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La démocratie marocaine a besoin des médias
t
3 novembre 2006 08:30
La démocratie marocaine a besoin des médias

02.11.2006 | 17h31

«Il faut passer de la presse de dénonciation à celle de révélation!», préconisait Jamal Eddine Naji, professeur à l’Institut de journalisme de Rabat, à l’issue de la conférence thématique «Médias et démocratie», organisée mardi 31 octobre 2006 à Casablanca par le collectif Démocratie et modernité. Mais avant cette conclusion, ce dernier, et son compagnon de route du jour, Abdelaziz Nouaydi, professeur de droits humain, se sont largement exprimés sur la relation existante entre média et démocratie.

Pour ce dernier, la question n’est pas de savoir si la libéralisation audiovisuelle a été «subie ou choisie». Le vrai défi résulte dans la capacité de l’Etat à disposer de programmes en adéquation avec les attentes du grand public. «Il s’agit d’attirer avant tout le téléspectateur /citoyen marocain. Est-ce le cas actuellement? Les récents résultats de mesures d’audience et l’appréciation de l’opinion publique confirment le contraire. Beaucoup d’effort reste donc à faire», dit-il.

Il ne fait pas de doute qu’avec la présence de centaines de chaînes étrangères, les Marocains délaissent les chaînes nationales.

Autre constat, si le Maroc a réformé son code de presse en 2002, il n’en reste pas moins que des problèmes persistent. Il fait allusion notamment à l’ambiguïté de la notion de bonne foi en matière de traitement journalistique de l’information et surtout des peines privatives de liberté. Cependant, la critique majeure repose sur «l’inexistence» d’une loi, selon le Pr Naji, dédiée au droit à l’accès à l’information. Un droit considéré comme un préalable démocratique par les démocraties les plus avancées. En fait, l’article premier du code de la presse consacre ce droit, mais il n’est pas appliqué.

En outre, selon les intervenants, la dualité démocratie et médias peut-être autant constructive que destructive. Dans le même ordre d’idée, le Pr Naji met le doigt dans la prise et évoque la pression silencieuse exercée sur les médias.

De plus, l’absence de proximité entre le traitement de l’information et le citoyen lamda se traduit par des phénomènes aussi divers que nombreux. «Je suis intimement convaincu que l’interdiction arbitraire d’un titre de presse ne conduirait pas la société à se mobiliser. D’autre part, le choix constitutionnel du régionalisme n’a pas été suivi par une couverture territoriale médiatique avec des grands quotidiens régionaux», poursuit Naji. Il illustre son propos en donnant l’exemple du Sahara où le régionalisme a été choisi comme mode de gouvernance

Si la critique constructive est partie intégrante du débat contradictoire, la définition du rôle du journaliste a donné lieu à des échanges lucratifs. En effet, Naji et Nouaydi ont défendu l’idée que le journaliste est aujourd’hui un acteur de la vie démocratique après en avoir été l’animateur durant de longues années. «Il influe sur la vie politique au travers de l’exercice de son activité».
Si les médias, en tant qu’institutions, se doivent de respecter la déontologie et la loi, il n’en reste pas moins qu’ils doivent repousser les lignes rouges artificielles, car l’enjeu est d’instaurer un véritable contre-pouvoir.

Accès aux médias
Le rôle des médias est d’offrir avant tout un espace d’expression pour les acteurs politiques. C’est le cas lorsqu’il s’agit des débats télévisés. Là aussi, les intervenants ont noté certains déficits, notamment le choix des invités, le temps de parole accordé à chacun, … Ce genre de pratique dénote d’une certaine frilosité dans l’émancipation d’une véritable culture démocratique. «L’occasion de rappeler que le pôle audiovisuel a derrière lui 50 années de bureaucratie», souligne le Pr Naji.

