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Déstabilisation en Syrie : Un coup des membres du projet pour un nouveau...
G
14 mars 2012 00:14
Selon le général Wesley Clark la déstabilisation politique et la guerre régionale a été initiée dès 2007 par des membres du PNAC

Entre le chaos, les tirs d’artillerie d’Homs et de Damas et le siège actuel de l’Etat baassiste de Bachar el-Assad, les événements ressemblent à ceux qui se sont déroulés il y a presque un siècle. Pour maintenir son protectorat, le gouvernement français avait recouru à des soldats étrangers afin de réprimer ceux qui cherchaient à abolir la Fédération syrienne sous mandat français. Alors que l’ancien Premier ministre Faris al-Khoury présentait en 1945, devant l’ONU, ses arguments en faveur de l’indépendance de la Syrie, les avions français bombardaient Damas pour la soumettre. Aujourd’hui, le même gouvernement, avec les Etats-Unis et ses régimes satellites libyens et tunisiens, reconnaissent avec enthousiasme le Conseil national syrien en tant que gouvernement légitime du pays. Bien qu’un sondage récent financé par la Fondation du Qatar ait révélé que 55% des Syriens soutiennent le régime d’el-Assad, les anciennes puissances coloniales bafouent les principes démocratiques qu’elles proclament.

Projet pour un nouveau siècle américain (PNAC)
Au mépris de l’opinion du peuple syrien, son sort a depuis longtemps été décidé par des forces opérant à l’extérieur des frontières du pays. Dans un exposé présenté devant le Commonwealth Club of California en 2007, le général américain à la retraite Wesley Clark évoquait un coup politique initié par des membres du PNAC. Clark citait un document confidentiel transmis par le cabinet du Secrétaire à la Défense en 2001 qui prévoyait la restructuration totale du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord. D’une manière solennelle, le document prétendait révéler des campagnes visant à déstabiliser systématiquement les gouvernements d’Irak, de Somalie, du Soudan, de Libye, du Liban et d’Iran. Selon le scénario familier d’un régime autoritaire réprimant systématiquement les opinions dissidentes et éliminant d’importantes fractions de la population, les mécanismes du stratagème géopolitique ont joué librement.

La Syrie n’est qu’une pièce de l’échiquier utilisée par des puissances plus importantes. Le bloc de l’OTAN commandé par les Etats-Unis en collaboration avec les monarchies féodales du Golfe persique regroupées au sein du Gulf Cooperation Council (GCC) ont un intérêt absolu à ce que le régime change. Ils y travaillent en utilisant des médias aux mains du Qatar comme Al-Jazira pour diffuser dans le monde leur version des événements et en armant des factions radicales des régions à majorité sunnite contre le leadership d’el-Assad, qui appartient à la minorité chiite alaouite. En 2005, l’Administration Bush a commencé à financer des groupes d’opposition syriens qui ont des sympathies pour les Frères musulmans et leur désir de créer un Etat islamique sunnite. Depuis longtemps, ces derniers considèrent les chiites alaouites comme des hérétiques et ils ont fait plusieurs tentatives de soulèvement dans les années 1960. En armant des factions sunnites radicales et en important des djihadistes salafistes irakiens et des mercenaires libyens, l’OTAN et le GCC projettent de renverser el-Assad et d’installer à sa place un personnage illégitime de l’opposition en exil tel que Burham Ghalium (chef du Conseil national syrien) à la tête du nouveau régime.

