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Le faste du Maroc sous EL GLAOUI
M
21 mai 2012 18:38
Voyez vous une similitude au Marrakech d'aujourd'hui?

Fastes. Vie de pacha

Le pacha de Marrakech mélangeait mondanités et politique. Son carnet d’adresses comprenait tous les puissants de son époque, à l’instar de Winston Churchill dont il était très proche, du souverain de Roumanie Carol II, de l’Aga Khan, du roi d’Arabie Saoudite Abdelaziz Al Saoud ou du général de Gaulle. A sa table défilaient, en plus des hommes politiques, des artistes, des stars de cinéma comme Charlie Chaplin, et des hommes d’affaires de renom qu’il accueillait toujours avec magnificence, n’hésitant pas à leur offrir joyaux et tapis précieux. “à ses invités européens, Thami donnait littéralement ce qu’ils désiraient : une bague de diamant, une somme en pièces d’or, une fille berbère ou un garçon du Haut-Atlas”, énumère son biographe Gavin Maxwell. Une manière d’entretenir son mythe de prince des Mille et une nuits, grâce à un “accessoire de théâtre essentiel (…) un étalage de pouvoir et de faste sans égal”, relève l’auteur. Le palais du Glaoui s’étendait sur 10 hectares, en plein cœur de Marrakech, et comportait d’immenses parcs et jardins. Le pavillon européen réunissait “la quintessence de tout le confort qu’il avait rencontré dans les meilleures maisons, les plus beaux palais et les hôtels les plus luxueux d’Europe”, décrit son fils Abdessadeq El Glaoui dans Le ralliement : le Glaoui, mon père. Le pacha de Marrakech s’était fait aménager un golf de 18 trous dans son palais où il invitait à taper la balle tous les hôtes illustres de passage dans la ville ocre, ainsi que les meilleurs joueurs du monde entier. Sa demeure était aussi un passage obligé pour les stars égyptiennes comme Farid El Atrache et Samia Gamal. Quand il se rend à Paris, avec sa suite et son harem, il va à l’Opéra et se distraie le soir en dînant au Lido tout près de son hôtel préféré, le palace Le Claridge, sur les Champs Elysées. A étaler tant de luxe, le pacha de Marrakech “était devenu pour beaucoup d’Européens une mode comme le jazz, le charleston ou le cubisme. Connaître le Glaoui et pouvoir lui parler avec familiarité, c’était ‘être dans le vent’”, conclut Gavin Maxwell.
Source : Tel Quel
a
21 mai 2012 19:21
Salam,

"Proxénétisme", "saleté", "maladies vénériennes", "bordels sordides et miteux", "pédophilie", "laideur", "traître", "valet", "pourriture", "voleur",... voilà à quoi renvoie ce triste individu.

Thami donnait littéralement ce qu’ils désiraient : une bague de diamant, une somme en pièces d’or, une fille berbère ou un garçon du Haut-Atlas”, énumère son biographe Gavin Maxwell. Une manière d’entretenir son mythe de prince des Mille et une nuits, grâce à un “accessoire de théâtre essentiel (…) un étalage de pouvoir et de faste sans égal”, relève l’auteur.

Répugnant. - Et on ose parler de splendeur...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/05/12 19:26 par abde12.
a
21 mai 2012 19:43
Salam,

La capitale de l'Empire n'est plus... La sévérité d'un Ibn Rushd a disparu de cette ville. - Darwin, l'école anglaise, il n'y a qu'eux pour offrir cette conception du devenir: tout tend vers le progrès!
b
22 mai 2012 01:40
Le faste du Maroc sous EL GLAOUI !!!
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Comme tu l'as bien dit ...
C'est un faste qui se défini comme placé sous l'obscenité ...
a
5 août 2013 21:45
Salam,

Excellent ! Que Dieu me pardonne de jouer au Socrate, au petit diable qui apporte le miroir... Un monde faux. - Tel Quel admire... N'est-ce pas cela qui fait le charme du Maroc et le rend accueillant ? Ce Daniel serait-il une victime de ces publicités de bordel ? Je m'interroge.

Fhimty arabya ? Ti carte natiounal na dinamouk !



Modifié 2 fois. Dernière modification le 05/08/13 22:06 par abde12.
 
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