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halal ou haram?????
n
14 août 2009 21:52
Salam alaykoum

quand je fais mes courses je lis toujours les ingrediens des articles que je consomme, dernièrement j'ai

lu le détail d'une mayonnaise que j'ai l'habitude d'acheter et je me suis apercu que cette mayo contenai

du vignaigre de vin!!!!!!! j'étais trés étonné!!! tout en sachant que beaucoup de produit contienne ce

genre de composant meme

dans les plats à base de poisson par exemple, ce genre d'ingredient est-il halal ou haram?????

et vous quand vous faite vos courses vous aussi vous etes obsedez à lire le détails des ingredient?????
h
14 août 2009 22:52
moi aussi pareil fo lire mai cest vrai ke sur les mayo je sai pa si cest halal ou haram
M
14 août 2009 23:19
Franchement je lis meme pas smoking smiley...

c'est bien toi au moin tu fais attention. Par contre ya un truc que j'ai toujours voulus savoir:

L'alcool c'est Haram dés la première goute ou bien on y est autorisé mais faut se saoulé? Nan nan c'est une vrai question que je me pose quand on ça parle d'alcool. Si on pouvais me répondre sans me jugez please winking smiley
[b][center][color=#FF0000]Moi sans lui c'est comme un tajine sans huile[/color][color=#CC00FF] Moi sans toi c'est comme une maison sans toit[/color]:A:[i][color=#FF3399] Dieu nous a donné deux oreilles et une bouche pour écouter plus qu'on ne parle[/color][/i]:A::L:[color=#FF9933] I love Morocco[/color]:o[/center][/b]
k
15 août 2009 01:12
Citation
Mariame-la-Casaouia a écrit:
Franchement je lis meme pas smoking smiley...

c'est bien toi au moin tu fais attention. Par contre ya un truc que j'ai toujours voulus savoir:

L'alcool c'est Haram dés la première goute ou bien on y est autorisé mais faut se saoulé? Nan nan c'est une vrai question que je me pose quand on ça parle d'alcool. Si on pouvais me répondre sans me jugez please winking smiley

"ma askara katireho fa qalileho haram" ou un truc dans ce genre smiling smiley
ps:je sais pas si c'est un hadith ou verset du coran Heu

vodka ou bière tout est haram en petite ou en grande quantité smiling smiley
M
15 août 2009 02:46
L'histoire qui va être relatée est issue des récits prophétiques authentiques.Le thème abordé est celui de la dangerosité de l'alcool — qui n'est plus à démontrer de nos jours. Apparemment, le personnage principal de ce récit n'a pas su estimer à sa juste mesure la nocivité de la boisson ; mal lui en prit, voici pourquoi...

Un homme s'était isolé du monde pour se vouer à l'adoration de Dieu. Or, une femme égarée s'était éprise de lui. Elle ourdit un plan pour l'amener à elle. C'est ainsi qu'elle lui envoya sa servante avec ce message : « Nous te convoquons pour un témoignage. »

Sans se méfier aucunement, le dévot prit la route avec la domestique jusqu'au domicile de la solliciteuse. A chaque fois qu'ils franchissaient une porte, la servante la verrouillait derrière lui...

Ils aboutirent finalement dans une pièce où les attendait une femme à la beauté éclatante. Mais elle n'était point seule : un enfant se tenait à ses côtés, et elle avait à sa proximité un récipient rempli de vin. Elle dit alors au dévot : « Par Dieu ! Je ne t'ai assurément pas convoqué pour un témoignage, mais je t'ai convoqué pour que tu aies commerce charnel avec moi ou que tu boives un verre de ce vin ou que tu tues cet enfant. »Il lui rétorque alors : « Verse-moi donc un verre de ce vin ! »Elle lui en servit un. Il but... « Rajoutez-m'en ! », lança-t-il. Et il ne cessa de s'imbiber encore et encore de la boisson enivrante jusqu'à ce que la raison le quittât, qu'il succombât au péché de la chair avec sa tentatrice et qu'il tuât l'enfant !

Cette malheureuse histoire est rapportée par An-Nassâ'î (entre autres) d'après 'Abdarrahmâne Ibnou Al-Hârith, qui la tient de son père. A chaque fois, elle ne laisse pas indifférents ses auditeurs. Une autre version existe aussi.

At-Tabarânî raconte ainsi dans Al-Awçat, d'après 'Abdoullâh Ibnou 'Amr, qu'Aboû Bakr As-Siddîq (Da), 'Omar Ibnou Al-Khattâb (Da) et des hommes parmi les compagnons du Prophète s'étaient réunis après la mort du Messager d'Allâh, et ils avaient évoqué le plus grave des grands péchés. Leur discussion n'aboutit guère : ils ne surent déterminer quelle faute parmi les plus terribles était la pire.

Alors 'Abdoullâh Ibnou 'Amr fut envoyé auprès de 'Abdoullâh Ibnou Al-'Âs pour l'interroger. Le sollicité informa le visiteur que le péché gravissime est la consommation d'alcool.

