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fait divers au maroc
z
10 avril 2007 14:34
Bonjour à tous !!!

Je vous propose cette rubrique "Faits divers", pour pouvoir mettre tous les articles de faits divers du maroc.
Moi qui croyait le MAROC si innocent, à tel point que la pédophilie n'existait pas au bled ?
Mettez tous les articles qui vous ont CHOQUES

Merci,

Je commence

Oujda : Un sexagénaire accusé d'abus sexuels

Un ex-inspecteur de l'enseignement, âgé de 67 ans, est sous les verrous à Oujda. Il est accusé d’avoir abusé de la fille de sa belle-sœur.


Karima regrette-t-elle d'avoir confié sa fillette de cinq ans à sa sœur et à son beau-frère ? Certainement oui.
Il y a douze ans, cette jeune ressortissante marocaine en Hollande, originaire de la ville d’Oujda, s’est mariée suite à une histoire d’amour.
En1997, la jeune femme a donné naissance à un garçon puis au mois d’août 2001 à une petite fille, Malak. Comme tous les parents, Karima et son mari adorent follement leurs deux petits anges. Avec enthousiasme et abnégation, ils prenaient soin d’eux et veillaient sur leur éducation. Ils étaient très attachés à leurs enfants.
Radia, la sœur de Karima, qui habite Oujda, leur rendait de temps en temps visite en Hollande en compagnie de son mari Miloud. A chaque fois, elle lui exprimait son désir de prendre en charge la petite fille, Malak. Mariés depuis belle lurette, Radia et Miloud n'ont pas eu d'enfants. Miloud est-il stérile ? Non, puisqu'il a un enfant, fruit de son premier mariage.
Et pourtant, il n’a jamais pensé répudier sa femme ni de se remarier avec une troisième femme pour avoir d’autres enfants. Une question d’amour ? Peut-être. Ce qui est sûr est qu'il n'a jamais pensé se séparer d'elle depuis leur union, il y a de cela vingt-sept ans.
Karima ne répondait jamais à la proposition de sa sœur. Elle faisait semblant qu’elle n’a rien entendu. Et pourtant, Radia ne ratait aucune occasion pour réitérer sa demande. Elle insistait. Son mari, Miloud, l’aidait en expliquant à sa belle-sœur, Karima, qu’ils vont traiter la petite Malak comme leur propre fille. Karima refusait sans le dire clairement.
Quand sa relation conjugale avec son mari a commencé à s’embrumer, Karima a changé sa position. En 2005, elle a confié sa petite fille à sa sœur Radia et son mari Miloud. Le couple était aux anges. Enfin, ils ont un enfant pour égayer leur foyer. Miloud, retraité depuis janvier 2001, n’a plus d’autres préoccupations que Malak. Il la dorlotait, prenait soin d’elle, veillait sur elle comme sa propre fille, jouait avec elle, l’emmenait aux jardins de la ville et au parc de jeu, lui achetait les jouets, les bonbons et même un téléphone cellulaire. Il lui a meublé sa petite chambre à coucher. Elle passait la nuit avec eux dans leur chambre et sur leur même lit. En juillet 2006, Karima était en vacances à Oujda. Elle a décidé d’emmener avec elle la petite Malak. «Je suis obligée de l’emmener avec moi pour renouveler mon passeport et pour accomplir quelques procédures administratives», leur a-t-elle expliqué Karima. Elle l’a effectivement emmenée avec elle à la fin des vacances.
En novembre 2006, Radia et son mari, Miloud sont partis à Bruxelles, en Belgique pour y passer quelques mois chez des membres de leur famille. Karima et ses deux enfants dont Malak, les ont rejoints quelques semaines plus tard. Miloud a sollicité les deux enfants de passer la nuit avec lui.
Au milieu de la nuit, le garçon s’est réveillé en sursautant, quand il a entendu un cri strident de sa sœur. Qu’est-ce qui lui est arrivé ? Le garçon ne savait rien, mais il l’a raconté à sa mère. S’agit-il d’un cauchemar ? Non, a répondu la fillette quand sa mère l’a interrogée. «C’est mon oncle qui me touchait là», a répondu la petite Malak en indiquant à sa mère sa partie intime. Étonnée, Karima ne savait quoi faire ni quoi dire. Est-ce vrai que cet homme de 67 ans ose faire des attouchements à sa petite fille ? «Il me la touchait à chaque fois chez lui…», a ajouté niaisement la petite fille.
Miloud et sa femme sont retournés, en mi-janvier 2007, à Oujda sans Malak. Sa mère Karima leur a promis son retour après la fin des procédures administratives.
Et elle l’a conduite chez le médecin. Lorsqu’il l’a examinée, il a découvert qu’elle a perdu son hymen. Karima n’a pas cru ses oreilles. Elle a pris l’avion en compagnie de sa fille à destination d’Oujda où elle a déposé une plainte contre son beau-frère. Arrêté, ce dernier a nié en bloc les charges retenues contre lui. «C’est un coup monté contre moi par ma femme et sa sœur», s’est-il défendu. Pourquoi? Il a expliqué aux enquêteurs de la PJ d’Oujda qu’il avait refusé que sa femme séjourne en Hollande. Cette dernière, a-t-il ajouté aux limiers, s’est adressée à trois reprises à la justice pour demander le divorce. La dernière plainte qu’elle ait déposée remonte au 13 février 2007.
S’agit-il vraiment d’un complot ? Si oui, pourquoi la fille l’a accusé d'avoir enfoncé son doigt dans sa partie intime et non son sexe ? Me Karima Dadi, avocate du barreau d’Oujda, qui soutient la victime au nom de l’association «Touche pas à mon enfant», explique que le certificat médical délivré par le médecin atteste que la fille a perdu son hymen.



