ou ahlem;
T
8 août 2006 21:33
Citation
???????? a écrit:
si je te dis bon ben demain je vais faire un péché mais ta vu vu k Allah est méséricordieux et ben il pardonne! n'est ce pas? donc je fais le faire et puis aprés me répentir!

c'est de l'hypocrise pur et simple.

Si on fait un péché par ignorance ou par faiblesse oui heureusement kil pardonne walakin kan c'est prémidité je pense pas Allah ou ahlem;


Salam


Le critère pour le repentir et le pardon n'est pas d'avoir été conscient ou non de son erreur avant de la faire. En Islam, il est de se repentir de son vivant et sincèrement... (et, sous certaines conditions, parfois même après sa mort !).


Meme Un criminel, sauf cas relevant de la psychiatrie, est parfaitement conscient de son acte. Pour autant, Dieu lui donne la possibilité du repentir et de la miséricorde. Dieu merci, ne pas mettre un voile n'a rien de criminel (à part chez les sinistres talibans et quelques autres...)


A supposer qu'il soit obligatoire de mettre le voile pour une femme, il n'est écrit nulle part que la femme qui ne s'y conformerait pas ira en enfer, quand bien même elle serait consciente que ce serait un péché (ce qui reste à prouver). J'ajoute que pour 1 bonne action (et sans doute en a-t-elle fait beaucoup beaucoup plus) elle reçoit dix récompenses, contre 1 "punition" pour "1 mauvaise" smiling smiley (Ouf, pour ma "tendre et douce" smiling smiley


Et que s'il (ne) s'agissait (que) d'une action recommandée (hypothèse que je suis prêt à admettre plutôt que celle de l'obligation), la femme qui met le voile en sera récompensée et celle qui ne le mettrait pas n'en sera pas punie...
z
8 août 2006 21:45
Salam Toune,

Je comprends tout à fait ce que tu écris et ça à l'avantage d'être très respectueux.
Valeur que j'apprécie énormementsmiling smiley

En fait la où je modèrererai le terme de "obligatoire" c'est que je perçois le port du voile comme une conviction. Un acte réfléchi, voulu et raisonné.
On choisit un acte en fonction de ce qu'on a lu, entendu, assimilé et si on y adhère.

Or une conviction par définition ne s'oblige pas.
Elle est propre a chacun, on est pas tous prêt en même temps, on évolue à notre rythme.
Des devoirs il en existe tout un tas, je suis pas sûre que chacun soit à 100% de leur application.

C'est en ça que je m'offusque aussi à la lecture de certains qui osent faire sortir de l'islam une soeur qui ne le porte pas et qui imposent , c'est en ça que je respecte chaque chemin, c'est en ça aussi que je défends le choix de le porter.





Une conviction ne s'impose pas mais elle se défend.

Salamsmiling smiley.
Si les oliviers connaissaient les mains qui les ont plantés, leur huile deviendrait des larmes. [b][color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color]@@@@@@ [color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#FFFFFF]@@@@@[/color] [color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#009900]@@@@@@[/color][/b]
z
8 août 2006 21:47
Citation
TOUNE a écrit:
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???????? a écrit:
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sophiag1 a écrit:
Citation
???????? a écrit:
Citation
sophiag1 a écrit:
salam

Il ya la méséricorde d'Allah mis il aussi Son chatiment je te le répéte!



Salam
Il y a quand même avant tout la miséricorde ! smiling smiley Le droit à l'erreur est un droit que nous a donné Dieu winking smiley


Barak'Allahou fik.
C'est dit avec plus de tact que moi je reconnais.

On ne menace pas au nom de Allah SWT.
Si les oliviers connaissaient les mains qui les ont plantés, leur huile deviendrait des larmes. [b][color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color]@@@@@@ [color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#FFFFFF]@@@@@[/color] [color=#FF0000]@[/color][color=#FF0000]@[/color][color=#009900]@@@@@@[/color][/b]
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