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Contagion sioniste - Un intégrisme politique ravageur
a
26 décembre 2005 14:50
Contagion sioniste - Un intégrisme politique ravageur
Jean Dornac


Dieu n’a pas de religion : 8 - Sionisme contemporain : Un intégrisme politique ravageur

Deuxième partie :

L’intégrisme, qu’il soit politique ou religieux, est responsable des pires crimes qu’aient eu à subir des foules d’humains tout au long de l’histoire. L’intégrisme est une traduction de l’orgueil d’un individu ou d’un groupe d’individus, selon le cas, traduit en mots, en paroles et en actes. Comme tout orgueil celui-ci ne peut qu’être monstrueux et finit par être criminel lorsqu’il atteint la plénitude de son développement.

Concernant plus précisément le sionisme, pour être équitable, pour être juste, il faut que je répète qu’il y en a plusieurs sortes. Cette réalité se retrouve à propos de toutes les idéologies, comme en toute religion instituée. Il y a des fanatiques comme il y a des doux ; des endoctrinés comme des êtres encore sensés.

Nous avons vu que le sionisme des débuts n’a plus grand-chose à voir avec le sionisme d’aujourd’hui, hormis les motivations de base. On peut, et c’est mon cas, comprendre que le peuple juif, à la suite des pogroms subis en Europe centrale à la fin du 19ème siècle ait ressenti, du moins certaines de ses élites, le besoin de fonder un Etat indépendant. Et on le comprend encore mieux après la tragédie de la Shoah.

Je crois, c’est une perception tout à fait personnelle, qu’une première évolution très négative, même s’il y avait déjà eu des dérives sectaires avant la Shoah en Palestine de la part de certains groupes terroristes de fanatiques juifs, fut la Nakba. Le sionisme, à mes yeux, au travers de ce crime a commencé sa mutation vers l’intégrisme, à la fois politique et religieux. Les crimes de 1948 à 1949 étaient en effet présentés à la fois comme « compensation » après la Shoah, mais aussi comme conséquence du don de la terre palestinienne aux israélites qu’aurait fait Dieu, des milliers d’années auparavant. C’est ce que, comme d’autres, j’appelle le fait accompli qui, territorialement se traduisait par les frontières reconnues internationalement jusqu’en 1967.

La deuxième dérive, encore plus grave et sinistre, commença en cette année 1967 suite à la guerre des « six jours ». Même si les dirigeants sionistes d’Israël n’ont jamais perdu de vue le « eretz Israël », le « grand Israël », je ne crois pas, selon tous les témoignages que j’ai pu en lire, que les juifs, dans leur majorité, tant en Israël que dans la diaspora, visaient un tel but d’expansion coloniale. Mais à partir de cette date-là, ces dirigeants sionistes non seulement ne reculèrent plus, mais ne cessèrent d’aggraver leur main-mise sur les territoires palestiniens.

De défenseurs du peuple juif, ils devenaient les bourreaux du peuple palestinien et confirmèrent leur volonté d’Etat colonial, avec tout ce que le colonialisme comporte de crimes et de dérives de la pensée. Dès ce moment-là, les dirigeants de cet Etat raciste dans son fondement de choix ethnique unique, discriminatoire au travers de diverses lois, ne pouvait plus être soutenu par les humanistes, du moins par tous ceux qui n’avaient pas de liens idéologiques avec le sionisme. C’est ainsi qu’on a vu se lever des gens un peu partout dans le monde contre l’essence de cette idéologie ; c’est ainsi qu’on a vu de nombreux juifs rejeter, eux aussi, le sionisme et son esprit sectaire.

La contagion par les intérêts.
On ne peut pas parler de contagion à propos des juifs élevés dans l’idéologie sioniste, tous ceux d’entre eux qui y ont cru et y croient encore. C’est le cas, par exemple, de ces intellectuels de télévision dont j’ai parlé dans la première partie. C’est le cas aussi, de nombreux juifs en France, trompés de façon permanente par les idéologues, maintenus dans l’ignorance des réalités. On m’a rapporté plusieurs cas, tant ici qu’en Israël, de jeunes juifs, sionistes convaincus, qui, après avoir vu les preuves que nous pouvons leur soumettre, s’effondraient en larmes, perdant en quelques instants, toutes leurs illusions. Ceux-là, au moins, rejettent l’erreur lorsqu’ils comprennent l’ampleur de la manipulation ; ceux-là sont l’espérance de jours meilleurs et du retour de la justice sur la terre de Palestine.

Tout autre est la nature de la contagion au travers des intérêts communs. Et là, inévitablement, je pense aux diverses administrations américaines qui se sont succédées depuis la guerre de 67 et plus particulièrement à l’administration Bush actuelle qui va jusqu’à l’immonde de la complicité plus qu’active avec les idéologues sionistes.

