il en aura besoin, fais imprimer et diffuses autour de toi. essaies de lire le coran pour lui (avec un do3a et invocation à allah que ca sera pour lui) fais une sada9a (donnes de l'argent pour qq1 qui a vraiment besoin de cette sada9a, un malade, orphelin, pauvre, n'importe quelle somme, ou un repas mais à ceux qui en ont besoin) et précises que c'est pour lui. Demandes à sa famille et ses enfants si jamais il devrait rattraper des jours ou jeûne. Ils pourront le faire pour lui. Une précision, payer quelqu'un pour lire du coran ne sert à rien il sera accepté ni de votre part, ni de la part de celui qui a lu ni pour le défunt!
Selon Abou Hourayra (rda), le Messager de Dieu Mohamed sws a dit: «Quand le fils d'Adam meurt son œuvre s'arrête sauf dans trois choses: - Une aumône continue (une œuvre d'utilité publique: fontaine, hôpital, asile, école etc...). - Une science dont les gens tirent un profit. - Un enfant vertueux qui prie Dieu pour lui (ou qui lui attire les bénédictions des autres).
et à la fin je dirai
2* "Allâhumma ghfir li-hayyinâ wa mayyitinâ, wa shâhidinâ wa ghâ'ibinâ, wa saghîrinâ wa kabîrinâ, wa dhakarinâ wa unthânâ. Allâhumma man ahyaytahu minnâ fa-ahyihi halâ-l-islâmi. Wa man tawaffaytahu minnâ fa-tawaffahu halâ-l-îmâni. Allâhumma lâ tahrimnâ ajrahu wa la tudillabâ bahdahu.
"Ô Seigneur ! Pardonne à nos vivants et à nos morts, aux présents et aux absents, aux jeunes et aux vieux, aux hommes et aux femmes. Ô Seigneur ! Celui d’entre nous que Tu maintiens en vie, fais-le vivre sur la voie de l’Islam et celui d’entre nous dont Tu as repris l’âme, fais-le mourir dans la foi. Ô Seigneur ! Ne nous prive pas de sa récompense et ne nous égare pas après sa mort." allahomma amine ye ar7ama arra7imine
salam
[b]*[/b] 'Celui qui croit en Allâh et au Jour Dernier, qu'il dise du bien ou qu'il se taise'. [color=#3333CC]Hadith[/color]
[b]*[/b] Il n'y a que les grands cœurs qui sachent combien il y a de gloire à être bon.
[b]*[/b] La bonté d'un seul homme est plus puissante que la méchanceté de mille; le mal meurt en même temps que celui qui l'a exercé; le bien continue à rayonner après la disparition du juste.