Presques toutes les banques marocaines donnent des credits immobilier a taux interessant, surtout pour les MREs...renseignes toi aupres les agences de banques marocaines de pres de chez toi: BMCE, BMCI, Banque Populaire...etc
le banquier ne nous a pas dit sur combien d'années, on lui a demandé un pret de 400 000 dh et il nous dit le taux est de 8,5. pourquoi cette question? le taux dépent des années?
bien sur, le taux de credit depend de : - La durée du crédit (en france --> 15 ans : 3.85 % --> 20 ans : 4.00 % --> 25 ans : 4.15 % )
- Le pourcentage du prêt dans le prix total de l'appart: si tu emprunte 400 000 dh pour acheter un appart de 600 000 dh c pas la meme chose que pour acheter un appart de 400 000 .
- Taux fixe ou variable (deconseillé).
Les taux sont bas au Maroc en ce moment mais ils vont pas tarder à remonter. Il faut pas esperer des taux de l'ordre de ceux de la france.
Si tu fonce rensiegne toi sur les frais de dossiers (essaye de les avoir gratos : dis leur qu'on t'as proposé ça ailleurs) ainsi que le cout de l'assurance.
Dans son étude des travaux de l'économiste Keynes, Hubert Houdoy écrit : "L'obstacle à l'investissement et à l'emploi est l'ensemble des taux d'intérêt. (…) Pour cela il faut réduire l'usage spéculatif de la monnaie. "Le seul remède radical aux crises de confiance qui affligent la vie économique moderne serait de restreindre le choix de l'individu à la seule alternative de consommer son revenu ou de s'en servir pour faire fabriquer l'article de capital qui, même avec une faible évidence, lui paraît être l'investissement le plus intéressant qui lui soit offert" (Keynes, p. 176). On peut voir en Keynes un précurseur du partenariat. Et cela est tout à fait cohérent avec sa condamnation de l'intérêt, son apologie de l'investissement, son insistance sur la confiance et sur les anticipations. Les seuls bons usages du revenu monétaire sont la consommation et l'investissement. La monnaie est la meilleure et la pire des choses. Elle permet l'action à grande échelle quand les anticipations sont optimistes. Elle provoque la crise brutale quand le doute s'installe. C'est à tort que chacun compte sur elle pour se protéger. "Puisque les marchés financiers organisés sont soumis à l'influence d'acheteurs qui ignorent pour la plupart ce qu'ils achètent et de spéculateurs qui s'intéressent plus à la prévision du prochain changement de l'opinion boursière qu'à l'estimation rationnelle du rendement futur des capitaux, il est normal, lorsqu'une déception frappe un marché surévalué et trop optimiste, que les cours baissent d'un mouvement soudain et même catastrophique" (Keynes, p. 329)" (fin de citation, extrait du site du Réseau d'Activités à Distance).
Regardez, même les ********voient le mal qu'il y a dans les crédits.
La 7awla wa la qowwata ila billah.
Wassalâm
Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/05/05 17:26 par moderatrice.
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