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Bass a écrit:
Salam aalikoum
ps: ton post est bourré de cliché
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oStan a écrit:
Je préfère sortir le samedi !
Tu dois bien admettre avec moi qu'une française divorcée refait beaucoup plus facilement sa vie qu'une marocaine ou tu vis encore dans une cave 6:[/quote]
Je te prie de ma parler autrement.
Dans tout les pays du monde, un homme divorcé à plus de chance de se remarier qu'une femme divorcée et dans tout les pays du monde une femme "jamais marier" à plus de chance de se caser qu'une femme divorcée, qu'elle soit française, russe ou polonaise.
c'est statistique, alors evite de mettre les arabes, l'islam ou ien les traditions dedans.
toutes les raisons que tu as référencé ci-dessus, tu parles du cas où c'est l'homme qui demande le divorce ! saches que de nos jours il est rare que l'homme demande le divorce! la répudiation n'existe plus! donc avec un peu d'esprit : on sait très bien que c'est la femme qui demande le divorce et donc que si c'est elle qui demande , c'est donc qu'elle n'a rien à se reprocher mais plutôt plus à reprocher à son mari !Citation
oStan a écrit:
Les femmes divorcées sont très souvent stigmatisées et mises à l'index dans notre culture arabo-musulmane. Parmi les gros poncifs il y a pêle-mêle :
- Si elle a été répudiée, c'est qu'elle l'a mérité ;
- Elle devait sûrement être paresseuse, ne pas savoir cuisiner, tenir la maison ;
- Elle était dépensière...etc. ;
- Elle trompait son mari ;
- Elle était stérile ;
Bref ! tout un tas de préjugés (le plus souvent sans aucun fondement !).
Imaginons maintenant le cas de cette femme divorcée qui veut essayer de refaire sa vie : Pressée de questions, elle passe son temps et son énergie à se justifier. A la solitude, il faut ajouter les problèmes d'argent (si elle ne travaille pas), la méchanceté des autres (ragots et méfiance) et la très faible probabilité de retrouver un nouveau compagnon.
Pourquoi notre regard oscille entre la pitié (Meskina), la condescendance et parfois le rejet ou l'indifférence.
Pendant longtemps au pays, des femmes battues et humiliées restaient avec leur mari préférant cette honte-ci à l'autre honte d'être déclarées "divorcées".
Aujourd'hui (Dieu merci), elles sont indépendantes financièrement et peuvent partir si ça marche mal dans leur couple, mais fondamentalement notre regard "pur arabica" n'a pas changé.
Je reviens à ma question de départ : pourquoi notre culture accepte-t-elle mal les "accidents de parcours" ?
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ateï a écrit:
c'est n'importe quoi !
beaucoup de fmmes divorcées s remarient de nos jours !
dans notre culture marocaine, c'est plus difficile dans les cas suivants :
- quand elle a des enfants
- quand sa famille n'est pas respectable
- quand elle a pas un physique facile (eh oui c'est vrai !)
- plus très jeune
etc..etc..
Mais combien de fmmes divorcés s, que j'aivu se remarier avec un ami proche de la famille, un cousin ou tout simplment un voisin etc.. car ces hommes là savent très bien que cette femme n'a rien à se reprocher et connaissent le mari et ont compris les raisons du divorce !
de toute façon, il vaut mieux être seule que mal acompagnée non ?
et certains hommes ne sont pas une grande perte quand on voit le respect qu'il porte à leurs femmes !
donc au contraire : on devrait applaudir ces femmes qui ont eu le courage de ddire bye bye a un homme violent !
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Lalafifi a écrit:
.
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JAWED_JEROME a écrit:
Arretons avec ces cliches, jai divorce il y a 9ans et me suis remariee il y a 4ans!!!!!!!!!!!!!!personne ne ma montre du doigt et cherche a savoir pourkoi javais divorce, je ne pense pas etre un animal de foire
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oStan a écrit:
Les femmes divorcées sont très souvent stigmatisées et mises à l'index dans notre culture arabo-musulmane. Parmi les gros poncifs il y a pêle-mêle :
- Si elle a été répudiée, c'est qu'elle l'a mérité ;
- Elle devait sûrement être paresseuse, ne pas savoir cuisiner, tenir la maison ;
- Elle était dépensière...etc. ;
- Elle trompait son mari ;
- Elle était stérile ;
Bref ! tout un tas de préjugés (le plus souvent sans aucun fondement !).
Imaginons maintenant le cas de cette femme divorcée qui veut essayer de refaire sa vie : Pressée de questions, elle passe son temps et son énergie à se justifier. A la solitude, il faut ajouter les problèmes d'argent (si elle ne travaille pas), la méchanceté des autres (ragots et méfiance) et la très faible probabilité de retrouver un nouveau compagnon.
Pourquoi notre regard oscille entre la pitié (Meskina), la condescendance et parfois le rejet ou l'indifférence.
Pendant longtemps au pays, des femmes battues et humiliées restaient avec leur mari préférant cette honte-ci à l'autre honte d'être déclarées "divorcées".
Aujourd'hui (Dieu merci), elles sont indépendantes financièrement et peuvent partir si ça marche mal dans leur couple, mais fondamentalement notre regard "pur arabica" n'a pas changé.
Je reviens à ma question de départ : pourquoi notre culture accepte-t-elle mal les "accidents de parcours" ?