Le 9-4-2007
l
10 avril 2007 21:38
- Il viole une écolière de neuf ans

Elle était pleine de joie, parce qu’elle rendait visite à ses parents à Salé. Elle ne leur a pas rendu visite depuis quelques mois. Car, elle séjourne chez sa tante paternelle à Derb Soltane, à Casablanca où elle poursuit ses études en troisième année d’enseignement fondamental. A son neuvième printemps, elle est l’élève brillante de sa classe. Son père est fièr d’elle; il lui a demandé de lui expliquer en détail ce qu’elle fait chez sa tante, de lui répondre si elle est tranquille et aisée. Elle a commencé à lui détailler son emploi du temps et à lui dévoiler ses relations avec ses amies de classe. Quelques moments plus tard, elle a mis sa mains dans la poche de son pantalon pour faire sortir une petite somme d’argent. Elle l’a remise à son père en souriant. Elle s’attendait à ce qu’il soit content de son geste. Mais, il lui a demandé si c’était sa tante qui lui avait remis cet argent. Elle lui a répondu négativement. “Qui donc te l’a donné ?“, lui demande son père. Avec une naïveté innocente, elle lui a expliqué qu’elle l’a eu d’un employé d’un four. Pourquoi ? C’est à cette question qu’elle n’a pas pu répondre. Elle a baissé ses yeux, sans dire un mot. Il l’a interrogée une seconde fois sur un ton sérieux. Le regard baissé, elle lui a expliqué que le donneur d’argent abusait d’elle. Comment ? Pourquoi n’a-t-elle pas expliqué son histoire à sa tante ? lui a-t-il demandé. Il n’en a pas cru ses oreilles. Il a appelé sa sœur pour la mettre au courant. La tante a aussitôt giflé la fille en lui reprochant de ne lui avoir rien dit. Malika a fondu en larmes. Et son père a décidé de regagner Casablanca en compagnie de sa sœur et de sa fille pour porter plainte contre l’employé du four.
Le père a conduit d’abord sa fille vers un médecin pour la faire ausculter. Ce dernier a attesté que Malika présente des traces d’acte sexuel. Certificat médical en main, il l’a emmenée par la suite au commissariat de police. A sa présence, les éléments de la brigade mondaine ont entendu la petite fille. Elle a déclaré qu’elle fréquentait souvent le four de son quartier soit pour en acheter du pain, soit pour y déposer celui que sa tante préparait. Deux semaines plus tôt, se souvient-elle, elle était au four quand Mohamed lui a demandé de s’approcher de lui. Elle a refusé au point qu’elle s’est apprêtée à s’enfuir. Seulement, il l’a tenue par force, avant de baisser le rideau pour abuser d’elle. Une fois son acte fini, il lui a versé une somme de dix dirhams.
Après avoir empoché cette somme, Malika a quitté le four sans rien dévoiler à sa tante. Les limiers de la brigade mondaine se sont dépêchés vers le four et ont arrêté l’employé en question. Il s’agit de Mohamed, trente-deux ans, célibataire.
Il a affirmé qu’il connaissait Malika à l’instar de tous les autres clients du four. Toutefois, il n’a jamais abusé d’elle, précise-t-il. Il a expliqué aux enquêteurs l’avoir mise deux ou trois fois sur ses genoux, mais en la considérant comme sa fille. Traduit devant le procureur général près la Cour d’appel de Casablanca, l’employé du four mis en cause a continué à clamer son innocence. Il attend actuellement son jugement par la Chambre criminelle.
z
11 avril 2007 16:09
Encore un autre §§



