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Dissertation:l'homme injuste peut il etre heureux ?
j
4 janvier 2008 17:48
avis a toute suggestions sur ce sujet !
n
4 janvier 2008 18:01
si il n'a pas conscience de son injustice : ouiiiiiiiiiiiiiiiii
« En vérité, tant que les gens ne changent pas ce qui se trouve dans leur cœur, Dieu ne modifie en rien leur condition. » (Coran 13:11)« N’est-ce point par l’évocation de Dieu que se tranquillisent les cœurs? » (Coran 13:28)
j
4 janvier 2008 18:03
lol ce n 'est point faux !!

j aimerai arriver a définir récisément : quest ce que la justice pour lindividu..quest ce que des valeures? ou plustot une definition de la justice proche de l individu !
si vous avez des idées...???
4 janvier 2008 18:03
Développe un peu plus
[b][color=#990000][center]L'important, ce n'est pas d'ajouter des années à sa vie :A: mais de la Vie à ses années[/center][/color][/b]
j
4 janvier 2008 18:11
ba en faite j aimerai trouver une définition de : qu' est ce que des valeurs pour lindividu ?
et ..un peu développer la justice au sens de la moral..(respect de ce qi est due a chaqun) mais..j aimerai en dir un peu + !! XD

et oussi..des exenples..

c est + claire.. ?
P
4 janvier 2008 19:27
Salam,

C'est pour un devoir? perplexesmiling smiley
j
4 janvier 2008 21:21
*waipaip c est une disserte ramassée ! : sa sera 1/3 de ma moyenne de filo ce trimestre ! don c important !
P
4 janvier 2008 21:44
Je t'ai fait une réponse mais elle a disparu moody smileyperplexemoody smiley
P
4 janvier 2008 21:55
Bon je recommence alors perplexe

Je pense qu'il faudrait que tu travailles sur les notions de justice, injustice, bonheur qui sont pas les mêmes pour tous... des notions différentes selon les individus (trouve des exemples...), il faut essayer de les définir et chercher des divergences et convergences entre les notions.

J'ai trouvé ça, peut être ça peut t'intéresser:

Kant « Le devoir est la nécessité d'accomplir l'action par pur respect de la loi ».

Selon Kant, le bonheur s'oppose donc catégoriquement au devoir. Il considère en effet que le devoir ne peut plus être considéré comme moral dès qu'on l'accomplit dans le but d'obtenir une certaine félicité, d'être heureux, d'atteindre le bonheur. Tout devoir intéressé n'en est donc plus un, ce qui désunie irrémédiablement le devoir moral du bonheur. Faire le bonheur des autres ne constitue donc pas une action morale dans la philosophie kantienne si son objectif est d'en obtenir un quelconque bonheur. Kant fait la critique de la doctrine eudémoniste qui place dans le bonheur la fin ultime de la vie humaine dans la mesure où il considère que le rôle de la morale n'est pas d'enseigner aux hommes comment atteindre le bonheur, mais comment s'en rendre dignes. Kant propose une définition du bonheur qui ne prend pas en compte le devoir « Le bonheur est l'état dans le monde d'un être raisonnable, à qui, dans tout le cours de son existence, tout arrive suivant son souhait et sa volonté ».

Kant, au départ, associait bonheur et devoir : « Assurer son propre bonheur est un devoir, car le fait de ne pas être content de son état pourrait devenir une tentation d’enfreindre ses devoirs. » (Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs). Trois ans plus tard (1788), il change d’avis : bonheur et devoir n’ont plus rien à voir.

« Le bonheur est l’état dans le monde d’un être raisonnable, pour qui, dans toute son existence, tout va selon son désir et sa volonté, et il repose par conséquent sur l’accord de la nature avec le but tout entier poursuivi par cet être, de même qu’avec le principe déterminant essentiel de sa volonté. Or la loi morale, comme loi de la liberté, ordonne par des principes déterminants qui doivent être tout à fait indépendants de la nature et de l’accord de celle-ci avec notre faculté de désirer (comme mobiles) ; d’un autre coté, l’être raisonnable qui agit dans le monde n’est assurément pas en même temps cause du monde et de la nature elle-même. Donc, dans la loi morale, il n’y a pas le moindre principe pour une connexion nécessaire entre la moralité et le bonheur proportionné d’un être qui, faisant partie du monde, en dépend, et qui justement pour cela ne peut, par sa volonté, être cause de cette nature et, pour ce qui est de son bonheur, la mettre par ses propres forces complètement d’accord avec ses principes pratiques. » (Kant, Critique de la raison pratique, 1re partie, V)

