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Le Dajjal est déjà la
h
26 mars 2010 17:10
Salam alaikoum cher frère Med7600, et merci.

Pour ta question, tu pourras m'envoyer un message privé et je te répondrai par email, comme je l"ai déjà fait avec d'autres.
F
26 mars 2010 19:05
Dieu est Grand !

Il y a des signes pour ceux qui savent voire !

Il faut décortiquer, les mécanismes qui permettent d'aveugler, donc empêchent justement les gens de voire !

(Petite parenthèse : c'est important l'éthimologie des mots. Par exemple : "occulte", ça vient du mot oeil en latin, et ça veut dire un truc comme "supprimer la vue, ou empêcher l'oeil de voire, ou quelque chose" comme ça.)

Tout cela pour en arriver à ces mécanismes d'aveuglement dont dejjal va se servir pour nous empêcher de voire :

- outre la violence (pas très efficace comme procédé !),
- l'hypnose individuelle ou collective, très dangereux comme procédé ! : en langage clair : les messages subliminaux, l'appropriation total des médias par un petit groupe = manipulation = magie (cherchez l'éthimologie du mot magie, ça risque d'être interéssant), et leur matraquage continuel. Je ne sais plus qui a dit : si vous répétez continuellement et constamment le même mensonge, il deviendra vrai (enfin je ne me souviens plus, mais c'était quelque chose comme cela) !

Bref ! En gros les techniques de l'occultisme, appliquées à grande échelle !

Est-ce là un des signes de la présence de dejjal, là je me tourne vers les spécialistes ?
h
26 mars 2010 20:13
Salam Freesbee

Je ne pense pas que tu aies bien saisi l'identité d'Addajjal, vu ta dernière question! Depuis le début, je m'efforce à démontrer qu'il est déjà parmi nous et qu'il est personnifié par le pouvoir américain et non pas par quelque chose d'abstrait. On ne peut pas être plus clair. Essaye de revoir le forum dès le début et tu comprendras mieux.
Les messages subliminaux sont propres à la Bête, qui est l'outil de l'Antéchrist pour séduire les gens.
h
26 mars 2010 20:23
Tiré de mon manuscrit: "L'Antéchrist est parmi nous":

(Cool Parjure

« A beau mentir qui vient de loin. »


Le « mensonge politique » tend contre vents et marées à la manipulation des masses, en vue de leur faire passer sa pilule du « tout sécuritaire » sur le « tout paisible », en attisant la haine envers le rival. C’est une tentative de démonstration illusoire et « pyrotechnique » de la méchanceté de l’adversaire et par voie de conséquence de la bonne action de soi-même, de l’ami et de l’acolyte, même si elle est délibérément criminelle. Le « mensonge » est une autosuggestion d’être sur la bonne voie, alors qu’il n’est, après tout, qu’un semblant de vérité, car celle-ci se brade moins bien que l’erreur, dut-elle être limpide dans les relations sociales et internationales. A la mi-février 1991, alors que les bombardiers occidentaux faisaient des ravages parmi la population civile irakienne, « l’Imposteur » prétendait, après son entretien avec les ministres de la guerre français et britannique, que les civils n’étaient pas bombardés intentionnellement. « Ce n’est pas vrai, nous faisons ce qui est bien », avait-il déclaré ! Justification déjà entendue en d’autres temps et d’autres lieux, sans nul remord ni repentir, et fièrement arborée par-dessus tout au nom de la civilisation. Amnésie du crime : n’est-ce pas Hiroshima, n’est-ce pas Nagasaki ? ! « Al-Amiriya » était peut-être une erreur et Falloudja ? Une autre erreur ? Et l’embargo qui a duré plusieurs années, était-il destiné à faire chuter le régime ou abattre le peuple et le régime et s’accaparer du pétrole? L’avion civil iranien, abattu dans les années quatre-vingt, avec plus de 200 de ses passagers : probablement une méprise, ou un mépris ! Et le meurtre de l’enfant adoptif du leader libyen en 1986 : une bavure….non préméditée ! L’allié israélien peut assassiner des fidèles pacifiques en génuflexion dans les sanctuaires, bombarder sans distinction des populations civiles et les massacrer en masse, casser les os des jeunes palestiniens devant les caméras du monde entier, ce sera toujours un « ami démocrate », et d’ailleurs ces « Arabes terroristes » l’ont si bien mérité et par ailleurs la folie, l’étourderie ou la « légitime défense » sont les seules responsables, car elles sont intangibles et ne peuvent donc répondre aux accusations ni traînées devant un tribunal pénal, le cas échéant. Et de bourde en bévue et de bévue en droit de riposte, la frontière entre la vérité et le mensonge, comme entre le bien et le mal, se rétrécit telle une peau de chagrin pour disparaître, en fin de compte, dans l’illusion collective. On peut alors s’amuser à marcher et à sauter par ci et par là, sur une corde raide, dans un mouvement spontané, alternatif et perpétuel, sans se soucier, mais beaucoup plus vers le mal que vers le bien. Amnésie du mal jusqu’à quand tu les tiens !

L’Imam Abou Ha’mad El Ghazali a indiqué dans l’un de ses opuscules soufis que la vérité est :
- Une vérité dans la parole ;
- Une vérité dans l’intention ;
- Une vérité dans la volonté ;
- Une vérité dans la décision ;
- Une vérité dans la loyauté envers l’arrêt ;
- Une vérité dans la pratique (ou l’action).
Or le contraire de cette « vérité cardinale » n’est, par voie de conséquence, qu’« imposture globale. »
h
26 mars 2010 20:28
Le Messager de Dieu (slps) a dit :
« Auprès de l’Heure (de la fin du monde), il y aura le salut qui sera destiné aux seuls intimes, l’expansion du commerce, à tel point que la femme délègue son mari sur le commerce, la rupture des liens de parenté, le « faux-témoignage », la « dissimulation du témoignage de la vérité » et l’apparition de la flèche divinatoire. »

"Èóíúäó íóÏóíú ÇáÓøóÇÚóÉö ÊóÓúáöíãó ÇáúÎóÇÕøóÉö æóÝõÔõæøó ÇáÊøöÌóÇÑóÉö ÍóÊøóì ÊõÚöíäó ÇáúãóÑúÃóÉõ ÒóæúÌóåóÇ Úóáóì ÇáÊøöÌóÇÑóÉö æóÞóØúÚó ÇáúÃóÑúÍóÇãö æóÔóåóÇÏóÉó ÇáÒøõæÑö æóßöÊúãóÇäó ÔóåóÇÏóÉö ÇáúÍóÞøö æóÙõåõæÑó ÇáúÞóáóã."

