Alors voila j'ai créer un nouveau post afin de permettre a toute les personne qui ont des récits des contes ou meme des vraies histoires concernant notre religion les expose !!
C'est un ami qui ma raconté cette histoire et elle est vraie
C'était un homme tres malade un jour qui alla voir son medecin ( car il était vraiment tres malade ) !! Son médecin l'osculta etc.. et a la fin il lui dis " Voila Monsieur vous etes atteint d'une maladie grave qui est le Cancer des poumons et il ne vous reste que 6 mois voir moins a vivre" L'homme desespérée rentra alors chez lui ! Et il s'interrogea sur le fait de cette maladie et se dit "Pourquoi ca" Et il se répondit a lui meme " Voila ce qu'Allah ma fait , moi qui ne prie pas et qui ne fait pas de bonne actions , ca m'apprendra !!!" !! Et Meskine cette homme récolta le necessaire pour accomplir le pélerinage !! Il parti a la Mecque et fit son pélerinage et rentra chez lui et viva sa vie normalement et l'année suivante il a encore fait le pelerinage !! Il le fit pendant 2 ans de suite
Maissss me direz vous ! Il ne lui restait pas que 6 mois a vivre ? Et bien si mais cette homme a oublié sa maladie et c'est consacrée a sa religion en fesant des prieres et dou3as tout le temps et Allah lui as effacé sa maladie !!
Sisi il reparti voir le medecin et il n'avait plus rien ses poumons était propres comme si il venait de naitre d'ailleur le docteur lui meme ne le croyait pas !!
Mach'Allah d'ailleur cet homme est toujours vivant mon ami la vu samedi dernier
elle est tres touchante ton histoire, tout sa grace à la foi, mais à ALLAH avant tout, merci beaucoup, ma foi s'est encore plus ranimée, avec cette histoire, ALLAH I SSEJIK
[color=#006400]« Ce que tu gardes est perdu à jamais. Ce que tu donnes est à toi pour toujours. »[/color]
Cela s'est passée il y a de ça Presque 1 ans. (Histoire vraie)
En fait c' était des frères d' une mosquée qui faisaient le rappel à la prière, donc ils allaient un petit peu partout, et avant de revenir à la mosquée, pour faire la prière, ils passèrent chez un ami pour l'appeler à venir avec eux, en venant prés de sa porte, ils se trompèrent et frappèrent chez quelqu'un d'autre (alors qu'ils avaient l'habitude de venir chez cette personne mais, bizarrement, ils ne frappèrent pas a la bonne porte), donc la porte s'ouvre et un monsieur âgé d'environs 40 à 50 ans se présenta (ce monsieur avait la réputation d'être quelqu'un de discret qui ne parlait a personne) les frères, ayant vu qu'ils s'étaient trompés de porte lui présentent leurs excuses en lui disant qu'ils s'était trompés et qu'ils étaient venu chercher un ami juste en face pour aller à la mosquée faire la prière. Bizarrement le monsieur leur a dit de ne pas s'excuser et, bien au contraire, leur demanda de rentrer chez lui pour qu'ils puissent lui expliquer ce qu'ils font exactement et lui expliquer la religion. Les frères, assez étonnés, acceptèrent vu qu'ils étaient là pour cela. En s'installant chez lui, ils lui parlèrent de la religion ainsi que de Dieu (soubhanahou wa ta'ala) et le monsieur, assez étonné lui-même, resta bouche bée devant les frères qui parlaient de religion. L'heure de la prière allait bientôt arriver, les frères proposèrent au monsieur de venir avec lui à la mosquée pour qu'ils fassent la prière puis continuer à lui parler de la religion. Une fois arrivés à la mosquée, l'heure de la prière étant passé, les frères assez étonnés lui dirent: « Telle est la volonté de Dieu ("Macha Allah" c'est bien tu nous a accueilli chez toi, tu nous a écouté attentivement, tu es venu avec nous à la mosquée. C'est vraiment très bien ! Y a-t-il déjà quelqu'un qui t'a déjà parlé de la religion musulmane ou d'une autre religion car tu as l'air d'être quelqu'un qui est passionné et qui as envie d'en apprendre. »
Le monsieur leur répondit :
« En fait pas du tout, personne ne m'a jamais parlé de religion, la religion je la connaissais à partir de la télé et pour vous dire la vérité j'en avais une très mauvaise image, mais là il m'est arrivé quelque chose d'exceptionnel. Pour tout vous dire il n'y a pas longtemps, moi et ma femme nous nous sommes séparés. J'avais des problèmes à droite à gauche, j'étais vraiment pas bien, je me sentais mal jusqu'à se que vous arriviez. Même pas 5 secondes avant que vous arriviez j'allai me suicider et j'ai levé ma tête en l'air en disant : "Dieu ! Si Tu existes envoie moi un signe sinon je vais me suicider !" J'avais à peine terminé ma phrase que vous avez tapé à la porte et comme par hasard c'était par rapport à Dieu (soubhanahou wa ta'ala) Alors j'ai ouvert la porte et vous étiez comme une lumière devant moi et j'ai senti quelque chose en moi que je n'avais jamais ressenti avant et c'est pour cela que je vous ai suivi et que j'ai eu envie d'en apprendre le maximum sur cette religion et de devenir un bon musulman jusqu'a la fin de mes jours ». Et les frères se sont mis à pleurer ainsi que le monsieur qui aujourd'hui est un très bon musulman Tel que Dieu veut ("Macha Allah" et se sent vraiment très bien en tant que musulman.