Des réseaux de prostitution de filles marocaines ont élu place en France. Ces filles publiques, blasées et sans ressources sont en général issues de milieux pauvres, Elles ont déjà eu des antécédants au Maroc avant d’aller se prostituer outre mer.

Il y a la légende qui veut que par un matin froid de novembre 93,descendit d’un bus anonyme des voyageurs aux portes de Paris, une jeunefille potelée comme une pêche, les cheveux teintés d’une couleur blonde bon marché, le regard hésitant qui trahit ses 22 ans. Avant de héler un taxi, elle prit soin de se faire composer un numéro de téléphone. Aubout du fil, elle entendit un cri de joie à la fois endormi, mais bien féminin. Puis il y a la réalité, Malika est originaire d’un douar au nom imprononçable dans la banlieue de Casablanca. Après avoir connu très tôt les cafés chics de la ville et les hôtels cinq étoiles, une de ses fréquentations lui susurra dans l’oreille qu’avec vingt mille francs français, sans passeport, sans visa, elle pourrait se retrouver à Paris où les affaires sont plus florissantes. Pour la convaincre, on lui cita des exemples de réussite », telle patronne d’une célèbre pâtisserie, d’un enviable salon de coiffure, d’un réputé lotissement trop bien placé pour être invisible.

La fausse blonde

Malika voyagea à côté du chauffeur qui la couvait de ses yeux gourmands, lui lançant de temps en temps, à voix basse, desplaisanteries salaces, histoire de détendre l’atmosphère. C’est ainsi que sur fond de musique populaire marocaine (un mélange de sheikhate dechâabi et de Raï), le trajet se passa sans incident. Comme par enchantement , aucun garde frontière, aucun douanier, ni Marocain, ni Espagnol, ni Français, ne songea à demander ses papiers à cette fausseblonde au regard ténébreux.

Malika commença l’exercice de son métier parisien dans les night-club orientaux de la capitale. Les affaires marchaient si bien qu’il était rare qu’elle soit obligée de passer la nuit dans la minuscule chambre de bonne que son amie louait dans le 16ème arrondissement. Son premier contact avec les autorités françaises dût arriver quelques mois plus tard. Alors qu’elle opérait dans un petit hôtel de la périphérie d’une célèbre chaîne hôtelière (Campagnile), une descente de police impromptue : vérification d’identité, papiers déclarés perdus... À la grande surprise de Malika, la police se contenta d’établir une fiche de renseignements sur la foi d’informations qu’elle-même a données, une prise d’empreintes et elle est relâchée. Entre-temps, Malika a ouvert un compte dans une banque marocaine qu’elle alimente presque quotidiennement.

