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Fadela Amara : l'enfance d'une insoumise
a
19 octobre 2006 21:21
LE MONDE | 19.10.06 |




Elle téléphone à Nicolas Sarkozy lorsqu'elle est révoltée par une expulsion, elle remet fermement à leur place les jeunes qui la chahutent pendant les réunions en banlieue, mais elle est incapable de répondre à son père lorsqu'il hausse le ton. "Mon père a quitté sa famille très tôt et il a vécu dans une grande misère en Kabylie, puis en France, raconte Fadela Amara. Quand j'étais jeune, j'ai parfois été tenté de rompre avec ma famille pour gagner un peu de liberté, mais, heureusement, je ne l'ai pas fait. Je sais aujourd'hui qu'avec le temps ces ruptures se transforment en prison : on prend conscience petit à petit de l'absence des siens."



Le père de Fadela Amara est arrivé à Clermont-Ferrand en 1955, à l'âge de 33 ans. Comme beaucoup d'immigrés algériens, il travaille été comme hiver sur des chantiers exposés aux intempéries. Au début, il n'a pas de logement : le soir venu, il entasse trois ou quatre sacs de ciment dans un coin pour s'allonger. Alerté par le chef de chantier, son patron finira par l'autoriser à dormir dans une cabane où les ouvriers accrochent leurs bleus de travail. "Mon père n'est jamais allé à l'école, n'a jamais tenu un stylo de sa vie", raconte Fadela Amara dans La Racaille de la République. "Plus tard, nous lui avons fait tenir un stylo, pour qu'il apprenne à signer. Il a appris à signer, et il sait signer son nom, rien d'autre."

Cinq ans après son arrivée en France, il retourne en Algérie, où il épouse la fille de son cousin germain, qui vient de fêter ses 15 ans. "A l'époque, un mariage, ce n'était pas la rencontre d'un homme et d'une femme, mais un arrangement entre deux familles, poursuit la présidente de Ni putes ni soumises. Mon père avait 22 ans de plus que ma mère, il l'a épousée pour la sortir de la misère et il l'a ramenée tout de suite à Clermont-Ferrand. Aujourd'hui, ils ont tellement traversé de galères qu'ils sont soudés pour toujours."

Car, en France, la vie est loin d'être facile. Les Amara, qui ont dix enfants, vivent à Herbet, une cité de transit près de Clermont-Ferrand. "Herbet, c'était le quartier le plus pauvre de Clermont, celui où il n'y avait que des immigrés, celui qu'on citait chaque fois qu'on parlait de la politique de la ville ou de l'intégration", raconte son ami Mohamed Abdi, coauteur de La Racaille de la République. L'appartement ne compte pas de salle de bains : le dimanche, le père emmène les garçons au marché pendant que la mère lave les quatre filles. Elle installe dans le salon deux grands bacs remplis d'eau - un pour les savonner, un pour les rincer - avant de les coiffer et de leur mettre leurs habits du dimanche. Les filles dorment tête-bêche dans un grand lit à deux places. "On a eu beaucoup de fous rires, mais pas beaucoup d'intimité", sourit-elle. Le père de Fadela Amara, qui, aujourd'hui encore, évite de prononcer le nom du mouvement dirigé par sa fille, est un homme de traditions qui veille à ce que ses enfants reçoivent une éducation stricte. S'il entend parler d'une dispute en rentrant chez lui, il convoque les coupables, écoute avec attention la version de chacun, exige que les frères et soeurs s'embrassent et se demandent pardon.

"C'était très solennel, il y mettait les formes, montait tout un scénario, nous faisait tout un cérémonial, comme s'il nous obligeait à faire un passage dans ce rituel qui allait nous aider à mémoriser cet instant", raconte Fadela Amara dans son livre.

Devant ses enfants, M. Amara, qui a grandi dans un milieu berbère imprégné de culture orale, s'exprime souvent par métaphores : pour renforcer leur solidarité, il leur répète en kabyle que les frères et soeurs sont comme les doigts de la main et qu'une main ne peut pas applaudir seule. "Le père de Fadela est un vrai patriarche, note l'une de ses amies d'enfance, Khadija Garnier. Il a une grande présence, il parle très peu et je ne l'ai quasiment jamais entendu hausser le ton. Quand il a dit quelque chose, il ne faut pas essayer d'y revenir. C'est comme ça."