( waw, cette anecdote m'a donné des frissons de partout, tchouwoukt a khoya, une fois de plus tu as touché un point sensible..
Ah là là, il n'y a point de grandeur, de force, de puissance, de volonté qui soit meilleure que celle d'ALLAH.
Merci beaucoup mohammed, tes amis les freres qui allaient à la mosquée, ont du avoir beaucoup de "hassate" en plus, qui leur seront favorables, youm el quiyama nch'ALLAH, et cela se verra sur la balance.
L’Homme pieux et la Femme C'est l'histoire d'une jeune femme pieuse qui veut se marier et elle demanda alors à son père de lui trouver un prétendant. Son père après avoir fait appel "à ses relations" finit par trouver un homme très pieux et le présenta à sa fille.
Le jour de la rencontre, la femme posa devant son prétendant une très grande assiette avec de quoi nourir beaucoup de monde et s'en alla. Elle surveilla tout de même cet homme (qui rappelons le allait peut être devenir son mari...).
Alors elle l'observa et remarqua qu'il n'arretait pas de manger : il mangea et mangea jusqu'à tout finir à lui seul ! Puis elle partit se couchée un peu...voila quoi ! Puis en se levant pour salat Al Fajr, elle remarqua que l'homme alla directement prier sans même aller faire ses ablutions.
Un peu stupéfaite, la jeune femme va voir son père et lui demande alors : Mais papa "wachen hadak li jibtli" ? (Euh pardon pour les non arabophones, elle a dit : Mais papa "c'est quoi cet homme que tu m'as amené" ?). Tu m'as dit qu'il était pieux et là je vois quelqu'un qui ne pense qu'à son ventre et qui n'a pas fait ses ablutions avant de prier Al Fajr !
Son père, avec sa sagesse habituelle, répondit alors :
Ma fille, saches que quand on te sert à manger, il y a la barraka d'Allah dans cette nourriture et on ne sait pas où se trouve cette barraka. Par conséquent, cet homme n'a pas cherché après son ventre mais uniquement après la barraka d'Allah : il a donc tout manger pour être sûr de ne pas rater cette barraka.
Par ailleurs, tu dis ne pas l'avoir vu faire ses ablutions ? Et bien ma fille c'est uniquement parce qu'il les avaient déjà : cet homme n'a cesser de prier toute la nuit pour adorer Allah Ta'ala et donc il n'était pas obligé de refaire ses ablutions pour salat Al Fajr ! Quand je te disais que c'était un homme pieux, je ne t'ai pas mentit ma chère et tendre fille.
Morale : Quand on vous dit que juger les gens n'est pas correct...réfléchissez-y
BRAVO 3lik, c'est une très bonne lecon, la morale de cette histoire est une morale qui sert dans la vie de tout les jours, et c'est une belle histoire d'ailleurs.
Je crois que sa va faire la 6ème fois que je te le dit aujourd'hui, mais je vais te le redirepuisque tu l'a mérité: Merci!!!
Continue ainsi.
take care
[color=#006400]« Ce que tu gardes est perdu à jamais. Ce que tu donnes est à toi pour toujours. »[/color]
En voila une que j'aime bien et qui résume beaucoup de cas !!
Demain promis je commencerai, demain je croirai qu'il n'y en a qu'Un, demain je prierai. Je demanderai pardon pour tous mes pêchés en me prosternant jours et nuits et Il me pardonnera car Il est clément. Ca y est c'est décidé, demain je serai un bon musulman, cest juré!