Aïcha peut faire l’économie des tracasseries de la clandestinité. Elle est arrivée en France par un circuit classique d’étudiant pour effectuer un troisième cycle dans une obscure discipline. Cheveux noirs très longs, la taille amincie par des années de privations volontaires, le regard pétillant, si elle remplaçait Souad Hamidou dans les séries policières françaises, on n’y verrait que du feu. Après des études suspendues et éternellement recommencées, elle épouse un vieux françaisà la retraite dont elle divorce le temps d’accéder à la nationalitéfrançaise. Aïcha fréquente exclusivement le milieu arabe de Paris et plus particulièrement oriental. Elle parle le libanais, le saoudien et l’égyptien avec une aisance déconcertante, comme une vraie polyglotte. Les proies de prédilection sont particulièrement les gens du Golfe sur lesquels elle sent exercer un magnétisme certain. Elle travaille pour un proxénète tunisien pour qui, semble-t-il, du temps où elle fréquentait le campus universitaire, le coup de foudre était immédiat. Lui, se charge de trouver les clients, de fixer les prix qui peuvent varier selon l’immédiateté des besoins et du standing approché et elle du reste. La commission de son proxénète peut atteindre 50%. Aïcha ne fréquente pas les endroits chauds de la capitale, ne sort pas, ne sefait pas draguer sur les lieux publics. Elle attend patiemment que le téléphone sonne, que tout soit organisé, pour entrer en scène. Une vraie professionnelle. Récemment, elle a fait venir son jeune frère et lui paie des études coûteuses dans un établissement technique privé.

Aïcha voyage souvent au Caire, à Ryad, à Londres ou à Amsterdam. Teldiplomate arabe, tel prince du pétrole, tel financier oriental,organise une soirée. Le proxénète tunisien se charge de l’inscrire aumenu des réjouissances. Loin de ces cimes, Leïla, figure de piètreouvrière. Ramenée en France par un mari marocain qui travaille à laSNCF (les chemins de fer français) à l’âge de 17 ans dans le cadre deregroupement familial, elle a eu un enfant dès sa première année de mariage. Son mari alcoolique la battait, l’enfermait toute la journée àla maison de peur d’être trompé. Un jour, les services sociaux s’ensont mêlés. Elle a obtenu le divorce et la jouissance du domicileconjugal. Le mari, fou de rage et de jalousie sombre dans l’alcoolismemeurtrier et finit par péter les plombs. Il est actuellement enfermédans une prison psychiatrique » avec interdiction formelle d’approcher Leïla et son môme.

Leïla, qui baragouine à peine le français, est de ces beautés paysannes du Maroc avec juste ce qu’il faut de vulgarité pour pimenter un rapportet réveiller les fantasmes et juste ce qu’il faut de docilité pourexciter une envie dominatrice. Leïla ne travaille pas pour un mac maispour une marquerelle marocaine d’une cinquantaine d’année qui a ses quartiers à la porte-de clichy au nord de Paris. C’est cette femme qui, un jour, l’a rencontrée dans un hammam et qui l’a initié à ce métier rentable en la sortant des interminables heures de ménage qu’ellefaisait en noir.

Leïla est devenue une nature prédatrice, le genre de femme qui al’illade fatale. On la voit souvent attablée à longueur de journée dansles cafés chics des champs-Elysées, fréquentées par une clientèle de touristes soucieuse de lever la lièvre rapidement. De son village du Moyen-Atlas, Leïla a gardé la démarche faussement fière, maisterriblement sensuelle. Certes, elle a appris à s’habiller et à semaquiller mais a conservé malgré elle cette maladresse à vouloirabsolument mouler un corps, habitué aux largesses du Kaftan, dans untailleur Chanel. Et si c’étaient ces contrastes involontaires qui larendaient dangereusement efficace ?

La prostitution marocaine est devenue ces derniers temps une rubrique obligatoire du charme parisien. Que seraient les champs Élysées sansces dizaines de filles basanées agglutinées autour des tables du Madrigal » ou du Deauville » à coquette comme despoules et à jeter des regards incendiaires aux alentours ? Que seraient les grands hôtels de Paris sans que, dans la lumière tamisée des Bars, le regard lourd d’une brune à la poitrine généreuse, ne vienne clouer au sol un quinquagénaire aux cheveux grisonnants et à la respiration difficile ?

Proxénitisme

Il est impossible de chiffrer le nombre de filles marocaines qui travaillent dans ce milieu ni de dire par quel miracle elles passent les frontières. Il est clair que beaucoup d’entre elles appartiennent à des réseaux structurés et protégés, susceptibles de leur offrir uneparfaite mobilité et de leur garantir une sécurité. Il n’est pas rareque lors d’une réception mondaine, un banquier ne se penche, sur votre épaule pour vous murmurer à l’oreille en gémissant heureusement qu’il y a les prostituées pour renflouer les « caisses », en vous faisant jurer de ne le répéter à personne. Ce milieu brasse énormément d’argent et les rabatteurs marocains qui s’y activent et dont on tait les noms par pudeur ont des fortunes diverses. On les trouve papillonnant dans les milieux de la banque, de la diplomatie ou des relations publiques.