Dans la famille, le frère aîné bénéficie d'un statut privilégié, les garçons jouissent d'une certaine liberté, mais les filles doivent âprement négocier la moindre sortie : avant 25 ans, il n'est pas question d'aller et venir seule dans le quartier. A chaque fois que Fadela, petite, demande à son père si les hommes et les femmes sont égaux, elle reçoit la même réponse : oui, mais la femme à la maison et l'homme dehors. "Il peut admettre le principe d'égalité pour ses filles, mais pas pour sa femme, poursuit la présidente de Ni putes ni soumises. Aujourd'hui encore, ma mère n'a toujours pas obtenu le droit de passer son permis de conduire."

Fadela Amara, qui poursuit une scolarité chaotique, s'aperçoit bien vite qu'ailleurs la vie est différente : à l'école, les femmes travaillent, les enfants organisent des fêtes d'anniversaire, les petites filles vont dormir chez leurs copines. "Fadela sentait très bien que son quartier avait mauvaise réputation, raconte Nicole Peyron-Bastellica, son institutrice dans une classe d'adaptation pour douze enfants ayant eu des difficultés en CP. Elle venait d'un milieu très pauvre, ses deux parents étaient analphabètes, mais elle était très volontaire et elle s'accrochait. A la fin de l'année, je lui ai offert un livre, c'était son premier."

Tout au long de son enfance, Fadela Amara questionne son père sans jamais se lasser. Elle lui fait raconter son enfance dans les montagnes kabyles, son adolescence sous la colonisation, son arrivée en France dans les années 1950. "Il a grandi dans une misère extrême, il n'avait aucun droit, mais il en parle toujours très calmement, sans la moindre haine. C'est pour ça que je ne supporte pas ceux qui se sont baptisés les "indigènes de la République". En Algérie, avant l'indépendance, mon père, lui, a été un vrai indigène, et sa situation n'avait rien à voir avec la mienne. Moi, je peux protester, je peux agir, je peux voter. Et je le fais toujours, coûte que coûte, parce que je sais que c'est précieux."

Au fil des ans, Fadela Amara est devenue le pivot de la famille. "C'est la boss !", résume Mohamed Abdi. C'est elle qui a soutenu ses parents lorsque son petit frère s'est fait écraser par un chauffard ivre, à l'âge de 5 ans, elle aussi qui a tenu la famille à bout de bras quand son frère aîné a été condamné à une peine de prison, en 1991. "En général, dans les cultures arabes, ce sont les garçons qu'on met en avant, souligne son ami Abbes Benazouz, animateur au centre social d'Epinay. Là, c'est la fille qui a réussi. Le jour de l'inauguration de la Maison de la mixité, la mère de Fadela était là. Elle regardait sa fille, elle regardait Chirac, elle était tellement fière que c'était beau à voir."

Aujourd'hui, son père lui dit qu'elle vaut dix hommes. "C'est ma dernière bataille, sourit Fadela Amara. Je lui dis : "Pourquoi pas dix femmes ?""



Parcours


1964
Naissance à Clermont-Ferrand.


1978
Mort de son petit frère Malik, écrasé par un chauffard ivre.


1986
Engagement militant à SOS-Racisme.


2002
Etats généraux des femmes des quartiers.


2003
Création du mouvement Ni putes ni soumises.


2006
Parution de "La Racaille de la République" (Ed. du Seuil, 228 pages, 17 €).




Anne Chemin
l
19 octobre 2006 21:56
une sacré nana, plein de cran.
c
19 octobre 2006 23:54
une nana completement perdu manipulé par des mouvements sionistes pour faire oublier notre belle religion aux jeunes d'aujourdui. son histoire yen a des milliers qui l'ont vecu.
dans ces differents discours elle acuse l'islam d'etre responsable de la soumission des femmes,ce qui est completement FAUX. PERSONNE DANS SA FAMILLE n'a ete eduqué dans l'islam a commencer par son pere.
on confond souvent tradition et religion.
w
20 octobre 2006 00:38
eh oui et tout bon islamophobe qui se respecte ne tarie pas d eloges pour cette paumée arriviste et manipulée.
3
20 octobre 2006 02:01
c claire !!

