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Ne pas confondre beur et blédard !
23 mai 2008 10:19
Citation
a écrit:
Je vous livre un article d'un journaliste algérien du Quotidien d’Oran (Akram belkaid)


Blédard... C’est dans le RER, il y a dix ans, que j’ai entendu prononcer ce mot pour la première fois. Des lycéens - beurs en majorité - chahutaient. Casquettes, vêtements et baskets de marque. Hurlements, bousculades, crachats au sol et insultes faciles : le smir façon banlieue parisienne. Triste mais habituel spectacle sur la partie nord de la ligne D abonnée aux retards et aux « incidents voyageurs » pour reprendre l’expression pudique de la SNCF. Je lisais La Nation et le bruit m’indisposait. Peut-être ai-je laissé s’échapper un soupir bruyant ou risqué un regard désapprobateur. De quoi, en tous les cas, provoquer la réaction immédiate de l’un des yôs - terme adopté par votre serviteur pour désigner les énergumènes nourris aux clips de rappeurs mythomanes, machistes et indécents. « J’en vois un qu’est pas content ! », a crié l’un d’eux. « Laisse-le tranquille. T’as vu son journal ? C’est un blédard », lui a conseillé un autre à mon grand soulagement. Soulagement ? Ceux qui, installés dans une rame quasiment déserte, ont fait un jour l’expérience de voir soudain débouler une horde de yôs me comprendront...

Je venais donc d’être classé - et à raison - dans cette catégorie que les médias français ont toujours du mal à appréhender quand il s’agit d’évoquer les sempiternelles questions liées à « l’intégration », à « l’immigration », au « malaise des banlieues » ou encore à « l’islam des cités », etc. Le blédard, c’est le nouveau débarqué. Nouveau en comparaison de ceux qui furent transportés en France au siècle dernier et dont l’ancienneté a en quelque sorte été transmise à leurs enfants. Des enfants de nationalité française mais dont on parle encore comme des « fils d’immigrés » voire des « immigrés de la nouvelle génération » ou mieux encore comme des « immigrés français ».

Blédard... Longtemps, ce terme a désigné, non sans un certain mépris, les cousins du bled. Ceux qui vivaient de « l’autre côté » et qui parfois, l’espace d’un visa ou d’une allocation de devises (qui se souvient de « ss’hâb trente- deux mille » ?), arrivaient en France pour quelques jours ou semaines. Mais aujourd’hui, le blédard, c’est avant tout celui qui vit depuis peu en France. Il n’y est pas né et s’il y a fait ses études, c’est souvent après le baccalauréat. Surtout, il parle l’arabe, du moins la darja, sans difficulté et ne dit pas « ouala » ou « sur le Coran » quand il doit jurer. En un mot, c’est l’Arabe de France, ou mieux, le Maghrébin de France qui n’est pas beur.

Le plus souvent, le blédard refuse absolument d’être confondu avec un beur. Dans ses rapports avec les « Français de souche » ou les « Gaulois » voire les « BBR » (bleu-blanc-rouge), il s’arrange rapidement pour mettre les choses au point. En un mot, son message c’est : « Je viens de ‘là-bas’. La cité, SOS Racisme et le reste, je ne connais pas ou peu. Et si c’est possible, je préfère ne pas connaître ».

L’auteur de cette chronique n’échappe pas à la règle. Il y a quelques années, je faisais remarquer à une consoeur parisienne que je trouvais symptomatique le fait qu’aucun journaliste de notre rédaction n’était beur ou encore moins d’origine antillaise ou d’Afrique noire. C’était en 2002, quelques semaines après l’arrivée de Le Pen au second tour et l’on parlait alors beaucoup de l’intégration et de l’absence de progrès en la matière. J’ajoutais même que notre journal n’était absolument pas une exception puisque la situation était identique dans toutes les chaînes de télévision et même dans d’autres quotidiens à commencer par celui « du soir de référence » toujours prompt à moraliser le monde via ses éditoriaux mais incapable de regarder sa propre réalité discriminatoire.

