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The military backed-interim government has recognized Egypt's economic achievements during the rule of President Mohammed Morsi.

The recognition follows a period of public attacks against Morsi's government, including accusations of mishandling the Egyptian economy. However the interim government has now recognised that Morsi's economic decisions lowered the trade deficit and increased foreign exports. The monthly report issued by the Ministry of Finance confirms that during the rule of President Morsi and his government led by Hesham Qandil, Egypt's economy had grown.

The report revealed that Egypt's GDP recorded a growth of 2.3 per cent during the first nine months of fiscal year 2012 - 2013, compared to only 1.8 per cent during the same period of the previous fiscal year.

The report added that the overall budget deficit during fiscal year 2013- 2014 was 9.1 per cent or 186 billion Egyptian pounds. The report noted that the annual growth rate of domestic liquidity continued to rise until the end of May 2013, to achieve 18.8 per cent compared to an average annual growth of 18.3 per cent at the end of April 2013.

The growth was driven by the increase in net domestic assets, especially the government net liabilities, consumer goods and credit granted to the private sector.

The report attributes the growth during fiscal year 2012-2013 to: increases in wages due to greater salaries for employees worth 7.8 billion pounds to reach 60.5 billion pounds in total wages; increases of 3.4 billion in permanent salaries to reach 23.3 billion pounds, and increases of 5.9 billion pounds in quality allowances to reach 17 billion pounds.

The subsidies, grants and social benefits all rose as a result of 24.5 billion pounds of additional subsidies for petroleum products, reaching 120 billion pounds. The social security and pension contributions to pension funds increased by 10.2 billion pounds.

The Egyptian Central Agency for Public Mobilization and Statistics revealed that during Morsi's rule the trade balance deficit decreased during the month of May last year to reach 16.21 billion pounds compared to 23.05 billion pounds for the same month in 2012, a decline of 29.7 per cent. Egyptian exports increased by 3.1 per cent to reach 16.83 billion pounds during the month of May 2013 compared to 16.33 billion pounds for the same month of the previous year. The increase was due to the high value of some commodities such as: crude oil, fertilizer, fresh fruit, fresh oranges, pasta and other food products. -

See more at: [www.middleeastmonitor.com]

Gouvernement provisoire de l'Égypte reconnaît les réalisations économiques de Morsi .

Lundi 16 septembre 2013 15:25 ..

Lady with a post of Mohammed Morsi
During Morsi's rule the trade balance deficit decreased during the month of May by 29.7% compared to the same period in 2012
La junte soutenue par intérim a reconnu les réalisations économiques de l'Égypte sous le règne du président Mohammed Morsi. La reconnaissance s'ensuit une période d'attaques publiques contre le gouvernement de Morsi, y compris les accusations de mauvaise gestion de l'économie égyptienne. Toutefois, le gouvernement intérimaire a maintenant reconnu que les décisions économiques de Morsi abaissé le déficit commercial et augmenté étrangers exporte. Le rapport mensuel, publié par le ministère des Finances confirme que sous le règne du président Morsi et son gouvernement dirigé par Hesham Qandil, économie de l'Égypte avait augmenté.


Le rapport a révélé du que l'Egypte PIB a enregistré une croissance de 2,3 % pendant les neuf premiers mois de l'exercice 2012-2013, contre seulement 1,8 % durant la même période de l'exercice précédent. Le rapport ajoute que l'ensemble des déficit budgétaire durant l'exercice 2013-2014 a été de 9,1 pour cent ou de 186 milliards de livres égyptiennes.

Le rapport a noté que le taux de croissance annuel de liquidité interne a continué d'augmenter jusqu'à la fin de mai 2013, pour atteindre 18,8 pour cent par rapport à une croissance annuelle moyenne de 18,3 % par rapport à la fin d'avril 2013. La croissance a été tirée par l'augmentation des actifs domestiques nets, surtout le passif net de gouvernement, les biens de consommation et les crédits accordés au secteur privé.

Le rapport attribue la croissance au cours de l'exercice 2012-2013 : augmentation des salaires en raison des salaires supérieures pour les employés d'une valeur de 7,8 milliards de livres atteindre 60,5 milliards de livres au total des salaires ; augmentation de 3,4 milliards en salaires permanents pour atteindre 23,3 milliards de livres et des augmentations de 5,9 milliards de livres dans les allocations de qualité à atteindre 17 milliards de livres.

Les subventions, les subventions et les social bénéficie tout rose à la suite de 24,5 milliards de livres de subventions supplémentaires pour les produits pétroliers, pour atteindre 120 milliards de livres. La sécurité sociale et des cotisations aux fonds a augmenté de 10,2 milliards de livres de pension.

L'Agence centrale pour la mobilisation publique et les statistiques d'égyptien a révélé que pendant la règle de Morsi, le déficit du solde commercial a diminué au cours du mois de mai dernier exercice pour atteindre 16,21 milliards de livres par rapport à 23,05 milliards de livres pour le même mois en 2012, soit un recul de 29,7 %.

