Jean-Jacques Cécile, ancien cadre d'une unité spéciale et du renseignement militaire français, est consultant indépendant et directeur de recherche au Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R). Il est l'auteur de très nombreux articles et collabore à de nombreuses revues spécialisées (Renseignement et opérations spéciales, Commando, TTU, etc.). Il est l'auteur de cinq ouvrages sur le renseignement et les opérations spéciales et intervient très régulièrement dans les médias (radios et télévisions).
dans une de ses dernieres chroniques pour le Centre Français de Recherche sur le Renseignement, jj cecile explique que les besoins générés par le conflit iraqien ont imposé un abaissement des standars de recrutement de l'armee us qui accepte desormais dans ses rangs des membres de gangs sevissant à los angeles ou chicago. ces derniers n'hesitent pas à se regrouper dans les unités et marquent leur presence dans les cantonements avec des pancartes exotiques. les officiers auraient reçu des consignes de laisser faire de la part de leur hierarchie du fait du "bon boulot" effectué par ces recrues. un enqueteur du departement de le defense aurait ainsi identifié 320 membres de gangs notoirement connus au sein des unités combattantes et estime qu'il ne s'agit que le partie visible de l'iceberg. outre les exactions possibles en iraq, le danger craint par certains responsables viendrait des alliances menées entre gangs ayant combattu ensemble en iraq et de la creation de veritable cartel du crime. l'entrainement et la formation militaire donné par l'us army à ces recrues augmentent aussi la dangerosité de ces individus une fois demobilisés. est cité à titre d'exemple le gang "los zetas", aux methodes ultra violentes et sevissant à la frontiere mexicaine, qui s'est doté de "forces speciales" au sein du gang, entrainées par d'ex membres du special air force mobile group chargé de la lutte contre le traffic de drogue. bush et les gangs ou quand le criminel N°1 fait appel aux enfants des quartiers pauvres pour la sale besogne. plusieurs responsables n'avaient pas caché cyniquement que les ghettos et leur armée de chomeurs constituaient un vivier de futurs combattants en cas de conflit, une armee de reserve gratuite mobilisable rapidement avec quelques dollards. c'est bien pratique la misere finalement.
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