Mais voilà, demain n'est jamais venu. Chaque jour en me levant, je me disais qu'il n'était qu'aujourd'hui. Et puis que pouvait-il m'arriver, je suis si jeune.
Alors chaque jour j'allais en discothèque, et de temps en temps je buvais, après tout ce n'est pas grave puisque demain je serai un bon musulman. Aujourd'hui je me suis levé, je me suis habillé et j'ai mangé. Comme tous les jours, j'ai pris ma voiture pour aller au boulot.
Feu rouge...je m'arrête. J'ai ouvert ma boîte à gants, il y avait là quelques cassettes de rap, de raï, de slows, d'autres de RN'B et une cassette de Coran. En la voyant, je me suis dit que comme demain demain je serai un bon musulman, je l'écouterai.
Feu vert...je démarre. A ma gauche, une voiture arrive à toute vitesse, le chauffeur n'a pas vu que pour lui, le feu était rouge. En quelques secondes, nos voitures se sont retrouvées encastrées l'une dans l'autre. Je ne sens plus rien, juste ma respiration qui se fait de plus en plus courte et rapide. Je baigne dans mon propre sang.
L'ambulance arrive, on me transporte d'urgence à l'hôpital. Pour la première fois, je me suis mis à prier, je suppliais le Seigneur d'épargner ma vie car demain j'allais commencer à être un bon musulman. Mais voilà, demain n'est jamais venu, je me suis éteint dans l'ambulance sans jamais avoir vu le lendemain et poutant j'étais si jeune...On ne sait jamais quand notre heure arrivera, la mort ne choisit ni le jour , ni l'âge, alors profitons de chaque jour, de chaque seconde et Implorons Allah (Soubhana Wa Taala)
LES 3 QUESTIONS... C'est l'histoire d'un jeune homme qui étudia à l'étranger pour quelques années. De retour chez lui, il demanda à ses parents de lui trouver un savant religieux ou n'importe quel expert qui serait capable de répondre à 3 de ses questions. Finalement, ses parents ont pu trouver un savant Musulman.
Jeune homme: Qui es-tu? Serais-tu capable de répondre à mes questions?
Savant: Je suis un serviteur d'Allah (Subhana Wa Ta'ala) et insha-Allah (si Dieu le veut), je serais capable de répondre à tes questions.
Jeune homme: Es-tu sûr? Beaucoup de professeurs et d'experts n'ont pas pu me répondre convenablement
Savant: Je ferais mon possible avec l'aide d'Allah (qu'il soit Exalté).
Jeune homme: J'ai 3 questions: 1. Est-ce que Dieu existe? Si oui, montre moi sa forme. 2. Qu'est- ce que le qadar (destiné) ? 3. Si le shaytan (Satan) a été créé de feu, pourquoi au Jour Dernier il sera jeter en enfer qui est aussi créé de feu? Certainement il n'aura pas mal du tout, puisque Satan et l'enfer ont été tous les deux créés de feu. Est-ce que Dieu n'aurait pas pensé à ça à ce moment là ?
Soudainement, le Savant donna une gifle sévère sur la face droite du jeune homme.
Jeune homme (douloureusement): Pourquoi tu t'es fâché après moi !?
Savant: Je ne suis pas fâché. Cette gifle est la réponse à tes trois questions.
Jeune homme: Je ne comprends vraiment pas.
Savant: Comment tu t'es senti après que je t'ai frappé ?
Jeune homme: J'ai senti de la douleur bien sûr
Savant: Alors crois-tu que cette douleur existe?
Jeune homme: Oui.
Savant: Montre moi la forme de la douleur !
Jeune homme: Je ne peux pas
Savant: Ça répond à ta première question. Nous sentons tous l'existence de Dieu sans toutefois être capable de voir sa forme.
Savant: La nuit dernière, as-tu rêvé que tu recevras une gifle de moi ?
Jeune homme: Non
Savant: As-tu jamais pensé que tu recevras une gifle de moi, aujourd'hui ?
Jeune homme: Non.
Savant: C'est ce que le qadar (destiné).
Savant: La main que j'ai utilisé pour te frapper, de quelle matière a-t-elle été créé?
Jeune homme: Elle a été créé de peau
Savant: Et ta face, de quelle matière a-t-elle été créé?
Jeune homme: De peau.
Savant: Et comment tu t'es senti après que je t'ai frappé?
Jeune homme: Douloureux.