« Mais... et toi ? », m’a alors demandé ma consœur. J’ai répondu sans réfléchir mais avec beaucoup d’irritation que ce n’était pas la même chose. Que j’étais tout sauf « le beur de service ». J’étais un migrant, un étranger empli d’une autre réalité - celle de son pays d’origine - qui avait cherché du travail ailleurs que chez lui ; un Algérien qui aurait très bien pu atterrir à Doha ou à Montréal. A l’inverse, les stagiaires beurs que l’on voyait parfois passer dans la rédaction sans être jamais retenus - ils venaient pourtant des meilleures écoles de journalisme - étaient bel et bien de nationalité française. « Tu exagères ! », a insisté ma collègue en digne représentante de la bien « penseance » socialiste. « Il y a quand même des gens comme Rachid Arhab. Les choses avancent », a-t-elle ajouté. « Arhab est l’arbre qui ne cache aucune forêt », ai-je répondu pour clore cette discussion qui ne menait nulle part et qui reste encore d’actualité malgré les beaux discours et les promesses d’une télévision un peu plus bleu-blanc-beur.

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23 mai 2008 10:21
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Le premier observateur un tant soit peu attentif remarquera que le blédard et le beur ont des attitudes souvent différentes au quotidien. La relation que le premier entretient avec la France diffère en effet de celle qui, disons-le, oppose le second à ce même pays. Bien sûr, il y a le visa, les tracasseries à la préfecture et les obstacles - énormes, il ne faut pas se leurrer - pour l’emploi et le domicile. Mais le blédard est un optimiste. Inconscient peut-être mais optimiste ce qui le fait monter à l’assaut de citadelles dont il ignore tout de leurs défenses. Inconscience et absence de complexe qui, paradoxalement, lui ouvrent souvent des portes qui demeurent désespérément closes pour le beur. Le fait est que le blédard ne ressent pas sur son dos toute cette chape de rancoeur et même de révolte que nombre de beurs peuvent éprouver à l’égard de leur propre pays. Un pays qu’ils ne cessent d’accuser de les avoir privés du minimum de chances pour réussir. Le blédard est déjà dans un rapport post-colonial avec la France tandis que le beur demeure - à tort ou à raison - englué dans ce « continuum colonial » que dénoncent les associations qui veulent faire de la journée du 8 mai, l’occasion de manifester au nom des « indigènes de la République ». Dans le regard, dans le discours du beur, il y a souvent un désir de revanche, une volonté exacerbée de se voir enfin reconnaître sa place dans la société française. Cela influe sur son attitude, sa manière d’appréhender les événements les plus insignifiants de la vie courante. La « beur attitude », c’est un mélange de fierté, de colère et de susceptibilité. C’est une souffrance que l’on devine mais qui ne rend pas pour autant sympathique celui qu’elle torture.


Akram Belkaïd

Journaliste à la rubrique internationale du quotidien la Tribune, Akram Belkaïd est l’auteur du livre « Un regard calme sur l’Algérie » aux éditions du Seuil.
l
23 mai 2008 10:33
Citation
Ali_el_himma a écrit:
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Le premier observateur un tant soit peu attentif remarquera que le blédard et le beur ont des attitudes souvent différentes au quotidien. La relation que le premier entretient avec la France diffère en effet de celle qui, disons-le, oppose le second à ce même pays. Bien sûr, il y a le visa, les tracasseries à la préfecture et les obstacles - énormes, il ne faut pas se leurrer - pour l’emploi et le domicile. Mais le blédard est un optimiste. Inconscient peut-être mais optimiste ce qui le fait monter à l’assaut de citadelles dont il ignore tout de leurs défenses. Inconscience et absence de complexe qui, paradoxalement, lui ouvrent souvent des portes qui demeurent désespérément closes pour le beur. Le fait est que le blédard ne ressent pas sur son dos toute cette chape de rancoeur et même de révolte que nombre de beurs peuvent éprouver à l’égard de leur propre pays. Un pays qu’ils ne cessent d’accuser de les avoir privés du minimum de chances pour réussir. Le blédard est déjà dans un rapport post-colonial avec la France tandis que le beur demeure - à tort ou à raison - englué dans ce « continuum colonial » que dénoncent les associations qui veulent faire de la journée du 8 mai, l’occasion de manifester au nom des « indigènes de la République ». Dans le regard, dans le discours du beur, il y a souvent un désir de revanche, une volonté exacerbée de se voir enfin reconnaître sa place dans la société française. Cela influe sur son attitude, sa manière d’appréhender les événements les plus insignifiants de la vie courante. La « beur attitude », c’est un mélange de fierté, de colère et de susceptibilité. C’est une souffrance que l’on devine mais qui ne rend pas pour autant sympathique celui qu’elle torture.