Revenu auprès de ses compagnons, 'Abdoullâh Ibnou 'Amr leur délivra la réponse, mais ils le désapprouvèrent et tous décidèrent de se rendre illico presto chez 'Abdoullâh Ibnou Al-'Âs pour entendre sa preuve.

'Abdoullâh Ibnou Al-'Âs leur relata alors cette parole du Prophète : « Il y avait un roi, parmi les fils d'Israël, qui a capturé un homme. Il lui a fait choisir entre boire du vin, tuer un nourrisson, forniquer, manger de la viande de porc ou être tué s'il refusait. L'homme a donc choisi de boire du vin. Lorsqu'il a bu, il ne s'est interdit aucune chose qu'ils ont voulue de lui. »

Et 'Abdoullâh Ibnou Al-'Âs d'ajouter : « Alors le Messager de Dieu nous a dit, à ce moment-là : « Il n'y a pas un de vous qui en boit sans que sa prière ne soit plus agréée pendant quarante jours ; et s'il meurt et qu'il en a des traces dans sa vessie, sans que le paradis ne lui soit interdit. S'il meurt dans les quarante jours, il est mort d'une mort de l'époque de l'ignorance. »

Quelles sont les leçons à tirer de ces deux versions ?

1) Dans les deux cas, l'homme a sous-estimé la gravité du péché de la boisson et le pouvoir destructeur de l'alcool ;

2) Dans la première version, le dévot pensait que l'isolement le rendrait plus fort spirituellement face aux épreuves. Or, en se privant du côtoiement de ses semblables, il s'est privé de la science et des expériences d'autrui et du groupe : il est devenu plus naïf au point de ne pas voir le piège se refermer lentement sur lui ; au point de ne rien connaître des effets de l'alcool sur l'organisme humain. N'est-il pas dit dans l'Islam que le musulman fort est celui qui vit parmi ses concitoyens en supportant leurs méfaits ?

3) L'alcool entraîne l'autodestruction du buveur, mais ses méfaits se répercutent également sur l'entourage proche : la pièce fermée, l'homme, la femme, et l'enfant peuvent symboliser une cellule familiale nucléaire. Les horribles péchés dans lesquels tombent en général celui ou celle qui s'adonne à la boisson sont la luxure et la violence (ici, le meurtre).

4) Pour ce qui est de la deuxième version, les conséquences de la consommation d'alcool sur la prière et le devenir du pécheur sont terribles, voire fatales. S'il ne s'agissait pas d'ignorance et de faiblesse, comment comprendre que certains croyants puissent y recourir ? Ô croyants, n'oubliez pas ! : l'alcool prend l'homme dans un palais et le jette dans un ruisseau... et cela est un moindre mal par rapport à ce qui l'attend dans l'au-delà...
[b][center][color=#FF0000]Moi sans lui c'est comme un tajine sans huile[/color][color=#CC00FF] Moi sans toi c'est comme une maison sans toit[/color]:A:[i][color=#FF3399] Dieu nous a donné deux oreilles et une bouche pour écouter plus qu'on ne parle[/color][/i]:A::L:[color=#FF9933] I love Morocco[/color]:o[/center][/b]
M
15 août 2009 02:47
Voilà ce qu'on m'a envoyé par MP et je vous avoue que ça c'est une réponse...thumbs up

Enfin pour moi cette personne a vraiment répondu à ma question winking smiley
[b][center][color=#FF0000]Moi sans lui c'est comme un tajine sans huile[/color][color=#CC00FF] Moi sans toi c'est comme une maison sans toit[/color]:A:[i][color=#FF3399] Dieu nous a donné deux oreilles et une bouche pour écouter plus qu'on ne parle[/color][/i]:A::L:[color=#FF9933] I love Morocco[/color]:o[/center][/b]
a
15 août 2009 11:48
Salamou 3aleykoum wa rahmatullahi wa barakatuhu
voila les differents avis au sujet du vinaigre
L’Imâm Muslim rapporte dans son Sahîh que le Prophète (sallallahu ‘alayhi wa sallam) a dit : « Quel bon aliment que le vinaigre ». L’Imâm an-Nawawî (rahimahullâh) dit dans son commentaire - que ce hadîth indique le bienfait du vinaigre, et que l’appellation « al-Oudoum » dans le hadîth, indique l’importance de ce grand bienfait [1].

Il y a unanimité des jurisconsultes sur le fait que le vinaigre qui s’est modifié naturellement, c’est-à-dire sans intervention humaine, est licite. Qu’il ait été exposé au soleil directement ou sous son ombre, sans l’intention de le transformer pour le consommer - ceci est licite chez les Hanafites, les Chafiites et les Dhâhirites et toléré chez les Hanbalites. Selon les Malékites, l’avis est basé sur trois positions : la première qui le prohibe et l’interdit sur la base d’un hadîth rapporté par Mâlik, Ahmad, Muslim et an-Nassâ-î, la seconde le permet mais avec blâme, et la troisième mentionne la permission du vinaigre fait par autrui, mais sans intention de consommation du vin, car il n’est pas permis de transformer du vin au profit du vin. Les Chafiites et les Hanbalites ne permettent pas la transformation du vin afin d’en faire un remède [2]. Abû Hanîfa ainsi que ses compagnons disent qu’il n’y a pas de mal à transformer le vin. Al-Thawrî sur la question du vin, ne permet pas sa transformation pour la consommation. [3]

