The Government [de l'algerie] allowed the rebel group, Polisario, to confine nearly a hundred thousand refugees from the disputed Western Sahara to four camps in desolate areas outside Tindouf military zone near the Moroccan border "for political and military, rather than humanitarian, reasons," according to one observer.
According to Amnesty International, "This group of refugees does not enjoy the right to freedom of movement in Algeria. … Those refugees who manage to leave the refugee camps without being authorized to do so are often arrested by the Algerian military and returned to the Polisario authorities, with whom they cooperate closely on matters of security."
Polisario checkpoints surrounded the camps, the Algerian military guarded entry into Tindouf, and police operated checkpoints throughout the country.
The Polisario did allow some refugees to leave for education in Algeria and elsewhere and to tend livestock in the areas it controls of the Western Sahara and in Mauritania. An unknown number reportedly held Mauritanian passports and the Algerian government also issued passports to those the Polisario permitted to travel abroad.
Between March and August, UNHCR sponsored a series of Confidence Building Measures including five-day family visits between some 1,500 refugees and their immediate relatives in Western Sahara, and telephone connections in the camps. UNHCR issued each family a Travel Manifesto as a travel document. Retraction: In the 2004 Survey, USCRI mistakenly reported that the refugees in the camps near Tindouf enjoyed freedom of movement. We also used the working population figure of aid agencies which, in light of Polisario’s refusal to allow a census and independent estimates, was likely inflated.
Public Relief and Education
The refugees in the camps near Tindouf were almost totally dependent on international relief from UNHCR, World Food Programme (WFP), and the Algerian Red Cross. According to a 2002 Institute for Child Health Study, nearly 11 percent of children under five suffered from wasting and/or oedema and more than 30 percent from stunted growth. According to WFP, iron-deficiency anemia rates were about 35 percent among preschool children and nearly 48 percent among women of child-bearing age. School attendance was reportedly 100 percent.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/06/05 20:01 par bikhir.
tes chers dirigeants sont nuls, et toi? ce n'est pas aujourdhui le maroc qui dit ca mais bien une ong. vas-y commence par une tradution en francais ou retransmet l'info tt simplement a d'autres, sur d'autres forums ou je ne sais quoi ni ou au lieu de venir me raconter ici ce que sont nos dirigeants!
les activistes norvegiens qui viennent nous faire chier au Maroc ne lisent pas cela mais les recrachats de la propagande polisareienne. et un lemrabet non plus qd il ouvre sa gueule.
n'attend pas tes dirigeants pour te changer le monde. c'est entre tes mains.
Vador a écrit: ------------------------------------------------------- > > bon , on sait tous ca nous , c'est au reste du > monde qu'il faut le dire , et la dessus nos chers > dirgeants sont nuls.............
j'ai jamais dit que moi je suis irréprochable,on est tous responsable directement ou indirectement , mais ceux qui ont le plus de pouvoir pour influer sur laffaire su sahara sont nuls , c'est tous
je me suis deja fait virer d'une dizine de forums algériens parecque je defendais notre cause . mais mes actes à moi n'ont aucune incidence sur le cours ds choses , c'est à nottre gouvernement d'expliquer à ces ONG à la con norvégienne le probléme du sahara et de leur donner le point de vue marocain ...pas à moi
L’USCRI est une ONG américaine qui travaille en faveur des réfugiés et des immigrés. Dans son dernier rapport, elle épingle l’Algérie, protecteur du Polisario. Pour cette ONG, le pouvoir d’Alger, loin de toute considération humanitaire, agit pour des raisons politiques et militaires.
Une autre voix qui s’ajoute à celles qui ont fini par découvrir, et dénoncer, la supercherie du Polisario et son protecteur, le régime algérien. Mercredi, l’ONG “USCRI” (US Commitee for Refugees and Immigrants) rend public son rapport annuel pour 2005 et, dans le chapitre consacré à l’Algérie, dévoile les tenants et aboutissants du drame humain qui se déroule à Tindouf. Sur le sol algérien et avec la bénédiction du pouvoir d’Alger.
Selon l’USCRI (cf, « World refugees survey 2005 »), Alger autorise les mercenaires du Polisario à confiner 100.000 réfugiés dans quatre sinistres camps sis en dehors de la zone militaire de Tindouf, mais près de la frontière marocaine. Les raisons du pouvoir d’Alger, l’USCRI l’écrit noir sur blanc : «Plutôt pour des raisons politiques et militaires qu’humanitaires». Cette aberrante prise d’otages, qui concerne 100.000 personnes, bénéficie selon l’ONG de toutes les « faveurs » de la part de l’Algérie. C’est en fait, écrit l’USCRI, l’armée de ce dernier pays qui se charge de surveiller les contours des camps de détention du Polisario. Aucune liberté de mouvement n’est permise aux 100.000 personnes à quelques rares exceptions où les réfugiés sont réduits à accepter d’autres douloureux choix. Pour quitter ces camps, ce qui arrive rarement, il faut disposer d’un passeport mauritanien ou algérien. Toute tentative de quitter ces mouroirs bute sur les barrages algériens érigés près des camps, mais aussi dans le reste de l’Algérie. Et toute personne arrêtée en dehors de ces camps est illico remise aux mercenaires.
La suite, on peut facilement la deviner et il suffit de se souvenir des témoignages de Sahraouis qui sont parvenus à réintégrer la patrie après avoir déjoué la vigilance du Polisario. Et des drames de ceux qui y ont échoué, surtout s’ils sont « récidivistes » : démembrement, tortures diverses quand ce ne sont pas les assassinats. Cette situation se double d’autres pratiques non moins dégradantes. Dépendant uniquement des aides humanitaires (d’autres ONGs ont révélé ce qu’en faisaient les leaders du Polisario), les 100.000 personnes séquestrées à Tindouf souffrent d’autres calvaires. Il suffit de savoir, par exemple, que 30 % des enfants âgés de moins de cinq ans souffrent de problèmes de croissance, que 35 % de cette même catégorie souffrent d’anémie, alors que ce taux est de 48 % pour les femmes sahraouies.
L’USCRI, pour résumer, a été on ne peut plus clair : c’est bien l’Algérie qui protège et abrite le Polisario. En plus, elle joue les gardes-chiourmes pour les mercenaires et permet qu’on affame femmes et enfants. L’ONG américaine, dans la partie réservée à ces aspects, fait une rectification de taille. Là aussi, c’est écrit noir sur blanc : l’USCRI affirme qu’elle s’est plantée lors de l’élaboration de son rapport pour 2004. Non, affirme-t-elle, les réfugiés n’ont pas la liberté de mouvement.
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