Akram Belkaïd

Journaliste à la rubrique internationale du quotidien la Tribune, Akram Belkaïd est l’auteur du livre « Un regard calme sur l’Algérie » aux éditions du Seuil.

Et donc ? C'est quoi ta question ?
p
23 mai 2008 12:04
salam ali,

c'est pas contre toi mais cet article n'a aucune utilité (sinon de stigmatiser à tt va, de façon partiale en +), pas de pertinence véritable (il ne casse pas 3 pattes à un canard ton journaliste) et il est mal écrit en prime..
(le ton à la National geographic "le yo se déplace en bandes" "le bledard est comme ci, le beur est comme ça.." m'insupporte .. en + tu parles d'une originalité.. je milite pour que les gens arretent d'écrire sur ce ton pédago-caricatural en croyant avoir inventé l'eau chaude)

j'ai l'impression d'avoir "régressé" pour en avoir lu le 3/4..

désolée, c'est 0/20 pour moi ! (comme ya pas de question suite à cet article, la note sert de réponse)

bon allez, 1/20 pour "l'encre" , comme disent ls profs..



Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/05/08 12:12 par petit chat.
!!*!! le seul chat autorisé sur ce forum
23 mai 2008 12:07
Ma chronique à propos des bledards et des beurs n’a pas simplement déplu à Abdelghafour, mon ami d’Amérique. Elle m’a valu aussi des réactions énergiques et quelques noms d’oiseaux. « Vous essayez de faire une sorte de hiérarchie entre le bledard cultivé « de la haute » et le beur inculte et sauvageon », m’affirme un lecteur fâché. Très fâché. « Les beurs, ajoute-t-il, ne sont pas tous des amateurs de rap, des yôs ou des voyous sanguinaires. Certains d’entre eux parlent très bien l’arabe et/ou le kabyle, connaissent le Coran, ont eu leur bac en France (ces deux derniers mots écrits en majuscules) et des diplômes supérieurs en France (nouvelles majuscules) quand d’autres, de l’autre côté de la Méditerranée, les achètent... ». Et moi qui croyais que le monde entier avait entendu parler de la valeur exceptionnelle du bac algérien, série mathématiques bilingues, de 1982...

« Tu m’as blessé. Tu n’es qu’un frustré qui veut plaire aux Français en tapant sur les beurs », a surenchéri, de son côté, un journaliste d’origine algérienne avant d’ajouter : « et de toutes les façons, je ne suis pas beur, je suis kabyle (sic). Et puis, un yô ? Qu’est-ce que ça veut dire un yô ? C’est quoi ce mot ? » Moins véhément et loin de toute revendication berbériste, un autre lecteur « né à Fouka, arrivé en France à trois ans et Algérien, citoyen musulman, européen qui déteste le mot « beur » inventé par SOS Racisme », m’invite à relativiser mon propos. « Vous avez raison, me dit-il, de critiquer les tocards maghrébins nés en France en tant que « tocards » mais pour rééquilibrer votre point de vue, permettez-moi de vous dire que tocard peut aussi rimer avec bledard. Je veux dire par là que les mal-élevés, les perdus, les vulgaires n’ont pas de profil type, ni de pays de naissance ».