Les sionistes américains
Les intérêts, sans être un grand stratège, sans être dans le secret des petits « dieux » de la politique mondiale, nous pouvons les définir de façon très simple :
Israël, ses dirigeants du moins, a besoin de la protection américaine pour conserver les territoires volés après 67 et pour pouvoir poursuivre ce vol et tous les crimes qui lui sont liés. Etant entendu que le veto américain systématique à l’ONU muselle celle-ci. Est donc recherché, à la fois, la protection militaire et la protection diplomatique. Les USA procèdent à un chantage de fait sur tous les autres pays du monde pour les faire taire et les rendre incapables d’agir dans le sens de la justice et de l’équité. Ce qui, au passage, condamne jusqu’au sens de l’ONU...
Les américains, eux, veulent s’installer au Moyen-Orient qui recèle l’essentiel des réserves de pétrole connues. Pour ce faire, ils ont besoin de plusieurs alliés. L’Arabie Saoudite dont ils se méfient, et Israël en qui ils ont toute confiance. Le lobby juif américain n’étant pas une invention d’antisémites acharnés, toute administration qui veut le pouvoir aux USA doit forcément servir les intérêts de ce lobby, l’un des plus puissants, non par le nombre, mais par la fortune. Ce lobby ne représente pas la majorité des juifs américains, mais c’est le plus puissant et le plus influent. Or ce lobby est sioniste.

Dès l’arrivée des néo-conservateurs à la tête des Etats-Unis avec Ronald Reggan, arrivent aussi dans ses bagages des gens comme Paul Wolfowitz. J’ignore si celui-ci est sioniste, c’est possible, probable même. Ses théories néfastes et nuisibles vont se concentrer sur le Moyen-Orient, la protection d’Israël, la chute du Shah d’Iran, comme la chute de Saddam Hussein. Cet homme veut le pétrole arabe sous sa botte, plus exactement sous la botte américaine. Détail malgré tout important, il est juif et son père, sioniste déclaré, s’est installé en Israël. Autre point à l’importance majeure, il a étudié avec les concepteurs de l’idéologie néolibérale. Il s’établit, entre eux, une complicité de fait. Il était et est sans doute toujours ami avec des gens comme Francis Fukuyama, l’un des partisans du « choc des civilisations » porteur d’une haine féroce contre le monde musulman, Richard Pearle, Douglas Feith qui ont été, tous les deux, des conseillers en 1996 du gouvernement israélien du Likoud de Benyamin Netanyahu, porteurs, eux aussi, de la même haine. Désormais, hélas, Wolfowitz dirige la banque mondiale. Il a les mains libres pour écraser, au profit exclusif des Etats-Unis, tous les pays qui oseraient être récalcitrants face aux prétentions américaines.

Comment penser, sérieusement, qu’il n’y a pas interconnections entre le gouvernement américain actuel et le gouvernement israélien, à défaut de complot, alors que des conseillers américains se sont immiscés dans la politique israélienne ?

Il est plus qu’intéressant de voir qui sont un certain nombre de dirigeants américains actuels à divers niveaux de la hiérarchie. Ces gens qu’on présente, et qui se présentent, comme parfaitement respectables sont, à mon avis, des gens extrêmement dangereux, des fauteurs de guerres et d’assassinats passés, actuels et à venir. A la lecture de leur pedigree, comment encore accepter la vaste plaisanterie de fort mauvais goût qui consiste à dire que l’Amérique actuelle est encore une démocratie ?

Les informations que je donne, ci-dessous, sont issues du réseau voltaire mais vérifiables ailleurs. Pour bien comprendre mon titre de « contagion de l’idéologie sioniste », il faut se souvenir des liens étroits entre les dirigeants américains et les dirigeants israéliens. A dessein, je retranscris à nouveau une déclaration pas très ancienne d’Ariel Sharon au cours d’une interview avec Shimon Perez. Celle-ci donne tout son poids à la notion de contagion de l’idéologie sioniste :
Ariel Sharon, le 3 octobre 2001, affirmait sur Kol Yisrael Radio :
« A chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela... Je veux te dire une chose très claire : ne t’inquiètes pas des pressions américaines sur Israel. Nous, le peuple Juif, contrôlons l’Amérique, et les Américains le savent ».

Ces criminels qui ont la prétention de gouverner le monde
1) Les idéologues...
Samuel Huntington : « Idéologue de la « protection » du libre marché global par l’armée US. Théoricien du « clash des civilisations » : Diviser l’humanité en civilisations distinctes, écraser le monde arabo-musulman, puis la Corée et la Chine, enfin l’Europe ».

En termes simples, cela signifie un racisme à haute dose, tout à fait similaire aux idées nazies. A-t-il prévu, lui aussi, les camps d’extermination ou veut-il éviter ces frais en passant par des guerres d’extermination ?

