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AL MASSIRA a écrit:
ça s'appelle un aboiement. Je ne vois pas un autres terme. Ce projet à eux existe depuis les années 1980, il n'a abouti à rien, et pourtant ils ont tous les moyens. Les mêmes clients et les mêmes besoins ont toujours existé. Le nôtre on l'a lancé récemment. A ma connaissance, on n'a jamais fait la comparaison de notre côté, sauf la presse privée. SM le Roi dans son discours de Dimanche a parlé du gazoduc, pas un mot sur le concurrent. Donc leur énième aboiement (officiel) est la preuve que c'est un bon pour ne pas dire un très bon projet. En plus il a été soutenu par la CEDEAO.
La maladie algérienne semble incurable, c'est l'obsession marocaine. Cette maladie s'explique, c'est le manque de projets. Vous laissez la junte algérienne toute seule avec des centaines de milliards, elle est incapable de pondre un projet pour les Algériens. Soit elle regarde le Maroc pour le dénigrer et trouver quelque chose pour dépenser l'argent contre lui. Soit copier un de ses projets et dire on va faire mieux. Les exemples ne se comptent plus. Ce pays ne mérite pas d'exister avec ces dirigeants.
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Clineur a écrit:
Tour le monde connait les inconvénients et le qualités des deux projets, ce qui prime au dessus de l'argent c'est la sécurité avant tous est celle du Niger-Algzrie est loin de répondre à ses critères
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AL MASSIRA a écrit:
L'Algérie souffre de par l'existence même du Maroc. Ce qui l'arrangerait c'est un Maroc qui ne fait rien, car ses propres dirigeants ne font rien. Mais c'est raté, il se trouve qu'une nation de 13 siècles au moins ne reste jamais les bras croisés. C'est le cas du Maroc mais de toutes les nations à travers le Monde. L'Algérie a deux solution, peut-être trois. La première est de se soigner. De ne plus s'occuper du voisin mais d'elle-même. Il y a tant à faire quand on voit les files d'attente pour tout et pour rien. L'état du pays et des jeunes laisse à désirer et ce n'est pas les moyens qui manquent. La deuxième solution est de surmonter sa jalousie et sa haine et de coopérer, on ira tous les deux, deux fois plus vite. La dernière est de changer de régime et de virer le troisième, peut-être le quatrième âge du pouvoir.
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