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Egypte : L'énigme des fréres musulmans avec les états unis
N
8 juillet 2013 16:17
Salam,

Je l'ai traduit en français avec le traducteur de google , donc désolé pour les quelques erreurs , mais je trouve cet article assez intéressant, pour mieux connaitre le parti des frères musulmans et la politique des états unis avec le moyen Orient :

c'est un article du washingtonpost.com
source : [url=http://articles.washingtonpost.com/2012-12-07/opinions/35700958_1_morsi-muslim-
brotherhood-brotherhood-followers]ici[/url]
[b]Notre homme au Caire[/b]
[i]Par David Ignatius, 07 Décembre, 2012[/i]

Comment Washington est-il devenu le meilleur ami des Frères musulmans en Egypte, alors même que le président Mohamed Morsi affirmait pouvoirs dictatoriaux et ses partisans battaient jusqu'à libéraux laïques dans les rues du Caire? C'est une question que beaucoup d'Arabes se demandent ces jours-ci, et elle mérite une réponse.

Morsi et ses partisans des Frères musulmans sont sur une montée de puissance après des décennies d'isolement et de persécution. Vous pouvez voir le nouveau statut retrouvée lorsque Morsi a visité l'Organisation des Nations Unies en Septembre, et plus encore pendant la diplomatie qui a conduit le mois dernier au cessez-le-feu à Gaza, négocié par Morsi et secrétaire d'État Hillary Clinton. Les dirigeants des Frères avaient passé de parias de superstars, et ils ont été se dorer dans l'attention.

Et soyons honnête: L'administration Obama a été un soutien principal de Morsi. Les responsables américains ont travaillé en étroite collaboration avec lui sur le développement économique et la diplomatie régionale. Visite à Washington la semaine dernière, les principaux collaborateurs de Morsi ont été vante les mérites des contacts étroits de leur patron avec le président Obama et la description des appels téléphoniques entre les deux dirigeants qui ont mené à la bande de Gaza un cessez-le-feu.

Rôle improbable de Morsi comme un artisan de la paix est l'envers du « pari cosmique "qu'Obama avait fait sur ​​les Frères musulmans. Il illustre pourquoi l'administration était sage de garder ses réseaux ouverts durant l'année écoulée des manœuvres post-révolutionnaire en Égypte.

Mais le pouvoir corrompt, et cela est aussi vrai avec les Frères musulmans comme avec tout autre groupe qui se retrouve soudain dans le siège du conducteur, après des décennies d'ostracisme. Pensant probablement qu'il avait le soutien de l'Amérique, Morsi outrepassé le 22 novembre en déclarant que son décrets présidentiels n'ont pas été soumis à un contrôle judiciaire. Ses partisans affirment qu'il essayait de protéger la révolution égyptienne de juges nommés par Hosni Moubarak. Mais ce raisonnement est usée en tant que membres du gouvernement de Morsi a démissionné en signe de protestation, des milliers de manifestants sont descendus dans les rues, et inquiétant, les partisans Frères musulmans ont commencé à contre-attaquer avec des pierres, des clubs et des tuyaux métalliques.

Grâce à ce bouleversement, l'administration Obama a été curieusement retenu. Après la prise de pouvoir, du Département d'Etat porte-parole Victoria Nuland a déclaré: «Nous appelons au calme et nous encourageons toutes les parties à travailler ensemble et appellons tous les Egyptiens à résoudre leurs différends sur ces importantes questions pacifiquement et par le dialogue démocratique." Pas exactement une dénonciation tonitruante.

"Vous devez m'expliquer pourquoi la réaction américaine au comportement de Morsi est tellement coupé," un fonctionnaire arabe m'a écrit. "Donc, un leader des Frères musulmans devient président de l'Égypte. Il se précipite alors dans la plus audacieuse usurpation des pouvoirs présidentiels depuis les Pharaons, assez pour faire Moubarak ressembler à un autocrate des ligues mineures en matière de formation par comparaison, et la seule réponse. . . [Administration Obama] ne peut être éteint est [la déclaration de Nuland]. "Ce fonctionnaire se demandait si les États-Unis avaient perdu ses repères moraux et politiques dans son enthousiasme pour trouver de nouveaux amis.

La réplique de l'administration, c'est que ça ne concerne pas l'Amérique. Egyptiens et d'autres Arabes écrivent leur histoire maintenant, et ils devront vivre avec les conséquences. Par ailleurs, la dernière chose que les manifestants laïques ont besoin, c'est une coopération américaine. C'est sûrement vrai, mais c'est fou venant de Washington de paraître prendre parti contre ceux qui veulent un, Egypte tolérante et libérale pour ceux qui préfèrent la charia. D'une certaine manière, c'est là que l'administration a fini sa déclaration.

Pour une leçon de méfiance du fait de tomber amoureux du client, regardez l'Irak: les autorités américaines, a commencé par le président George W. Bush et le général David Petraeus, gardé louant le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki, malgré les avertissements de nombreux Irakiens qui il était un homme politique conspiratrice qui finirait par se ranger avec l'Iran. Cette affection continuelle et déplacée dans l'administration Obama: Même après que le peuple iraquien dans sa sagesse ont voté en 2010 pour vider Maliki, les États-Unis ont aidé à concocter assez de soutien pour le garder au pouvoir. Observateurs arabes sont toujours entrain de se gratter la tête à essayer de comprendre celui-là.