Exportations égyptiennes ont augmenté de 3,1 % pour atteindre 16,83 milliards de livres au cours du mois de mai 2013 par rapport à 16,33 milliards de livres pour le même mois de l'année précédente. L'augmentation était due à la haute valeur de certains produits de base tels que : pétrole brut, d'engrais, fruits frais, oranges fraîches, pâtes et autres produits alimentaires.
-

Puisque l'Égyptien de base n'a vu aucun de ces signes de croissance, il faut en tirer la conclusion que les bénéfices ont été empochés par Morsi et ses amis

Plus sérieusement:
Création de liquidités = 18, 8 %
Création de richesses = 18,3 %

Si la quantité de monnaie a augmenté, la monnaie a diminué de valeur
Diminution du PIB = 18,8-18,3 = 0,6%, valeur un an auparavant.

Si une simple soustraction permet de débusquer une "erreur", il faut creuser.

En tous cas, les calculs qui sont effectué sur une monnaie locale, sans même tenir compte de l'inflation, n'ont aucune crédibilité.

Que donnent les chiffres en euros constants, en dollars constants, en francs constants ou en yuans constants ??
Comme il y a des fans du "dinar-or", qu'est ce que ça donne en cette monnaie supposée miraculeuse ?

Lorsqu'on parle de flux commerciaux, on peut les calculer en devise ou en monnaie locale.

Ce qu'on voit, c'est que les exportations ont augmenté d'environ 0,4% en monnaie d'avant la perte de 18,8% de la valeur de la livre égyptienne. Ça signifie que ces exportations ont diminué de plus de 18%.

La baisse des importations n'est pas surprenante: Les Égyptiens n'ont pas pu emprunter pour dépenser plus qu'ils n'avaient.

Conclusion: Un article de journal où on doit recalculer chaque ligne et dont le texte dit exactement le contraire que les chiffres n'a aucune valeur.

La seule chose qui semble vraie est que l'Égypte n'a pas pu dépenser autant que le gouvernement de Morsi aurait voulu. Si le FMI avait imprudemment prêté à ce régime, il y aurait quelques dizaines de milliards de dollars de déficit supplémentaires.

Salut,
Des analyses vaseuses et fausses ...
Les liquidités ont servi la croissance et non l'inflation ... Il y a création de richesses ...
Une soustraction ... laisses-moi rigoler ...
Des inputs et des outputes ....

Tu peux noircir un peu plus ....
Je ne suis pas pro-morsi, mais je ne verse pas dans des manipulations infantiles de données économiques ...

Ce n'est pas le problème des subprimes ...

Élément de réponse:

Élection de Morsi : 30 juin 2012
Cours de la livre égyptienne le 1er juillet 2012 ~ 7,68 livres / €ur

Départ de Morsi : 3 juillet 2013
Cours de la livre égyptienne le 4 juillet 2013 ~ 9,06 livres / €ur

[www.finances.net]

Salam,
En Europe, comme aux États-Unis on a mis en route les planches à billet pour prêter aux entreprises et aux "créateurs" d'entreprises espérant qu'il y ait une création de richesses qui n'a jamais été au rendez-vous mais plutôt la "crise", une inflation "masquée" et exportée en devises papier de toilette ou en guerre et bombardements aliénant des pétroliers ou des États...

Que le cours de la monnaie baisse respectivement aux devises fortes dans le cas égyptien c'est naturel ...
Les capitaux en monnaie égyptienne en fuite se convertissent en devises fortes ....

Citation
Unesuggestion a écrit:
Élément de réponse:

Élection de Morsi : 30 juin 2012
Cours de la livre égyptienne le 1er juillet 2012 ~ 7,68 livres / €ur

Départ de Morsi : 3 juillet 2013
Cours de la livre égyptienne le 4 juillet 2013 ~ 9,06 livres / €ur

[www.finances.net]

Et donc ça fait une inflation de combien rapporté à un an pour la même période

Il ne faut effectivement pas nous prendre pour des demeurés

Citation
blagueur a écrit:
En Europe, comme aux États-Unis on a mis en route les planches à billet pour prêter aux entreprises et aux "créateurs" d'entreprises espérant qu'il y ait une création de richesses qui n'a jamais été au rendez-vous mais plutôt la "crise", une inflation "masquée" et exportée en devises papier de toilette ou en guerre et bombardements aliénant des pétroliers ou des États...

Que le cours de la monnaie baisse respectivement aux devises fortes dans le cas égyptien c'est naturel ...
Les capitaux en monnaie égyptienne en fuite se convertissent en devises fortes ....

Oui, mais il ne faut alors pas publier d'import-export en autre-chose qu'une devise forte.
Le principe de base est de comparer ce qui est comparable: La devise forte dans laquelle les échanges sont libellés.

Pour les chiffres internes, il faut ajouter la hausse (ou la baisse) des prix par rapport à une référence.
Ici, on aurait dû prendre des "livres constantes" du 1er juillet 2012.