Faiçal Faquihi & Rachid Hallaouy
Source: L'Economiste
M
3 novembre 2006 22:50

Je trouve que ce sont plutôt les médias qui ont besoin de démocratie. Le pouvoir ne va pas faciliter la vie à ce contre-pouvoir.
J
3 novembre 2006 22:56
Quand est ce qu'il y eu une démocratie au Marco? C'est un pouvoir féodal, si on critique le roi, c''est l'équivalent de Tazmamart qui nous attend ou pire! Une presse vendue au makhzen et betises royales
z
3 novembre 2006 22:59
tres joli essai encore une fois, dis, Benchicou du coin d'ou tu viens, comment il va? smiling smiley


PS: Tazmamart ca va faire bientot 00 ans qu'elle a ete rasee, c'est a dire une decennie, et ca n'a jamais fait 100.000 morts et plus...

Citation
Jusquaubout a écrit:
Quand est ce qu'il y eu une démocratie au Marco? C'est un pouvoir féodal, si on critique le roi, c''est l'équivalent de Tazmamart qui nous attend ou pire! Une presse vendue au makhzen et betises royales



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/11/06 23:04 par zaki7.
c
3 novembre 2006 23:02
Citation
a écrit:
Jusquaubout
Quand est ce qu'il y eu une démocratie au Marco? C'est un pouvoir féodal, si on critique le roi, c''est l'équivalent de Tazmamart qui nous attend ou pire! Une presse vendue au makhzen et betises royales


Manifestement, y'a longtemps que tu n'as pas lu nos journaux, nos magazines étalent sans souci leurs critiques sur la monarchie ou mieux encore le budget de cette dernière, je n'ai pas vu les journalistes de TelQuel par exemple dans un bagne qui entre parenthèses n'existe plus.
Faudrait se mettre à jour, les années de plomb sont derrière nous.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/11/06 14:56 par chelhman.
J
3 novembre 2006 23:08
Montre moi un seul article ou on critique le roi. je te défie, y en a pas eu 1 smiling smiley Haha Un défi majeur
Et j ete mentrerai des centaines critiquant Bouteflika

Challenge number 1smiling smiley
c
3 novembre 2006 23:21
Jusquaubout, voilà cher voisin et encore ça m'a pris 3 mn, en cherchant bien tu aurais de la lecture pour 6 mois minimum.
Maintenant sors moi un article détaillant par exemple les frais d'hospitalisation de votre chef d'état en France au frais du contribuable algérien, alors que vous avez un réseau hospitalier public, mais apparemment pas assez bien pour lui.
Il y a un proverbe chez nous : "jbedtini jbedti al bla, c'est ce que tu viens de faire avec moismiling smiley


[www.telquel-online.com]

[www.telquel-online.com]

[www.telquel-online.com]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/11/06 23:23 par chelhman.
c
3 novembre 2006 23:28
Sur yabiladi j'ecris je critique chaque jour M6!!!!
Le probleme au maroc c'est que 90% des gens ne lisent pas le francais donc un article ecris en francais qui critique le roi passe innapercu!!!!

Il nous faut des articles en arab et quicritique le roi!!!

Citation
Jusquaubout a écrit:
Montre moi un seul article ou on critique le roi. je te défie, y en a pas eu 1 smiling smiley Haha Un défi majeur
Et j ete mentrerai des centaines critiquant Bouteflika

Challenge number 1smiling smiley
J
3 novembre 2006 23:38
Franchement, j'en vois aucun qui critique le roi directement

Mon défi reste toujours ouvert


Actualités : LE REGARD DE MOHAMED BENCHICOU
Le bunker virtuel de Bouteflika
[email protected]