Bon courage smiling smiley
B
4 janvier 2008 21:59
Salamsmiling smiley,


Quand on voit certains hommes politique, faut croire que oui.tongue sticking out smiley

Thèse: L'homme injuste peut être heureux.
Il n'existe pas de justice parfaite. Quelque part, on est tous des Hommes injustes et pourtant cela ne nuit pas à notre bonheur pour autant, ça ne nous empêche pas de vivre.
Donc non seulement on peut être injuste et heureux, mais en plus on peux être heureux grâce à notre injustice. (Ex: Des avocats défendent des coupables, les "innocentent" même et cela contribue d'une certaine façon à leur bonheur: c'est leur gagne pain, ce qui leur permet de vivre. Tu peux même aller plus loin en parlant de karim Achoui, l'avocat du grand banditisme qui à amoncé sa richesse en faisant libérer des gens malhonêtes).

Antithèse: L'homme injuste ne peut pas être totalement heureux, épanoui.
Je n'ai pas d'idées précises sur la questions, tous les exemples qui me viennent à l'esprit vont plutôt dans le sens de la thèse. Mais bon, là tu devrais développer la conscience humaine. On en est tous doté. Certains l'ignorent plus ou moins, mais elle finit toujours par refaire surface, elle nous travaille et puis nous ronge..
Faudrait trouver l'exemple d'une personne médiatique qui a fait des choses horribles et qui rongé par le remords s'est finalement excusée, à chercher à réparer sa faute..
Ou sinon, tu fais plus simple et tu puises ton inspiration dans les exemples du quotidien: quand tu es en colère, tu peux dire des choses blessantes, que tu ne penses pas. Ainsi tu te montres injuste envers une personne. La colère dissipée tu t'en veux, tu te s'en coupable, tu es mal, donc malheureux. Mais si tu choisis plutôt un exemple dans ce registre, tu ne pourras pas développer l'ignorance de la conscience, seulement sa présence qui nous pousse à réfléchir sur la portée et le bien fondé de nos actes.

N'oublie surtout pas d'introduire des citations littéraires sur lesquelles tu appuieras tes développements. C'est très apprécié dans les dissert's.

Allah y sehelsmiling smiley
One step forward and two ahead...
j
4 janvier 2008 22:54
merkii !! (pour le debu) parceque tout ce que tu a écri sur kant est dans mon cour ..du coup je ne peu pas y ré écrir ..le prof risque d y craindre mai..le débu..maide mercii !! gro bizouu !XD
j
4 janvier 2008 23:09
merkiiiiiii !!! sa maide bikou ske vou dites !!
P
4 janvier 2008 23:51
Citation
l'inconnueconnue a écrit:
Bon je recommence alors perplexe

Je pense qu'il faudrait que tu travailles sur les notions de justice, injustice, bonheur qui sont pas les mêmes pour tous... des notions différentes selon les individus (trouve des exemples...), il faut essayer de les définir et chercher des divergences et convergences entre les notions.

J'ai trouvé ça, peut être ça peut t'intéresser:

Kant « Le devoir est la nécessité d'accomplir l'action par pur respect de la loi ».

Selon Kant, le bonheur s'oppose donc catégoriquement au devoir. Il considère en effet que le devoir ne peut plus être considéré comme moral dès qu'on l'accomplit dans le but d'obtenir une certaine félicité, d'être heureux, d'atteindre le bonheur. Tout devoir intéressé n'en est donc plus un, ce qui désunie irrémédiablement le devoir moral du bonheur. Faire le bonheur des autres ne constitue donc pas une action morale dans la philosophie kantienne si son objectif est d'en obtenir un quelconque bonheur. Kant fait la critique de la doctrine eudémoniste qui place dans le bonheur la fin ultime de la vie humaine dans la mesure où il considère que le rôle de la morale n'est pas d'enseigner aux hommes comment atteindre le bonheur, mais comment s'en rendre dignes. Kant propose une définition du bonheur qui ne prend pas en compte le devoir « Le bonheur est l'état dans le monde d'un être raisonnable, à qui, dans tout le cours de son existence, tout arrive suivant son souhait et sa volonté ».

Kant, au départ, associait bonheur et devoir : « Assurer son propre bonheur est un devoir, car le fait de ne pas être content de son état pourrait devenir une tentation d’enfreindre ses devoirs. » (Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs). Trois ans plus tard (1788), il change d’avis : bonheur et devoir n’ont plus rien à voir.

