Comment les promoteurs tentent de résister Par Les Echos | 22/05 | 07:00
Télécharger le PDF
Seuls les promoteurs raisonnables pendant le boom et dont le bilan est assaini vont s'en sortir. L\'Espagne compte actuellement 700.000 logements neufs sans acquéreurs. - Photo Lourdes Segade/NYT-Redux-REA L'Espagne compte actuellement 700.000 logements neufs sans acquéreurs. - Photo Lourdes Segade/NYT-Redux-REA
Les promoteurs immobiliers s'organisent pour survivre en attendant une embellie économique sous les cieux espagnols. Certains n'y sont pas parvenus, comme le groupe Llanera, l'un des gros acteurs du boom des années 2000, qui a récemment demandé sa liquidation. D'autres suivront. « A terme, la majorité des promoteurs va disparaître », affirme sans l'ombre d'une hésitation, Mikel Echavarren, directeur général du cabinet de conseil Irea. Une chose est sûre : aucun d'entre eux n'est épargné. En février, Reyal Urbis, croulant sous une dette de 3,6 milliards d'euros, a présenté le deuxième dépôt de bilan le plus important du pays après celui de l'autre colosse du secteur, Martinsa Fadesa.
Dans l'impossibilité d'entreprendre de nouveaux projets - à cause de la contraction du crédit (- 10,2 % en 2012, dans la construction et la promotion) et de dettes qui les écrasent -, beaucoup de promoteurs se concentrent sur la gestion de leur patrimoine. Ainsi, le groupe Colonial, maison mère de la foncière française SFL, aujourd'hui contrôlé par ses banques créancières, axe son activité en Espagne sur la location de bureaux, après avoir transféré en 2010, ses terrains et promotions à une filiale, Asentia, dont il a provisionné les pertes. Une fenêtre de tir réduite
La vente occasionnelle d'immeubles complète les revenus des promoteurs. De ce point de vue, la « bad bank » espagnole, vers laquelle ont été transférés 50 milliards d'actifs immobiliers toxiques issus des banques, va compliquer la tâche des promoteurs, en tirant les prix vers le bas. « Seuls les promoteurs raisonnables pendant le boom et dont le bilan est assaini, vont s'en sortir », analyse l'expert immobilier José Luis Ruiz Bartolomé. Car, selon lui, il existe bel et bien un marché pour de nouvelles constructions, malgré 700.000 logements neufs sans acquéreurs. « Les nouveaux projets peuvent être rentables car les terrains sont moins chers. Les promoteurs pourront les vendre aux prix du marché, ce qui est impossible pour les immeubles construits pendant le boom sous peine d'occasionner des pertes au vendeur », explique-t-il. La fenêtre de tir est toutefois réduite : en 2011, seuls 50.000 nouveaux logements ont été construits, soit 600.000 de moins qu'en 2006.
Une alternative, « une des seules du secteur », pour Mikel Echavarren, consiste pour les promoteurs à travailler au service des banques, qui maîtrisent le foncier et détiennent les clefs du crédit, en tant que conseillers techniques ou dans le cadre de constructions sur leurs terrains.
Comment les promoteurs tentent de résister Par Les Echos | 22/05 | 07:00
Télécharger le PDF
Seuls les promoteurs raisonnables pendant le boom et dont le bilan est assaini vont s'en sortir. L\'Espagne compte actuellement 700.000 logements neufs sans acquéreurs. - Photo Lourdes Segade/NYT-Redux-REA L'Espagne compte actuellement 700.000 logements neufs sans acquéreurs. - Photo Lourdes Segade/NYT-Redux-REA
Les promoteurs immobiliers s'organisent pour survivre en attendant une embellie économique sous les cieux espagnols. Certains n'y sont pas parvenus, comme le groupe Llanera, l'un des gros acteurs du boom des années 2000, qui a récemment demandé sa liquidation. D'autres suivront. « A terme, la majorité des promoteurs va disparaître », affirme sans l'ombre d'une hésitation, Mikel Echavarren, directeur général du cabinet de conseil Irea. Une chose est sûre : aucun d'entre eux n'est épargné. En février, Reyal Urbis, croulant sous une dette de 3,6 milliards d'euros, a présenté le deuxième dépôt de bilan le plus important du pays après celui de l'autre colosse du secteur, Martinsa Fadesa.