OTAN, GCC et Al-Qaïda
L’exemple récent d’une politique étrangère imposée en armant des combattants d’Al-Qaïda en Libye s’est avéré désastreux car l’autorité passe actuellement du Conseil national de transition libyen (CNT) appuyé par l’OTAN à des centaines de milices qui se livrent des combats de guérilla. Lors d’une rencontre entre Hillary Clinton et le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu, ce dernier a promis de trouver des moyens de faire pression sur el-Assad en dehors du Conseil de sécurité des Nations Unies. En plus de soutenir les divisions sectaires traditionnelle en Syrie, les Etats-Unis y introduisent clandestinement des armes depuis leur base militaire turque d’Incirlik et ils apportent un soutien financier aux rebelles syriens. Les forces d’opposition syriennes, commandées par le colonel syrien Riad al-Assad, qui a fait défection, s’entraînent sur le sol turc depuis mai 2011. Des sources exclusives de l’armée et des services de renseignements ont informé DEBKAfile (Israël) que des unités spéciales britanniques et qataries apportaient une aide aux forces rebelles d’Homs en leur procurant des gilets pare-balles, des ordinateurs portables, des téléphones mobiles et en exploitant des lignes de communications au moyen desquelles les rebelles demandent à des fournisseurs étrangers une aide logistique, des armes et des mercenaires.

Bien que le Royaume-Uni ait démenti avec vigueur ces informations, l’émir du Qatar, le cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani, a proposé récemment d’envoyer des troupes en Syrie pour combattre les forces d’el-Assad. Les bases militaires situées à proximité de la frontière entre le sud-est de la Turquie et le nord de la Syrie sont devenues d’importantes plaques tournantes utilisées pour envoyer des approvisionnements à l’extérieur. Des avions de combat de l’OTAN banalisés basés près d’Iskenderum ont été dotés de pilotes du Conseil national de transition libyen qui manipulent des armes ayant appartenu à l’arsenal de Kadhafi. Abdel Hakim Belhaj – ancien chef du Groupe islamique combattant extrémiste devenu gouverneur militaire de Tripoli sur instruction de l’OTAN – dirige personnellement l’infiltration de Libyens en Syrie avec l’aide du gouvernement turc. Il paraît également que Mahdi al-Harati a démissionné de ses fonctions de chef adjoint du Conseil militaire de Tripoli pour superviser l’Armée syrienne libre.

La presse syrienne a également communiqué que des groupes terroristes armés brandissant des armes américaines et israéliennes modernes sévissaient dans la campagne autour de Damas et commettaient des actes de terrorisme aveugles en faisant exploser des engins et en enlevant des civils. Tandis que l’OTAN et le GCC continuent d’affirmer qu’el-Assad commet des actes génocidaires contre des civils non armés, nous devons établir des liens entre les événements rapportés par les médias officiels syriens et des déclarations récentes du commandement d’Al-Qaïda en Irak qui se réjouit de l’arrivée de combattants irakiens en Syrie et conseille aux rebelles de se servir de bombes artisanales. Paradoxalement, le chef d’Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, a appelé les musulmans du monde arabe à se mobiliser et à soutenir l’Armée syrienne libre après le décevant veto russe et chinois au Conseil de sécurité. Il y a peu de choses plus absurdes que l’idée que des terroristes d’Al-Qaïda – présentés unanimement comme des barbares par pratiquement tous les médias occidentaux – se fient à l’appareil des Nations Unies et à sa capacité de résoudre le conflit syrien. Le véritable objectif d’Al-Qaïda et son rôle consistant à influencer la politique étrangère n’ont jamais été aussi évidents.

A coup sûr, comme l’affirment les alliés occidentaux et ceux du Golfe, le fait qu’el-Assad accuse des groupes terroristes soutenus par l’étranger de fomenter la violence en Syrie est une preuve évidente de son manque de légitimité. Même si la télévision syrienne montre des stocks d’armes capturés et diffuse des confessions de terroristes décrivant la manière dont ils ont obtenu des armes provenant de l’étranger, l’OTAN et le GCC continuent de préparer des lois destinées à contraindre le régime d’el-Assad à démissionner. Face à une véritable campagne de sabotage financée par l’étranger, des pirates informatiques syriens se sont attaqués au «Syria Live Blog» d’Al-Jazira qui couvre les troubles de manière continue. Le réseau de pirates a audacieusement accusé Al-Jazira de diffuser «des informations fausses et inventées afin d’attiser la sédition dans le peuple syrien pour poursuivre les objectifs de Washington et de Tel-Aviv».