Les savants de Lajnah ad-Dâ-ima disent que tout ce qui n’est plus appelé vin après sa transformation, n’est plus interdit à la consommation et que les jurisconsultes sont unanimes sur le fait que ce qui est interdit est ce qui est encore nommé vin [4]. Les savants de Lajnah disent encore que l’absorption d’une grande quantité en est interdite, car il est assimilable au vin. Mais si l’absorption de la grande quantité n’entraîne pas l’ivresse, rien n’en empêche l’achat, la vente et la consommation [5].

L’Imâm ach-Chanqîtî (rahimahullâh) dit dans son commentaire du Qor’ân, que Abû Dardâ (radhiallâhu ‘anhu) voyait la permission dans la transformation du vin, mais que beaucoup de savants interdisent sa transformation. Lorsque celui-ci se transforme de part lui-même, sans intervention humaine, il y a consensus sur sa permission à la consommation. Ach-Chanqîtî cite Ibn Hajar qui rapporte dans « al-Fath » que Abû Dardâ (radhiallâhu ‘anhu) ainsi qu’un groupe parmi eux, consommaient de la sauce de vinaigre fabriqué sur la base du vin. Et al-Bukhârî a mentionné ce hadîth au chapitre de la purification des aliments de mer [6].
a vous de vous faire une idee maintenant les avis sont la chacun avec ses preuves si un avis vous convainc le plus adopter le wa al hamdullillah
3
333
15 août 2009 12:39
l"alcool est clairement interdit

Après, le vinaigre de vin n'est pas de l'alcool

Et il y a discussion entre les savants s'il est licite ou pas au sens ou: a ton le droit de faire du vin pour faire du vinaigre

Un article intéressant sur le sujet:
[www.maison-islam.com]
a
15 août 2009 12:55
Voila les differents avis concernant le vinaigre
L’Imâm Muslim rapporte dans son Sahîh que le Prophète (sallallahu ‘alayhi wa sallam) a dit : « Quel bon aliment que le vinaigre ». L’Imâm an-Nawawî (rahimahullâh) dit dans son commentaire - que ce hadîth indique le bienfait du vinaigre, et que l’appellation « al-Oudoum » dans le hadîth, indique l’importance de ce grand bienfait [1].

Il y a unanimité des jurisconsultes sur le fait que le vinaigre qui s’est modifié naturellement, c’est-à-dire sans intervention humaine, est licite. Qu’il ait été exposé au soleil directement ou sous son ombre, sans l’intention de le transformer pour le consommer - ceci est licite chez les Hanafites, les Chafiites et les Dhâhirites et toléré chez les Hanbalites. Selon les Malékites, l’avis est basé sur trois positions : la première qui le prohibe et l’interdit sur la base d’un hadîth rapporté par Mâlik, Ahmad, Muslim et an-Nassâ-î, la seconde le permet mais avec blâme, et la troisième mentionne la permission du vinaigre fait par autrui, mais sans intention de consommation du vin, car il n’est pas permis de transformer du vin au profit du vin. Les Chafiites et les Hanbalites ne permettent pas la transformation du vin afin d’en faire un remède [2]. Abû Hanîfa ainsi que ses compagnons disent qu’il n’y a pas de mal à transformer le vin. Al-Thawrî sur la question du vin, ne permet pas sa transformation pour la consommation. [3]

Les savants de Lajnah ad-Dâ-ima disent que tout ce qui n’est plus appelé vin après sa transformation, n’est plus interdit à la consommation et que les jurisconsultes sont unanimes sur le fait que ce qui est interdit est ce qui est encore nommé vin [4]. Les savants de Lajnah disent encore que l’absorption d’une grande quantité en est interdite, car il est assimilable au vin. Mais si l’absorption de la grande quantité n’entraîne pas l’ivresse, rien n’en empêche l’achat, la vente et la consommation [5].

L’Imâm ach-Chanqîtî (rahimahullâh) dit dans son commentaire du Qor’ân, que Abû Dardâ (radhiallâhu ‘anhu) voyait la permission dans la transformation du vin, mais que beaucoup de savants interdisent sa transformation. Lorsque celui-ci se transforme de part lui-même, sans intervention humaine, il y a consensus sur sa permission à la consommation. Ach-Chanqîtî cite Ibn Hajar qui rapporte dans « al-Fath » que Abû Dardâ (radhiallâhu ‘anhu) ainsi qu’un groupe parmi eux, consommaient de la sauce de vinaigre fabriqué sur la base du vin. Et al-Bukhârî a mentionné ce hadîth au chapitre de la purification des aliments de mer [6].
maintenant a vous de voir quel avis vous convainc le plus wa el hamdulillah
ps: je pensais l avoir poster mais j avais pas valider
 
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