Úä ØÇÑÞ ÑæÇå ÃÍãÏ (3676)



Prenons comme exemple et échantillon ce qui a été rapporté par l’A.F.P. : « Un commerce peu avouable fleurit dans les cafés (égyptiens) entourant les tribunaux : celui des « faux-témoins » prêts à parler devant les juges en faveur de qui voudra bien leur donner la pièce (…) dans de petites affaires, notamment des litiges conjugaux (…), selon un professeur de droit de l’université du Caire, Ahmed Saleh (…) Le prix du (faux-)témoignage se négocie âprement avec les avocats et varie entre 20 Livres égyptiennes (environ 6 dollars) et plus de 200 Livres (60 dollars), selon l’importance de l’affaire (…) « Avant d’apprendre par cœur un témoignage, je tiens à bien comprendre de l’avocat les tenants et les aboutissants de l’affaire pour être prêt à toute question du juge », confie un « faux-témoin » qui refuse d’être identifié (…) Certains en font leur « unique gagne-pain », d’autres en tirent des revenus complémentaires (…) »



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/03/10 20:30 par hamid2660.
h
26 mars 2010 20:32
« Dissimulation gate »

« N’enveloppent-ils pas leurs cœurs d’un double repli pour cacher leurs desseins ? »
Coran (XI :5)


"ÃáÇ Åäåã íÓÊËäæä ÕÏæÑåã áíÓÊÎÝæÇ ãäå.........."(5)
ÓæÑÉ åæÏ


En revenant au phénomène du « mensonge » et à sa sœur jumelle l’ « imposture », il convient de signaler qu’ils ont été fixés par les témoignages accablants de journalistes et autres observateurs honnêtes ayant dénoncé sans ambages les basses combines qui ont jalonné les fameuses séries de « Gates » : affaires plus ou moins louches et hypocrites, parées de tous les vices du monde. Mais dans l’affaire du Golfe, c’était la consécration de l’ignominie humaine, notamment en matière de contre-vérité, de simulation et de « dissimulation. » Du « Watergate » au « Monica-gate » en passant par l’ « Irangate », le « travell-gate », le « White-water » et d’autres scandales moralo-politico-financiers, « Washington » ne finira jamais de nous stupéfier, et comment ! Chaque nouveau locataire de la Maison-Blanche se permet de critiquer le bilan, comme la moralité de ses prédécesseurs, pendant la compagne électorale en règle générale, mais aussitôt installé, qu’il oublie vite leurs déboires et ses devoirs envers ses administrés. Comme pris d’une amnésie chronique ou un aveuglément sensitif et éthique, celui recommence, à sa manière, les mêmes erreurs de ses précurseurs, en pensant bien qu’il est habile, cette fois-ci pour ne pas tomber dans les mailles du filet de la justice. Qui ne se rappelle pas l’affaire du « Watergate » qui a défrayé les chroniques des années soixante-dix. Cette intrigue s’amorce dans la nuit du 17 juin 1972, lorsque des inconnus forcent la porte du « Watergate » : siège du parti d’opposition démocrate, à la recherche de documents confidentiels. Deux années plus tard, soit le 8 août 1974, Richard Nixon, acculé de toutes parts à cause de cette affaire de cambriolage, annonce sa démission. Entre-temps les citoyens américains auront appris, non sans répugnance, les rebondissements de cet esclandre, selon lequel leur « honorable président » a fait espionner ses adversaires politiques et a été l’instigateur de plusieurs tentatives pour étouffer l’affaire et la dissimuler au Congrès comme à l’opinion publique. La vérité a éclaté en mars 1973, grâce aux révélations fracassantes de John Dean, conseiller juridique à la Maison-Blanche qui a été le premier à mettre en cause la crédibilité du président. Deux journalistes du « Washington-Post », Carl Bernstein et Bob Woodward profitent de cette fuite en contribuant à posteriori, à une large médiatisation du scandale. Leur informateur était un haut-responsable de l’Administration (anonyme à ce jour), surnommé « Deep Throat » ou « gorge profonde » par les mass-médias. L’instruction judiciaire s’accélère, les révélations accablantes contre Nixon et la Maison-Blanche s’accumulent. Mais le président de la toute-puissante Amérique s’entête, malgré tout, à nier les faits, bien que les preuves indéniables recueillies par les enquêteurs prouvaient alors son implication dans ce délit majeur qu’est la « dissimulation de la vérité. » Il était devenu normal que le président mentait pour sauver la face. Le Sénat avait mis alors une commission d’enquête, pourvue de tous les droits pour déterminer ce que savait le président et quand est-ce qu’il l’avait su ? Il n’était donc plus question de « est-ce qu’il savait ou pas » ?
h
26 mars 2010 20:34
Fin juillet 1974, la commission judiciaire de la chambre des représentants recommande la « mise en accusation » (Impeachment) de Richard Nixon, accusé d’obstruction à la justice, d’abus de pouvoir- notamment auprès du F.B.I., de la C.I.A. et de l’Administration fiscale- et d’injure au Congrès. Le 4 août, de nouvelles révélations viennent enfoncer le clou, il s’agissait d’enregistrements secrets de ses propres conversations ; celles-ci sont rendues publiques, prouvant son implication effective dans l’affaire et démentant ses démentis. Dans la soirée du 8 août, richard Nixon, 37eme président des Etats-Unis d’Amérique, annonce sa démission dans un discours télévisé de 16 mn : « Je n’ai jamais été quelqu’un qui abandonne facilement. Mais en tant que président, je dois d’abord penser à l’intérêt de l’Amérique. » Intérêts dissimulés, devait-il penser tout haut.