Robert D. Blackwill : « Précepteur à domicile, il a formé Bush père et fils à la politique internationale. Membre des principaux clubs de la caste dirigeante - Concil on Foreign Relations - Trilatéral commission - Bilderberg group. »

William Kristol : « Rédacteur en chef du Weekly Standard, l’hebdomadaire des néoconservateurs. Président du Projet pour un nouveau siècle américain, le tink-tank électoral de George W. Bush. Prophète de la destinée manifeste des USA à dominer militairement le monde. »

Robert A. Kagan : « Editorialiste du Washington Post et vulgarisateur de la pensée néoconservatrice. Il interprète l’art de vivre des Européens comme un symptôme de leur décadence et glorifie la violence créatrice de la politique étrangère et économique des USA. »

2) Les mégalomanes...
Frank J. Gaffney Jr. : « Coordinateur et porte-parole des Faucons. Milite pour un accroissement exponentiel des budgets militaires et une présence des troupes US partout dans le monde. Rêve d’une armée de l’espace qui dominerait la Terre ».

Donald Rumsfeld : « Secrétaire à la Défense, il prédit les attaques du 11 septembre deux minutes avant qu’elles ne surviennent. Puis il les instrumentalise pour augmenter les budgets militaires et ébaucher une armée spatiale capable de dominer définitivement la Terre ».

3) Les manipulateurs...
Stephen J. Hadley : « Conseiller adjoint de Sécurité nationale, chargé de saboter la Cour pénale internationale. Il a fourni à l’ONU de faux documents sur l’acquisition de la bombe atomique par l’Irak. »

Zalmay Khalilzad : « Principal expert du département d’Etat, dans les années 80, en charge de la fabrication et de la manipulation des mouvements islamistes. En Afghanistan, il installe successivement les talibans, puis Hamid Karzaï. Actuel ambassadeur spécial pour l’Irak. »

4) Les assassins...
Simon Pete Worden : « Directeur du Bureau d’Influence Stratégique, prétendument dissous. Sa mission : Eliminer politiquement les adversaires du régime Bush dans les Etats alliés, notamment Jacques Chirac. »

Elliot Abrams : « Superviseur des escadrons de la mort au Salvador et au Guatemala, il fut l’un des cerveaux de l’Irangate. Considère que la laïcité en France est une persécution religieuse. Membre du Conseil de sécurité nationale, en charge du sabotage des accords d’Oslo. »

George J. Tenet : « Directeur de la CIA, il a négligé de lire les rapports annonçant le 11 septembre et obtenu une augmentation de 40% du budget de son service. Il a été autorisé par Bush à fomenter des complots et à exécuter des dirigeants politiques dans 80 pays. »

5) Sionistes et racistes déclarés...
Richard Perle : « Trafiquant d’influence. Conseiller de Benjamin Nétanyahu, puis de Donald Rumsfeld, directeur du Jerusalem Post et homme d’affaires. Milite pour la déportation des Palestiniens en Irak et la punition de la France. »

Daniel Pipes : « Affirme que les musulmans sont inassimilables aux USA et préconise leur exclusion de la fonction publique et des armées. Organisateur de la « chasse aux sorcières » sur les campus, il a fait exclure des universitaires favorables aux droites des Palestiniens. »

Douglas J. Feith : « Lauréat de l’Organisation Sioniste Américaine (ZOA). Sous-secrétaire à la Défense, partisan de l’annexion par Israël de tous les Territoires palestiniens et de la déportation des populations de Gaza et Cisjordanie en Irak. »

6) Les profiteurs des crimes...
A titre personnel...

George Schultz : « Ex-secrétaire d’Etat, Président du Comité pour la libération de l’Irak et administrateur du Bechtel Group, société de travaux publics. Il a fait campagne pour le bombardement massif de l’Irak avant de rafler le marché de sa reconstruction. »

Richard B. Cheney : « Ex-PDG d’Halliburton (équipements pétroliers) et de KBR (mercenaires). Vice-Président des Etats-Unis, il sous-traite une partie de l’action militaire en Irak aux troupes de KBR et confie la reconstruction d’infrastructures irakiennes à Halliburton. »

Lewis S. Libby : « Avocat de la mafia. Secrétaire général du vice-président Cheney , il anime à la Maison-Blanche le groupe ultrasecret de Développement de la politique énergétique nationale (NEPD), avec les dirigeants d’Enron et des grandes compagnies pétrolières. »

Au titre de l’Etat...
Condoleezza Rice : « Spécialiste des appareils d’Etat soviétique et américain. Administratrice de la Rand Corporation et de Chevron-Texaco. Actuelle conseillère de Sécurité nationale, elle supervise l’ouverture des marchés pétroliers par les armes. »

Brent Scowcroft : « Ex-conseiller de Sécurité nationale reconverti dans le lobbying. Partisan de la guerre au terrorisme qui permet d’éliminer les oppositions locales aux intérêts des compagnies US dans le Tiers-Monde. »

James Baker III : « Ex-secrétaire d’Etat devenu administrateur du Carlyle Group, la société qui gère les portefeuilles des Bush et des Ben Laden. Il a rédigé le plan de « conservation » du pétrole irakien par les forces US. »

(Attention, certaines informations ont un peu évolué, notamment les postes attribués à ces « sympathiques » personnages, après la réélection de Bush junior - mais ne vous inquiétez pas, ils sont toujours là pour notre plus grand malheur...)