kan a sa pseudo vie digne d'un épisode de la petite maison dans la prairie ......j'y croi pas, laura ingalls le décris mieux kelle !!!

c si simple dés années aprés de se souvenir de sa maison et de sa famille et de dire ke finnallement ce kel a dénigré n'été pas si mauvais ke ça !!
l
20 octobre 2006 02:06
Citation
creazy a écrit:
une nana completement perdu manipulé par des mouvements sionistes pour faire oublier notre belle religion aux jeunes d'aujourdui. son histoire yen a des milliers qui l'ont vecu.
dans ces differents discours elle acuse l'islam d'etre responsable de la soumission des femmes,ce qui est completement FAUX. PERSONNE DANS SA FAMILLE n'a ete eduqué dans l'islam a commencer par son pere.
on confond souvent tradition et religion.


s'il y a deux poids, deux mesures entre les filles et garçons, la religion y est obligatoirement pour quelque chose, a eut une influence.
mille ans d'islam, ça influe sur tout, quoique vous en disiez.
et c'est pareil pour la religion chretienne et les autres.
c
20 octobre 2006 02:31
pas du tout l'européen. les premiers immigrés venant d'afrique du nord pour la plupart ne pratiquaient pas l'islam.ils passaient leur temps a delaisser leur familles pour aller se bourrer la gueule dans les bars,revenaient alcoolisé chez eux et frappait leurs femmes.
l'islam a commencer a etre bien pratiqué en france que dans les années 80 et aujourd'hui grace a dieu et aux jeunes on est des millions a pratiquer. je sors a l'instant de la mosquée de lyon,on etaient tellement nombreux(5000) pour laylati el qadr que la police est venu faire la circulation a la sortie.
si cette fadela amara aurait recu une bonne education de la part de son pere,elle aurait fait partie du millier de femmes qui etaient presente.
elle n'a aucune féminité,aboit comme une racaille,se comprte comme une p...,elle a un discours qui plait seulement aux européens content de voir nos femmes se rabaissé.et tout ca politisé par les ringards comme malek boutih et ses amis sionistes.
et tu sais quoi,sa vie a la laura ingalls on s'en fou
20 octobre 2006 06:54
c'est 1400 ans...
"Avec un H majuscule"
s
20 octobre 2006 08:46
"Elle installe dans le salon deux grands bacs remplis d'eau - un pour les savonner, un pour les rincer - avant de les coiffer et de leur mettre leurs habits du dimanche" = habits du dimanche, ca na pas été un tout peit peu romancer car les habits du dimanche ca fait la petite maison dans la priaire avec laura ingalls qui se preparait pour la messe du dimanche.
Si certains passages sont effectivement grossis romancés, je me doute que le reste du livre soit quelque peu exageré
s
20 octobre 2006 09:14
Citation
l'européen a écrit:
une sacré nana, plein de cran.


Les distinctions s’amoncellent ces derniers jours pour Fadela Amara.................


d’abord lauréate devant l’historien Claude Nicolet et l’écrivain Jean-Claude Guillebaud du prix du livre politique décerné par l’Assemblée nationale pour son livre Ni pu...tes ni soumi...ses du nom du mouvement qu’elle a créé .


Dominique Érignac, la veuve du préfet assassiné lui a également décerné le prix Claude-Érignac qui récompense une personne ou une action illustrant l’humanisme et le courage au service de l’État.


Enfin, Élisabeth Badinter, président du jury, lui a remis le prix national de la laïcité.