Le milieu de la prostitution partage avec celui du trafic de drogue oude l’activisme islamiste les mêmes règles de fonctionnement. Une arméede travailleuses laborieuses au service d’une ou d’un caïd. Souvent ces mondes s’entrechoquent au point où souvent l’un instrumentalise les fruits de l’autre. En évoquant le sujet-tabou du Sida, n’importe quelle prostituée marocaine peut vous jurer devant les Dieux de l’Olympe quela préservation est de rigueur.

Sans doute est-ce vrai pour beaucoup, mais devant la terrible concurrence, avec l’arrivée sur le marché de nouvelles recrues souvent mal informées tant elles commenceront à exercer ce métier de plus en plus jeunes, il est permis de s’interroger et même de s’inquiéter. Comme le 13ème arrondissement de Paris ne peut être imaginé sans sa population asiatique, Paris entière ne peut être imaginée sans ses prostituées marocaines. Comme si, dans la géographie des activités marginales et illicites, tandis que certaines communautés monopolisent le trafic des drogues dures, d’autres, le gangstérisme et le racket, les Marocaines se sont accaparées celui de la prostitution. L’explication simpliste voudrait dicter le justificatif de la crise économique que traverse le Maroc. Il y est certes pour quelques chose mais n’explique pas à lui seul la totale domination des Marocaines de ce marché. Y a-t-il autre chose ?
L
11 avril 2007 19:59
leila_nkin, pauvre petite fille, je m'imagine que consciemment ou inconsciemment elle donna l'argent à son pére, comme une manière de lui dire ce qu'elle ne pouvait pas dire

zain, certes il doit bien y avoir des reseaux mafieux, ceux là-même qui en récoltent les bénéfices les plus considérables
C'est pourquoi une lutte plus efficasse de la prostitution n'est pas comme l'a fait satkosy de la rendre moins visible, mais au contraire de la rendre plus officielle, prendre des mesures de reconnaissance et d'obligations professionnelles coupant ainsi l'herbe sous le pied des souteneurs
les maisons clauses ont été supprimées et pourtant les prostituées y étaient plus en sécurité que dans la rue ou des zone glauques
le fait de repousser la prostitution dans des zones de non droit permet ce qui est le plus terrible encore dans tout cela : la prostitution de mineurs , l'esclavagisme, la drogue ...

parfois les décisions sont dures à prendre car elle froisse la bonne morale, alors, la morale actuelle c'est de laisser le pire se perpétuer
25 janvier 2011 00:20
Crime en famille : A Meknès, une mère a tué son fils avant de découper son corps. Lui-même avait tué sa sœur avant de la dépecer. Récit du massacre.


Du jamais vu. Dans le quartier Zerhounia à Meknès, les habitants sont encore sous le choc. Dans ce derb où vivent de nombreux MRE, au n°10 de la rue 28, une maison anonyme et enclavée a été le lieu d’un double meurtre en famille. Les voisins ont été d’autant plus surpris qu’ils décrivent Fatima, la mère qui a tué son fils Nabil, lui-même assassin de

sa sœur Nawal, comme des gens sans histoires. Et pourtant.
Samedi 4 juillet, Nabil, 31 ans, est chez lui. Il partage quelques verres d’alcool avec Nawal, sa cadette. Nabil lui parle de sa situation financière. Le livreur en Honda ne se contente plus de son job et rêve de revoir ses ambitions à la hausse. “Il se savait beau gosse, voulait de l’argent pour plaire davantage aux filles”, témoigne l’un de ses amis. Il demande à sa sœur de l’aider à monter une petite affaire, elle qui exerce le plus vieux métier du monde avec une clientèle essentiellement moyen-orientale, habituée aux voyages dans les pays du Golfe. La maison meknassie qu’habite la famille est d’ailleurs le cadeau d’un bienfaiteur saoudien, un des nombreux clients de Nawal, achetée près de 600 000 dirhams.