« Le nom de l’hôtel « Watergate », à Washington, est devenu le symbole du plus important scandale politique intérieur de l’histoire américaine de l’après-guerre, « scandale » qui a débuté par une tentative de pénétrer dans l’Etat-major du parti démocrate, siégeant dans cet hôtel, et qui a débouché sur la démission du président républicain richard Nixon, en dépit de sa victoire impressionnante aux précédentes élections. Le Watergate a plongé les milieux politiques américains dans un profond état de choc. Une tentative délibérée de tromper et dissimuler des faits, mise en évidence au cours de l’enquête, a décidé du sort du chef de l’Etat. « Richard Nixon, président des Etats-Unis, en violant la constitution et les lois des Etats-Unis, a fait lui-même et autorisé d’autres à faire des déclarations malhonnêtes (et donc mensongères) et induisant en erreur (et donc trompant) le Congrès des Etats-Unis, les représentants officiels du pouvoir exécutif et le peuple des Etats-Unis. » C’est une citation de l’impeachment formulé par la commission juridique de la chambre des représentants et qui aurait été présenté au président Nixon si ce dernier n’avait pas donné sa démission.
Il n’est guère possible d’établir qui a été le premier à baptiser d’Irangate, par analogie avec le Watergate, l’affaire des ventes d’armes à l’Iran. C’est d’ailleurs sans importance. L’analogie des deux « scandales politiques » est mêlée à des activités illégales. Dans les deux cas également, le chef de l’Administration a tenté de « dissimuler » son véritable rôle dans l’affaire, en dépit des révélations qui l’avaient mis au pied du mur. Les deux présidents ont manœuvré, ergoté, rejeté la responsabilité sur leurs subordonnés ; tous les deux ont menti à l’opinion publique, à la presse, au Congrès. Reagan n’a pas cru nécessaire de suivre le conseil de son prédécesseur malchanceux mais instruit par son expérience récente. Il se pouvait bien qu’il demeurât fasciné par les résultats des sondages qui, récemment encore, faisaient de Ronald Reagan le président le plus populaire de l’après-guerre et peut-être même du siècle. Quoi qu’il en fût, Reagan a renoncé sciemment à la possibilité de faire amende honorable pour essayer, en exploitant à fond sa popularité, de faire avaler au peuple américain encore une pilule, et d’empêcher ainsi le « scandale » de faire tâche d’huile. Au lieu de cela, il commence par nier en bloc l’existence de toute opération secrète. Les premières communications sur les ventes d’armes à l’Iran ont été taxées par le président de « jacasseries qui nous viennent du Moyen-Orient. » Cependant, les journalistes vétilleux révélaient chaque jour de nouveaux détails de l’affaire, à la lumière desquels l’attitude adoptée par le président dès le départ devenait de plus en plus douteuse. Même les plus naïfs se prenaient à penser que Reagan avait peur de dire la vérité ou qu’il la cachait volontairement. On en venait à des conclusions peu flatteuses pour le président. La crise de confiance envers le pouvoir exécutif était le leitmotiv des appréciations des personnalités politiques, surtout au début du « scandale. » Les représentants des deux partis sont très rapidement parvenus à la conviction que Reagan avait fait la plus grande gaffe dans le domaine de la politique tant extérieure qu’extérieure de ses six ans de pouvoir.
h
26 mars 2010 20:34
« Il n’y a plus de confiance et guère d’espoir qu’elle se rétablisse sous l’actuelle Administration », a déclaré Lawrence Eagleburger, ex-secrétaire d’Etat adjoint. De l’avis du sénateur Dale Bumpers, « le crédit du président, de la présidence elle-même est miné. » Pour le sénateur John Exon, toute cette affaire est devenue un « modèle d’hypocrisie. » En résumant la situation, le démocrate Thomas O’Neil, en prenant sa retraite du poste de speaker de la chambre des représentants, a dit sans ambages : « C’est une tragédie pour tout le pays lorsque le crédit du président est miné à tel point qu’il n’est plus à même de conduire efficacement la politique intérieure et extérieure. » La réaction de la presse a été encore plus violente. « La perte de crédit du président est peut-être le résultat le plus important et le plus alarmant de la crise actuelle de la Maison-Blanche », écrivait Jacob Lamar dans le Magazine « Time » (..)