Ces distinctions confirment pour Fadela Amara, la prise de conscience des dérives machistes dont sont victimes les jeunes femmes dans les banlieues. " L’omerta est enfin levée ".
a
20 octobre 2006 11:18
Je pense également que son livre est à l'image du combat qu'elle mène, c'est à dire plein de reproches en tout genre, à sa famille tout d'abord, puis par extention à la communauté "arabo-musulmane".
Elle ne parle jamais de moments heureux dans sa vie, si ce n'est la fameuse rencontre avec Chirac, son père qui lui dit "qu'elle vaut 10 hommes"...
Bref, ça sent la dénonciation à tout va et sans nuances aucune "d'une certaine société".
i
20 octobre 2006 12:07
Citation
souheil a écrit:
Citation
l'européen a écrit:
une sacré nana, plein de cran.


Les distinctions s’amoncellent ces derniers jours pour Fadela Amara.................


d’abord lauréate devant l’historien Claude Nicolet et l’écrivain Jean-Claude Guillebaud du prix du livre politique décerné par l’Assemblée nationale pour son livre Ni pu...tes ni soumi...ses du nom du mouvement qu’elle a créé .


Dominique Érignac, la veuve du préfet assassiné lui a également décerné le prix Claude-Érignac qui récompense une personne ou une action illustrant l’humanisme et le courage au service de l’État.


Enfin, Élisabeth Badinter, président du jury, lui a remis le prix national de la laïcité.



Ces distinctions confirment pour Fadela Amara, la prise de conscience des dérives machistes dont sont victimes les jeunes femmes dans les banlieues. " L’omerta est enfin levée ".

Je ne me rappelle plus toutes les distnctions qu'à reçu madame BETTY MAHMOUDY pour son livre "JAMAIS SANS MA FILLE".

Quelle rapport?

Je vous laisse deviner.
s
20 octobre 2006 12:29
Citation
ibn hazm a écrit:
Citation
souheil a écrit:
Citation
l'européen a écrit:
une sacré nana, plein de cran.


Les distinctions s’amoncellent ces derniers jours pour Fadela Amara.................


d’abord lauréate devant l’historien Claude Nicolet et l’écrivain Jean-Claude Guillebaud du prix du livre politique décerné par l’Assemblée nationale pour son livre Ni pu...tes ni soumi...ses du nom du mouvement qu’elle a créé .


Dominique Érignac, la veuve du préfet assassiné lui a également décerné le prix Claude-Érignac qui récompense une personne ou une action illustrant l’humanisme et le courage au service de l’État.


Enfin, Élisabeth Badinter, président du jury, lui a remis le prix national de la laïcité.



Ces distinctions confirment pour Fadela Amara, la prise de conscience des dérives machistes dont sont victimes les jeunes femmes dans les banlieues. " L’omerta est enfin levée ".

Je ne me rappelle plus toutes les distnctions qu'à reçu madame BETTY MAHMOUDY pour son livre "JAMAIS SANS MA FILLE".

Quelle rapport?

Je vous laisse deviner.

Voyons :

1- ce sont toutes les deux des militantes du port du hijab
2- ce sont 2 « mourchidates »
3- 2 valeurs sur de l’islam
4- Luttent contre l’Islamophobie

5- 2 opposantes à la politique de bush

6- Sont toutes les 2 contre la mixité
7- 2 femmes chouchous des militantes salafistes
8- Luttent pour la légalisation de la polygamie en occident
9- Luttent contre l’avortement
10- Trouvent l’inégalité hommes femmes normale
11- Chais pas
s
20 octobre 2006 12:38
Citation
andi espoir a écrit:
Je pense également que son livre est à l'image du combat qu'elle mène, c'est à dire plein de reproches en tout genre, à sa famille tout d'abord, puis par extention à la communauté "arabo-musulmane".
Elle ne parle jamais de moments heureux dans sa vie, si ce n'est la fameuse rencontre avec Chirac, son père qui lui dit "qu'elle vaut 10 hommes"...
Bref, ça sent la dénonciation à tout va et sans nuances aucune "d'une certaine société".

Je ne l'ai pas encore lu mais il faut baisser son prix de vente pour que nos chères filles des
ban lieux puissent le lire.
Il parait qu’il va être traduit en arabe et un cinéaste marocain est intéressé pour tourner un film inspiré de son histoire.
Un autre Marock.
Des choses en perspectives
i
20 octobre 2006 13:01
Citation
souheil a écrit:
Citation
ibn hazm a écrit:
Citation
souheil a écrit:
Citation
l'européen a écrit:
une sacré nana, plein de cran.


