Enfin les maughrebins ne portent plus la torche Olympique de ce jeu . Il parait qu'elle est dans la main des roumains cette fois-ci , d'apres les statistiques .
La délinquance roumaine se fait plus agressive
Mots clés : DELINQUANCE, VOL, AGRESSIONS
Par Jean-Marc Leclerc 22/07/2011 | Mise à jour : 20:38 Réactions (202) Les annonces sur les risques de vols dans les transports se multiplient. (Crédits photo: LE FIGARO) Elle a littéralement explosé dans les grandes villes, diversifiant ses activités et devenant plus violente.
De Paris à Marseille, la «délinquance roumaine» donne du fil à retordre aux autorités. Dans la capitale, un rapport de la police d'agglomération révèle qu'elle a augmenté de plus de 72% au premier semestre 2011, la police ayant mis en cause 5.860 ressortissants de ce pays, de janvier à juin, contre 3.294 sur les six premiers mois de 2010. Cette délinquance, souvent très jeune, frappe tous azimuts, du vol de portefeuille aux escroqueries à la charité, en passant par les vols d'espèces au préjudice des personnes âgées qui utilisent des distributeurs de billets. Depuis peu, elle a jeté son dévolu sur les téléphones mobiles, imprudemment posés sur les tables, aux terrasses des bistrots, tandis que se développent les vols de cuivre, dont les cours s'envolent sur les marchés (lire ci-dessous).
Le rapport remis au préfet de police de Paris, Michel Gaudin, met l'accent sur la diversification des activités illicites de ces voyous ou graines de voyous hyperactifs, parfaitement encadrés par leurs aînés. Il cite notamment le cas d'une famille qui fait venir des «petites mains» de Roumanie, moyennant 100 euros par personne, pour mendier ou voler. Des enfants, pour la plupart, qui sont autant auteurs que victimes, le réseau qui les exploite se chargeant de les punir s'ils ne donnent pas satisfaction.
De toute part, les préfets font remonter des notes au ministre de l'Intérieur sur l'aggravation du phénomène, sur fond d'immigration illégale notamment à Lyon, Lille et Marseille, qui a vu s'installer jusqu'à 1.500 «Roumains», ces derniers mois, surtout du côté de la porte d'Aix. À croire que ces événements traduisent l'arrivée d'une «seconde vague», un an tout juste après la grande opération contre les campements de la délinquance itinérante lancée par Brice Hortefeux, dans la foulée du discours de Grenoble.
130 mineurs identifiés À Paris, il suffit de traverser les quartiers à affluence touristique pour constater le changement de climat. Par grappes, filles ou garçons, ils se déploient autour des grands magasins et des sites historiques, les uns semblant guetter leur proie, les autres sillonnant la foule en tous sens, comme des volées de moineaux, se hélant d'un trottoir à l'autre, tour à tour souriants et provocateurs. «Certains ont été interpellés 20, 30, voire 50 fois en flagrant délit», déplore le commissaire divisionnaire Gilles Beretti, mobilisé à temps plein sur cette population bien spécifique.
«Nous multiplions les alertes sur les risques de vols de mobiles aux terrasses des cafés ou aux distributeurs automatiques de billets», assure le préfet Gaudin. Toute la difficulté est d'identifier ces gamins qui ne révèlent jamais leur nom véritable ni leur âge, une fois arrêtés. D'où l'implantation à la préfecture d'une équipe de huit policiers roumains pour aider la police française. «Ils ont déjà permis, en quelques semaines, l'identification de 130 mineurs, dont beaucoup de filles, qui échappaient jusqu'alors à toute poursuite effective», se félicite Michel Gaudin.
Le commissaire Beretti s'inquiète cependant d'une nouveauté dans le comportement de ces très jeunes voyous: «Comme ils se savent protégés par les lois sur les mineurs, explique-t-il, à force d'impunité, ils développent des comportements agressifs, n'hésitant plus à jeter une grand-mère à terre pour quelques euros, ni même à frapper les policiers qui les arrêtent.»
La justice peine à les dissuader de récidiver. Placés en foyer, ces gosses s'échappent au bout de quelques heures. Ils ne peuvent légalement rester avec leurs parents plus de trois mois en France. Mais, en 2014, la Roumanie sera membre à part entière de l'Union européenne. La coopération judiciaire avec Bucarest est devenue indispensable. Source : Figaro
Il y a bientôt 20 ans qu'en Suisse, surtout à Genève, on connait la criminalité des mineurs gitans et des mineurs roumains. La criminalité des Maghrébins, c'est plus récent.
Il s'agit presque exclusivement de criminalité transfrontalière. À Genève, "transfrontalière" signifie: Depuis la France. Il y a donc 20 ans que le problème existe en France, quand Mitterrand régnait sur la France. L'auteur de l'article a donc 20 ans de retard.
La criminalité des Gitans, Roumains ou pas, est en train de provoquer l'augmentation massive des effectifs de police et le renforcement de l'effectif des chiens de pistage (car les criminels abandonnent souvent les véhicules et se font récupérer par des voitures-balai).
La criminalité "maghrébine" est nettement plus crapuleuse et grave: Il y a des holdups avec des armes de guerre.
Il n'y a rien d'étonnant à ça: Ces criminels (qui ne sont pas que maghrébins) proviennent de parties du territoire qui sont en guerre ouverte contre l'État français. Actuellement, les Bisounours qui sont au pouvoir en France cherchent à résoudre le problème avec des méthodes policières. Il est évident que ça ne peut fonctionner, puisqu'il s'agit d'une guerre et que la guerre doit être conduite par des militaires. D'ici à ce qu'ils s'en rendent compte, nous serons en 2040.
Dans l'intervalle, les criminels armés français risquent de se rendre compte qu'en Suisse ils ne sont pas en France et que les polices suisses ont le droit de tirer. (la même chose est valable en Allemagne)
Concernant l'âge: Les "mineurs" dont on ne peut déterminer l'âge sont confiés à des spécialistes qui contrôlent certains aspects du développement de leur ossature etc, ce qui permet de savoir à quel point de sa croissance est un individu.
Modifié 2 fois. Dernière modification le 24/07/11 14:04 par Unesuggestion.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt.
Les chiens aboient, la caravane passe.
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