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Grandes familles marocaines, qui gère vraiment le royaume ?
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13 août 2013 12:44
Business, politique, administration… Depuis des générations, les mêmes puissantes dynasties dirigent le Maroc.

Démêler l´écheveau des grandes familles marocaines est un vœu pieux. De l´avis de Maria Moukrim, une journaliste qui a longuement enquêté sur le sujet, « une vie de recherches ne suffirait pas à retracer les connexions innombrables qui lient les élites administratives, politiques et économiques du Maroc ».

Le politologue John Waterbury, dont Le Commandeur des croyants : la monarchie marocaine et son élite (paru aux Presses universitaires de France en 1975) reste l´ouvrage de référence sur le pouvoir marocain, constate que « l´élite est un monde clos, une société étroite dont l´esprit de clan est encore renforcé par la pratique croissante d´intermariages ». Et d´ajouter : « Il faut insister sur l´ampleur de ce phénomène caractéristique : tous les Marocains des classes dirigeantes se connaissent personnellement. Que ces relations soient amicales ou hostiles importe moins que le fait qu´elles existent. »

Les principaux concernés ne cachent pas leurs liens avec les happy few qui tirent les ficelles du royaume. « En réalité, nous avons grandi ensemble, fréquenté les mêmes écoles et partagé nos goûters d´anniversaire », explique Lamia F., jeune cadre casablancaise issue d´une lignée fassie. Dans sa famille, Lamia compte une foule de hauts fonctionnaires, de patrons, d´avocats d´affaires, de diplomates… et même quatre anciens ministres.

Trois strates

Dans un système pyramidal où tout remonte vers le sommet, la monarchie a développé sur la durée une clientèle de grandes familles sur lesquelles elle s´est appuyée pour gérer le royaume. L´élite est ainsi structurée, depuis des siècles, en trois strates. Le groupe le plus important en nombre est celui des grands bourgeois commerçants. Issus pour la plupart des immigrés andalous chassés de la péninsule Ibérique par la Reconquista, au XVe siècle, ils se sont installés dans les grandes villes du nord du pays : Fès, Meknès, Salé, Tétouan. Maîtrisant les arcanes du commerce international naissant, ils exportaient du cuir et des grains et importaient des produits de consommation courante (thé, sucre).

La légende veut que les Sebti, dont l´un des rejetons illustres, Ghali, est poursuivi depuis plus de vingt ans dans l´affaire dite des minotiers, aient assis leur fortune pendant les années de disette. De manière générale, le capitalisme fassi a profité de la spéculation, et bien des trésors dorment encore dans les terrains que gardent jalousement les barons d´industrie. Mais les affaires se sont diversifiées, et les plus grands noms dominent aujourd´hui des groupes modernes. Qu´on pense à Mohamed El Kettani (PDG d´Attijariwafa Bank), à Anas Sefrioui (patron du géant de l´immobilier Addoha), à Othman Benjelloun (BMCE Bank), à Moulay Hafid Elalamy (Saham), à Saïda Karim Lamrani (Safari)… Tous ont fait grandir le business familial pour conquérir de nouveaux marchés.

Deuxième affluent du Maroc d´en haut, les familles dites Makhzen. Au service des sultans depuis plusieurs générations – notamment au sein de l´armée -, elles ont progressivement pris part à l´administration, surtout dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Aujourd´hui encore, nombre de caïdats leur reviennent. Enfin, complétant ce tableau, les chorfa sont les descendants du prophète Mohammed. Tirant de ce prestige un pouvoir d´abord religieux et symbolique, ils reçoivent les offrandes du roi, lui-même cherif alaouite – du nom de la dynastie qui règne sur le pays depuis trois siècles et demi. La plus célèbre des lignées chorfa est celle des Idrissides, descendants de Hassan, petit-fils du Prophète.

Se marier entre cousins pour éviter la dispersion du patrimoine

Cette situation a été renforcée pendant l´époque coloniale, par cynisme ou par facilité. Ce dont témoigne le regret exprimé en 1947 par le résident général Eirik Labonne : « Nous avons misé sur une oligarchie, sur une caricature d´aristocratie. Jouons maintenant la carte du peuple. » Au début du protectorat, la politique des grands caïds était conçue par le premier résident général, Hubert Lyautey, comme un calque de la « noblesse d´épée » d´Ancien Régime. Dans un discours aux grandes familles en 1916, l´officier souhaitait que « les rangs et les hiérarchies soient conservés et respectés, que les gens et les choses restent à leur place ancienne, que ceux qui sont les chefs naturels commandent et que les autres obéissent ». Lyautey, « monarchiste au service de la République », selon la formule de l´historien Pierre Vermeren, voyait dans le Maroc un terrain idéal pour conserver un ordre ancien. À côté des collèges musulmans Moulay-Idriss et Moulay-Youssef, il créa des établissements pour les fils de notables et notamment, à Meknès, l´école des officiers de Dar El Beïda, devenue l´Académie royale militaire.

[www.jeuneafrique.com]
h
14 août 2013 00:13
Ce sont les sionistes qui dirigent le Maroc (d ailleurs l Algérie et la Tunisie aussi).

Avec en tête l homme du Mossad au Maroc : André Azoulay.

Ainsi que les faux Marocains (les Fassis qui descendent des Juifs chassés d Espagne).

Ces gens sont exécrables !

Aucuns Musulmans ne dirigent le Maroc.

D ailleurs l ancien ambassadeur d Irlande au Maroc, avait déclaré "J ai côtoyé la pseudo élite Marocaine

et je n ai pas aperçu un seul croyant".


Les gens de Fès (Juifs d Espagne) ont vendu le Maroc durant le protectorat en s appuyant sur la présence coloniale pour se hisser à la tête du pays.

En Algérie c est encore pire (quoique en dise les pseudo fiers Algériens), ce sont les décret Crémieux

qui dirigent ce pays c'est à dire Juifs Pieds-noirs.

Tout comme en Tunisie, Ben Ali est un séfarade, tout comme Moubarak en Egypte, et aujourd hui

Al Sissi Juif Marocain.

La famille Saoud également descendant de la tribu juive Irakienne des Beni Qaynuqah.

Comme les pays du Golfe dirigés par des séfarades.


Conclusion : tous les pays Arabes sont dirigés d une manière ou d une autre par des séfarades très

très très liés à Israël. Voilà pourquoi les pays Arabes ne se développent pas, et voilà pourquoi il y règne

le chaos, la corruption, la torture, la manipulation, l usure, le meurtre, l injustice, un Islam biaisé !


Faites vos recherches, vous allez être sidérés !
15 août 2013 23:50
il ya de vrai dans vos propos mais regardez le cotè positive le maroc d'aujourd'hui n'as rien a avoir avec le maroc il ya 10ans ou même 6 ans en arrière d'abord il evolue et on a la paix et la securitè on peut pas tt avoir c imposible on aimerais tant des choses pour notre pays mais bon personelement je vois mohamed 6 mieux que ses prècèdents il n'as pas une baguette magique pour changer tt il faut un miracle pour nettoyer l'administration marocains
c
16 août 2013 09:51
Pas de grande familles ayant de l i fluence eco c est Israël qui dirige le Maroc
[b]Spider-Cochon, Spider-Cochon, il sait monter au plafond! Est-ce qu'il peut faire une toile? Bien sur que non, c'est un cochon![/b]
 
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