En prenant conscience de ce que sont ces gens, dans leur vérité, on peut se décourager, certes. Ils sont les serviteurs de toutes les mauvaises causes, sous le label de la « lutte du Bien contre le Mal », slogan sorti tout droit du cerveau d’un philosophe féru de marketing publicitaire puisqu’il inverse la vérité... un dénommé Léo Strauss...

Les idéologues, mêlés aux religieux et aux politiciens, en passant par les hommes d’affaires, notamment les vendeurs d’armes et les grands groupes financiers, sont les humains les plus dangereux pour toute l’unique race humaine composée de toutes ses familles. Dans ces personnages, aujourd’hui représentés jusqu’à la caricature par Bush et son équipe, d’une part, par les sionistes et Sharon, d’autre part, nous nous trouvons face à un condensé de ce qui se fait de pire dans le mélange de l’orgueil, de la cupidité et des mensonges.

Ma petite personne sans importance, au travers de cette minuscule voix qui s’appelle ma conscience, me dit que, là, nous nous trouvons devant l’alliance de toutes les forces ténébreuses que peut comporter ce monde. Je ne vais pas disputer à George Bush junior sa conception du mal et du bien. Qu’il se débrouille avec sa conscience : Moi, avec mon innocence, ma réputation de naïf permanent, en dépit de mon âge, je regarde et je vois les résultats :
Deux guerres contre l’Irak
Une guerre contre l’Afghanistan.
L’Amérique du sud sous la botte
Le monde en danger par le refus des dirigeants américains de changer le style de vie du peuple hautement meurtrier pour l’écologie
Côté américain, rien que cette liste, qui ne montre que trois fois rien, pèse déjà d’un poids immense sur tous les humains ;

Plusieurs guerres contre le monde arabe
Le vol des territoires palestiniens
L’assassinat de tout un peuple
La négation de l’existence de ce peuple
Le racisme et le mensonge
Cela pour le côté israélien, pour le résultat de l’idéologie sioniste.

Des deux côtés, le même orgueil, la même rapacité, les mêmes manipulations et mensonges. Il eut été anormal que ces deux pays ne fassent pas une alliance, mais une de ces alliances qui peut mener l’humanité entière à sa fin.

Devant ce tableau, en rien mensonger, en rien manipulé, devant l’exposition d’une petite partie des conséquences de leur intégrisme politique, comment ne pas voir, instantanément où est le Mal véritable et largement vérifiable ?

C’est aux fruits qu’on reconnaît la valeur d’un arbre, disait un être exceptionnel, il y a deux mille ans... Et il n’est nul besoin d’être savant pour s’en rendre compte... Juste un peu d’honnêteté et de lucidité...

La suite tentera de montrer la contagion et la collusion des milieux intégristes, cette fois religieux, tant chrétiens que juifs...


"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
a
26 décembre 2005 14:56
L’« antisémitisme », une notion à détruire
mercredi 14 décembre 2005 , par Jean Dornac








Après le court mais nécessaire historique des raisons de l’existence d’un racisme contre les juifs, il me faut à présent développer la partie la plus délicate.

Je tiens à préciser, à cause de l’utilisation abusive et corrompue du terme « antisémite », que cet écrit n’est pas dirigé contre les juifs, groupe humain que je considère et respecte de la même façon que chaque groupe humain partout sur la terre. Il n’y a pas, pour moi de « peuple élu » ou « de peuple rejeté » ; de « race supérieure » ou de « race inférieure » !

Il n’y a tout simplement pas de races, pas plus qu’il n’y a de « peuple élu » !

Si j’admets et, pour ma part, j’en suis certain sans l’ombre d’un doute, que Dieu existe [1] , Lui, plus que tout autre vivant, ne peut vouloir l’exclusion de la majorité au profit d’une minuscule minorité. Il n’aurait plus rien à voir avec l’Amour qu’à mes yeux Il incarne, un Amour tellement immense que nous ne pouvons même pas le comprendre.

Je ne vous parlerai pas plus de ma foi, sinon qu’elle existe en-dehors des religions. Et si je fais cette allusion à ma vérité, tout en sachant que je choquerai nombre de militants, c’est par honnêteté envers tous et parce que je n’ai rien à cacher. Je veux que tout soit limpide, parce que, si ces textes connaissent une destinée valable, je ne pourrai échapper à toutes sortes de diffamations, rumeurs et autres attaques chargées de haine.

Mon seul regret par rapport à ce combat qui s’impose à moi, ce combat que je n’ai pas cherché, c’est la tristesse ou l’amertume que pourra provoquer ma prise de position. Des amis juifs, oui, j’en ai ; des amis chrétiens, j’en ai aussi ; des amis musulmans, j’en ai également ; de même que de nombreux amis athées ou agnostiques. Beaucoup d’entre eux risquent d’être blessés par mes écrits alors qu’en rien ce n’est mon but ou ma volonté.

Un mélange de genre, volontaire et entretenu

Pour l’Etat d’Israël comme pour tous ceux qui se déclarent sionistes, qu’ils soient ou non juifs, la notion d’antisémitisme est l’arme absolue pour réduire au silence les humanistes de plus en plus nombreux qui ne peuvent accepter l’écrasement du peuple palestinien.