Comment on désinforme à l’aide de Twitter et de Facebook
Par les propos enflammés de Susan Rice qui s’acharne à condamner el-Assad – comme elle avait condamné Kadhafi auparavant – les Etats-Unis tentent de nouveau d’invoquer la doctrine du droit de protéger pour agir directement contre le régime d’el-Assad. Autre parallèle avec le conflit libyen: le nombre officiel ahurissant de victimes avancé par les Nations Unies provient uniquement de groupes de défense des droits humains soutenus par le National Endowment for Democracy, la Cour pénale internationale et le Conseil national syrien. Les chiffres officiels proviennent uniquement d’une obscure organisation connue sous le nom d’Observatoire syrien des droits humains (SOHR), basée à Londres et non en Syrie, qui reposent essentiellement sur des ouï-dire, des vidéos de You Tube et des tweets de militants. Les informations contestées du SOHR sont des «preuves» qu’aucun tribunal n’accepterait et elles ne devraient surtout pas constituer la base de résolutions des Nations Unies. Le directeur de l’Observatoire Rami Abdelrahman collabore directement avec le ministre britannique des Affaires étrangères William Hague et ne tire sa légitimité que de relations avec des réseaux de la société civile financés par des sociétés privées et des fondations. L’affirmation selon laquelle les forces de sécurité d’el-Assad tuent sans distinctions des quantités de nouveau-nés est manifestement un produit du Foreign Office britannique.

La Ligue arabe et son rapport
Rien ne renseigne mieux sur la guerre permanente des médias en Syrie que le rapport établi par la mission d’observation de la Ligue arabe. Il a été totalement ignoré par les médias de masse après que le Qatar – seul pays du Comité ministériel de la Ligue arabe à le faire – en eut contesté le contenu. Le rapport concluait de manière incontestable que le gouvernement syrien ne tirait pas sur les manifestants pacifiques. En outre, le rapport attribue à des bandes armées des attentats à la bombe contre des bus civils, des trains transportant du diesel, des bus de la police, des ponts et des oléoducs. Lors d’une interview, l’observateur de la Ligue arabe Achmed Manaï se félicite du veto sino-russe au Conseil de sécurité et encourage le gouvernement syrien à faire des réformes. Manaï a déclaré: «La Ligue arabe est complètement discréditée pour avoir enterré le rapport de sa propre mission d’observation et renoncé à son appel au Conseil de sécurité. Il a manqué l’occasion de participer au règlement de la question syrienne. Tout ce qu’il pourra proposer à l’avenir sera sans valeur.»

Alors que, comme on pouvait le prévoir, le rapport initial de la mission d’observation est absent des médias de masse et jugé médiocre (probablement parce qu’il contredit la ligne officielle des puissances occidentales et de celles du Golfe), le chef de la mission de la Ligue arabe Mohammed al-Dabi a démissionné officiellement: «Je ne veux plus travailler dans le cadre de la Ligue arabe. J’ai accompli ma tâche en toute honnêteté et transparence mais je ne veux plus travailler ici car la situation est faussée.» Les Nations Unies et la Ligue arabe se tournent actuellement vers ce qui était à l’origine une mission commune d’observation et qu’on appelle maintenant une mission de paix. La Ligue arabe prépare, en collaboration avec l’Arabie saoudite, une résolution presque identique à la première qui demande la mise sur pied d’une mission de paix armée pour la déposer à l’ONU. Très semblable à la tentative d’intimidation qui a précédé l’intervention en Libye, la nouvelle Résolution condamne el-Assad pour sa répression des manifestations par la force et demande une transition démocratique. On s’attend à ce que cette Résolution soit à nouveau refusée par les Russes et les Chinois, le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Gennady Gatilov ayant déclaré que le document était également «un projet de Résolution déséquilibré».

