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penyair wanita a écrit:
Salam à toutes et à tous,
Je ne sais pas vraiment comment introduire le sujet mais j'essaierai d'être la plus sincère et fidèle possible.
J'ai eu une relation qui a duré deux années. Ce fut le premier et le seul homme que j'ai fréquenté jusqu'à aujourd'hui, soit à mes 25 ans. On a connu plusieurs difficultés qui m'ont amené à le quitter il y a 1 an et demi.
Diverses raisons m'ont poussé à m'éloigner de lui malgré tout l'amour que je lui portais. Nous avions deux caractères strictement opposés, lui d'ordinaire impulsif et intransigeant, moi plutôt calme et sereine. Je ne veux pas sombrer dans le cliché, mais je voulais une relation basée sur le dialogue, la complicité, la communication, ce qui n'était pas commun chez lui. Il était assez taciturne, contre le dialogue quand selon lui sa seule parole suffisait. Enfin, j'ai fait de longues études ce qu'il n'acceptait pas, et avait tendance à me rabaisser à ce sujet, peut-être était-ce dû au fait qu'il n'ait pas poursuivi ses études supérieures. Et honnêtement, cela m'importait guère qu'il n'ait pas étudié, pourvu qu'il se comporte bien avec moi.
A côté de cela, il était extrêmement généreux et protecteur. Peut-être ai-je tort, mais ces qualités ne m'ont pas permis d'occulter ses défauts. J'en ai aussi, bien évidemment, je ne lui jettes pas la pierre, car je l'estime et le respecte.
Le problème, c'est que je l'ai sincèrement aimé. Et après 1 an et demi, je n'arrive pas à l'oublier. Ce fut mon premier amour, et la douleur qui me traverse aujourd'hui, me fait regretter même de l'avoir connu. J'ai du mal à accepter de nouvelles rencontres auquel cas, je suis méfiante, inconstante et lâche .
Je me suis pour ainsi dire renfermée sur moi-même avec le regret non pas de l'avoir quitté (car je suis sûre que c'était la meilleure solution) mais de l'avoir aimé.
A toutes celles et tous ceux qui ont vécu cela, parvient-on à oublier celui ou celle qu'on a aimé la toute première fois ?
Parvient-on à dépasser le souvenir affectif ?
Merci de m'avoir lu, vous écrire fut en partie un soulagement...