Cette arme de l’antisémitisme, un mot pourtant créé par un raciste allemand un peu plus de soixante ans avant la Shoah, comme nous l’avons vu dans l’article précédent, ce mot, depuis la fin de l’abomination « des camps de la mort », a été récupéré dans l’espérance d’imposer la mauvaise conscience et d’imposer dictatorialement le silence à tous ceux qui sont opposés au projet colonialiste des idéologues sionistes.

L’idée des sionistes fanatiques est de semer la confusion en assimilant les opposants à leurs projets criminels aux monstres nazis. Tout opposant doit être considéré et dénoncé comme « un fils spirituel des nazis », voilà le but de la manipulation. Ce qui doit induire comme idée que le sionisme actuel poursuit la lutte contre les auteurs de l’holocauste et leurs descendants spirituels. Ceci doit aussi induire dans l’esprit des ignorants, la plus grande part de nos contemporains, la notion de combat entre « le bien et le mal », cette notion allègrement reprise par Bush et son équipe.

On s’aperçoit, par conséquent, que la confusion consiste, tout comme la confusion semée par les néolibéraux dans tant d’autres domaines, à inverser la vérité et son sens. Il s’agit, et on peut le vérifier facilement, de présenter « le mal comme étant le bien et le bien comme étant le mal ». Si l’on possède, un tant soi peu, une connaissance spirituelle, on reconnaît, très précisément à ce procédé, le sens et la raison d’être perpétuels du mensonge et de ses serviteurs.

Les sionistes fanatiques s’appuient donc sur l’horreur de la Shoah, « un mal absolu », notion que j’appuie sans réserve, pour justifier leurs propres crimes, transformant par la confusion ces crimes en nécessité de survie, donc en « bien tout aussi absolu ».

0n s’aperçoit aussi, que pour parvenir plus aisément à leurs fins, ils instrumentalisent Dieu, qu’il s’agisse des sionistes en Israël et dans le reste du monde, ou des fanatiques chrétiens qui « traînent » autour de Bush et sont, en définitive, les véritables chevilles ouvrières de sa politique de guerre mondialisée.

Il n’est pas innocent qu’ici, en France, de « réputés intellectuels » comme Alain Finkielkraut, Pierre-André Taguieff, Bernard Henry Levy, Elisabeth Schemla, Arno Klarsfeld, Roger Cukierman, André Glucksmann, Johan Weisz, William Goldnadel, Alexandre Adler aient soutenu la guerre de GW Bush en Irak et tentent de nous présenter les USA comme l’idéal à atteindre. Que ces personnes soient juives ou pas n’a rigoureusement aucune importance. Les crimes perpétrés par le sionisme international n’ont nul besoin de la judaïté de ses soutiens.

La comparaison que je vais faire n’est pas innocente. Comprenant le sionisme contemporain, autrement dit celui qui est né après la seconde guerre mondiale, comme une idéologie colonialiste et impérialiste et non plus comme une idée au service de la protection du peuple juif, j’arrive à ce constat : Pas plus que le nazisme était une spécificité allemande, tous les Allemands n’ayant pas été nazis de cœur, pas plus le sionisme est une spécificité juive, puisque tous les juifs ne sont pas sionistes et que certains sionistes ne sont pas juifs.

Ce point, si on le comprend vraiment, enlève tout force à la notion d’antisémitisme et la rend caduque. Le combat que nous menons en soutien au peuple palestinien n’est pas et ne peut pas être un combat contre le peuple juif d’Israël pas plus qu’il n’est contre tous les juifs de la diaspora.

Ce problème n’est pas un problème spécifique aux juifs ;

c’est le problème d’idéologues préoccupés de voler une terre pour s’y installer ;

c’est le problème de puissants, dont la judaïté de certains n’intervient pas et n’est qu’un prétexte, qui veulent instituer « un homme nouveau » à l’exemple de toutes les dernières idéologies totalitaires dont le monde a eu à souffrir tout au long du 20ème siècle.

Nous aborderons au cours de la suite de l’analyse le sionisme contemporain et ses alliances avec le sionisme chrétien ainsi que les implications connexes induites notamment dans la mondialisation actuelle. Recentrons-nous, à présent, après ce détour nécessaire, sur l’antisémitisme lui-même.

L’antisémitisme, aujourd’hui, est une notion creuse

Nombre de juifs en France et d’observateurs indépendants reconnaissent qu’il n’y a pas d’antisémitisme français à notre époque. Ce que certains des intellectuels nommés plus haut, en complicité avec de nombreux dirigeants politiques français, de tous les bords politiciens, appellent « antisémitisme » est souvent le résultat de l’exaspération de fils d’immigrés musulmans dans nos banlieues.