L’ONU a le devoir de défendre la paix
Le conflit syrien a mis en lumière des divisions de guerre froide de longue durée entre les puissances mondiales. Le veto sino-russe opposé à la Résolution demandant une intervention a empêché les puissances occidentales d’opérer une agression à découvert, comme l’a montré le rôle joué par l’OTAN en Libye. Il semble que le régime d’el-Assad sera déstabilisé par des groupes clandestins de mercenaires résolus à commettre des actes aveugles de terrorisme tels que des assassinats perpétrés par des snipers et la pose de bombes artisanales. Ayant tiré les leçons de la Libye, la Russie et la Chine considèrent le rapport du Conseil des droits de l’homme de l’ONU - rédigé par Karen Koning AbuZayd, vice-présidente d’un laboratoire d’idées privé basé à Washington, le Middle East Policy Council – comme faisant explicitement partie des rapports sans grande valeur. La population civile est victime de paramilitaires armés qui se battent contre l’armée syrienne dans des zones résidentielles. Dans une interview, le général Leonid Ivachov, ancien chef d’état-major, assure que la Russie aidera à protéger l’Iran, la Syrie et le monde du fascisme américain. En soutien au gouvernement syrien, la Russie a envoyé d’importantes forces navales dans la région et la Chine a mis en garde contre des frappes visant la Syrie.

Il est vraiment paradoxal que les pays les moins aptes à dicter des principes de droits humains le fassent quasi librement sur la scène mondiale. Faisant allusion au veto sino-russe, Hillary Clinton a déclaré sans hésiter: «Ce qui s’est produit hier aux Nations Unies est une mascarade». Ensuite elle a demandé la formation d’une alliance internationale entre l’élite occidentale qui tire profit de la guerre et les monarchies absolues wahhabites du golfe Persique appelées de manière comique les «amis de la Syrie». Des appels internationaux demandant qu’on évite la violence n’ont guère influencé le GCC et ses mesures répressives brutales contre les chiites du Bahreïn. Chose incroyable, l’Arabie saoudite s’est engagée dans le dialogue sur la promotion des droits humains et de la démocratie. En effet, ce pays est peut-être la théocratie féodale la plus dure au monde, car elle interdit les partis politiques et les élections nationales et exécute les apostats de l’islam.

La chaîne iranienne Press TV a divulgué des informations sur les projets américains en Syrie. Le document appelle à reconnaître le Conseil national syrien comme le gouvernement légitime et accepté son installation en Turquie pour y travailler contre le régime d’el-Assad. Washington chargerait la Turquie d’envoyer des troupes en Syrie pour armer les forces d’opposition, qui seraient suivies par l’arrivée de combattants wahhabites et de mercenaires libyens. Fait inquiétant, le document précise qu’Israël entrera en jeu en effectuant des opérations militaires contre la Syrie. Si le régime ne s’écroule pas, les chaînes de télévision publiques syriennes seront démantelées et el-Assad sera assassiné. Etant donné la manière dont d’autres ennemis de l’Occident ont été traités récemment, la suite d’événements évoqués par Press TV ne surprendrait guère. Les wahhabites du golfe Persique sont des instruments de l’agression américaine dans leurs efforts pour dominer les factions religieuses chiites alaouites soutenues par la Syrie et l’Iran, mais aussi pour s’assurer une place en tant que puissance régionale.

