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marokhasna1 a écrit:
Salam
J'en ai deja eu envie. J'avais dans la tete, l'envie d'ecrire un livre de temoignages sur un sujet tres precis. Mais ecrire un livre c'est tre difficile et si tu veux le publier faut trouver un editeur etc etc
Ca demande bcp de temps et de precisions.
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ok a écrit:
Ecrire un livre. oui, mais dans quel but?
il faut un sujet en premier lieu, puis un destinataire.
Quel type d'ouvrage voudrais t'on écrire, et dans quel but?
En fait, le premier travail a faire, c'est sur soi même.
Il faut essayer de comprendre ce que l'on veut décrire, expliquer, démontrer, voir même cacher peut être.
Il faut apprécier l'écriture aussi. Bon, je sais aussi qu'il existe des gens qui se font écrire des trucs par d'autres (comme Malika oufkir par exemple...) pour se faire un peu de pépet, ou bien pour se faire connaître. Parfois, c'est plus idéologique, ou bien imaginaire. Souvent, les bons lecteurs sont de mauvais écrivains, car ils absorbent l'information comme une éponge, mais sont incapables de produire. car l'écriture, c'est avant tout une reconstruction du réel, sous le prisme de sa personne. Parfois aussi, certains écrivent dans le cadre d'une recherche académique, dans ce cas les qualités d'écrivains peuvent être tout aussi nécessaire mais moins dans le sens de l'imaginaire et plus dans le sens du rapport aux faits, ou à l'interprétation des faits.
Puis il y a la forme. Il faut éviter d'avoir un style pompeux, ou bien de faire des fautes d'orthographes. (pour les éditeurs, c'est rédibitoire!). Mais moi, en tant que psychopathe, j'ai un truc pour obliger les éditeurs à vous publier. Le flingue! Rien de tel qu'un bon flingue bien chargé pour faire couler le sang autour de vous. "Publie moi connard ou je te pête la tronche!" Et voilà,un éditeur en moins, ça soulage. Car en réalité toute vérité est relative, j'en conclu donc que les valeurs aussi. Ce qui compte en fait, c'est le pouvoir. Quand on a le pouvoir, on a la liberté! C'est ça l'écriture, une forme de liberté.
Mais contrairement au "flingue" cette liberté ne fait couler du sang que sur le papier.
Kill, kill, die, die!!!
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petit chat a écrit:
salam
Oui
essayé plusieurs fois quand j'etais plus jeune
c'etait nul mais super drole
aujourd'hui j'ecris pas mal de choses , j'ai des concepts plein la tete
dans mon boulot, j'ai évolué dans ce sens ..
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libellule06 a écrit:Citation
marokhasna1 a écrit:
Salam
J'en ai deja eu envie. J'avais dans la tete, l'envie d'ecrire un livre de temoignages sur un sujet tres precis. Mais ecrire un livre c'est tre difficile et si tu veux le publier faut trouver un editeur etc etc
Ca demande bcp de temps et de precisions.
salam
Et tu gardes tjrs ton idée dans un coin de ta tête ? ou t'as tiré une croix sur ton projet ?
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libellule06 a écrit:Citation
ok a écrit:
Ecrire un livre. oui, mais dans quel but?
il faut un sujet en premier lieu, puis un destinataire.
Quel type d'ouvrage voudrais t'on écrire, et dans quel but?
En fait, le premier travail a faire, c'est sur soi même.
Il faut essayer de comprendre ce que l'on veut décrire, expliquer, démontrer, voir même cacher peut être.
Il faut apprécier l'écriture aussi. Bon, je sais aussi qu'il existe des gens qui se font écrire des trucs par d'autres (comme Malika oufkir par exemple...) pour se faire un peu de pépet, ou bien pour se faire connaître. Parfois, c'est plus idéologique, ou bien imaginaire. Souvent, les bons lecteurs sont de mauvais écrivains, car ils absorbent l'information comme une éponge, mais sont incapables de produire. car l'écriture, c'est avant tout une reconstruction du réel, sous le prisme de sa personne. Parfois aussi, certains écrivent dans le cadre d'une recherche académique, dans ce cas les qualités d'écrivains peuvent être tout aussi nécessaire mais moins dans le sens de l'imaginaire et plus dans le sens du rapport aux faits, ou à l'interprétation des faits.
Puis il y a la forme. Il faut éviter d'avoir un style pompeux, ou bien de faire des fautes d'orthographes. (pour les éditeurs, c'est rédibitoire!). Mais moi, en tant que psychopathe, j'ai un truc pour obliger les éditeurs à vous publier. Le flingue! Rien de tel qu'un bon flingue bien chargé pour faire couler le sang autour de vous. "Publie moi connard ou je te pête la tronche!" Et voilà,un éditeur en moins, ça soulage. Car en réalité toute vérité est relative, j'en conclu donc que les valeurs aussi. Ce qui compte en fait, c'est le pouvoir. Quand on a le pouvoir, on a la liberté! C'est ça l'écriture, une forme de liberté.
Mais contrairement au "flingue" cette liberté ne fait couler du sang que sur le papier.
Kill, kill, die, die!!!
tu me fais peur