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Deux cadres du "Polisario" regagnent la mère-patrie
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14 décembre 2006 11:11
Deux cadres du "Polisario" regagnent la mère-patrie

Laâyoune, 14/12/06 - Deux cadres du "polisario", MM. Mohamed Cheikh Ould Mohamed Lamine Boussoula et son fils Mbarek, de la tribu Izzerguyine, ont regagné, mercredi la mère-patrie, en réponse à l'appel royal "la Patrie est clémente et miséricordieuse".

M. Mohamed Cheikh Boussoula (86 ans), qui était membre de la commission d'identification, avait quitté les camps de Tindouf en 2003, tandis que son fils Mbarek (50 ans), qui exerçait à l'"unité de défense aérienne" de la prétendue RASD, s'était enfui des camps de la honte en 1991.

Mbarek Boussoula, qui avait rejoint les rangs du "polisario" en 1974, a déclaré à la MAP qu'il avait décidé de rentrer au pays au lendemain du discours royal de Laâyoune, dans lequel le Souverain avait annoncé la mise en place du Conseil Royal Consultatif pour les Affaires Sahariennes (CORCAS) et suite à l'initiative royale qui accorde une large autonomie aux provinces du Sud, exaltant les importantes initiatives de SM le Roi visant l'édification d'un Etat de droit et le développement du Royaume.

Cette autonomie, qui constitue la "meilleure solution" au problème du Sahara a été favorablement accueillie par les populations séquestrées à Tindouf, a-t-il souligné.

L'ex-cadre du "polisario" a dénoncé, par ailleurs, le détournement par les dirigeants des séparatistes des aides humanitaires destinées aux populations sahraouies vivant dans les camps de Tindouf, en territoire algérien.

Il a, d'autre part, révélé à la MAP que la direction du "polisario" lui avait envoyé dernièrement deux délégations, l'une de Madrid et l'autre de Mauritanie pour le dissuader, ainsi que son père de regagner la mère-patrie.

"Je leur ai dit que je suis totalement convaincu de ma décision et je ne changerai pas position", a-t-il dit, ajoutant que d'autres membres du "polisario" n'attendent que l'opportunité pour lui emboîter le pas.

Deux ex-cadres du "polisario", Mohamed Ahmed Ben Omar Ouled M'Birek, membre de la Commission d'identification, et frère de l'actuel représentant des séparatistes à Barcelone, et M. Hadiya Daifallah, qui vivaient dans l'archipel des Canaries, avaient regagné le Maroc en mai dernier en réponse à l'appel royal, rappelle-t-on.
n
14 décembre 2006 15:09
tant mieux
H
14 décembre 2006 17:14
Bonne nouvelle , et bienvenue chez eux .
n
14 décembre 2006 17:15
Il y a quelques jours la télé marocaine montrait un groupe de Sahraouis qui s'étaient échappés de Tindouf. Ils étaient heureux de rejoindre leurs familles sous les youyou au Maroc. Il y a la propagande par ici et par la bien sur, mais les images montraient des gens, surtout un vieillard et des memebres de familles qui rayonnaient tellement, c'était absolument réel.
Maintenant voici d'autres cadres qui s'évadent. C'est inadmissible, ça rappele les temps du bloque soviétique ou les gens fuyaient sous danger de vie.

Il faut que la communcaté internationale ouvre les yeux et qu'elle garantisse a ces gens le choix de quitter Tindouf ou de rester.
n
14 décembre 2006 17:17
Et voici ce qu'ils racontent. La communauté internationale ferme les yeux:



Il n'y a que des prisons et des centres de détention à Tindouf (rallié)

Laâyoune, 14/12/06 - Il n'y a que des prisons et des centres de détention dans les camps de Tindouf, a déclaré à la presse M. Mbarek Ould Cheikh, qui a regagné mercredi la Mère-Patrie avec son père Cheikh Ould Mohamed Lamine Boussoula, soulignant que la majorité des habitants des camps caresse le rêve de retourner vivre au Maroc.

M. Mbarek Ould Cheikh (50 ans), qui exerçait à l'"unité de défense aérienne" de la prétendue "RASD", a également condamné le quadrillage militaire et le siège imposé aux camps pour dissuader les séquestrés de regagner la mère patrie.

"Notre retour au Royaume, a-t-il expliqué, intervient en réponse à l'appel royal: la patrie est clémente et miséricordieuse, et pour appuyer le projet d'autonomie", exprimant sa joie de l'accueil chaleureux et convivial qui leur a été réservé à Laâyoune par les membres de leur famille et leurs proches dans une ambiance de retrouvailles familiales après une absence de plus de trois décennies.

Plusieurs membres de la famille des ralliés se sont félicités de leur retour parmi les leurs. La fille de Cheikh Ould Mohamed Lamine Boussoula, les larmes aux yeux, s'est dite très heureuse et émue de retrouver son père qu'elle n'a pas vu depuis plus de trente ans.

M. Ibrahim Douihi, l'un des Chioukhs de la tribu Zerguyine a souligné que le retour de Cheikh Ould Mohamed Lamine Boussoula, qui était membre de la commission d'identification, "portera un coup fatal au +Polisario+", rappelant que le cheikh a joué un rôle important dans la résistance contre l'occupation espagnole.

Il a noté que le Cheikh, qui jouit d'un grand respect parmi les membres de la tribu des Zerguyines, "a été victime, à l'instar de milliers de personnes, dont des Chioukhs de tribus, d'enlèvement par l'armée algérienne et de ses protégés du +polisario+".

Il a ajouté que leur retour revêt "en soi une grande signification et intervient au lendemain du discours historique de SM le Roi Mohammed VI à Laâyoune, le 25 mars dernier, de la décision du Souverain de restructurer le Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes et suite à la dynamique enclenchée par la proposition d'autonomie".

De son côté, M. Yahia Lamine, porte parole de l'association de défense des séquestrés de Tindouf, basée à Stockholm, a rappelé que "le Cheikh Ould Mohamed Lamine Boussoula, l'un des éminents chioukhs à s'être opposés au front Polisario, s'était élevé contre les violations des droits de l'homme par les séparatistes lors de leur prétendu +8-ème congrès+", tenu en 1991.

Le Cheikh, a-t-il rappelé, a demandé lors de ce congrès que toute la lumière soit faite sur les atteintes aux droits de l'homme dans les prisons du "Polisario". "Leur retour à la mère-patrie traduit leur ferme attachement à l'unité du Royaume", a-t-il ajouté.

Pour sa part, M. Dahi Aguai, président de l'association des "Portés disparus au Polisario", s'est félicité du retour au Maroc de Cheikh Ould Mohamed Lamine Boussoula et de son fils, soulignant que ce retour "porte un nouveau coup dur aux mercenaires du Polisario".
D
14 décembre 2006 18:49
Salam,

Il ne fait guere de doute, que la supercherie en est à ses dernieres heures, apres avoir perdu le soutien de nombreux etats, le polisario, n'est plus soutenu que par l'Algerie, qui lui offre un territoire et l'approvisionne en arme. Or combien de temps va continuer ce soutien, quand est ce que l'Algerien se rendra compte que le maroc ne lachera pas l'affaire et qu'il n'ira pas plus loin que l'offre d'autonomie?
[hr] [b][center]Si perçante soit la vue, on ne se voit jamais de dos[/center][/b][b]Boycottez pour la paix !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! [color=#FF0000]Boycottez!!!!!!!!![/color][color=#FFFFFF]!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!![/color] [color=#009900]Boycottez pour les enfants de Gaza!!!!!![/color][/b]
 
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