Les affaires intérieures de la Syrie ont peu d’effets sur les puissances qui tentent de faire tomber el-Assad. La vraie priorité consiste à isoler davantage l’Iran en éliminant son allié chiite alaouite de Damas. Israël tirerait un énorme bénéfice du renversement du régime el-Assad puisque le Conseil national syrien promet de rompre les liens avec l’Iran et de mettre fin aux livraisons d’armes au Hezbollah et au Hamas. Si le gouvernement syrien tombait et que l’Iran soit directement menacé, le risque d’un conflit régional serait extrêmement sérieux au cas où la Chine et la Russie interviendraient pour défendre l’Iran. Un tel conflit aurait des conséquences préjudiciables à l’économie mondiale qui pourraient entraîner une crise financière hyper-inflationniste. William Hague et les financiers multimilliardaires qui soutiennent les groupes de la société civile qui accordent une légitimité aux acteurs violents de l’opposition ne sont pas les représentants légitimes du peuple syrien. Bien que les réformes aient été lentes, le gouvernement el-Assad est en passe d’élaborer un projet de nouvelle constitution. Le pouvoir syrien souverain a essuyé les critiques de puissances qui prétendent défendre le peuple syrien. Une tentative d’assassiner el-Assad pourrait avoir des conséquences semblables à celles de l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand. Comme le Conseil national syrien demande la création d’une zone d’interdiction aérienne sur la Syrie, les membres de la communauté internationale qui ont un reste d’honnêteté doivent agir avec diligence afin de désamorcer le conflit dans la région.

[www.mondialisation.ca]
c
14 mars 2012 05:23
le grand complot ourdi depuis l'amerique ou israel..... grinning smiley
vous en avez pas marre?
les choses sont pourtant simples: les peuples "arabes" se sont reveillés. ils n'acceptent plus l'autoritarisme et la tyrannie.
et bachar est un tyran de la pire espèce, tout comme l'etait son pére.
saluons plutôt le courage des syriens qui continuent de lutter malgré la répression féroce, les bombardements, les exécutions.

.
B
14 mars 2012 09:18
Citation
coldman a écrit:
le grand complot ourdi depuis l'amerique ou israel..... grinning smiley
vous en avez pas marre?
les choses sont pourtant simples: les peuples "arabes" se sont reveillés. ils n'acceptent plus l'autoritarisme et la tyrannie.
et bachar est un tyran de la pire espèce, tout comme l'etait son pére.
saluons plutôt le courage des syriens qui continuent de lutter malgré la répression féroce, les bombardements, les exécutions.

.

Qui parle de complot?
C'est un général américain ; Wesley Clark qui parle de la main mise des états unis.
Bush père et fils, sont les bienfaiteurs du monde, d'après Goldman.ptdr
c
14 mars 2012 11:59
mais les peuples arabes n'ont pas eu besoin de bush pére et fils pour se révolter contre le totalitarisme.
tout cela etait prévu par les sociologues et démographes depuis des années. population jeune + education + moyens de communication modernes + chomage et avenir bouché + dictature = printemps arabe.
sur quel facteur bush est intervenu d’après toi?
c'est comme le mur de berlin ou l'empire soviétique. on savait que cela allait craquer. mais la date, ce sont les peuples qui l’arrête.
B
14 mars 2012 14:05
Citation
coldman a écrit:
mais les peuples arabes n'ont pas eu besoin de bush pére et fils pour se révolter contre le totalitarisme.
tout cela etait prévu par les sociologues et démographes depuis des années. population jeune + education + moyens de communication modernes + chomage et avenir bouché + dictature = printemps arabe.
sur quel facteur bush est intervenu d’après toi?
c'est comme le mur de berlin ou l'empire soviétique. on savait que cela allait craquer. mais la date, ce sont les peuples qui l’arrête.

C'est un général, mis à la retraite, qui détaille les plans américains.