Je crois, pour l’avoir lu mais aussi pour y avoir réfléchi, que dans la majorité des cas, les jeunes de banlieue ne sont pas antisémites, mais anti Israéliens ou « israélophobes », ce qui n’a rien à voir. Ils ne sont pas contre les juifs, parce que ces derniers sont nés juifs, mais ils sont contre un Etat qui écrase et humilie un peuple frère et musulman. Ne pas comprendre cette différence est soit une volonté manipulatoire, soit une incompétence grave lorsqu’il s’agit de gouvernants ou d’auteurs de rapports.

Et comment ne pas être convaincu de la volonté manipulatoire de nos gouvernants, comme du plus grand nombre de nos médias, si l’on songe à l’affaire du RER, la « prétendue agression antisémite » montée en épingle comme la preuve de l’antisémitisme français. Le ridicule dans lequel se sont retrouvés ces divers dirigeants ne nous a pas échappé. Il n’empêche qu’ils ont recommencé peu de temps après lors de l’incendie d’une synagogue : Mêmes cris d’orfraie, même attitude scandalisée, mêmes alarmes soigneusement médiatisées et même refus de reconnaître leurs torts et leur aveuglement lorsqu’ils ont appris que l’incendiaire était un juif licencié quelque temps auparavant.

Cette façon de réagir de la part de nos autorités politiques, tout comme celle des responsables de quelques organisations juives françaises, montre toute leur irresponsabilité ou toute leur duplicité. Je crains, pour ma part, qu’il ne s’agisse plus de duplicité que de bêtise. Ce faisant, les uns comme les autres, s’ils servent leurs intérêts, ils desservent surtout totalement la communauté juive de France. Ces autorités, toutes confondues, en y ajoutant les « intellectuels » cités plus haut, ne se sont pas assignés comme mission la défense du peuple juif français, mais la promotion et surtout la protection de la réalité coloniale fascisante de l’Etat d’Israël ainsi que de l’idéologie sioniste contemporaine, ce qui n’est plus la même chose.

Nécessité pour les juifs eux-mêmes de cesser de se singulariser

Il apparaît évident pour un homme comme moi, si je veux être sincère dans ma défense des droits de tous les hommes comme de tous les peuples, et je veux cette sincérité, que les juifs, mes frères en humanité, tous ceux du moins qui ne se placent pas dans les calculs du sionisme contemporain, doivent comprendre qu’ils ne peuvent plus réclamer une quelconque spécificité humaine.

Se réclamer « seul peuple élu de Dieu », c’est attirer sur soi un regard envieux, jaloux, mortel de la part de tous les orgueilleux qui ne peuvent accepter cette notion de peuple élu ni le rejet que cela implique pour eux-mêmes.

Lorsque les dirigeants sionistes et religieux, tout comme les racistes de tous bords, dans un même élan, cherchent à nous faire croire qu’il n’y a « qu’un juif », que tous sont identiques, comme faits dans un moule unique, comment ne pas voir l’immensité de l’absurdité d’une telle affirmation ? Il y a une diversité de personnes et de pensée chez les juifs comme au sein de tout peuple. Ces dirigeants sont coupables de fabriquer, sciemment et consciemment, la cible que les racistes pourront attaquer sans difficulté. Ce sont ces dirigeants qui, aujourd’hui, sèment l’amalgame, le mensonge et la confusion. Ce sont eux qui ont intérêt à utiliser la notion d’antisémite, qui la perpétuent et la corrompent.

A tous ceux, juifs comme non-juifs, qui ne vivent pas de calculs, mais sont imprégnés de la confusion semée sans cesse, il faut dire et expliquer que vouloir maintenir la notion « d’antisémitisme » relève d’une erreur grave. User et vouloir pérenniser un terme particulier pour désigner le racisme dont les juifs peuvent faire l’objet est une erreur qui peut devenir fatale. Qu’ils comprennent donc que ce terme a été créé par un homme qui leur vouait une haine féroce et qu’en privilégiant ce terme ils pérennisent cette haine originelle !

Qu’ils comprennent, c’est urgent, qu’ils font partie de l’immense foule humaine, ni plus ni moins et, qu’à ce titre, ils sont victimes comme tant d’autres du racisme. Ce racisme n’est pas spécifique à leur peuple : du moins depuis la fin de la seconde guerre mondiale, il ne l’est plus. Ce n’est pas contre l’antisémitisme qu’eux, comme nous, nous devons nous battre, mais bel et bien contre le racisme hideux, cette plaie purulente de l’âme humaine incapable de comprendre et d’accepter que tout homme est frère de tous les autres hommes.

Si les juifs ne veulent plus être une cible particulière des racistes, alors qu’ils se rangent avec nous tous, dans la lutte sans merci contre le racisme multiforme et multi-cibles.

Il faut que le peuple juif, celui d’Israël comme celui de la diaspora, comprenne que certaines logiques humaines et les choix qui en découlent impliquent des conséquences :

- Si nous acceptons de pérenniser la notion d’antisémitisme pour désigner le racisme qui vise les juifs, nous ne pouvons pas faire autrement, au simple regard de la justice et de l’équité entre tous les hommes et tous les peuples, que d’inventer des termes spécifiques pour tout peuple victime d’un racisme particulier. Nous n’en sortirons pas...