L’Irangate n’est nullement un phénomène isolé. De toute façon, on aurait tort de le considérer comme une erreur passagère, comme un accident de parcours de l’Administration américaine. Il s’agit d’un phénomène qui focalise logiquement la politique aventurière que les Etats-Unis pratiquent sur la scène mondiale. Dans l’affaire des livraisons d’armes à l’Iran se sont manifestés, sous une forme concentrée, le « cynisme » et l’absence de principes de l’actuelle Administration dans sa politique extérieure, l’hypocrisie et le mensonge délibéré dans sa politique intérieure (..) L’Irangate est une concrétisation de la ligne impérialiste de Reagan en politique extérieure. La doctrine de « néo-globalisme » traduite dans la vie passe par le mépris de toutes les normes, de tous les principes des rapports civilisés entre les Etats souverains. Il va de soi que le tout se réclamait de la « défense de la démocratie », avant tout la défense américaine des « valeurs morales » de l’Occident (..) Les voix d’Outre-atlantique persuadaient les Européens qu’il n’était nullement dans l’intérêt de l’Europe de se détacher du puissant leader américain. La conséquence en a été, constate Elisabeth Pond dans le « Christian Science Monitor », que « les Européens ont été alarmés non pas tant par l’hypocrisie de l’Administration…que par le risque de dégradation de l’équipe Reagan dans les dernières années de son mandat. L’Irangate a mis en lumière la profonde crise qui secoue l’actuelle administration américaine tant dans sa politique intérieure qu’extérieure (..)
(En guise de postface), la « Maison-Blanche » n’a pas l’intention de renoncer à sa politique de Néo-globalisme, d’anticommunisme farouche, d’arbitraire et de mensonge. Pourquoi ? »
h
26 mars 2010 20:35
« Washington » qui tente de cacher ses tares, n’a pas trouvé mieux que de récidiver dans la voie du « mensonge », et c’est ainsi que dans l’affaire hypermédiatisée de l’Irangate, Reagan, prédécesseur et ami intime de Bush, a commencé à nier en bloc l’existence de toute opération occulte, lorsque la commission d’enquête du Congrès l’avait acculé de questions compromettantes. Sur cet aspect qui n’a pas révélé encore tous ses secrets, on peut lire un extrait intitulé « un mensonge à répétition » : « La presse (us) s’est mise à traiter sans détours le président Reagan de Menteur. (Dans le même contexte) et en l’espace de trois mois seulement, Reagan a donné trois versions différentes de sa position sur la question essentielle de l’affaire. « On peut tromper tout le monde pendant un certain temps et même d’aucuns tout le temps, mais on ne peut pas tromper toujours, tout le monde », disait avec sagacité, en son temps, le président des Etats-Unis Lincoln. »
h
26 mars 2010 20:36
Ces appréciations sur la maladie caractérielle de « Washington » appelée « mensonge », sont accompagnés d’autres témoignages accablants, émanant de la même presse américaine et démontrant à fortiori une corrélation indélébile et impressionnante entre « le Menteur de la prophétie et celui de la Maison-Blanche » ! Anthony Lewis, chroniqueur du « New York Times » affirme que « cynisme, mensonge, dissimulation sont autant de mots d’ordre de l’univers clandestin de l’Administration Reagan. »
Cela étant dit et pour étayer la crédibilité de notre thèse prophétique en relation avec cette note analytique, il faut souligner que le livre du Hadît « Riyadh Essalihine », souligne qu’au « Misbah » (autre ouvrage sur la tradition), il est stipulé qu’ « Adajjal signifie le Menteur » et que « l’essence du mensonge et de l’imposture est dissimulation. »
Aux chers lecteurs donc d’en juger en toute liberté, car notre seul commentaire ici est que l’artifice de la « dissimulation » permet à l’Antéchrist de passer inaperçu dans ses actions subversives et ses écarts de conduite. Ce stratagème, qui lui permettra aussi de ne pas être reconnu comme « le Faux-messie », annoncé pour la fin des temps, sera sa « couverture » destinée à tromper l’humanité, autant que faire ce peut, pour l’égarer en vue de la dominer. Ceux qui ont compris le subterfuge existent aussi, quoi qu’ils sont minoritaires, et parmi eux Colman Mc Carthy du « Washington-Post », qui a dit à propos de l’Irangate : « C’est un mensonge qui est à l’origine de la crise actuelle et non erreurs ou des amiraux et des colonels trop zélés.
h
26 mars 2010 20:37
Mais ce qui est d’autant plus troublant encore, au vu de son étonnante correspondance à la révélation, notamment les citations prophétiques de Mohammad (slps), c’est ce paragraphe plein de sens du Magazine américain « Nation », qui a été encore plus net à ce sujet, en allant trop loin dans la description du pouvoir américain : « Le poste de président des Etats-Unis est aujourd’hui occupé par « le Menteur. » Il ment régulièrement, systématiquement, à dessein, en permanence, pourvu que sa politique et ses objectifs y trouvent leur compte. Il n’est pas le premier « Menteur » à habiter la Maison-Blanche, mais il est peut-être le premier à avoir érigé le « mensonge » en procédé privilégié du gouvernement des Etats-Unis. » Formidable, hallucinant, sensationnel ! C’est le moins que l’on puisse dire sur le verdict tranchant de ce magazine, qui appartient pourtant à des concitoyens du Menteur. Nous n’avons pas de mots assez forts pour décrire ce langage franc, serein et transparent, qui se confond, en tout état de cause avec les citations prophétiques sur l’ « Imposteur », et ce quelque soit la forme et la couleur partisane de son chef. Le «New York Times » avait lui-aussi prononcé son jugement : « Tout président se trompe de temps en temps, mais ce qui s’est passé ces derniers temps a suscité de sérieux doutes quant à la compétence de la Maison-Blanche. »
