Les ennemis des Palestiniens devront ravaler leur fiel:la guerre civile n'aura pas lieu...
Hamas et Fatah signent un accord sur un gouvernement d'union LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 08.02.07 | 15h10 • Mis à jour le 09.02.07 | 08h23
La réunion de La Mecque était celle de la dernière chance pour le dialogue interpalestinien. Réunis depuis mercredi 7 février en Arabie saoudite, les frères ennemis, le Fatah et le Hamas, ont signé, jeudi soir, un accord sur un gouvernement d'union nationale et sur un programme politique, lors d'une cérémonie au palais Al-Safa. L'ambassadeur palestinien en Arabie saoudite, Jamal Al-Choubaki, a précisé que l'accord porte sur "la formation d'un gouvernement d'union nationale, sur son programme politique et sur la répartition des portefeuilles ministériels".
Le conseiller du président palestinien en a aussi profité pour annoncer que Mahmoud Abbas avait chargé le premier ministre sortant, Ismaïl Haniyeh, du Hamas, de former un gouvernement d'union nationale. Aucune indication n'a cependant été fournie sur les concessions qu'aurait pu faire le Hamas, dont le refus de reconnaître Israël faisait notamment achopper les discussions jusqu'à présent.
"LA DÉCLARATION DE LA MECQUE"
Des responsables du Fatah et du Hamas, qui contrôle le gouvernement depuis mars 2006, avaient annoncé peu auparavant s'être mis d'accord sur ces points. Mahmoud Abbas, le chef en exil du mouvement islamiste Hamas, Khaled Mechaal, ainsi que le roi Abdallah d'Arabie saoudite, initiateur de cette nouvelle séance de discussions interpalestiniennes, ainsi que plusieurs responsables saoudiens étaient présents pour la signature de l'accord baptisé "déclaration de La Mecque".
L'objectif de l'accord est de mettre un terme aux combats opposant les partisans du Fatah à ceux du Hamas, qui ont fait au moins 67 morts depuis le 25 janvier. Les discussions entre les deux parties avaient jusqu'à présent échoué sur l'attribution des principaux portefeuilles au sein d'un cabinet d'union, notamment celui de l'intérieur, et surtout sur sa plate-forme politique.
Le Hamas refusait en effet de renoncer à la violence et de reconnaître le droit d'Israël à l'existence, ainsi que les accords passés entre l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) et l'Etat hébreu, comme l'exige le Quartet pour le Proche-Orient (Etats-Unis, ONU, Russie et UE). Ce refus du Hamas a entraîné la suspension des aides financières occidentales directes à l'Autorité palestinienne, menaçant celle-ci d'asphyxie.
UN MINISTRE DE L'INTÉRIEUR INDÉPENDANT
L'accord prévoit que le premier ministre sera secondé par un vice-premier ministre choisi au sein du Fatah et nommé par Mahmoud Abbas. Il attribue également au Hamas neuf ministères, dont ceux de l'économie, du travail et de la justice, six au Fatah et quatre à des représentants des quatre autres blocs parlementaires au Conseil législatif palestinien. De plus, les participants ont décidé de confier le ministère des affaires étrangères à Ziad Abou Amr, un indépendant proche à la fois de M. Abbas et du Hamas, alors que celui des finances sera attribué à Salam Fayadh, qui n'appartient à aucun des deux mouvements.
L'accord stipule également la nécessité pour le Hamas de nommer un ministre de l'intérieur indépendant, à condition qu'il ait l'aval de Mahmoud Abbas. L'attribution des principaux portefeuilles ministériels constituait jusqu'à présent un des obstacles majeurs à un accord entre les deux formations.
Abbas et dahlan c'est des colabos notoires , tant qu'ils restent et sont sponsorisés par le buch , sionistes et le mouberak et l'abdelallah de jordanie , tant c'est la voie ouverte à plus de colonisation et plus de genocide .
et les autres tarés sont aussi des assassins, dans le chao totale qu'il y avait s'ils étaient réellement musulmans et sages ils auraient abandonné ce Pouvoir qu'il vénère, tfou les arabes sont trop matérialistes
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