Nohaila, Oui je souris parce que je te vois entrain de m’en vouloir encore mais avec gentillesse cette fois ci (rires), chose que je peux très bien accepter mais (oui il y a un mais) sans que je change de point de vue. J’y maintiens encore, sorry (sourire) Les points que tu venais de m’éclaircir, j’en suis consciente Nohaila et donc je parlais en connaissance de cause
Ma sœur, saches que je n’ai rien contre notre sœur Assah. Et si j’employais le terme “sacrifice” dans mes messages, c’est parce que la plupart des interventions tendent à qualifier son départ comme tel et j’étais en désaccord avec. Elle même expliquait sa proposition de quitter son foyer par préférer le bonheur de son mari au sien et c’est ce qui m’a dérangé puisque je voyais son acte irréfléchi et carrément hors ses capacités vu ses regrets jusqu’à l’heure actuelle. Remarques qu’elle ne souffre pas uniquement de son éloignement mais bien de remords. Terme qu’elle a utilisé bon nombre de fois et crois moi Nohaila, d’un acte réfléchi ne découle point un regret ou le "sorry". C'est logique non?
Et puis ne sais tu pas que l’Homme en général a tendance de dissimuler ses erreurs et ce, pour éviter la condamnation d’autrui? Ne sais tu pas que lorsque la femme se lamente, ça suscite souvent de la pitié ? Donc lors d’une discussion sérieuse, il faut garder neutralité pour pouvoir analyser objectivement les dires et discerner les bêtises au cas où ça existe. Chose trouvée dans les propos d’Assah. J’ai vu de l’illogique et je l’ai dit tout clairement, tout franchement. Il se peut que je me trompe mais c’est comme ça, c’était mon raisonnement.
Je ne te ressemble pas Nohaila. Je comprends que tu ne peux être très franche (évites moi le terme DURE stp) avec les souffrants. Par contre, moi le peux. Donc tu as ta méthode. J’ai la mienne et c’est ainsi que fonctionnent nos deux jugeotes. Faut s’y adapter. Et si tu n’aimes pas ma façon, tu as le droit de me le dire mais pas m’y empêcher. C’était le but de mon message que je t’ai adressée (sourire).
Bon parlons de la psychologie que t’as révélée :
Oui je sais que la femme lorsqu’elle vit des complexes internes, elle ne peut toujours voir clair. Si tu me relis, j’ai bien cité les termes « impasses, conflits, querelles, noirceur » dans mes interventions. Je sais que ce n’est pas facile de souffrir du vaginisme. Je sais que ce n’est pas facile de vivre deux fausses couches et Allah i3lam ce qu’elle a dû supporter pendant les 7 ans notre soeur, son mari idem. C’est un fardeau psychique qu’elle devait porter en catimini avant qu’il soit dévoilé à son entourage et ça fait mal, oui j’en suis consciente, parfaitement consciente. Cependant ce qui m’importait était de rectifier ce qu’elle a cru bien faire. Si elle avait expliqué son départ par le fait qu’elle se sentait asphyxiée par l’atmosphère insupportable qui régnait entre elle et son mari, j’aurais fermé mes yeux. Je ne suivais que sa logique que je voyais illogique, chose accentuée dans mes interventions. That’s all.
D’autre part, il existe des millions de femmes dans ce bas monde qui ont vécu des fausses couches et pourtant événements qui n’ont pas affecté leur mariage jusqu’au divorce. Parfois ça soude encore plus les conjoints s’ils ont la foi en Dieu ou la grande volonté de réussir.
En outre on parle du vaginisme ! Oh combien de musulmanes en souffrent et pourtant machaa Allah, elles ont réussi plus tard à savourer leur intimité avec leurs époux. Je dis toujours : La volonté et la patience sont deux clés parmi autres clés pour réussir un projet.
« Atta9a » n’est pas toujours la même chez les humains. « Al’irada » n’est pas toujours la même chez les humains. « Atti9a finafss » n’est pas toujours la même chez l’humain. « Achakhssiya takhtalifou mine inssanine li akhare = la personnalité individuelle différe d’un être à l’autre ». Et d’où la multitude dans le comportemental. Je ne veux pas détailler les effets du vaginisme et de l’échec pendant la grossesse sur le relationnel en couple. Ce n’est pas notre thème ici.
Je dis : L’histoire nous reste superficielle et donc j’évite de rentrer dans les complexes évoqués.
Lorsqu’on se lance avec son conjoint, c’est comme signer un contrat d’engagement dans une entreprise à diriger comme associés et donc lorsqu’on présente sa démission, il ne faut pas s’étonner si on se voit remplacé à la vitesse de l’éclair. Si l’associé délaissé en trouve le besoin, c’est tout à fait son droit. Oui ça fait mal d’avaler son oubli rapide au travail en team avant la dite démission. Mais l’être humain reste libre. On est remplaçable même si parfois inoubliable.
Laisses moi te dire que son mari ne m'importe pas, sa cousine non plus. Souhaitons le bonheur à tout le monde. Ils sont majeurs pour asumer leur actes. Regret ou pas, c'est leur affaire.
Je me repète. Oublions le sujet please.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/03/10 01:08 par Matrix Gamma.
Elle date l'histoire Je la découvre mais mashAllah une perle cette femme ,si je l'avais en amie je la lâcherai pas J'espère qu en 5 ans elle s'est remariée et est comblée de bonheur .et qu elle a eu un enfant
Je l'espère aussi de tout coeur Bi idhniLlahi. Ne t en fais pas ma soeur j avais vu la date mais j avais beaucoup suivi son histoire et je lui avais parlé alors je me disais que peut être elle a changé de pseudo
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