Dans la sombre affaire de l’Irangate, Mr. Verbenko et ses pairs à l’Agence « Novosti » s’interrogent sur le maillon iranien de l’affaire Iran-Contra : « Mais ce que nous savons, ont-ils dit, permet de séparer le mensonge de la vérité, les faits des rumeurs. » « Ce que le président Reagan qualifiait modestement dans ses discours d’ « initiative diplomatique secrète », de « recherche des approches de l’Iran », dictées par le « souci du sort des otages au Liban », ont-ils ajouté, n’est en réalité qu’une grossière ingérence dans les affaires d’un Etat souverain. Compte tenu du fait qu’il se trouve en état de guerre avec l’Irak, il serait juste de dire que c’est une ingérence dans ce conflit et dans les affaires de la région toute entière (..) » « Un des objectifs de cette ingérence, a écrit M. Verbenko et ses collègues a été ouvertement déclaré par McFarlane dans son entretien avec Kimche, participant israélien de la combine avec les armements. La revue « le Monde diplomatique » dans son numéro du mois de février 1987 a cité les paroles de McFarlane : parlons franchement de nos buts. Les Etats-Unis veulent assurer leur retour politique en Iran, et non pas obtenir la libération des otages en échange des livraisons d’armements. » En réalité, la question du sort des otages a été exploitée par Reagan, de même que par Carter en son temps, comme un prétexte pour dissimuler les buts véritables de sa politique (..) Essayant de sortir du scandale de l’Irangate, la Maison-Blanche tente de justifier son ingérence dans les affaires de l’Iran par des calomnies sur la menace soviétique. Par exemple, dans son appel au pays du 13 novembre 1986, Reagan a déclaré : « Permettez-moi de répéter : les buts traditionnels de l’Amérique dans cette région du globe visent à aider l’Iran à rester indépendant de l’emprise de l’Union soviétique. Cet « odieux mensonge » est tellement évident que même la presse américaine a dû le reconnaître. « Les avocats du président Reagan ont ranimé le fantôme d’une invasion soviétique de l’Iran », écrivait le « Washington Post », le 19 janvier 1987, en guise d’excuse pour la « combine secrète avec les livraisons d’armes. »
h
26 mars 2010 20:37
Comme on le voit, au cours du scandale de l’Irangate, on a fait beaucoup de « déclarations mensongères », et ce n’est que rarement qu’on a dit la vérité. « Il devenait aussi toujours plus évident que l’information fournie par la Maison-Blanche sur les évènements autour du Nicaragua était falsifiée dans les intérêts de celle-ci. La partie secrète du « programme de la démocratie » donnait au président la possibilité de contourner de multiples obstacles, de tromper le Congrès, le peuple américain et l’opinion publique internationale (..) C’est ainsi que se présente la version de la politique américaine destinée à l’exportation, à la consommation extérieure, et appelée à susciter chez les Arabes les sentiments les plus chaleureux et les plus amicaux. Il est vrai que des couacs survenaient malgré tout fréquemment et que la Maison-Blanche se retrouvait en mauvaise posture après avoir été prise en flagrant délit d’hypocrisie. En effet, on a beau multiplier les manœuvres, il reste assez malaisé d’expliquer aux Arabes pourquoi les Etats-Unis, tout en se déclarant leurs amis, n’en considèrent pas moins Israël comme leur principal allié « stratégique » au Proche-Orient et pourquoi Washington soutient systématiquement toutes les actions agressives de Tel-Aviv dirigées contre les Arabes.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/03/10 20:38 par hamid2660.
h
26 mars 2010 20:52
Mais ce qui est d’autant plus troublant encore, au vu de son étonnante correspondance à la révélation, notamment les citations prophétiques de Mohammad (slps), c’est ce paragraphe plein de sens du Magazine américain « Nation », qui a été encore plus net à ce sujet, en allant trop loin dans la description du pouvoir américain : « Le poste de président des Etats-Unis est aujourd’hui occupé par « le Menteur. » Il ment régulièrement, systématiquement, à dessein, en permanence, pourvu que sa politique et ses objectifs y trouvent leur compte. Il n’est pas le premier « Menteur » à habiter la Maison-Blanche, mais il est peut-être le premier à avoir érigé le « mensonge » en procédé privilégié du gouvernement des Etats-Unis. » Formidable, hallucinant, sensationnel ! C’est le moins que l’on puisse dire sur le verdict tranchant de ce magazine, qui appartient pourtant à des concitoyens du Menteur. Nous n’avons pas de mots assez forts pour décrire ce langage franc, serein et transparent, qui se confond, en tout état de cause avec les citations prophétiques sur l’ « Imposteur », et ce quelque soit la forme et la couleur partisane de son chef. Le «New York Times » avait lui-aussi prononcé son jugement : « Tout président se trompe de temps en temps, mais ce qui s’est passé ces derniers temps a suscité de sérieux doutes quant à la compétence de la Maison-Blanche. »
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26 mars 2010 21:02
7564 - ÍóÏøóËóäöì ãõÍóãøóÏõ Èúäõ ÚóÈúÏö Çááøóåö Èúäö ÞõåúÒóÇÐó ãöäú Ãóåúáö ãóÑúæó ÍóÏøóËóäóÇ ÚóÈúÏõ Çááøóåö Èúäõ ÚõËúãóÇäó Úóäú ÃóÈöì ÍóãúÒóÉó Úóäú ÞóíúÓö Èúäö æóåúÈò Úóäú ÃóÈöì ÇáúæóÏøóÇßö Úóäú ÃóÈöì ÓóÚöíÏò ÇáúÎõÏúÑöìøö ÞóÇáó ÞóÇáó ÑóÓõæáõ Çááøóåö -Õáì Çááå Úáíå æÓáã- « íóÎúÑõÌõ ÇáÏøóÌøóÇáõ ÝóíóÊóæóÌøóåõ ÞöÈóáóåõ ÑóÌõáñ ãöäó ÇáúãõÄúãöäöíäó ÝóÊóáúÞóÇåõ ÇáúãóÓóÇáöÍõ ãóÓóÇáöÍõ ÇáÏøóÌøóÇáö ÝóíóÞõæáõæäó áóåõ Ãóíúäó ÊóÚúãöÏõ ÝóíóÞõæáõ ÃóÚúãöÏõ Åöáóì åóÐóÇ ÇáøóÐöì ÎóÑóÌó - ÞóÇáó - ÝóíóÞõæáõæäó áóåõ ÃóæóãóÇ ÊõÄúãöäõ ÈöÑóÈøöäóÇ ÝóíóÞõæáõ ãóÇ ÈöÑóÈøöäóÇ ÎóÝóÇÁñ. ÝóíóÞõæáõæäó ÇÞúÊõáõæåõ . ÝóíóÞõæáõ ÈóÚúÖõåõãú áöÈóÚúÖò ÃóáóíúÓó ÞóÏú äóåóÇßõãú ÑóÈøõßõãú Ãóäú ÊóÞúÊõáõæÇ ÃóÍóÏðÇ Ïõæäóåõ - ÞóÇáó - ÝóíóäúØóáöÞõæäó Èöåö Åöáóì ÇáÏøóÌøóÇáö ÝóÅöÐóÇ ÑóÂåõ ÇáúãõÄúãöäõ ÞóÇáó íóÇ ÃóíøõåóÇ ÇáäøóÇÓõ åóÐóÇ ÇáÏøóÌøóÇáõ ÇáøóÐöì ÐóßóÑó ÑóÓõæáõ Çááøóåö -Õáì Çááå Úáíå æÓáã- ÞóÇáó ÝóíóÃúãõÑõ ÇáÏøóÌøóÇáõ Èöåö ÝóíõÔóÈøóÍõ ÝóíóÞõæáõ ÎõÐõæåõ æóÔõÌøõæåõ. ÝóíõæÓóÚõ ÙóåúÑõåõ æóÈóØúäõåõ ÖóÑúÈðÇ - ÞóÇáó - ÝóíóÞõæáõ ÃóæóãóÇ ÊõÄúãöäõ Èöì ÞóÇáó ÝóíóÞõæáõ ÃóäúÊó ÇáúãóÓöíÍõ ÇáúßóÐøóÇÈõ - ÞóÇáó - ÝóíõÄúãóÑõ Èöåö ÝóíõÄúÔóÑõ ÈöÇáúãöÆúÔóÇÑö ãöäú ãóÝúÑöÞöåö ÍóÊøóì íõÝóÑøóÞó Èóíúäó ÑöÌúáóíúåö - ÞóÇáó - Ëõãøó íóãúÔöì ÇáÏøóÌøóÇáõ Èóíúäó ÇáúÞöØúÚóÊóíúäö Ëõãøó íóÞõæáõ áóåõ Þõãú. ÝóíóÓúÊóæöì ÞóÇÆöãðÇ - ÞóÇáó - Ëõãøó íóÞõæáõ áóåõ ÃóÊõÄúãöäõ Èöì ÝóíóÞõæáõ ãóÇ ÇÒúÏóÏúÊõ Ýöíßó ÅöáÇøó ÈóÕöíÑóÉð - ÞóÇáó - Ëõãøó íóÞõæáõ íóÇ ÃóíøõåóÇ ÇáäøóÇÓõ Åöäøóåõ áÇó íóÝúÚóáõ ÈóÚúÏöì ÈöÃóÍóÏò ãöäó ÇáäøóÇÓö - ÞóÇáó - ÝóíóÃúÎõÐõåõ ÇáÏøóÌøóÇáõ áöíóÐúÈóÍóåõ ÝóíõÌúÚóáó ãóÇ Èóíúäó ÑóÞóÈóÊöåö Åöáóì ÊóÑúÞõæóÊöåö äõÍóÇÓðÇ ÝóáÇó íóÓúÊóØöíÚõ Åöáóíúåö ÓóÈöíáÇð - ÞóÇáó - ÝóíóÃúÎõÐõ ÈöíóÏóíúåö æóÑöÌúáóíúåö ÝóíóÞúÐöÝõ Èöåö ÝóíóÍúÓöÈõ ÇáäøóÇÓõ ÃóäøóãóÇ ÞóÐóÝóåõ Åöáóì ÇáäøóÇÑö æóÅöäøóãóÇ ÃõáúÞöìó Ýöì ÇáúÌóäøóÉö ». ÝóÞóÇáó ÑóÓõæáõ Çááøóåö -Õáì Çááå Úáíå æÓáã- « åóÐóÇ ÃóÚúÙóãõ ÇáäøóÇÓö ÔóåóÇÏóÉð ÚöäúÏó ÑóÈøö ÇáúÚóÇáóãöíäó ».

