slt tlm ce film de Narjiss Nejar a ete primé hier a cannes; et aujourd'hui NN est attaqué en justice par les figurantes qui ont joué dans ce film, pour cause elle leurs a menti..... si vous voulez lire le reste allez sur " [www.elksiba.net] " et dites moi ce que vous en pensez [img]http://www.smiliegenerator.de/s24/smilies-8569.png[/img]
g lu l'article, excellent, reste à voir si l'histoire est vraie, je vois mal des actrices ki jouent les prostituées sans le savoir, enfin bref, je vé voir le film d'abord et je jugeré ensuite
> g lu l'article, excellent, reste à voir si l'histoire est > vraie, je vois mal des actrices ki jouent les prostituées sans > le savoir, enfin bref, je vé voir le film d'abord et je jugeré > ensuite > >
santita pour ceux qui ne connaissent pas l espagnole peux tu leur faire u url pour ta signature?(
laylatoun ba3da laylatoun ba3da oukhra
walayali siba tamoro 3ijala
yalayta zamana siba ya3oudo
a7ki laho mada fa3ala bya lmachibo
je suis allée voir le film à montaparnasse (samedi 8 mai) et il est trop triste !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! y a des moments où on a envie de sortir de la salle tellement c'est TRISTE !!! je ne sais pas si cette ville existe vraiment mais j'éspère que non !!!!!! (extrait du film : une jeune fille agée de 12 ou 13 ans va se faire violer par un homme et aprés être devenue femme elle met un foulard rouge "signe de femme" car elle n'est plus vierge)
c'est trop triste et je préfère même plus y penser !!!!!! réel ou irréel ce film ?????????????
t'as raison loreley, ou plutot des qu'il traite d'une véirté vraie, dont certaines personnes sont victimes mais qui risuqe de salir l'image de certains ça huuuuuuuuuuuuurrrrrrrrrrrrllllllllllllllllllllle. ça c le maroc
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Mme Romantik
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L'amitié est une religion sans Dieu ni jugement dernier. Sans diable non plus. Une religion qui n'est pas étrangère à l'amour. Mais un amour où la guerre et la haine sont proscrites, où le silence est possible.
Moi aussi j'ai vu le film c'est un assez bon film au niveau cinematologique il y a des scenes de paysage et des visages magnifiques. il n y a pas boucoup de dialogue ( Mais ça c'est propre aux films marocains, monque des bons scénaristes ) le film est basé sur une réalité fortement exagérer et on ne peut pas reprocher ça à la réalisatrice parce que c'est comme méme son travail. la réalité c'est que dans certaines villages en atlas il y a des groupes de chikhates ( musique et chanson bérbére ) oú on trouve 3 ou 4 prostitués par groupe, et c'est comme il etait montré dans le film il y a une sorte de résignation à ce fait et on trouve pas mal de mineur. mais ça resste marginal. et c'est liée à mon avis à la pauvreté de ces régions . Toute fois j'ai lu pas mal de critiques des magazines spécialisées et la plus part d'entre elle ne voient pas le coté artistique du film mais seulement un occasion de critiquer la culture d'une société musulmane à tort ou à raison. et je trouve que c'est dommage pour la réalisatrice et les acteurs .
Interview Narjiss Nejjar : "je fais ce que je veux, j’écris ce que je veux comme je veux"
- A-t-on monté une cabale contre vous ?
Oui, un élu et un ancien militaire sont à l’origine de tout cela. J’ai dit à tous les figurants que je faisais un film sur la prostitution. J’ai choisi Tizi N’Isly et Aghbala parce que ce sont des régions enclavées, oubliées, marginalisées depuis toujours. Et dans ces régions, la prostitution est, malheureusement, une "spécificité". Je tenais à parler de ces femmes et de leur servitude. Les figurantes et ceux qui les poussent peuvent raconter ce qu’ils veulent, mais j’ai dit à toutes les personnes présentes lors des 3 mois de tournage que mon film parlait de prostitution. Les figurantes en parlaient entre elles, avec moi, avec Siham Assif et les autres acteurs. Ce film nous a valu des ennuis à cause du sujet, d’ailleurs. Un jour, un élu de Tissoudal, près d’Aghbala, nous a intimé l’ordre de décamper avec "nos prostituées". Il a fallu l’intervention de l’administration pour que l’on puisse continuer.
- Cet élu ignorait-il que vos figurantes n’étaient pas des prostituées ?
Mais elles l’étaient pour une bonne partie d’entre elles ! J’ai le droit de créer, comme je l’entends, c’est mon langage à moi, peut-être ma souffrance, peu m’importe ce qu’elles en pensent. Pour le reste, je suis blindée, j’ai des documents signés, des preuves. Les jeunes femmes d’Aghbala et Tizi n’Isly ont signé des papiers selon lesquels "elles s’engagent à ce qu’on utilise leur image sur tout support".
- Est-il stipulé que ces femmes allaient tourner un film sur la prostitution ?
Ce genre de contrats n’existe pas. Et même, je ne vais pas m’amuser à expliquer à tout le monde ce que je fais. Regardez à Ouarzazate, quand les Américains tournent un film avec 1000 figurants, vous croyez qu’ils prennent le temps de tout leur expliquer ?
- Mais les femmes n’ont-elles pas de raisons plus sérieuses d’être mécontentes ?
Oui, certainement, elles ont peut-être estimé qu’elles avaient été trahies… Ou mal payées, mais je comptais retourner dans la région pour offrir un bonus aux figurantes. "On" ne m’en a pas laissé le temps. Je suis triste, je suis atterrée. Je peux comprendre que ces femmes se sentent trahies. Mais je le dis et le redis, j’ai fait un travail de fiction, ce n’est pas un documentaire. Je fais ce que je veux, j’écris ce que je veux comme je veux.
La vie est comme un arc-en-ciel: il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs.
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