Les distinctions s’amoncellent ces derniers jours pour Fadela Amara.................


d’abord lauréate devant l’historien Claude Nicolet et l’écrivain Jean-Claude Guillebaud du prix du livre politique décerné par l’Assemblée nationale pour son livre Ni pu...tes ni soumi...ses du nom du mouvement qu’elle a créé .


Dominique Érignac, la veuve du préfet assassiné lui a également décerné le prix Claude-Érignac qui récompense une personne ou une action illustrant l’humanisme et le courage au service de l’État.


Enfin, Élisabeth Badinter, président du jury, lui a remis le prix national de la laïcité.



Ces distinctions confirment pour Fadela Amara, la prise de conscience des dérives machistes dont sont victimes les jeunes femmes dans les banlieues. " L’omerta est enfin levée ".

Je ne me rappelle plus toutes les distnctions qu'à reçu madame BETTY MAHMOUDY pour son livre "JAMAIS SANS MA FILLE".

Quelle rapport?

Je vous laisse deviner.

Voyons :

1- ce sont toutes les deux des militantes du port du hijab
2- ce sont 2 « mourchidates »
3- 2 valeurs sur de l’islam
4- Luttent contre l’Islamophobie

5- 2 opposantes à la politique de bush

6- Sont toutes les 2 contre la mixité
7- 2 femmes chouchous des militantes salafistes
8- Luttent pour la légalisation de la polygamie en occident
9- Luttent contre l’avortement
10- Trouvent l’inégalité hommes femmes normale
11- Chais pas

MDRRRRRRRRR

je les voies plutot comme 2 outils ni plus ni moins.De toute manière je n'écoute jamais les gens imprégnés par la haine et le cas de mademoiselle amara en est un exemple parfait.
s
20 octobre 2006 13:04
Citation
ibn hazm a écrit:
Citation
souheil a écrit:
Citation
ibn hazm a écrit:
Citation
souheil a écrit:
Citation
l'européen a écrit:
une sacré nana, plein de cran.


Les distinctions s’amoncellent ces derniers jours pour Fadela Amara.................


d’abord lauréate devant l’historien Claude Nicolet et l’écrivain Jean-Claude Guillebaud du prix du livre politique décerné par l’Assemblée nationale pour son livre Ni pu...tes ni soumi...ses du nom du mouvement qu’elle a créé .


Dominique Érignac, la veuve du préfet assassiné lui a également décerné le prix Claude-Érignac qui récompense une personne ou une action illustrant l’humanisme et le courage au service de l’État.


Enfin, Élisabeth Badinter, président du jury, lui a remis le prix national de la laïcité.



Ces distinctions confirment pour Fadela Amara, la prise de conscience des dérives machistes dont sont victimes les jeunes femmes dans les banlieues. " L’omerta est enfin levée ".

Je ne me rappelle plus toutes les distnctions qu'à reçu madame BETTY MAHMOUDY pour son livre "JAMAIS SANS MA FILLE".

Quelle rapport?

Je vous laisse deviner.

Voyons :

1- ce sont toutes les deux des militantes du port du hijab
2- ce sont 2 « mourchidates »
3- 2 valeurs sur de l’islam
4- Luttent contre l’Islamophobie

5- 2 opposantes à la politique de bush

6- Sont toutes les 2 contre la mixité
7- 2 femmes chouchous des militantes salafistes
8- Luttent pour la légalisation de la polygamie en occident
9- Luttent contre l’avortement
10- Trouvent l’inégalité hommes femmes normale
11- Chais pas

MDRRRRRRRRR

je les voies plutot comme 2 outils ni plus ni moins.De toute manière je n'écoute jamais les gens imprégnés par la haine et le cas de mademoiselle amara en est un exemple parfait.

ah bon elle n'est ma mariée.
w
20 octobre 2006 13:20
Citation
souheil a écrit:
Citation
ibn hazm a écrit:
Citation
souheil a écrit:
Citation
ibn hazm a écrit:
Citation
souheil a écrit:
Citation
l'européen a écrit:
une sacré nana, plein de cran.