Nos dirigeants sont de grands enfants. Ils adorent les contes fantasques dont ils sont les héros et détestent, cela va de soi, la réalité beaucoup moins douce qui leur rappelle les devoirs pas faits, les obligations pas toujours honorées ou pire, les échecs qu'on a voulu cacher mais que finit toujours par dévoiler ce maudit carnet de notes.
Alors, plutôt que de s'épuiser à compter ses incorrigibles défaillances, à mesurer ses modestes dimensions de cancre à l'échelle d'une planète trop rapide pour lui, plutôt que de se réveiller à l'océanique fossé qui le sépare de sa propre société, le pouvoir algérien a opté pour le plus mauvais choix, celui de prolonger le rêve. N'est-ce pas, après tout, une vieille recette éprouvée avec bonheur par tant de monarchies dans l'histoire et même, vous rétorquera-t-on, par de brillants esprits, comme Guy de Maupassant dont on sait qu'il a dit, parlant de l'Orient justement, que "la réalité implacable me conduirait au suicide si le rêve ne me permettait d'attendre" ? Et qui souhaiterait le suicide à nos gouvernants ? La meilleure façon de prolonger le rêve, même pour des dirigeants politiques, consiste, on l'a deviné, à se fabriquer un univers virtuel. Un monde enfin parfait, peuplé exclusivement de laudateurs, où personne ne vous juge, où l'échec est aboli, où vous ne comptabilisez que les succès et où l'on s'entend, la nuit, rougir de fierté. C'est ce monde irréel mais rassurant qu'a entrepris de s'offrir le pouvoir de Bouteflika. Tout s'y conquiert comme par enchantement, tout y devient victoire, même le plus fou fantasme politique. Dans ce bunker virtuel, le prix Nobel de la paix 2006 se met à la portée d'un homme dont le seul palmarès en la matière est d'avoir emprisonné sept journalistes et libéré cinq mille terroristes; l'islamisme armé, sommé de revenir à la raison avant le 28 août, acquiesce spontanément et déserte les maquis ; l'économie algérienne est tellement relancée qu'on en vient à refuser des visas aux investisseurs étrangers; le pacte social, sorti tout droit du génie de son concepteur, a radicalement mis fin au mécontentement syndical et l'Algérie devient ainsi le premier pays à avoir abrogé la grève de manière pacifique. Qui dit mieux ? N'essayez surtout pas de porter la contradiction à cette société chimérique, ni encore moins de la raisonner. Le bunker virtuel a ses codes d'accès, connu des seuls initiés et des gorilles vigilants empêchent toute fâcheuse information vraie venue de la réalité de contaminer l'atmosphère fictive qui y règne ou, pire, de se propager au sein de la population. C'est au brio de ces vigiles censeurs que le bunker doit d'avoir terrassé, la semaine dernière, deux nouvelles particulièrement déplaisantes pour la tranquillité mystique du souverain. La première, venue du Forum économique de Davos, c'est-à-dire d'une communauté très fiable, situe l'Algérie à la 76e place dans le classement mondial 2006 de la compétitivité de 125 pays, loin derrière le Maroc, la Tunisie, l'Egypte, l'Afrique du Sud, Bahrein, Quatar ou le Koweït. De quoi faire écrouler toute la légende du plan de relance économique ! La seconde information, tout aussi désagréable, est perfidement envoyée par une vénérable institution, la Banque mondiale en l'occurrence. Dans son rapport 2006 sur le climat des affaires dans le monde, la Banque place l'Algérie à la 169e place, c'est-à-dire derrière tout le monde ! Après sept ans et demi d'intenses consultations au plus haut niveau, le pouvoir de Bouteflika a finalement réalisé la tâche complexe de faire régresser le pays. Mais le bunker comme l'opinion publique ne sauront rien de ce regrettable carnet de notes. Le rideau sanitaire, animé par de compétents médias censeurs, les a préservés de cette double attaque virale. Car le bunker a ses propres journaux publics ou privés équipés de rédacteurs et d'ordinateurs, ses chaînes de télévision et de radio et même son agence de presse moderne, une noria médiatique imposante qui informe chaque jour le bon peuple, et le plus sérieusement du monde, des derniers délires à la mode au bunker. Ce travail ingrat, dont on ne souligne jamais assez la contribution à la mythologie algérienne contemporaine, fait appel aux plus récents procédés technologiques et se traduit, aussi grotesque que cela puisse paraître, par de vrais journaux télévisés, d'authentiques dépêches d'agence correctement siglées et de véritables éditoriaux que les auteurs, ajoutant au côté loufoque de la situation, semblent avoir rédigés avec une insoupçonnable gravité. Rapporter des hallucinations du palais n'a, cela dit, rien d'une sinécure. L'élucubration, à défaut d'être crédible, doit au moins paraître vraisemblable, avoir l'allure du "mensonge le plus détestable" qu'André Gide définit comme étant "celui qui se rapproche le plus de la vérité". Et qu'importe si l'opinion réplique par une moue entendue ou qu'elle réponde, dans cette bataille des faux semblants, par un autre mensonge, le "mensonge fructueux" dont Sacha Guitry dit qu'il "consiste à faire croire à quelqu'un qui vous ment qu'on le croit". Mais pour des raisons liées à une lucidité malvenue de la population, la confrérie des propagandistes n'arrive pas toujours à faire passer les vessies du bunker pour d'heureuses lanternes et s'expose, ce faisant, aux redoutables remontrances du maître. La dernière d'entre elles date de deux jours. Elle est tombée sur la tête de la confrérie bienveillante sous la forme d'une directive adressée à tous les directeurs des médias publics par Abdelaziz Bouteflika, et dans laquelle le président, de très mauvaise humeur, somme ses dociles subordonnés de se secouer et d'en finir avec "leurs méthodes et leur organisation de travail obsolètes et contre-productives." Les temps sont décidément durs pour tout le monde ! Nos amis vont devoir inventer des bonnes nouvelles dans ce climat morose. Fions-nous à leur instinct de survie : ils trouveront la formule. L'autre inconvénient avec le monde virtuel c'est qu'il fait chavirer les cerveaux les plus faibles. Ces âmes vulnérables, pour avoir approché de trop près la chimère et y avoir investi quelque secret espoir de promotion, se persuadent, mordicus, de son existence réelle et deviennent sujets à d'inquiétantes divagations. L'un de ces fragiles esprits s'appelle Mohamed Tchoulak. Il est haut responsable à la Centrale syndicale UGTA, proche du bunker, et se revendique lieutenant de Abdelmadjid Sidi-Saïd, ce qui fait de lui un de ces habiles syndicalistes lâchés par ses apôtres mais judicieusement accrochés à la barbichette du messie. Réagissant à l'annonce de la prochaine grève des P et T prévue pour le 14 octobre, M. Tchoulak s'en indigne avec sincérité et rappelle, sans rire, que "personne n'a le droit de faire la grève après la signature du pacte social". Succomber à ce point à la virtualité est une performance émouvante mais dommageable pour les neurones. Voilà ce que coûte de n'avoir jamais manipulé une Nintendo !
M. B.