- Si les juifs acceptent de reconnaître qu’ils sont un peuple parmi les autres peuples, alors seule la notion de racisme désignera les actes dont ils peuvent être victimes. Et notre combat, enfin commun, n’en sera que plus puissant pour abattre la lèpre de l’esprit qu’est tout racisme.

Il faut, et c’est urgent, reconnaître que le racisme a une portée universelle ; que son but, sa raison d’être est de détruire l’harmonie pourtant nécessaire entre tous les hommes ; qu’il vise tout homme, que ce soit pour son appartenance à un groupe humain spécifique, à une religion donnée, à une culture donnée ou à un pays particulier.

Dans ces conditions, maintenir une notion comme « l’antisémitisme », c’est déjà affaiblir ce combat vital pour la survie de l’humanité, de toute l’humanité.

Mais pour parvenir à un tel résultat, que je crois absolument nécessaire, il faut que les juifs acceptent, même si c’est douloureux, de ne plus se penser en fonction du critère énoncé récemment par Elie Weisel : « Nous les Juifs, peuple élu de Dieu, nous sommes des princes » Cette phrase, prononcée par un prix Nobel de la paix que je respectais, m’a plongé dans un abîme de tristesse. En elle-même, elle comporte tous les éléments du racisme subi par les juifs et tous les éléments du racisme que l’Etat d’Israël fait subir en particulier au peuple palestinien. Elle est marquée du sceau d’un orgueil absolu et sans bornes. Or, le racisme est toujours induit par un orgueil de ce type, un orgueil qui mène à tous les crimes.

Si l’on est rationnel, si l’on est véritablement honnête, si l’on veut rigoureusement combattre le racisme avec toute la force que nécessite un tel combat, il faut commencer par ne pas faire de distinction entre les peuples, les religions, les groupes humains.

Ce qui ne signifie pas ne pas respecter les différences dues à toutes sortes de critères, surtout culturels. La vie est diversité et doit le rester. Mais cette diversité n’implique jamais pour un esprit qui raisonne sainement une notion de supériorité des uns par rapport aux autres.

Ce que je trouve tragique, c’est qu’en adoptant la posture intellectuelle induite par le sionisme, certains de ceux qui dirigent les juifs, certains politiciens, certains intellectuels, certains dirigeants d’associations mais aussi d’entreprises, de même que certains rabbins, imposent à tous les juifs un signe distinctif imprimé dans l’esprit de ces derniers. Et cette marque « tatouée » dans l’esprit des citoyens juifs ne peut pas ne pas se retrouver dans les attitudes de tous les jours, que ce soit dans les rapports aux autres groupes humains et dans la plupart des actes communs à tous les hommes. Cela revient à faire porter, volontairement, même s’il n’est pas visible, un signe distinctif semblable à la rouelle imposée par Louis IX ou à l’étoile de David imposée par les nazis.

Où donc est l’intérêt du peuple juif ?

Le pouvoir, déjà de façon naturelle, selon l’analyse à laquelle j’ai procédé cet été (voir rubrique : Autour du pouvoir) s’il veut se pérenniser, ne peut que chercher à infantiliser le peuple qu’il dirige, et cela par sa propre nature, sans même l’influence d’une quelconque idéologie. C’est déjà tragique et on en voit les conséquences tout au long de l’histoire humaine.

Mais la situation s’aggrave nettement lorsque ce pouvoir, de plus, sert une idéologie. Et c’est encore pire lorsque cette idéologie comporte et défend la notion de « supériorité » d’un peuple.

Si les dirigeants d’un pays comprennent et acceptent que le pays qu’ils dirigent et donc son peuple font partie d’un tout, qu’ils ont leurs spécificité, mais que cela ne signifie nullement une quelconque supériorité, ce pays et son peuple, auront une vie normale comparable à tous les autres peuples.

Mais si ces dirigeants, comme en Israël, gouvernent avec la pensée orgueilleuse que leur pays et leur peuple sont supérieurs à tout autre, alors ce pays et ce peuple seront porteurs de crimes et d’horreurs potentiels.

Rien que depuis un siècle, ce type d’orgueil a donné quoi ?

L’abomination nazie
L’abomination de l’apartheid en Afrique du Sud
L’horreur du Rwanda
Les criminelles politiques colonialistes de la France et de l’Angleterre
La même politique criminelle de l’équipe gouvernementale américaine actuelle
Et depuis soixante ans, les crimes de l’Etat israélien contre le peuple palestinien, pour ne citer que les plus connus...

Cette manière de diriger un peuple et de l’éduquer dans l’orgueil absolu, dans la certitude de sa supériorité, aggravée encore par les prétextes religieux au travers de l’instrumentalisation de Dieu, induit, nécessairement et inéluctablement l’enchaînement de la haine puis de la violence, une violence de plus en plus extrême à mesure que l’agresseur durcit son attitude et ses crimes à l’encontre du ou des agressés. Les actes de défense de ces derniers, sous l’influence du mensonge et de la manipulation de masse, seront toujours présentés comme une sauvagerie absolue, aujourd’hui, comme un « terrorisme barbare ». L’agresseur qui a abandonné toute écoute de sa conscience, toujours, et dans tous les cas cités juste au-dessus, inversera la réalité des responsabilités. La propagande assénée par des gens à l’esprit fielleux nous montrera que l’agresseur est toujours la victime et l’agressé toujours le coupable.