Savant: Même si Shaytan (Satan) et aussi l'enfer ont été créés de feu, si Allah le veut, insh-Allah, l'enfer deviendra un endroit extrêmement douloureux pour Satan!
"... un jeune étudiant auprès d'un grand savant passait aux alentours de la demeure de son professeur avec sa Mère, il l'interpella et lui dit : "Vois-tu maman, untel a des milliers de preuves concernant Allah ". Elle lui rétorqua simplement : "Mon fils s'il n'avait pas 1000 doutes au sujet d'Allah, il n'aurait pas 1000 preuves". Etant non loin de là, le savant leva les mains et implora :
" Seigneur, accorde moi le niveau de foi de cette vieille dame ".
Deux anges s'arrêtèrent pour passer la nuit, dans la maison d'une famille aisée, cependant la famille était très méchante, non chaleureuse, et refusa que les anges demeurent dans la chambre d'amies de la maison ; à la place ils laissèrent les anges dormir dans une petite pièce située dans le sous-sol froid.
Durant le temps qu'ils faisaient leurs lits dans le sous-sol dur, le plus âgé des anges aperçu un trou dans le mur et le répara.
Quand le plus jeune des anges demanda pourquoi cette bonne action envers des gens aussi mauvais?
Le plus âgé réplique :
« les choses ne sont pas toujours ce qu'elles paraissent »
La nuit suivante, les deux anges arrivèrent pour se reposer dans une autre maison où les gens étaient vraiment pauvres mais où le fermier et sa femme étaient très hospitaliers.
Après avoir partagé le peu de nourriture qu'ils avaient, le couple laissa aux anges leur lit afin qu'ils puissent avoir une bonne nuit de sommeil.
Lorsque le soleil de leva le lendemain matin, les anges trouvèrent le fermier et sa femme en larmes. Leur unique vache, de laquelle le lait était une bénédiction, gisait morte sur le sol.
Le plus jeune des anges était alors furieux et demanda au plus âgé des anges comment il avait pu laissé faire une chose pareille il lui dit :
« la première famille avait tout elle ne manquait de rien et tu l'a aidé en réparant leur trou dans le mur au sous-sol ; alors que la deuxième famille avait peu mais était disposé a tout partagé et tu as laissé la vache mourir !!! »
Le plus âgé des anges répliqua :
« les choses ne sont pas toujours comme elles paraissent, je vais t'expliquer pourquoi.
Quand nous sommes restés dans le sous-sol de la maison de la première famille, je me suis aperçu qu'il y avait de l'or dans le mur ; le propriétaire était tellement rempli de haine, ne voulant pas partager sa fortune et nourrir le pauvre, j'ai donc bouché le trou afin qu'il ne retrouve plus cet or.
Et la nuit dernière, lorsque nous étions endormis dans la chambre du fermier, l'ange de la mort venait cherchait la femme du fermier, j'ai négocié avec lui et je lui ai donc donné l'unique vache du fermier à la place.
Voilà pourquoi les choses ne sont pas toujours ce qu'elles paraissent».
Quelque fois, c'est exactement ce qui arrive lorsque les choses ne tournent pas de la façon dont où voudrait qu'elle tourne c'est-à-dire à notre avantage. Si vous avez la foi, vous n'avez qu'à croire que chaque mauvaise tournure des choses est à votre avantage
Un homme s'est réveillé Tôt pour faire la prière d'al fajr à la mosquée. Après s'être habillé et avoir fait ses ablutions, il se mit en marche vers la mosquée.
Une fois revenu à la moitié du chemin, il trébucha, salissant ainsi ses vêtements. Il rebroussa chemin vers sa maison, refit ses ablutions et pris une seconde fois le chemin de la Mosquée. Au même endroit, il trébucha salissant une seconde fois ses vêtements et s'en retourna chez lui pour refaire ses ablutions et changer de vêtements.
Sur le chemin de la Mosquée, un homme éclairant la route d'une lanterne l'aborda:
- Qui es-tu? Demanda l'homme à l'inconnu,
- Je t'ai vu tomber deux fois, alors j'ai décidé de t'aider en t'éclairant le chemin.
À la porte de la mosquée, l'homme demanda à l'inconnu d'entrer pour prier avec lui; une offre qu'il déclina vigoureusement. L'homme lui demanda la raison de son refus d'entrer à la mosquée:
- Je suis Satan, répondit l'inconnu. Je t'ai fait tomber la première fois pour t'empêcher de prier, mais quand tu es revenu après avoir refais tes ablutions et changer tes vêtements, Allah t'avais pardonné tous tes péchés. La seconde fois que je t'ai fais tomber, Allah pardonna a ta famille. J'ai eu peur qu'Allah pardonne à tout ton village si tu tombais une troisième fois!