Cette rime est parfois pertinente, ne m’en déplaise et n’en déplaise à es amis bledards. C’est à elle que fait référence un autre message, neutre celui-ci, d’un internaute qui semble vouloir en finir avec sa solitude et qui fréquente, « avec de bonnes et sincères intentions » m’assure-t-il, la partie « club de rencontres » des forums communautaires. « J’en ai assez, déplore-t-il, de ces annonces où des jeunes femmes à la recherche de l’âme soeur terminent leur message par : « bledard s’abstenir ». Pour qui se prennent-elles ? »

Ce genre de mise en garde est malheureusement compréhensible car il faut bien convenir que le bledard n’a pas toujours le comportement que l’on est en droit d’attendre de lui. A propos du mariage, par exemple, je devine facilement la réticence de celles et ceux qui, nés en France, hésitent à s’unir avec quelqu’un du bled, quel que soit son niveau social et culturel. Le non-dit, les stratégies plus ou moins avouées à propos des « papiers » rendent le sujet très épineux et un voile de soupçon pèsera toujours sur ce genre d’union. La méfiance se nourrit aussi d’anecdotes réelles ou fantasmées à propos de la transformation du bledard, une fois qu’il a mis les pieds dans la place.

Histoire courte entendue maintes fois : un bledard se marie avec une beurette. Il se tient tranquille pendant un moment et, me souffle-t-on « il passe l’aspirateur et fait même la vaisselle ». Et puis arrive la carte de séjour de dix ans, voire la naturalisation et là, les manifestations d’autorité, les interdictions, les claques et les problèmes apparaissent. Par souci d’équilibre, et sans vouloir minimiser ce que je viens de décrire, il faut aussi reconnaître qu’une autre combinaison est possible.

Cette fois, c’est une bledarde qui se marie avec un beur. Tout va bien jusqu’au mariage mais une fois installée en France, la bledarde, à la mentalité longtemps façonnée par les coupures d’eau, les pénuries, le loft et les shows de Nancy Ajram, disjoncte « super grave », pour reprendre une expression algéroise.

Ces anecdotes témoignent d’une réalité : celle de l’incapacité de certains bledards à se débarrasser de leurs oripeaux et à éviter de vouloir imposer leur manière de voir le monde. En un mot, leur incapacité à admettre que l’on ne vit pas en France comme on vit, ou comme on a vécu, au bled. J’ai déjà évoqué, dans une chronique précédente, la question de la double nationalité et les tentations du « socialiste » Malek Boutih de demander son interdiction (il semble vouloir reconsidérer cette proposition... inconsidérée). Il faut, néanmoins, se souvenir que dans les années 1960 et 1970, les bledards ont, eux-mêmes, contribué à empêcher les enfants d’immigrés de devenir français et il n’y a pas que les autorités françaises qui ont une responsabilité dans le drame de la double peine. En empêchant leurs ressortissants et leurs enfants, de devenir français, les pays du Maghreb ont leur part de culpabilité.

( .... )
23 mai 2008 12:08
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« Alors, on s’est repeint la figure ? », voilà le genre de propos que pouvait ainsi entendre un beur après avoir présenté son passeport français, à l’aéroport d’Alger. Longtemps, le bledard a joué le rôle du conservateur intransigeant, de celui qui exigeait toujours plus des beurs : plus de nationalisme, plus de fierté pour le bled et même plus de respect pour les traditions et, plus récemment, pour la religion. Le service militaire ? « les beurs doivent le faire au bled », affirmait le bledard sans même se soucier des drames et des désillusions que cela créait. Ces exigences étaient d’autant plus mal venues que les gens du bled étaient, euxmêmes, loin de s’y plier. Surtout, par ce type de discours constitué de reproches et de jugements de valeur, de nombreux bledards ont représenté un obstacle important à l’intégration. Certes, les choses ont évolué et la faillite des pays d’origine rend peu crédible ce discours stigmatisant.

Il n’empêche. Il existe encore des bledards qui tirent leurs cousins de France vers le fond. Il y a quelques jours, des manifestants d’origine marocaine se sont regroupés devant l’ambassade d’Algérie, à Paris. Qu’il existe une tension entre Alger et Rabat en raison du Sahara Occidental, c’est un fait (et nous devons tous prier pour qu’elle ne débouche pas sur l’irréparable).