Dans l'impossibilité d'entreprendre de nouveaux projets - à cause de la contraction du crédit (- 10,2 % en 2012, dans la construction et la promotion) et de dettes qui les écrasent -, beaucoup de promoteurs se concentrent sur la gestion de leur patrimoine. Ainsi, le groupe Colonial, maison mère de la foncière française SFL, aujourd'hui contrôlé par ses banques créancières, axe son activité en Espagne sur la location de bureaux, après avoir transféré en 2010, ses terrains et promotions à une filiale, Asentia, dont il a provisionné les pertes. Une fenêtre de tir réduite
La vente occasionnelle d'immeubles complète les revenus des promoteurs. De ce point de vue, la « bad bank » espagnole, vers laquelle ont été transférés 50 milliards d'actifs immobiliers toxiques issus des banques, va compliquer la tâche des promoteurs, en tirant les prix vers le bas. « Seuls les promoteurs raisonnables pendant le boom et dont le bilan est assaini, vont s'en sortir », analyse l'expert immobilier José Luis Ruiz Bartolomé. Car, selon lui, il existe bel et bien un marché pour de nouvelles constructions, malgré 700.000 logements neufs sans acquéreurs. « Les nouveaux projets peuvent être rentables car les terrains sont moins chers. Les promoteurs pourront les vendre aux prix du marché, ce qui est impossible pour les immeubles construits pendant le boom sous peine d'occasionner des pertes au vendeur », explique-t-il. La fenêtre de tir est toutefois réduite : en 2011, seuls 50.000 nouveaux logements ont été construits, soit 600.000 de moins qu'en 2006.
Une alternative, « une des seules du secteur », pour Mikel Echavarren, consiste pour les promoteurs à travailler au service des banques, qui maîtrisent le foncier et détiennent les clefs du crédit, en tant que conseillers techniques ou dans le cadre de constructions sur leurs terrains.
Comment les promoteurs tentent de résister Par Les Echos | 22/05 | 07:00
Télécharger le PDF
Seuls les promoteurs raisonnables pendant le boom et dont le bilan est assaini vont s'en sortir. L\'Espagne compte actuellement 700.000 logements neufs sans acquéreurs. - Photo Lourdes Segade/NYT-Redux-REA L'Espagne compte actuellement 700.000 logements neufs sans acquéreurs. - Photo Lourdes Segade/NYT-Redux-REA
Les promoteurs immobiliers s'organisent pour survivre en attendant une embellie économique sous les cieux espagnols. Certains n'y sont pas parvenus, comme le groupe Llanera, l'un des gros acteurs du boom des années 2000, qui a récemment demandé sa liquidation. D'autres suivront. « A terme, la majorité des promoteurs va disparaître », affirme sans l'ombre d'une hésitation, Mikel Echavarren, directeur général du cabinet de conseil Irea. Une chose est sûre : aucun d'entre eux n'est épargné. En février, Reyal Urbis, croulant sous une dette de 3,6 milliards d'euros, a présenté le deuxième dépôt de bilan le plus important du pays après celui de l'autre colosse du secteur, Martinsa Fadesa.
Dans l'impossibilité d'entreprendre de nouveaux projets - à cause de la contraction du crédit (- 10,2 % en 2012, dans la construction et la promotion) et de dettes qui les écrasent -, beaucoup de promoteurs se concentrent sur la gestion de leur patrimoine. Ainsi, le groupe Colonial, maison mère de la foncière française SFL, aujourd'hui contrôlé par ses banques créancières, axe son activité en Espagne sur la location de bureaux, après avoir transféré en 2010, ses terrains et promotions à une filiale, Asentia, dont il a provisionné les pertes. Une fenêtre de tir réduite
La vente occasionnelle d'immeubles complète les revenus des promoteurs. De ce point de vue, la « bad bank » espagnole, vers laquelle ont été transférés 50 milliards d'actifs immobiliers toxiques issus des banques, va compliquer la tâche des promoteurs, en tirant les prix vers le bas. « Seuls les promoteurs raisonnables pendant le boom et dont le bilan est assaini, vont s'en sortir », analyse l'expert immobilier José Luis Ruiz Bartolomé. Car, selon lui, il existe bel et bien un marché pour de nouvelles constructions, malgré 700.000 logements neufs sans acquéreurs. « Les nouveaux projets peuvent être rentables car les terrains sont moins chers. Les promoteurs pourront les vendre aux prix du marché, ce qui est impossible pour les immeubles construits pendant le boom sous peine d'occasionner des pertes au vendeur », explique-t-il. La fenêtre de tir est toutefois réduite : en 2011, seuls 50.000 nouveaux logements ont été construits, soit 600.000 de moins qu'en 2006.