Delicatessen
A partir de là, les versions livrées par la mère aux enquêteurs divergent. Dans un premier temps, Fatima, 54 ans, entremetteuse à ses heures perdues, affirme aux policiers que la discussion entre ses enfants aurait mal tourné, le frère frappant violemment sa sœur avant de la jeter à terre. Elle a ensuite déclaré, dans une deuxième version, avoir surpris Nabil et Nawal en plein inceste. Sous le choc, la mère quitte la maison pour rejoindre son amant qui vit à quelques encablures. Après avoir passé la nuit chez lui, elle rentre au bercail et découvre une nouvelle horreur : Nabil, toujours ivre, est en train de découper, consciencieusement, le corps de sa sœur qu’il vient de tuer. Craignant la colère de son fils, qu’elle décrit comme hors de lui, Fatima… propose de l’aider, avant de monter sur la terrasse récupérer la hache, servant en temps ordinaire à dépecer le mouton de l’Aïd. Sa décision est déjà prise. De retour dans la maison, elle fracasse le crâne de Nabil qui ne voit pas le coup venir, trop occupé à découper le cadavre de sa sœur. Puis, après avoir entreposé la dépouille de son fils dans la baignoire, la mère range les morceaux du corps de Nawal au frais, dans le congélateur de la cuisine.

Colis macabres
La mère infanticide retourne ensuite chez son amant pour, selon les enquêteurs, lui demander conseil sur le moyen le plus pratique de se débarrasser des corps. Fatima court faire ses emplettes au souk. Couteaux, sacs en plastique, etc. La mère rentre chez elle avec la panoplie complète du parfait boucher. Elle commence sa tâche morbide par Nabil, dont le corps se décompose déjà. Après avoir morcelé son fils, “à la manière d’un professionnel”, confie l’un des inspecteurs qui ont mené l’enquête, elle jette ses tripes aux égouts avant de les arroser d’acide pour les dissoudre. Puis elle range le corps en kit de Nabil dans de grands sacs en plastique, qu’elle dissémine près de hammams à Meknès.
Poursuivant son œuvre, Fatima prend le train pour Sidi Kacem, chargée d’un sac contenant le buste de son fils. Selon les enquêteurs, Fatima aurait été aidée par son autre rejeton, Youssef, 33 ans, qui a porté le colis macabre trop lourd pour elle. Le sac, qui est abandonné dans le train, poursuit sa course jusqu’à Marrakech. Pendant ce temps, Fatima, de retour à Meknès, procède de la même manière avec le corps en pièces de Nawal, qu’elle entrepose dans des casiers à bagages, dans un train à destination de Casablanca, avant de descendre du wagon comme si de rien n’était. Selon les enquêteurs, de retour chez elle, Fatima nettoie sa maison de fond en comble, avant de partir se réfugier à Mrirt, son village natal près de Khénifra.
Dans la nuit du lundi 7 juillet, à la gare de Casa-port, un employé de l’ONCF chargé du nettoyage des trains tombe sur le sac contenant le buste de Nawal et alerte la police. La machine est enclenchée. Rapidement, la police retrouve les morceaux de Nabil à Marrakech, d’autres à Meknès près d’un hammam. Identifiées, les empreintes de Nabil et Nawal conduisent tout naturellement les enquêteurs vers la mère. Emmenée au commissariat, Fatima ne tarde pas à avouer. Elle est aujourd’hui inculpée de meurtre, son fils Youssef de complicité de meurtre et son amant d’adultère.
Un Chleuh parmi tant d'autre ...
25 janvier 2011 00:21
18/01/2011 Une femme voilée vend de la cocaïne

Les éléments de la Gendarmerie royale, commandement de 2 Mars, à Casablanca, ont entamé une opération de démantèlement d’une bande de trafiquants de drogue chapeautée par une femme portant le voile opérant en ancienne médina.