Il y avait dans un village un vieil homme très pauvre, que les rois eux-mêmes jalousaient car il possédait un magnifique cheval blanc. Ils lui proposaient des sommes fabuleuses pour ce cheval, mais l'homme refusait systématiquement :
" Ce cheval n'est pas un cheval pour moi, disait-il, c'est une personne. Et comment pouvez-vous vendre une personne, un ami ? "
Il était pauvre, mais jamais il ne vendit son beau cheval. Un matin, il s'aperçut que le cheval n'était plus dans son écurie. Tous les villageois se rassemblèrent et s'exclamèrent :
" Pauvre fou de vieillard ! Nous savions qu'un jour ce cheval serait volé. Il aurait mieux valu le vendre. Quel malheur ! "
Le vieillard répondit :
" N'allez pas si loin. Dites simplement que le cheval n'est pas dans l'écurie. Ceci est un fait, tout le reste est un jugement. Je ne sais si c'est un malheur ou une bénédiction, car ce n'est qu'un fragment. Qui sait ce qui va suivre ? "
Les gens se moquèrent de lui. Ils avaient toujours pensé qu'il était un peu fou. Mais quinze jours après, une nuit, le cheval revint. Il n'avait pas été volé, il s'était simplement échappé. Il ramenait avec lui une douzaine de chevaux sauvages ! Les gens s'assemblèrent à nouveau :
" Vieil homme, tu avais raison, dirent-ils, ce n'était pas un malheur. En réalité, cela s'est avéré être une bénédiction. "
Le vieillard répondit :
" De nouveau, vous allez trop loin. Dites simplement que le cheval est de retour. Qui sait si c'est une bénédiction ou non ? Ce n'est qu'un fragment de la vie. Vous lisez un seul mot dans une phrase - comment pouvez-vous juger du livre tout entier ? "
Cette fois, ils ne purent ajouter grand-chose, mais en eux-mêmes ils savaient qu'il avait tort. Douze magnifiques chevaux étaient arrivés ! ...Le vieil homme avait un fils unique qui commença à dresser les chevaux sauvages. Une semaine tout juste après, il tomba de cheval et se brisa les jambes. A nouveau les gens se réunirent et, à nouveau, ils jugèrent :
" Tu avais encore raison, c'était un malheur ! Dirent-ils. Ton fils unique a perdu l'usage de ses jambes, et il était le seul soutien de ta vieillesse. Maintenant, te voilà plus pauvre que jamais. "
" Vous êtes obsédés par le jugement, répondit le vieil homme. N'allez pas si loin. Dites seulement que mon fils s'est brisé les jambes. Personne ne sait si c'est un malheur ou une bénédiction. La vie vient par fragments et vous ne pouvez tout connaître à l'avance. "
Quelques semaines plus tard, il advint que le pays entra en guerre et tous les jeunes gens de la ville furent réquisitionnés de force par l'armée. Seul le fils du vieil homme ne fut pas pris, car il était infirme. La ville entière se lamentait et pleurait : c'était une guerre perdue d'avance et tous savaient que la plupart des jeunes gens ne reviendraient jamais. Ils se rendirent auprès du vieil homme :
" Tu avais raison, reconnurent-ils, cet accident s'est avéré être une bénédiction pour toi. Il se peut que ton fils soit infirme, mais il est encore avec toi. Nos fils, eux, sont partis pour toujours. "
Le vieil homme dit encore :
" Vous continuez à juger sans cesse. Personne ne sait ! Bornez-vous à dire que vos fils ont été contraints d'entrer à l'armée et que mon fils ne l'a pas été. Seul Dieu, le Tout Puissant, sait s'il s'agit d'une bénédiction ou d'un malheur. "
Ne fuis pas le seuil de Dieu à cause d'une épreuve qu'Il t'a imposée. Car Il connaît mieux que toi-même ton propre intérêt. Il ne t'éprouve que pour un intérêt et pour une sagesse qui t'échappent. Lorsqu'Il t'éprouve, restes ferme : Rappelles-toi tes péchés, multiplies la demande de pardon et demandes-Lui la constance et la fermeté pour supporter l'épreuve.
Mets-toi entre Ses mains, accroches-toi au pan de Sa miséricorde ; demandes-Lui de t'en délivrer et de te montrer l'intérêt qui se cache derrière cette épreuve.