Pour l'implication des Bush père et fils, ta bêtise fait le reste, goldman
o
14 mars 2012 17:55
admettons que cette analyse soit vraie et que les occidentaux veulent la peau de Bachar, en verité c'est pas à cause de Bachar mais à cause de sa politique, d'alliance strategique avec l'Iran. Politique ou il a engagé son peuple sans son avis. à ses risques et perils. Il a bien été reçu à l'elysée, mais quand son peuple s'est soulevé les occidentaux ont en profité pour lui enfoncer le clou. Il aurait été intelligent, en enlevant l'etat d'urgence qui regnait depuis 1967 en permettant à son peuple de respirer un peu d'air de libetrté, en tenant compte de son voisinage du ccg hostile à l'Iran et plein de sou, en etant neutre comme la Jordanie ou à leurs coté, les occidentaux n'aurait pas trouvé de chemin pour l'atteindre.
Il a tout fait pour arriver à cette situation ou il y a plus de 8500 morts.
day qqar i lbazz ad izelle3 tadaout ness
S
14 mars 2012 19:17
Cool Cela n'a jamais été un complot contre le régime Syrien, les Assad père & fils et Cie ne sont que des dictateurs evil qui depuis des lustres règnent par la tyrannie et d'autres méfaits, le peuple de Syrie et ses leaders combattent ce régime depuis bien avant que n'arriviez au monde grinning smiley
Vivre sans entraves et mourir libre.....!
c
14 mars 2012 19:21
bachar etait pratique. deja pour israel. un tel epouvantail aux frontiéres permettait de justifier beaucoup de choses.
r
15 mars 2012 15:24
taisez vous mme clinton:

[stcom.net]
G
15 mars 2012 22:51
Salam,

Coldman
Les dictateurs de ces monarchies du pétrole, non élues, comme l’Arabie Saoudite et le Qatar, disaient qu’ils étaient prêts à fournir des armes aux rebelles « djihadistes » afin d’amener la démocratie en Syrie, alors qu’eux-mêmes la rejette avec force. tu trouves ça normal ? Maintenant, Si il y avait une volonté sincère d’aider ce pays, pourquoi laisser des monarques « illégitimes » dictateurs s'immiscer dans les affaires du peuple syrien ?
G
15 mars 2012 23:03
Citation
Bengi a écrit:
Citation
coldman a écrit:
le grand complot ourdi depuis l'amerique ou israel..... grinning smiley
vous en avez pas marre?
les choses sont pourtant simples: les peuples "arabes" se sont reveillés. ils n'acceptent plus l'autoritarisme et la tyrannie.
et bachar est un tyran de la pire espèce, tout comme l'etait son pére.
saluons plutôt le courage des syriens qui continuent de lutter malgré la répression féroce, les bombardements, les exécutions.

.

Qui parle de complot?
C'est un général américain ; Wesley Clark qui parle de la main mise des états unis.
Bush père et fils, sont les bienfaiteurs du monde, d'après Goldman.ptdr

Salam,

Quelle ingratitude ! Normalement, Nous devrions tous leur être reconnaissants ! ptdr
G
15 mars 2012 23:11
Citation
omar625 a écrit:
admettons que cette analyse soit vraie et que les occidentaux veulent la peau de Bachar, en verité c'est pas à cause de Bachar mais à cause de sa politique, d'alliance strategique avec l'Iran. Politique ou il a engagé son peuple sans son avis. à ses risques et perils. Il a bien été reçu à l'elysée, mais quand son peuple s'est soulevé les occidentaux ont en profité pour lui enfoncer le clou. Il aurait été intelligent, en enlevant l'etat d'urgence qui regnait depuis 1967 en permettant à son peuple de respirer un peu d'air de libetrté, en tenant compte de son voisinage du ccg hostile à l'Iran et plein de sou, en etant neutre comme la Jordanie ou à leurs coté, les occidentaux n'aurait pas trouvé de chemin pour l'atteindre.
Il a tout fait pour arriver à cette situation ou il y a plus de 8500 morts.
day qqar i lbazz ad izelle3 tadaout ness