Une alternative, « une des seules du secteur », pour Mikel Echavarren, consiste pour les promoteurs à travailler au service des banques, qui maîtrisent le foncier et détiennent les clefs du crédit, en tant que conseillers techniques ou dans le cadre de constructions sur leurs terrains.
Salam alikoum, je suis allé au salon immoiblier samedi 17 et je suis tombé sur les journaliste qui filmai, je leur ai expliqué mon cas a saidia et m'ont demander de témoigner et j'ai été daccord. après j'ai été contacté par la télé.le problème mon père vient de berkane et m a expliqué que beaucoup d'appartement sont livré dernierement et y a les G6 et g7 et g8 (je ne sait quel numero) sont presque fini et sont très bien construits.
l'avocat de berkane que j'ai contacté l'an dernier, me dit qu'en cas de procès il peux annulé le compromis de vente et je peux récupérer ce que j'ai donné en 2007 70.000dhs plus 10% de cet avance.
Moi je sais que mon appartement coute plus maintenant plus les frais de retard qu'on me paiera. Mon histoire n'est pas fini car la télé m a contacté à nouveau pour témoigner, j'ai compris que personne ne veut le faire, j'ai dit que ça ne m'interesse plus et que je prèfere attendre comme tout le monde quelques mois pour récupérer mon appartement et les frais de retard.j J'ai l'impression d etre forcer, j'aime pas ça et je n'aime pas etes piéjer, la télé fait son reportage et moi j suis après dans merde. désolé.
ACIA respecte le protocole d'accord et se décharge de toutes formes d'agissements Mercredi 29 Mai 2013 20:57 Envoyer Imprimer PDF Au moment où le programme des Jardins de Moulouya connait un dénouement sans précédent (voir article du 10/05/2013, Yabiladi), quelques acquéreurs inquiets sont victimes depuis quelques semaines de sollicitations extérieures qui risquent de desservir l’avancement du projet et mettre en péril les accords conclus avec la société Urbatlas.
Face à cette situation, ACIA met en garde l’ensemble des acquéreurs de ce projet par rapport aux risques encourues et des suites qu’il pourrait y avoir en cas de propos et diffamations non fondés. Selon nos sources, le promoteur réagirait, dans le respect de la loi, devant les amalgames qui pourraient le cibler. Par ailleurs, nous encourageons les détracteurs de se rendre à Saïdia et vérifier par eux-mêmes les informations communiquées récemment par ACIA.
Aujourd'hui, le protocole d’accord est bien respecté par le promoteur, les livraisons du mois de janvier 2013 et celles prévues prochainement sont de bonne qualité, les indemnités de retard qui représentent 25 à 30% des montants versés sont déduites directement des reliquats, les dispositifs de transfert vers d’autres biens à prix avantageux sont pratiqués, le chantier avance avec une allure très soutenue et ACIA suit le projet quotidiennement.
Face à ces avancées remarquables, ACIA se décharge de toutes formes d'agissements et de manipulations.
Voilà un exemple de diffamation qui vise directement les véritables victimes à Saïdia. Qui est l'auteur de la diffamation et qui sont les victimes? Le diffamateur n'est pas celui que ACIA croit?