Au début, c’était une information faisant état que des cocaïnomanes achètent de la cocaïne en ancienne médina à Casablanca, qui est parvenue aux éléments de la Gendarmerie royale, commandement de 2 Mars. Aussitôt, le feu vert a été donné pour entamer une enquête minutieuse permettant de démanteler cette bande. En effet, les premières investigations se sont soldées par l’arrestation d’un cocaïnomane en possession de deux doses de cocaïne. Qui lui procurait ses doses de cette drogue dure ? Ce jeune consommateur de cocaïne a affirmé aux enquêteurs qu’il l’achetait chez une femme. De coutume, il lui téléphonait pour fixer tous les deux un rendez-vous. Où ? En ancienne médina, juste à côté de La Sqala, non du côté donnant sur le boulevard Les Almohades, mais de celui qui donne sur la rue Larache et Derb EL Qadi. Pour l’arrêter, les enquêteurs lui ont tendu une souricière : ils ont ordonné au consommateur de cocaïne en détention de l’appeler au téléphone et de lui demander de lui préparer une quantité de la drogue. En fait, il devait lui parler calmement sans éveiller ses soupçons. Le cocaïnomane a composé son numéro de téléphone. « Allo, âllo… », l’a-t-il appelée de son propre téléphone portable. La femme n’a pas tardé une seconde à répondre puisqu’elle a appris par cœur son numéro de téléphone. Elle n’avait rien à craindre. L’appel n’a duré qu’une ou deux minutes pour que le rendez-vous soit fixé au même endroit. Une heure plus tard, le cocaïnomane est arrivé sur le lieu. Les enquêteurs en civil de la gendarmerie royale, qui étaient un peu plus loin de l’appât, encerclaient et surveillaient les lieux. Tout d’un coup, une jeune femme voilée apparaît. Elle s’approchait de l’appât tout en tournant ses regards à gauche et à droite, comme si elle prenait ses précautions. Mais, loin de là. Au moment où elle a remis la came à son client, les limiers l’ont encerclée pour lui mettre les mains derrière son dos et lui menotter les poignets. Elle était en possession d’une vingtaine de grammes de cocaïne. Preuve en main, elle est facilement passée aux aveux quand elle est arrivée au bureau de la brigade de la Gendarmerie royale, commandement de 2 Mars, qui s’est chargée de cette affaire. Comment est-elle devenue trafiquante de cocaïne ? Elle a affirmé aux limiers qu’après l’arrestation de son frère, trafiquant de cocaïne, elle a pris la relève pour approvisionner les clients. C’est lui qui la contactait par téléphone, depuis la prison, et lui a demandé de recevoir des quantités de la cocaïne de quelques Subsahariens. En plus, il lui demandait d’approvisionner certains clients qui la rencontreront juste à côté de La Sqala, en ancienne médina. Au fil du temps, elle n’avait plus besoin de son frère qui purge une lourde peine d’emprisonnement. Elle a commencé à «travailler» pour son propre compte. Pour n’attirer l’attention ni de la police, ni de ses voisins, ni des indicateurs, elle ne sortait de chez elle qu’après avoir mis le voile. La trafiquante de cocaïne et le cocaïnomane ont été traduits devant le parquet général près la Cour d’appel de Casablanca. Mais l’enquête est toujours en cours pour mettre tous les membres de cette bande sous les verrous.
Un Chleuh parmi tant d'autre ...
25 janvier 2011 00:30
Le 'Marrakech' n'a pas payé son gazole



Le ferry de la compagnie Comanav est retenu quai d'Alger à Sète(France), depuis mercredi.
Depuis mercredi, vous êtes privés des volutes noires qui s'échappent des cheminées du Marrakech vers le ciel. Et pour cause : le 'fleuron' de la compagnie Comanav est retenu à quai du fait d'un contentieux portant sur le non règlement de factures de carburant.

Le bateau fait donc actuellement l'objet d'une saisie conservatoire en attendant le recouvrement des créances par la compagnie, et a été stationné, dans l'attente, quai d'Alger. Un cas de figure rare, puisque selon nos sources, ce genre de litige se règle généralement en 24 heures.

Toujours est-il que la facture pourrait être impressionnante (on parle de centaines de milliers d'euros) pour un consommateur lambda. Ou tout au moins à la mesure des besoins en carburant d'un tel mastodonte.

Le navire, qui fait le plein une fois sur deux rotations à Sète, engloutit en effet chaque fois l'équivalent de 4 à 10 camions citernes de carburant, soit de 100 à 250 tonnes de gazole.

Aucun passager ne pourra donc embarquer sur ce bateau pour Tanger, au Maroc, tant que la douloureuse ne sera pas réglée.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/01/11 00:32 par angelo.
Un Chleuh parmi tant d'autre ...
 
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