Salam,

De toute façon, il était programmé out dans l'échiquier américain. C'est L’héritage de la politique de son père contre Tel Aviv qui en est la vraie cause.
G
15 mars 2012 23:26
Citation
Antar Ibn Chaddad a écrit:
Cool Cela n'a jamais été un complot contre le régime Syrien, les Assad père & fils et Cie ne sont que des dictateurs evil qui depuis des lustres règnent par la tyrannie et d'autres méfaits, le peuple de Syrie et ses leaders combattent ce régime depuis bien avant que n'arriviez au monde grinning smiley

Salam,

Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années. grinning smiley
Pourquoi combattre ce régime ? On sait d'avance quelle sera l'issue. La maison blanche et ses allies décideront du choix des futurs dictateurs. Et quoi qu'il fasse, le peuple syrien n’aura jamais son destin entre ses mains.
G
15 mars 2012 23:50
Citation
riad-al a écrit:
taisez vous mme clinton:

[stcom.net]

Salam,

Hillary Clinton a toujours été dans l’humanitaire, lors de sa course à l'investiture, elle avait menacé de rayer l’iran de la carte au cas où !

[www.lefigaro.fr]
B
16 mars 2012 17:07
Citation
Good Luck a écrit:
Citation
Antar Ibn Chaddad a écrit:
Cool Cela n'a jamais été un complot contre le régime Syrien, les Assad père & fils et Cie ne sont que des dictateurs evil qui depuis des lustres règnent par la tyrannie et d'autres méfaits, le peuple de Syrie et ses leaders combattent ce régime depuis bien avant que n'arriviez au monde grinning smiley

Salam,

Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années. grinning smiley
Pourquoi combattre ce régime ? On sait d'avance quelle sera l'issue. La maison blanche et ses allies décideront du choix des futurs dictateurs. Et quoi qu'il fasse, le peuple syrien n’aura jamais son destin entre ses mains.

Exactement.
Un général corrompu en egypte et un ancien procureur en lybie.
Le président du cnt lybien, ancien procureur, a condamné à mort les infirmières bulgares et un médecin palestinien.

Bientôt, certains vont comparer bush avec Ghandi ou Mandelaptdr
G
19 mars 2012 01:22
Citation
Bengi a écrit:
Citation
Good Luck a écrit:
Citation
Antar Ibn Chaddad a écrit:
Cool Cela n'a jamais été un complot contre le régime Syrien, les Assad père & fils et Cie ne sont que des dictateurs evil qui depuis des lustres règnent par la tyrannie et d'autres méfaits, le peuple de Syrie et ses leaders combattent ce régime depuis bien avant que n'arriviez au monde grinning smiley

Salam,

Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années. grinning smiley
Pourquoi combattre ce régime ? On sait d'avance quelle sera l'issue. La maison blanche et ses allies décideront du choix des futurs dictateurs. Et quoi qu'il fasse, le peuple syrien n’aura jamais son destin entre ses mains.

Exactement.
Un général corrompu en egypte et un ancien procureur en lybie.
Le président du cnt lybien, ancien procureur, a condamné à mort les infirmières bulgares et un médecin palestinien.

Bientôt, certains vont comparer bush avec Ghandi ou Mandelaptdr

Salam,

Bush aurait pu remporter le prix Nobel de la paix pour service rendu à la oumma .De cette démocratie, les irakiens n'ont eu droit qu'a la version d'importation, Celle du chaos. A l'avenir, pour qu'il n'y ait pas de malentendu, les occidentaux devraient nous expliquer leur définition du mot démocratie.perplexe


« Le président américain, George Bush, et le premier ministre britannique, Tony Blair, sont au nombre des candidats au prix Nobel de la paix 2004. Les deux dirigeants ont été proposés par le député norvégien Jan Simonsen, qui estime que les deux dirigeants doivent être récompensés pour avoir osé prendre la décision de lancer une guerre en Irak sans avoir le soutien de l'ONU. Selon lui, le renversement de Saddam Hussein a posé les fondations de la démocratie en Irak »

[www.radio-canada.ca]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/03/12 01:26 par Good Luck.
 
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