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26 mars 2010 21:02
Non c'est très concret tout ça !

Je mettais juste la lumière sur quelque chose de très concret et actuel, le pouvoir des médias ! ça les gens peuvent le vérifier tous les jours en allumant leur TV. J'apporte de l'eau à ton moulin !

Je crois me souvenir, que l'un des signes d'addajjal, c'est de faire passer le vrai pour le faux !

C'était juste, le "comment" de la chose qui m'intéressait, les techniques pour y parvenir.

Mais, c'est vrai je n'ai pas lu tous tes écrits, je n'ai lu que le début et la fin ! Je vais relire !
h
26 mars 2010 21:03
pour voir les caractères arabes, aller à affichage, puis encodage arabe.
h
26 mars 2010 21:08
Tiré du Manuscrit l'Antéchrist est parmi nous (ÉCRIT ENTRE 1990 ET 2000):



CHAPITRE VIII

« La Bête qui parle aux gens »
-Le Nouvel ordre de l’information-


(A) Une faconde bestiale

« Lorsque la sentence prononcée contre eux sera prête à recevoir son exécution, nous ferons sortir de la terre une Bête qui leur parlera. En vérité ! Les hommes n’ont point cru fermement à nos miracles. » Coran. Les fourmis- XXVII :82


"æ ÅÐÇ æÞÚ ÇáÞæá Úáíåã¡ ÃÎÑÌäÇ áåã ÏÇÈÉ ãä ÇáÃÑÖ Êßáãåã. Ãä ÇáäÇÓ ßÇäæÇ ÈÂíÇÊäÇ áÇ íæÞäæä."
(Çáäãá 82)

A travers cette remontrance divine, nous comprenons qu’il ne sert à rien d’user d’atermoiements en dénigrant la révélation, car viendra le jour où le monde entier sera témoin de la preuve irréfutable et objective de la vérité cosmique, après la concrétisation de la prophétie. C'est-à-dire que lorsque l’humanité sera dominée par une seule superpuissance loquace, brutale et hégémonique, douée de miracles médiatiques, elle comprendra alors ce qu’a voulu dire le Seigneur Tout-puissant dans ce verset coranique. L’arrêt divin sera prononcé, en premier lieu contre les Arabes lorsqu’ils iront s’égarer dans les dédales du narcissisme et s’installer confortablement sur le trône du bovarysme, mais paradoxalement quand ils viendront aussi à s’entretuer pour des broutilles périssables, après avoir mis les préceptes suprêmes derrière leurs râbles. La « Bête » sera donc un « fléau » parmi tant d’autres qui sera imposée aux renégats et à leurs électeurs taciturnes. Quant à la sentence, elle viendra immanquablement d’une alternance apte à diriger la communauté, après une sédition durable et meurtrière (la fitna actuelle), suscitée par des monstres sans foi ni loi, manipulée par cette même Bête. A propos de cette créature loquace et dominatrice, annoncée, les exégètes du Saint-Coran n’en disent pas plus, par prudence sans doute, sinon par peur de tomber dans des supputations infondées, passibles de mener à l’impasse. Sauf que certains d’entre les précurseurs, nous ont fait bénéficier gracieusement de nombreuses informations à son sujet, quoi qu’elles fussent abstraites, parmi lesquelles l’attitude illustrée par ces paroles du prophète Ozaïr :
« La Bête parlera aux gens et tout le monde l’entendra ; elle parlera aussi à la Bête (ou à la terre) qui lui succèdera. »

Úä ÚÒíÑ: "Êßáã (ÇáÏÇÈÉ) ÇáäÇÓ¡ ßá íÓãÚåÇ.......¡ Êßáã ÇáÃÑÖ ÇáÊí ÊáíåÇ."

Quant au Nouveau Testament, il précise ceci :
« (La Bête de la terre) parlait comme un Dragon (…) »

« Elle égarait les habitants de la terre par les miracles qu’elle était autorisée à accomplir en présence de la première Bête (celle de la mer).
Elle disait aux habitants de la terre de faire une « image » en l’honneur de la Bête qui avait été blessée par l’épée et qui vivait pourtant. La deuxième Bête reçut le pouvoir de donner le souffle de vie à l’image de la première Bête, afin que cette image puisse parler et qu’elle fasse mettre à mort ceux qui ne l’adoraient pas. »

