Cela a une histoire au départ, car sans histoire, il n'y apas de dicton. C'était un type qui se promenait toujours avec un chien fidèle, qui le protégeait des voleurs lorsqu'il dormait. Il ne pouvait se séparer de son ami-animal. Alors, lorsqu'il se rendait chez les gens, on lui reprochait d'être accompagné avec un chien, c'est pour cela qu'il avait pris la décision de ne se rendre que chez ceux l'accepte tel qu'il est, et avec son chien, sinon ce n'est pas la peine de l'inviter.
Ce dicton se dit, un peu plus tard, dans les situations où une personne qui se serait mariée avec une personne qui ne conviendrait pas à la famille ou la belle-famille. Dans ce cas,pour éviter qu'on lui mette des conditions : je t'invite mais sans ta femme, ou sans ton mari ..., on dit dans ce cas : "lly bghany, bghany bkalbi" , ceci ne veut absolument dire qu'on fait passe le conjoint pour un chien, mais c'est pour allusion à l'histoire précédente.
salam voici un petit dicton.c'est par rapport à ceux à qui tu tends la main et qui veulent tout le bras:guelleuc aich rassek a le3erriaine,gaili rasni ratem a moulay(traduction approximative:c'est un homme qui demande à un pauvre de quoi il a besoin et lui il lui répond qu'il veut une bague)
galou nass zmane: fine nchite nkhesse (lisez le t comme celui de travers et nkhess comme pour dire laitue en darija) c'est un dicton que j'ai entendu chez la mère d'une amie,je le trouve trop fort et trop concis pour une situation qui nécéssite l'emploi de plus d'une phrase pour être décrite. dites moi ce que vous en pensez vous.