T'en veux un autre?
J
3 novembre 2006 23:41
Je lis l'arabe, montre le moi en arabe alorswinking smiley
c
4 novembre 2006 00:03
Citation
a écrit:
Jusquaubout
T'en veux un autre?

Contrairement à toi visiblement, je n'ai pas pour obsession de semer la zizanie entre les Algériens sur leurs fora, donc tu peux garder tes articles. Mais la prochaine fois que tu veux balancer une pseudo-info, vérifie tes sources, il y a longtemps qu'on a lâché la bride à la presse marocaine. Si retenue il y a, c'est surtout par un vieux réflexe, mais je n'ai pas connaissance d'un journaliste ayant été engeôlé pour avoir critiqué la monarchie.
J
4 novembre 2006 00:06
Mon défi est toujours ouvert. Montre moi un seul article qui critique ton roi ou chut up
s
4 novembre 2006 00:09
tu as assez récréatif tu sais!

Citation
Jusquaubout a écrit:
Je lis l'arabe, montre le moi en arabe alorswinking smiley
c
4 novembre 2006 00:17
Citation
a écrit:
Jusquaubout
Mon défi est toujours ouvert. Montre moi un seul article qui critique ton roi ou chut up

Tu as un article dans la liste qui touche au nerf de la guerre, le holding ONA qui est le joyau de la monarchie, étaler ça dans la presse et critiquer son pouvoir tentaculaire, je ne vois pas ce qu'on pourrait faire de mieux.
Maintenant, si c'est un article d'insultes que tu cherches, on mange pas de ce pain-là. Au Maroc, le bas de gamme, c'est pas notre rayon.
J
4 novembre 2006 08:42
Je voudrais pas vous dire qu'ils faut être violants pour être démocrates. Seulement pour répondre à certains prétentieux comme quoi il y a une liberté de presse au Maroc à l'instar de l'Algérie et j'avoue qu'on a encore un chemin long à parcourir.

