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OuldMa a écrit:
Etre retraité au Maroc !
(2M, vendredi soir)
Une première à saluer parce qu’on ne peut plus dire que les questions de la retraite et de la vieillesse ne nous concernent pas ou pas encore.
Reste toutefois une confusion qui est apparue d’emblée dans l’examen de ce thème sensible qui s’est réduit à des seules et combien même légitimes revendications pour une valorisation ou augmentation des revenus d’anciens salariés.
Le téléspectateur attentif aura remarqué facilement qu’à l’exception de notre concitoyenne médecin qui n’avait rien à revendiquer mais tout à offrir par son engagement associatif respectable auprès des enfants malades, le reste des témoignages n’était que revendications pour l’amélioration de revenus jugés insuffisants, encore une fois compréhensibles et légitimes.
.Et à ces instants on avait envie de savoir le sentiment des autres concitoyens âgés qui n’ont jamais eu un revenu salarié fixe et par conséquent un emploi stable pouvant ouvrir droit à une à une pension de retraite. On avait besoin de savoir aussi le sentiment ou le devenir de tous ses artisans, tous ces marchands de tout et de rien, toutes ces femmes bricolant au bonheur la chance qui n’ont rien et dont l’arrivée à la retraite et la vie dans la vieillesse nous concerne tous.
On aura remarqué qu’incidemment une ligne de démarcation s’est établie entre cette retraite qui avait tout d’une retraite citadine ou urbaine et les autres qu’on pouvait seulement deviner de par leur absence.
L’émission, même indirectement, aura permis de constater les marques ou la difficulté de la perpétuation de ce qui était opérationnel dans un Maroc pas si loin que cela, à savoir la disparition des solidarités générationnelles inversées (la prise en charge informelle par les jeunes générations des ascendants pères, mères ou collatéraux).
S’il y a un indice à retenir de cette émission, c’est une réelle nécessité dans la mise en place d’une politique publique nationale de la vieillesse et son corollaire de prestations liée à la retraite : un minimum vieillesse garanti pour les sans ressources fixes et pour les revenus très précaires, c'est-à-dire assurer déjà une prestation ressource de base.
C’est mon humble avis.
faut pas rever la solidarites entre les generation a disparus et la politique publique ne veras jamais le jour au maroc la premier chose cont te dit chofe lasque
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