Lors de l'évaluation des événements turbulents dans le monde arabe, nous devons nous rappeler que nous sommes témoins d'une révolution qui peut prendre des décennies pour produire un résultat stable. Avec le résultat si difficile à prédire, c'est une erreur de faire de gros paris sur un joueur en particulier. Le rôle américain devrait être de soutenir le vaste mouvement pour le changement et le développement économique et de garder les lignes ouvert à tout gouvernements démocratiques émergent.

Amérique aidera le monde arabe à travers cette agitation si elle indique clairement que la politique américaine est guidée par ses intérêts et ses valeurs, et non pas par des alliances et des amitiés passagères. Si Morsi veut être traité comme un leader démocratique, il devra agir comme tel.
8 juillet 2013 16:36
mon frere ton article sent le mensonge a des km. deja y a pas d'ami en politique 2io si ils etaient "sur la meme longueur d'onde" ils les auraient pas viree mais honore d'article flateur comme tous les despotes qui collabore avec eux 3io. les journaux n'ont que tres peu de credibilite parce qu'ils appartienne a des groupes et que de se faite leur point de vue est pas objectif
Nadafa minal imane wal imane minal islam... il est temps de subsidier les panneaux solaires
8 juillet 2013 16:38
surtout quand il s'agit d'islam si tu es vraiment musulman (on est envahi de troll) tu dois t'en etre rendu compte depuis bien longtemps
Nadafa minal imane wal imane minal islam... il est temps de subsidier les panneaux solaires
8 juillet 2013 17:27
Le journaliste est celui qui refusait de donner la parole a Erdogan face à Peres à Davos...
Dès le premier paragraphe, on voit que c'est n'importe quoi.

Par contre, une chose intéressante : "Morsi overreached on Nov. 22 by declaring that his presidential decrees were not subject to judicial review. His followers claim that he was trying to protect Egypt’s revolution from judges appointed by Hosni Mubarak".
U
9 juillet 2013 07:43
Il est de notoriété publique que les États-Unis encouragent les Islamistes depuis plus d'1/2 siècle.

Le soutient à BenLaden n'est pas un accident: C'est la règle.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
N
9 juillet 2013 10:16
L'article pour moi ne ment pas , elle reflète les états unis comment elle a été toujours, les états unis peuvent s'allier avec le diable si c'est dans leur intérêt et c'est ce que montre cet article , comment les états unis peuvent ils s'allier avec les frères musulmans alors qu'ils combattent dans le monde des gens qui leur ressemblent , il faut se mettre à leur place, les états unis sont partis combattre les radicaux en Afghanistan , alors comment peuvent ils traité avec eux ?! C'est la question que soulève cet article et essaie d'y répondre.

Et c'est la conclusion de l'article à la fin :
Amérique aidera le monde arabe à travers cette agitation si elle indique clairement que la politique américaine est guidée par ses intérêts et ses valeurs, et non pas par des alliances et des amitiés passagères. Si Morsi veut être traité comme un leader démocratique, il devra agir comme tel.

La question que je soulève moi , les états unis on a la réponse , et pour le parti de frères musulmans , comment expliquer cette relation à la limite de l'amicale ? Finalement je ne vois pas de différence entre Morsi et Moubarak.

L'Egypte est entrain de sombrer dans une guerre civile , pour arrêter ça il faut que le parti des frère musulmans accepte de refaire les élections pour le bien de tout le monde, l'armée ne veut pas le pouvoir d'après ce que je constate mais Morsi il veut s'accrocher pour ne pas aller vers des réélections qu'il est sûr de perdre.
B
15 juillet 2013 07:18
Dire que les USA aiment (et surtout préfèrent) les frères musulmans (je suis contre ce qualificatif) à Moubarak ou autre dictateur arabe : c'est mettre le doigt dans l'oeil. Pour les USA (et d'ailleurs tous les pays du monde) y compris la Chine : le seul ami, le seul allié : c'est l'ARGENT. Rien d'autre. Le jour où vous comprendrez (je m'adresse à tous les arabes) qu'il n'y a dans ce bas monde que l'intérêt (tous les sens du terme) qui motive les Etats, les Nations et même les Peuples, ce jour-là vous aurez faut un grand pas dans le raisonnement. L'Arabie Saoudite, le koweit et les Emirats n'ont pas fait une oeuvre de charité envers l'Egypte (en versant plus de 12 Milliards de $) à la suite de la destitution de Morsi, ni le Qatar avant eux.
Les Etats modernes font de la Real-politique et non du sentimentalisme ou de l'affection. D'ailleurs ils ne l'ont jamais caché. Le problème réside en nous arabes qui sommes toujours au stade des "complots" et de la victimisation.
Il faut avoir le courage d'assumer et de reconnaitre publiquement nos tares et nos faiblesses. Pour être francs avec vous : les frères m... ne sont pas tombés du ciel, ils ont été choisis par les Egyptiens. Lesquels Egyptiens ont placé en 2ème position un héritier de Moubarak pourtant ils avaient un grand choix entre plusieurs candidats.
Messieurs arretez de faire endosser nos malheurs à l'occident. C'est nous qui sommes encore inaptes mentalement à la démocratie.
 
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