Il y a eu de la propagande au Maroc pour discréditer l'Algérie et ses acquis depuis l'époque de H2. La propagande de Boumediene n'avait pas un impact fort sur la population algérienne comme c'était celle émise par le makhzen corrompu.

La différence entre les deux sociétés, c'est que on est aguéris aux secousses et rien ne peut nous arrêter de suivre le chemin voulou par le peuple algérien courageux.

Je dis courageux, car le terrorisme wahabite barbare n'a pas pu détruire la volonté de ce peuple debout.

Tahya Eljazair
4 novembre 2006 11:13
Citation
Jusquaubout a écrit:
Je voudrais pas vous dire qu'ils faut être violants pour être démocrates. Seulement pour répondre à certains prétentieux comme quoi il y a une liberté de presse au Maroc à l'instar de l'Algérie et j'avoue qu'on a encore un chemin long à parcourir.

Il y a eu de la propagande au Maroc pour discréditer l'Algérie et ses acquis depuis l'époque de H2. La propagande de Boumediene n'avait pas un impact fort sur la population algérienne comme c'était celle émise par le makhzen corrompu.

La différence entre les deux sociétés, c'est que on est aguéris aux secousses et rien ne peut nous arrêter de suivre le chemin voulou par le peuple algérien courageux.

Je dis courageux, car le terrorisme wahabite barbare n'a pas pu détruire la volonté de ce peuple debout.

Tahya Eljazair



Discours typiquement psychotique, complètement déconnecté de la réalité. Tellement typique qu’il pourrait constituer un cas d'école
"Avec un H majuscule"
4 novembre 2006 11:14
Citation
chelhman a écrit:
sur leurs fora

Très fort ! winking smiley
"Avec un H majuscule"
c
4 novembre 2006 15:26
Citation
a écrit:
Jusquaubout
Il y a eu de la propagande au Maroc pour discréditer l'Algérie et ses acquis depuis l'époque de H2. La propagande de Boumediene n'avait pas un impact fort sur la population algérienne comme c'était celle émise par le makhzen corrompu.


Tu nous sous-estimes et tu fais preuve d'une méconnaissance flagrante des Marocains, on sait faire la part des choses. Quand un article du Matin est élogieux à outrance, ce n'est si pas si différent d'un article du Figaro qui fait de la lèche à Sarkozy, c'est simplement la tendance politique d'un journal, il y a une différence entre la propagande soumise à sanction si elle n'est pas suivie et le zèle journalistique.
Ta démarche est de rester figé à une époque révolue (l'ère H2) et de continuer à analyser sur base de paramètres vieux de 15 ans.


La presse marocaine reflète le spectre d'opinions des Marocains, ça va du journal qui voit dans un festival de musique un sommet de l'homosexualité (certains s'en souviendrontwinking smiley) jusqu'à un journal francophone qui brocarde la dichotomie en matière de moeurs de la société marocaine.
Si ton but est de venir discuter en bon voisinage avec des Marocains, mar7babik.
En revanche, si tu veux juste semer la zizanie, tu t'y prends comme un manche, relis "L'art de la Guerre", on étudie à fond le champ de bataille avant de se lancer.

De toute façon, comme tous les peuples du monde, dès qu'on se sent attaqués, ça nous fédère, donc tu perds un peu ton temps.
Viens plutôt boire le thé avec nous, on est connus pour être hospitalierssmiling smiley
s
4 novembre 2006 16:15
salam


lolololololoooooooolll


tant qu'y aura une monarchie il peut pas y avoir de démocratie...............c'est tout, faut pas se leurrer


salam
4 novembre 2006 16:28
Ah bon ?

Vas dire ça à la Grande Bretagne, l'Espagne, la Hollande, la Belgique, la Norvège, le Danemark, la Suède etc.

(tm)
"Avec un H majuscule"
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