Citation
telev a écrit:
Dette extérieure du Trésor: Baisse de 7% en 2006
A fin 2006, l'encours de la dette extérieure du Trésor est estimée à 64,5 milliards de DH (11,2% du PI, soit une baisse de 7% par rapport aux 69 milliards de 2005 (13,2% du PI.
La direction du Trésor explique cette évolution par le solde des flux nets de capitaux en faveur de l'extérieur (3 milliards de DH) ainsi que l'impact favorable des fluctuations de change, notamment la dépréciation du dollar US par rapport au DH d'environ 9%. Un dollar s'échangeait contre 8,46 dirhams à fin 2006 au lieu de 9,25 à fin 2005.
L'Economiste - Lundi 5 février - 18h26
Citation
crocotype a écrit:
Quoique la dette extérieure ait sensiblement diminué, en contrepartie la dette intérieure a augmenté en flèche. Elle s’est accrue de 30% entre 2000 et 2003, pour atteindre en 2005 près de 45 milliards de DH, sans compter ce que doit l’Etat, en arriérés, à la caisse marocaine de retraite et aux organismes de prévoyance sociale.
L’endettement intérieur est en passe de devenir un fardeau pour les finances de l’Etat.l’effet d’éviction que produit ce revirement vers la dette intérieure aura des répercussions négatives sur la croissance économique et l’emploi.
tout est relatif,
Citation
crocotype a écrit:
Il faut noter que la dette extérieure publique du Maroc ne se limite pas seulement à celle du Trésor. elle comprend, en outre, les crédits accordés aux établissements publics ayant fait l’objet de garantie de la part du Trésor. Ces crédits garantis représentent quelque 37% de la dette extérieure publique.
source: la gazette du maroc
La dette interieure continue de s'alourdir au grand bonheur des intermédiaires en valeurs du Trésor. Il faut gerer le niveau global de l'endettement pour eviter les déficit budgetaires.Si la dette publique continue à augmenter, il faut produire plus de recettes fiscales ou effectuer moins de dépenses gouvernementaux pour payer l’intérêt de la dette.c'est un cycle vicieux qui peut causer le ralentissement economique.
Les faibles opprtunités d'investissement (constat du CNME Conseil national de la Monnaie et de l'Epargne) ne laisse pas le choix aux investisseurs qui se trouvent avec des liquidités excedentaires qu'il est preferable de les investir en bons de tresor au lieu de les laisser oisives.