Lorsque j'ai commencé l'article, j’étais intéressé à prendre connaissance d'éléments intéressants car surprenants.
Lorsque j'ai lu "augmentation de salaire" à côté de "émission monétaire", j'ai tenté de voir quelle était l'augmentation en termes réels. (la France a fait le coup à plusieurs reprises: Lorsque les Gauchistes ont réussi à prendre l'Économie en otage, les salaires minima officiels ont été massivement augmenté ... et la monnaie a immédiatement été dévaluée afin que les salaires demeurent identiques, voire moins élevés, vus de l'étranger.)

Comme tu l'as noté, si la référence est le dollar étasunien, il faut encore prendre en compte la diminution de la valeur de cette devise.

Par contre, la Banque Centrale Européenne n'a pas pu agir comme aux États-Unis: Les Allemands ne l'ont pas permis. C'est pour ça que des pays habitués à payer leurs dettes au moyen de l'inflation n'ont pu le faire et doivent maintenant s'habituer à ne plus dépenser plus que leurs ressources ne le permettent.


Bref: Les déclarations tonitruantes basées sur des données qui ne sont pas comparables ne sont crues que par ceux qui veulent y croire. Les statisticiens égyptiens n'étant pas des imbéciles, les chiffres sont peut-être destinés à des prêteurs internationaux qui doivent sauver la face.
Comme aucun économiste ne peut se satisfaire des chiffres susmentionnés, ça élimine la plupart des prêteurs potentiels.
Parmi ceux qui restent et sont connus, il y a l'Arabie Saoudite et le Qatar. Pour qu'ils prêtent, il faut les brosser dans le sens du poil et des données imprécises sont bien suffisantes pour faire glousser les fans de Morsi.

Citation
Unesuggestion a écrit:

Citation
blagueur a écrit:
En Europe, comme aux États-Unis on a mis en route les planches à billet pour prêter aux entreprises et aux "créateurs" d'entreprises espérant qu'il y ait une création de richesses qui n'a jamais été au rendez-vous mais plutôt la "crise", une inflation "masquée" et exportée en devises papier de toilette ou en guerre et bombardements aliénant des pétroliers ou des États...

Que le cours de la monnaie baisse respectivement aux devises fortes dans le cas égyptien c'est naturel ...
Les capitaux en monnaie égyptienne en fuite se convertissent en devises fortes ....

Oui, mais il ne faut alors pas publier d'import-export en autre-chose qu'une devise forte.
Le principe de base est de comparer ce qui est comparable: La devise forte dans laquelle les échanges sont libellés.

Pour les chiffres internes, il faut ajouter la hausse (ou la baisse) des prix par rapport à une référence.
Ici, on aurait dû prendre des "livres constantes" du 1er juillet 2012.

Lorsque j'ai commencé l'article, j’étais intéressé à prendre connaissance d'éléments intéressants car surprenants.
Lorsque j'ai lu "augmentation de salaire" à côté de "émission monétaire", j'ai tenté de voir quelle était l'augmentation en termes réels. (la France a fait le coup à plusieurs reprises: Lorsque les Gauchistes ont réussi à prendre l'Économie en otage, les salaires minima officiels ont été massivement augmenté ... et la monnaie a immédiatement été dévaluée afin que les salaires demeurent identiques, voire moins élevés, vus de l'étranger.)

Comme tu l'as noté, si la référence est le dollar étasunien, il faut encore prendre en compte la diminution de la valeur de cette devise.

Par contre, la Banque Centrale Européenne n'a pas pu agir comme aux États-Unis: Les Allemands ne l'ont pas permis. C'est pour ça que des pays habitués à payer leurs dettes au moyen de l'inflation n'ont pu le faire et doivent maintenant s'habituer à ne plus dépenser plus que leurs ressources ne le permettent.


Bref: Les déclarations tonitruantes basées sur des données qui ne sont pas comparables ne sont crues que par ceux qui veulent y croire. Les statisticiens égyptiens n'étant pas des imbéciles, les chiffres sont peut-être destinés à des prêteurs internationaux qui doivent sauver la face.
Comme aucun économiste ne peut se satisfaire des chiffres susmentionnés, ça élimine la plupart des prêteurs potentiels.
Parmi ceux qui restent et sont connus, il y a l'Arabie Saoudite et le Qatar. Pour qu'ils prêtent, il faut les brosser dans le sens du poil et des données imprécises sont bien suffisantes pour faire glousser les fans de Morsi.

Salut,
Pour ma part un assainissement économique global me semble plausible pour les raisons suivantes :
* Le retour au calme après des événements sanglants ... Se souvenir de la suspension des opérations boursières ...
* La mentalité des musulmans vis à vis de l'usure et du crédit, fait qu'ils cherchent toujours à se libérer de leurs engagements en réduisant la dette, de même pour les cathos...
* Effectivement, les effets des augmentations de salaires alloués pour calmer le jeu, ont été contre-balancés par des émissions de liquidités ...

Bref, au delà de Morsi, il y a eu une reprise et des interventions sur le marché pour éviter une dégradation du niveau de vie aux effets géopolitiques régionaux lourds ...



Modifié 2 fois. Dernière modification le 01/10/13 19:21 par blagueur l.

Renverser Morsi est la pire des bêtise que les humains aient fait depuis ces quarante dernières années. Lamentable.