Afin de placer les choses dans leur propre contexte spatio-temporel, il est impératif de passer par la question suivante : hormis dans les dessins animés et les contes de fées infantiles, a-t-on jamais vu, ne serait-ce une seule fois un animal parler librement aux gens ? Si quelqu’un a eu le privilège ou la chance d’avoir assisté à ce phénomène invraisemblable, il nous en dirait des nouvelles, car nous serions alors très heureux de le rencontrer et de converser avec lui sur cet aspect et pourquoi pas dialoguer avec ce qu’il aurait pu voir et entendre ! Or, il est absurde de faire admettre ce type d’idées saugrenues à un homme sensé, qui plus est, vit à l’aube du 3eme millénaire. Cependant, pour lever les équivoques cernant la nature de cette Bête et éclairer les esprits présomptueux, nous précisons que celle-ci est une « entité terrestre », œuvre de l’homme et son outil de domination, mais pas n’importe lequel, en tous les cas, puisqu’il ne pourrait s’agir que d’un surhomme, un « superman » en somme, autrement dit l’Antéchrist annoncé.
La « grande Bête », démasquée auparavant, est dûment incarnée par le vaste complexe militaro-industriel du Pentagone, et dans cette optique, nous mettons en exergue la déclaration du secrétaire d’Etat américain à la défense, Dick Cheney, selon laquelle le conflit du Golfe avait de nouveau prouvé l’énorme importance des avantages technologiques en capacité militaire. Celui-ci avait insisté alors sur la technologie avancée des avions furtifs (Stealth) et sur l’initiative de la défense stratégique (IDS) ou « guerre des étoiles », avec son large système de communications et télécommunications.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/03/10 21:14 par hamid2660.
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26 mars 2010 21:09
Toutefois du temps des prophètes, les hommes ne disposaient d’aucune rhétorique comparable à notre « terminologie technique » - pour la raison évidente de l’évolution graduelle de la science universelle – et il leur était donc impossible de concevoir les phénomènes à venir au cas où on les leur avait dépeints par des mots empruntés du 20eme siècle ; mis à part les prophètes qui, pour ce faire, cueillaient de la nature un langage simplifié, composé de récits allégoriques et d’images idylliques, parce qu’ils étaient plus accessibles à leurs contemporains que ne l’aurait été le vocabulaire abscons de notre ère. Mais nous sommes cependant persuadés que les messagers de Dieu savaient pertinemment, au fond d’eux-mêmes, que les métaphores émanant de leurs prophéties, correspondaient en fait, au répertoire technique de notre siècle, et c’est justement ce que nous nous efforcerons de démontrer au fur et à mesure de l’avancement de nos analyses. S’agissant des apôtres de Dieu, il serait logique d’admettre que même au cas où ils avaient assimilé l’ensemble des codes du langage futur, grâce à la volonté divine, ils ne se seraient sans doute jamais permis de les divulguer en clair, dans la mesure où si c’était le cas, ils auraient été confrontés alors à moult questions, qui les auraient mis dans l’embarras, vu qu’ils auraient été obligés d’expliquer, en un laps de temps record, tous les aspects inhérents à l’évolution de l’humanité. De fil en aiguille, les prophètes se seraient ainsi retrouvés à disserter sur Christoph Colomb et la découverte du Nouveau monde, la révolution industrielle et les deux guerres mondiales, avec l’émergence de l’Amérique comme la première puissance de la planète après la 1ERE guerre mondiale et l’unique « Empire global » après la guerre du Golfe. Ils se seraient alors retrouvés en marge du cadre apostolique, qui exhorte l’individu à chercher la vérité en lui-même et par lui-même, en comptant sur sa contention d’esprit pour évoluer vers la lumière, à commencer par la recension opiniâtre de la preuve ontologique, en la contemplation et la méditation. « Dieu ne changera point l’état d’un peuple, tant qu’il n’aura pas assumé son propre changement », c’est ce que nous enseigne, en tous les cas, le Saint-Coran. Quand bien même ils auraient eu la permission divine de divulguer la réalité future dans toutes ses dimensions, en appelant chaque chose par son nom, les prophètes auraient été soupçonnés alors d’user du langage inintelligible des démons, ce qui aurait pu susciter, dans ce cas-là, un risque de rupture d’alliance et d’apostasie de leurs fidèles. Quoi qu’il en fût, ce n’était nullement dans leur intention de réfléchir à la place des générations futures, mais d’avertir. Ne pouvant servir les secrets cosmiques sur un plateau d’argent, ils laissèrent tout de même, assez d’ingrédients pour la composition d’une « image authentique » des évènements planétaires majeurs, et c’est déjà une façon, fort intelligente, de maintenir une lueur d’espoir chez les opprimés, dans les moments les plus pénibles. Or, cette faveur du savoir n’est accordée qu’à une poignée d’élus, inspirés par l’Omniscient et choisis pour être les dignes héritiers des prophètes et les véritables guides.