Je reproduis ci-dessous les précédentes interventions de l'auteur "Aussi-Français" que je remonte pour démasquer la tromperie qui nous est servie ici. Je vous laisse apprécier ses contradictions et dégager par vous-même ce qui motive véritablement ses écrits remplis de confusion et ses réactions qui ne semblent pas tourner rond. Voilà ce qu'Addoha, Urbatlas, Excelia et GFM nous envoient pour polluer nos revendications et nous dissuader d'obtenir nos droits. Après avoir fait le choix du déni, voilà qu’ils nous agitent la menace sous couvert de conseil. Clairement, ils se désintéressent totalement de notre sort. Cela frôlerait le burlesque s'il n'y avait là de nombreuses familles qui souffrent dans cette affaire.
---------------------------------- Qui se cache derriere les pseudo ?
Auteur : Aussi-Français Date : le 13 mai 2013 à 12h46
Désolé pour toi Karim, mon pseudo c'est mon nom contrairement à toi Mr Christian. Je ne me cache pas et je ne suis pas naïf, j'ai dit une vérité qui me concerne et de ce que j'ai vu en me rendant à Saïdia. Je ne traite pas Addoha d'escros contrairement à toi parce que je sais de qui j'ai acheté mon appartement. On s'est tous fait avoir par Fadesa. Avoues-le! D'ailleurs pourquoi tu ne les attaque pas, ils ont pourtant 50% de Urbatlas. Sois honnête et ne dénigres pas tout ce qui est marocain. Par contre si tu es manipulé pour d'autres fin, vaut mieux épargner les victimes de Saidia. --------------------------------
livraisons
Auteur : Aussi-Français Date : le 12 mai 2013 à 22h45
Bonsoir last_viper, Je confirme que moi aussi j'ai réceptionné mon appartement. l'association a donné mon nom à urbatlas parce que je suis en galère. Bekkay de urbatlas m'a appelé pour me proposé un appartement. C'est bien, il n y a rien à dire. Le reste du chantier est en bonne voie, il y a beaucoup d'ouvrier sur le chantier. Je pense que sa majesté leur a mis la pression et je confirme le changement. Fais attention quand tu pousse à la manif, le SMAP sera surveillé par les autorités marocaines, il ya beaucoup d'enjeux économique et politique. Tu risque d'être repéré à travers ton IP. Si tu es vraiment oublié prend contact avec saidia ou fait le voyage au bled et règle tes problèmes, c'est possible qu'il n'ont pas tes coordonnées. Bon ventement les
Mr Engagé, je constate que vous avez un réel problème personnel avec ce promoteur. Et vous voulez profiter de ce forum pour régler vos comptes. Pour y arriver, vous chercher à impliquer davantage de personnes. C'est très bien pour vous si il y a des gens naïf. Une question, puisque vous êtes sûr de cette arnaque, pourquoi vous ne prenez pas un avocat ? Parce que vous êtes sûr de perdre ?
Faites ce qui vous convient cher Mr, mais ne manipulez pas les gens naïfs pour des fins personnels.
salamaleikoum voici le numero 00212 53 662 42 42 de doha saidia.Alors quelqu un c est la tranche de livraison en cour et ya t il aucun defaut sur les finition si c est le cas quel defaut barakallah oufikoum
Salam tout le monde, Je suis de retour de Saidia et....surprise, surprise: les travaux sont arrêtés depuis le début du Ramadan pace que les ouvriers ne sont pas payés. 7 ans attente et toujours rien. Et à la fin un appartement plein de défaut. J´ai demandé qu´on me rembourse et au bureau ils ont accepté Il suffit d´allé à el biladia de Saidia, et légaliser sa carte nationale et déposer une copie au bureau d Addoha. Pour ceux qui choisissent de rester, bon courage et bonne chance. Vous en aurez besoin. Tres bon travail, Acia. Politesse remarquable à la marocaine.
Apres une nouvelle assemblée générale le 2 mai 2015, acia appelle toutes les victimes du projet des jardins de moulouya à manifester au smap immo le samedi 25 mai pour le respect du protocole indemnités et livraison
Salam, pour tout ceux qui sont lésés par ADDOHA/EXCELIA/URBATLAS, sachez que ACIA s'est rassemblé dernièrement pour une assemblé générale, on a procédé a une réorganisation de l'association, on a élu des personnes. Il faut oublier l'ancienne organisation.
En message privé, donner vos coordonnées pour qu'ACIA vous recontacte.
chargement...
+ 
