Déliquescence d¹un centre commercial : Chaos au «Centre 2000»
L¹activité stagne au centre 2000 de Casablanca. Parmi les causes de cette situation, des SDF, des mendiants et des malfaiteurs qui y trouvent refuge. Ils dérangent les visiteurs du centre commercial et les voyageurs qui transitent par Casa-port. Ces derniers se sentent même de plus en plus menacés dans leur sécurité physique et matérielle. Entre la gare de Casa-port et l¹entrée du centre 2000, le va-et-vient bat son plein sur un petit espace partagé entre les voitures personnelles, les petits-taxis, des enfants de la rue, des cireurs, des mendiants, des vendeurs de cigarettes au détail, des marchands ambulants, des chauffeurs de taxis agressifs, outre, bien entendu, des personnes qui font la navette entre les deux capitales et les visiteurs du centre commercial, devenus de plus en plus rares. Chaque fois que le train arrive, c¹est la débandade totale au sein de la gare et dans ses parages. Les conducteurs de taxis rouges qui racolent les clients, les mendiants qui quémandent, les cireurs qui tapent sur leurs boîtes pour attirer l¹attention des passants sur leurs services et des enfants de la rue qui sniffent la colle au coin en plus des malfaiteurs qui profitent de ce chaos pour commettre leurs forfaits. Un spectacle hallucinant qui interpelle à plus d¹un titre. Le comble est qu¹on est dans une zone au centre de la capitale économique et à l¹entrée d¹un groupement de commerces de luxe et de restaurants, le centre 2000. Tout ce beau monde, qui provoque un grand dérangement pour les personnes de la navette et les visiteurs du centre commercial, se disperse dans les «ruches» du centre 2000 et y trouve refuge. L¹absence des éléments de la police sur les lieux, même si le poste est installé dans l¹enceinte du centre commercial, favorise cette atmosphère qui commence à inquiéter sérieusement les commerçants du centre. Pendant les après-midi, au-delà de seize heures, les différentes rues du centre commercial sont désertes. Dans les magasins, des produits de luxe se trouvent ainsi exposés. Les clients potentiels se font rares, mais pas les enfants de la rue, les mendiants et les malfaiteurs qui sont devenus maîtres des lieux. Entre 18 et 20 heures, une autre population arrive sur les lieux pour compléter le spectacle. Il s¹agit d¹adolescents qui s¹adonnent à la drogue, mais dans des coins bien privilégiés, comme les salles de jeux ou, plus tard, dans les boîtes de nuit. Cet état de choses s¹est répercuté négativement sur les activités commerciales dans le centre. Dans le temps, le centre 2000 était la destination privilégiée d¹une classe casablancaise, et ses restaurants étaient étaient très prisés par les hommes d¹affaires. Le chiffre 2000, avant le bug 2000, était sur toutes les lèvres. De même, le centre 2000 était aussi un lieu de commerce de luxe et de rendez-vous par excellence. Aujourd¹hui, c¹est la stagnation totale. Jusqu¹à quand ?
c un article cooon ecrit par un journaliste encore plus cooon les vendeurs de cigarettes les ptis taxis les cireurs de chaussures il faut les jeter a l'ocean en gros ce qu'il propose ce pitre de journaliste parcequ'il altere la beauté de notre si beau pays le plus beau le plus merveilleux ou tout va a merveille
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