Les distinctions s’amoncellent ces derniers jours pour Fadela Amara.................


d’abord lauréate devant l’historien Claude Nicolet et l’écrivain Jean-Claude Guillebaud du prix du livre politique décerné par l’Assemblée nationale pour son livre Ni pu...tes ni soumi...ses du nom du mouvement qu’elle a créé .


Dominique Érignac, la veuve du préfet assassiné lui a également décerné le prix Claude-Érignac qui récompense une personne ou une action illustrant l’humanisme et le courage au service de l’État.


Enfin, Élisabeth Badinter, président du jury, lui a remis le prix national de la laïcité.



Ces distinctions confirment pour Fadela Amara, la prise de conscience des dérives machistes dont sont victimes les jeunes femmes dans les banlieues. " L’omerta est enfin levée ".

Je ne me rappelle plus toutes les distnctions qu'à reçu madame BETTY MAHMOUDY pour son livre "JAMAIS SANS MA FILLE".

Quelle rapport?

Je vous laisse deviner.

Voyons :

1- ce sont toutes les deux des militantes du port du hijab
2- ce sont 2 « mourchidates »
3- 2 valeurs sur de l’islam
4- Luttent contre l’Islamophobie

5- 2 opposantes à la politique de bush

6- Sont toutes les 2 contre la mixité
7- 2 femmes chouchous des militantes salafistes
8- Luttent pour la légalisation de la polygamie en occident
9- Luttent contre l’avortement
10- Trouvent l’inégalité hommes femmes normale
11- Chais pas

MDRRRRRRRRR

je les voies plutot comme 2 outils ni plus ni moins.De toute manière je n'écoute jamais les gens imprégnés par la haine et le cas de mademoiselle amara en est un exemple parfait.

ah bon elle n'est ma mariée.

ça se comprend un peu smoking smiley
w
20 octobre 2006 13:45
tout ceal est tres interressant ais au fond cette jeune femme a ete troublé de la maniere dans laquelle elle a ete eduqué 'taaqdat en arabe' de parents analphabetes qui eux meme ont ete eduqué de la meme maniere....ce n'est pas pour cela qu'on doit s'opposer a l'islam mais au contraire s'y interressait et l'etudier de plus pres...il ne faut pas melanger l'education et une enfance malheureuse a l'Islam.malheureusement c'est des cas repeter qui ont ete eduquer dans une ignorance total et cela debouche souvent en un divorce et meme de la haine entre cespersonnes et l'islam,esperons qu'ils reviendront au droit chemin...entre nous je les prefere soumise que p...e.....grinning smiley
d
20 octobre 2006 16:36
il faut être une fille pour comprendre la subtilité de l'éducation et les différences de traitement entre filles et garçons dans nos familles maghrébines et musulmanes, l'influence du qu'en dira t-on prime davantage que l'aspect religieux, il faut se montrer respectable dans toutes circonstances pour l'image de la famille et son honneur, effectivement cela change la donne selon qu'on est une fille ou un garçon, mais on peut parfaitement jongler avec les contraintes tout en respectant famille, traditions, modernité, et aspirations personnelles. on laisse aux garçons le champ libre (souvent) ce n'est pas une généralité, les garçons élevés au sein de famille ou il y a plus de filles ont une sensibilité différente (ce que j'ai remarqué), de toute façon les hommes sont ce que nous en faisons (nous les femmes, les mères), il y a effectivement une différence de traitement ce que j'ai ressenti en tant que fille, et ce que je ressens en tant que mère (je fais en sorte d'être le plus équitable possible avec ma fille et mon fils). Les pères finissent en général par être heureux d'avoir des filles, car elles s'impliquent et prennent en charge pas mal de choses. Elles sont respectables pour tellement de raisons. J'ai vu des filles porter le hijab et se comporter de manière indigne, c'est dommage de se retrancher derrière ce voile et de jouer les hypocrites....
s
20 octobre 2006 16:41
Citation
wlidi17 a écrit:
entre nous je les prefere soumise que p...e.....grinning smiley...

c'est un clin d'oeil sympa pour l'europeen.
Il doit apprecier.
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