Or, dans le cas de l’utilisation de la notion « d’antisémitisme », la manipulation va plus loin encore. Pour garder le « nécessaire » statut de victime éternelle, les sionistes utilisent et font tout pour imposer au monde ce mot d’antisémitisme qui, forcément ramène au statut de victime.

Un esprit lucide, et j’espère l’être, comprendra ceci et trouvera la force de stigmatiser la manipulation quoi qu’il puisse lui en coûter : Cette notion « d’antisémitisme » est le bâton avec lequel certains juifs, les idéologues sionistes, frappent leur peuple et se frappent eux-mêmes, pour confirmer par des apparences trompeuses, leur statut d’éternelle victime de tous.

La notion d’antisémitisme, instrumentalisée par les idéologues du sionisme contemporain, est, par conséquent, une imposture totale, une injure à l’intelligence humaine et une négation de la vérité.

Cette notion, avec l’idéologie sioniste contemporaine, est le chemin le plus sûr pour amener tout un peuple vers d’immenses malheurs.

Pour paraphraser le sens de certains textes bibliques je dirais comme conclusion :

« Les pasteurs du peuple juif chargés de le conduire vers les verts pâturages, parce qu’ils se sont vendus au Mal, le conduisent vers d’insondables précipices... »


"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
a
26 décembre 2005 14:57
c long
ceux qui veulent un résumé , dsl noel est passé smiling smiley
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
V
26 décembre 2005 16:38
merci pour les 2 articles rifton , je te le jure , je les ai lus en entier
a
26 décembre 2005 16:40
t'as bien fait vador car ils sont interessants
et merci pour ta patience smiling smiley
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
f
26 décembre 2005 17:24
Cette liste est courte,...
Je suis en train de lire un livre en anglais, qui s'appelle
The house of Saud, the rise, corruption and coming fall of..
La famille Seoud, montée, corruption et chute de..

Par Said. K. Aburish
edition Bloosmbury

SI SI SI livre sera traduit en francais ou en arabe....un Tsunami se reproduira..

Si 10% de se que raconte ce livre est vraie...alors on est manipulés a 1000%

Ceux qui ont lus, ou feuilleté ce livre, ...Well let me hear you..


Notre ennemi est parmis nous, je pretend que les arabo-muslmans ont amplement les moyens de se developper, se faire respecter, liberer la Palestine et ecraser le fondamentalisme...mais je le repete notre ennemi is within..




Blad el orbane wa enouah el boum -Ghiwanes
Pays d'arabes et d'hullulement d'hiboux..

Avec mes respects pour les arabes, les vrais,...ceux qui soufrent
V
26 décembre 2005 17:33
fathi a écrit:
-------------------------------------------------------

> Notre ennemi est parmis nous

ca , on le sait depuis ben Arafa ........

la question à poser est : comment débusquer cet ennemi ..........???
s
26 décembre 2005 18:00
biensur que les arabes pourraient aceter les americains a coup de milliards de dollars et depuis longtemps le probleme du moyen orient aurait été reglé.
Mais comme dis dans ces 2 articles, le probleme est que les sionistes qui eux detiennent de l'argent et du pouvoir font tout pour sauvegarder et proteger israel.
a
26 décembre 2005 18:02
Vador a écrit:
-------------------------------------------------------
> fathi a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
>
> > Notre ennemi est parmis nous
>
> ca , on le sait depuis ben Arafa ........
>
> la question à poser est : comment débusquer cet
> ennemi ..........???


deja les plus visibles et risibles aussi les dirigeants arabes , suppots d'americains , motivés par la sauvegarde de leurs pouvoirs despotiques
ils entravent tout progres social economique du monde arabe
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
f
26 décembre 2005 18:02
C'est , meme dans les roman policiers de Shelock Holmes, la 1ere question a poser est

A qui profite le crime ?

Ces dynasties du Golf avec leurs petro-dollars , leurs wahabisme ravageur,
l'hebergement et LA SUBVENTION des 2 guerres du golfe sont les 1eres profiteuses de cet etat de fait.

La chaine Al Jazeera qui gueule toute la journée et a quelque centaine de metres de la Grande base usa au Quatar ???? n'est ce pas une contradiction ??



Tant que la population est occupées par la guerre du Golfe, et tant que la question et la misere palestinienne sont utilisées...


Bien sur les autres profiteurs tels que les marchands d'armes en profitent.

Mais un marchand n'existe que par ce que le client et lä , et surtout pres a payer...
s
26 décembre 2005 18:26
ne vous leurrez pas dans ce bas monde tout est question d'argent et de pouvoir...........pas de place pour la compassion et le droit à la justice.....
A
26 décembre 2005 18:31
Salam fathi, il dit quoi d'autres le livre ????
 
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