Je me demandais comme le mari devait subvenir aux besoins de sa femme (logement, nourriture,vetements...)si le hadj faisait partis de ses "devoirs" envers elle etant donnée qu'elle devrait etre théoriquement dépendante de lui!
Si elle n'as pas pu faire le hadj avant le mariage elle devra le faire avec son mari idealement (ou mahram), mais du coup j'ai l'impression que son obligation en tant que pilier de l'islam dépend essentiellement de monsieur ( pas seulement sur le point financier..)
Admettons que la femme venait a mourir avant d'avoir pu accomplir l'obligation est ce que le mari sera juge sur le fait qu'elle ne l'est pas accomplie ou est ce qu'elle rentre dans la case "pas la capacite a faire le pelerinage"?
Dans ce cas, est il preferable pour l'homme d'attendre de se marier pour faire le pelerinage avec sa tendre? Ou doit il le faire des que possible meme si c'est avant le mariage et que cela implique de re-epargner une grosse somme pour le refaire avec la mariée?(Sachant qu'elle pourrait perdre la sante ou encore pire mourir...)
J'espere avoir ete clair, si c'est pas le cas n'hesitez pas a posez vos questions je réexpliquerais volontier!
Le mari doit subvenir au besoin de sa femmme, mais il n'y a pas interdiction à la femme de travailler et de réunir la somme pas forcément pour le hadj, mais pour vivre mieux. A moins que ta future femme meurt d'une maladie foudroyante, vous avez le temps d y penser. En général les gens le font quand ils atteignent un certain âge. Tu te sens être haj jeûne ?
Les gens le font a un age avancé par faute de moyens en général pas parce qu’il ne veulent pas devenir "haj" jeune. Ce qui est juste c'est de le faire des que les conditions requises sont rassemblées et ceux même si la personne concernée est jeune (vingtaine ou autre...)
Ya aussi la question de savoir si le mariage prime sur le hadj mais sa c'est un autre debat!
citation : Le mari ne doit pas supporter les frais du pèlerinage de son épouse, même s’il est riche. Mais cela lui est recommandé et il en sera récompensé. Toutefois, s’il s’en abstient il ne commet aucun péché. Car ni le livre ni la Sunna ne le lui imposent.