Après cette mise au point indispensable, il nous tarde de revenir aux prophéties en question afin d’exprimer le fond de notre pensée selon lequel la relation entre la Bête et l’Antéchrist est une relation effective, mais surtout ubiquiste. Il n’en est pour preuve que ces « miracles » accomplis aussi bien par l’un que par l’autre. Ainsi est-il dans la tradition coranique que « la Bête sortira de la terre » et que « tout le monde l’entendra. » Nous commençons donc par indiquer que le magnétisme de cette « Bête prolixe » nous inonde aujourd’hui même, 24 h sur 24, en nous envoûtant de ses flux maléfiques. Naguère on l’assimilait encore à un meuble de luxe et un objet accessoire, sauf qu’elle est devenue au fil du temps, un être vivant, voire une star dotée d’un corps astral à cinq branches. Elle s’adresse à nous quotidiennement, mais vu les excès qu’elle distille désormais, à longueur de journée, elle a pris une tournure dramatique, à travers la banalisation d’images agressives dont elle nous bombarde en permanence. On ne peut cependant se passer d’elle, même si on feint de la détester, car au cas où elle tombe malade, s’éteint et devient aphone, c’est comme si un membre de la famille en faisait autant ; le foyer s’assombrit, le moral est au plus bas et l’on se retrouve alors en train de se regarder en « chiens de faïence ». on n’ose même pas combler ce « vide affectif » par les discussions à bâtons rompus qu’on menait jadis, avant que cet intrus bavard, haut en couleur, ne vienne conquérir notre espace convivial. Cette « Bête domestique », qui nous domestique elle-même, rompt intentionnellement les liens traditionnels qui unissaient la maisonnée et l’atmosphère bon enfant qui flottait dans le salon aux jours de notre prime jeunesse.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/03/10 21:19 par hamid2660.
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26 mars 2010 21:10
Elle s’est introduite dans tous les foyers par une lucarne magique, à dessein de rompre cette convivialité et cette passion millénaire pour la lecture et l’écriture, engendrant une anémie intellectuelle et une indifférence notoire à l’environnement périphérique immédiat. Nous consommons ses produits sans pouvoir influer sur sa production et ses messages subliminaux. Enfin, elle a fini par capter l’énergie et la conscience sociales pour atteindre le subconscient, en élargissant de la sorte, le fossé entre les générations et accroissant cette propension à l’incommunication entre membres d’une même famille. Cette « femelle » dominatrice cause un véritable malaise existentiel en multipliant, corrompant et dévoyant les normes établies et les repères identitaires. Cela se fait à l’intérieur d’une sphère d’ordre nouveau, soit un hypercerveau doué d’une faculté encline à imposer une pensée unique et globale. Elle aliène l’individu, la famille traditionnelle, la société, le monde, et charrie des pratiques et des opinions consensuelles qui ne font plus de différence entre le bien et le mal, le licite et l’illicite, la vérité et le mensonge, les actions saines et les comportements pervers. Quel est donc ce phénomène étrange, cette « créature loquace ubiquiste », qui puisse toucher « simultanément » la masse, sans avoir à déplacer sa carcasse ? Ce n’est ni la première épouse, ni sa rivale, peut-être bien une nouvelle Esther biblique, mais sûrement une concubine adelphique, assez stressante, car babillarde et excentrique et d’autant plus une hypocrite à plusieurs faces et polyglotte dynamique. Vous l’avez sans doute deviné ; elle ? C’est la Télévision, et qui a le monopole de sa communication ? Si ce n’est l’Amérique ! Ne perçoit-on pas ici ce phénomène médiatique moderne appelé « Globalisation de la communication », autrement dit le « village planétaire » ou la « cité globale » construite par la libre-pensée américaine pour être au service de sa monomanie ? !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 26/03/10 21:22 par hamid2660.
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26 mars 2010 21:11
On est normalement deux à communiquer, mais nous préférons nous placer à contre-courant des thèses unanimistes et trompeuses pour parler plutôt de la « Globalisation du monologue », sous-entendu que « Washington » semble parler à lui-même, sans qu’il y ait dissonance le contrariant. Celui-ci s’adresse, en fait, à une « planète de singes », dénuée de volonté et de confiance en soi, à une plèbe pétrifiée et aphone, sauf pour lui renvoyer l’écho de sa propre euphonie ou chanter en cacophonie : « Ordonne et nous t’obéirons, seigneur de la Maison-Blanche ! » Le conseiller en matière de sécurité nationale du président Carter n’a-t-il pas postulé un jour, que l’Amérique était « la première civilisation globale de l’histoire » ? ! Les avis des autres responsables américains abondent dans le même sens : en décembre 1990, Zbigniew Brzezinski a confié à la « Nouvelle planète » que la base de la puissance américaine était pour une très grande part sa domination du marché mondial des communications. « Cela crée une culture de masse qui a une force d’imitation politique », a-t-il ajouté. Ce n’est sûrement pas de l’extravagance volubile, quand on sait que 65% de l’ensemble des communications mondiales naissent aujourd’hui dans la matrice informatique de l’Amérique, à travers sa production culturelle, mais grâce aussi à son management télématique. « Selon Kevin Keenan : l’autre facteur de succès de la chaîne américaine WBEN, c’est qu’elle possède sa propre équipe de journalistes pour rendre compte des actualités locales. « Pour nous, a-t-il dit, l’élément le plus important ce sont les informations parce que cela établit un lien constant entre la station et la population. »

La boucle se trouve ainsi bouclée et la merveilleuse énigme millénaire de « la Bête qui parle aux gens » est enfin élucidée, grâce à Dieu, après plus de deux millénaires de mystère inviolable. Raison de plus : cet aspect paradoxal a pris les devants de la scène internationale, notamment lors du conflit du Golfe : mère de toutes les batailles, y compris la « bataille médiatique » et cocon éclaté des secrets de l’Apocalypse. Ainsi dès l’invasion du Koweït par l’armée irakienne, beaucoup de gens ont dû découvrir pour la première fois, par l’entremise de la parabole (au sens propre et figuré), une chaîne de télévision américaine nommée « C.N.N. » (pour Cable News Network), spécialisée dans l’information « ininterrompue », soit 24 h sur 24. Curieusement celle-ci passe pour être la préférée du Pentagone, puisqu’elle avait pleins pouvoirs pour filmer et diffuser des images filtrées au monde entier, en faisant étalage de ses prouesses audio-visuelles, érigées par la suite en véritable monopole. Dès lors, la superproduction de l’image américaine faisait intrusion, pour la première fois et avec force, dans tous les foyers du monde, matraquant les gens par un langage corrupteur et mensonger.

La Bête est, par définition, synonyme d’animal et de monstre et c’est, en quelque sorte un parfait symbole de la peur et du terrorisme, d’autant plus qu’elle tyrannisait le monde par une profusion de paroles uniformes et d’images plates et assassines. Ne s’estimant pas satisfaite de cette dynamique agressive, la chaîne câblée s’est arrogée le droit de harceler les gens passifs hors de leurs foyers, grâce à des écrans géants tel celui du Time Square à New York.
La dulcinée du Pentagone : chaîne des chroniques de feu de l’odyssée yankee, incarne parfaitement l’image et le cri de la Bête pour son engagement démesuré dans les expéditions punitives du complexe militaro-industriel supranational. Son promoteur et patron est un homme d’affaires BCBG, Ted Turner, ancien navigateur, ex-champion de l’American’s cup, et ex-je ne sais quoi ! Il la fonda en 1980 et la lança le 1er juin de la même année. A partir de là, elle devenait progressivement et à elle seule, un empire dans un hyper empire, puisqu’elle fut transformée en hyper station touchant pas moins de 91 pays, 34 millions d’abonnés aux U.S.A. et 160 millions dans le monde. Reliée alors à 5 satellites de télédiffusion, elle émet à partir du « pays des Atlantes » et de la « mer de Cola », d’un îlot d’un million de mètres carrés, sur lequel on a bâti le siège : un complexe immobilier comprenant, outre les infrastructures technico-administratives, un ensemble d’hôtels, de restaurants, de cinémas et de bureaux climatisés. C’est par l’intermédiaire de sa dérivée « C.N.N.Z. », appelée aussi « C.N.N. International » ou « Headline News », fondée en 1981, que l’industrie de la communication a fait irruption dans tous les foyers du monde. Son logo est très simple, mais ô combien expressif ! Il est formé de 3 images, hautement symboliques :
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