« Le bonheur est l’état dans le monde d’un être raisonnable, pour qui, dans toute son existence, tout va selon son désir et sa volonté, et il repose par conséquent sur l’accord de la nature avec le but tout entier poursuivi par cet être, de même qu’avec le principe déterminant essentiel de sa volonté. Or la loi morale, comme loi de la liberté, ordonne par des principes déterminants qui doivent être tout à fait indépendants de la nature et de l’accord de celle-ci avec notre faculté de désirer (comme mobiles) ; d’un autre coté, l’être raisonnable qui agit dans le monde n’est assurément pas en même temps cause du monde et de la nature elle-même. Donc, dans la loi morale, il n’y a pas le moindre principe pour une connexion nécessaire entre la moralité et le bonheur proportionné d’un être qui, faisant partie du monde, en dépend, et qui justement pour cela ne peut, par sa volonté, être cause de cette nature et, pour ce qui est de son bonheur, la mettre par ses propres forces complètement d’accord avec ses principes pratiques. » (Kant, Critique de la raison pratique, 1re partie, V)

Bon courage smiling smiley

Salam,

Tu devais être une bonne élève en philo toi grinning smiley
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
P
5 janvier 2008 10:42
Citation
malika_malika a écrit:
Citation
l'inconnueconnue a écrit:
Bon je recommence alors perplexe

Je pense qu'il faudrait que tu travailles sur les notions de justice, injustice, bonheur qui sont pas les mêmes pour tous... des notions différentes selon les individus (trouve des exemples...), il faut essayer de les définir et chercher des divergences et convergences entre les notions.

J'ai trouvé ça, peut être ça peut t'intéresser:

Kant « Le devoir est la nécessité d'accomplir l'action par pur respect de la loi ».

Selon Kant, le bonheur s'oppose donc catégoriquement au devoir. Il considère en effet que le devoir ne peut plus être considéré comme moral dès qu'on l'accomplit dans le but d'obtenir une certaine félicité, d'être heureux, d'atteindre le bonheur. Tout devoir intéressé n'en est donc plus un, ce qui désunie irrémédiablement le devoir moral du bonheur. Faire le bonheur des autres ne constitue donc pas une action morale dans la philosophie kantienne si son objectif est d'en obtenir un quelconque bonheur. Kant fait la critique de la doctrine eudémoniste qui place dans le bonheur la fin ultime de la vie humaine dans la mesure où il considère que le rôle de la morale n'est pas d'enseigner aux hommes comment atteindre le bonheur, mais comment s'en rendre dignes. Kant propose une définition du bonheur qui ne prend pas en compte le devoir « Le bonheur est l'état dans le monde d'un être raisonnable, à qui, dans tout le cours de son existence, tout arrive suivant son souhait et sa volonté ».

Kant, au départ, associait bonheur et devoir : « Assurer son propre bonheur est un devoir, car le fait de ne pas être content de son état pourrait devenir une tentation d’enfreindre ses devoirs. » (Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs). Trois ans plus tard (1788), il change d’avis : bonheur et devoir n’ont plus rien à voir.

« Le bonheur est l’état dans le monde d’un être raisonnable, pour qui, dans toute son existence, tout va selon son désir et sa volonté, et il repose par conséquent sur l’accord de la nature avec le but tout entier poursuivi par cet être, de même qu’avec le principe déterminant essentiel de sa volonté. Or la loi morale, comme loi de la liberté, ordonne par des principes déterminants qui doivent être tout à fait indépendants de la nature et de l’accord de celle-ci avec notre faculté de désirer (comme mobiles) ; d’un autre coté, l’être raisonnable qui agit dans le monde n’est assurément pas en même temps cause du monde et de la nature elle-même. Donc, dans la loi morale, il n’y a pas le moindre principe pour une connexion nécessaire entre la moralité et le bonheur proportionné d’un être qui, faisant partie du monde, en dépend, et qui justement pour cela ne peut, par sa volonté, être cause de cette nature et, pour ce qui est de son bonheur, la mettre par ses propres forces complètement d’accord avec ses principes pratiques. » (Kant, Critique de la raison pratique, 1re partie, V)

Bon courage smiling smiley

Salam,

Tu devais être une bonne élève en philo toi grinning smiley

Salam,

C'est tout ce que t'as trouvé à dire pour l'aider tongue sticking out smiley

Au boulot Malika grinning smiley

Au posteur: si tu as un cours, justement il faut l'utiliser c'est le but sinon tu irais passer le bac sans cours winking smiley

Autre chose: n'achète surtout pas sur internet un devoir déjà fait pask là t'es mort.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/01/08 10:45 par l'inconnueconnue.
 
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