Mais importer ce problème strictement algéro-marocain en France et prendre en otages, en les opposant, deux communautés, voilà qui est irresponsable. Les personnalités religieuses, présentes à cette manifestation, et qui ont lanationalité française ( !) ont doublement fauté. D’abord, elles ont participé à une démarche qui risque de semer des germes de violence entre Maghrébins. Mais surtout, elles ont, une nouvelle fois, démontré que l’Islam de France est sous l’influence des pays d’origine et de leurs stratégies politiques. En se comportant ainsi, ces « citoyens » français ne font finalement que donner du crédit à ceux qui dénoncent la double nationalité. Oui, cher ami de Fouka, vous avez raison : il arrive encore que bledard rime avec tocard.
H
23 mai 2008 12:11
Merci Ali el himma pour cet article
A
23 mai 2008 13:20
ne pas confondre un blédard qui vit en France et un blédard qui vit en Espagne

ni un blédard d'Espagne avec un blédard d'Italie

mais surtout pas un blédard MRE avec un blédard MRM

sinon le plus grave serait de confondre un chamali et un soussi

encore plus grave serait de confondre un fassi et un rbati

mais l'impardonnable est surement de confondre oulad Hay el-Mohammadi et oulad derb Seltane
t
23 mai 2008 13:59
perplexe a quoi sert ce post?
vraiment n'importe quoi
H
23 mai 2008 21:35
Salam,

à vrai dire, j'ai pas lu l'article! ce n'est pas parce que la dernière fois que j'avais feuilleté ce journal j'étais tombé sur une lettre de condoléances aux enfants du Pape! Are you crazy une lettre qui s'étalait sur une page entière!... le grand affront! mais plutôt parce que je ne vois pas l'intérêt de copier tout un article sans aucune valeur ajoutée! ça n'aurait pas été meilleur si tu l'avais résumé et dit ton point de vue ?!
j
23 mai 2008 22:33
Salam,

Merci pour le copié-collé que je ne lirais pas bien sûr whistling smiley.


Bonne soirée quand même et bon week-end

wassalam
i saw you smiling in my dreams...
D
24 mai 2008 07:56
Je rejoins l'avis de Petit Chat, 0/20 pas mieux.

la culture de l'étiquette, alors toi t'es comme ci parce que tu viens de là et toi t'es comme ça parce quue tu fais ça. ça rassure les préjugés de bof, je vous le dit les ami(e)s, la beaufferie est un mouvement international,sans frontières...le beauf peut s'appeller jason, sylvie ou bien encore Akram...
s
24 mai 2008 12:11
je suis tt à fait d'accord avec l'auteur de cet article

c'est vrai , que le "Beur" est très différent du "Blédar"

et c'est un peu normal, on est tous différent (tm)

en tout cas moi , je suis un Blédar et c'est vrai que je me vexerai rapidement si on me prendrai pour un "beur"whistling smiley
i
24 mai 2008 12:22
Donc, du fait que l'on soit marocain par exemple, on ne peut pas se prévaloir de différences ?
w
24 mai 2008 13:18
slm
g pa lu larticle mais bon je vous dis ske je pense par rapport au titre lool
moi je suis née en france de parents marocains, je suis fiere de mes origines mais javoue ke je suis beur et j'en suis fiere, on est different des bledards car on a cette double culture franco marocaine et j'en suis très fiere!!!!!!!!!!!!!!!
beur et bledar c tres different et javoue ossi ke je me vexeré si on me prend pr 1bledarde!!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/05/08 13:22 par warda_du_36.
k
24 mai 2008 15:48
Citation
warda_du_36 a écrit:
slm
g pa lu larticle mais bon je vous dis ske je pense par rapport au titre lool
moi je suis née en france de parents marocains, je suis fiere de mes origines mais javoue ke je suis beur et j'en suis fiere, on est different des bledards car on a cette double culture franco marocaine et j'en suis très fiere!!!!!!!!!!!!!!!
beur et bledar c tres different et javoue ossi ke je me vexeré si on me prend pr 1bledarde!!
salam,
c'est quoi pour toi la différence entre un marocain et une française comme toi de parents marocain?
s
24 mai 2008 19:50
Citation
Warda a écrit:
car on a cette double culture franco marocaine

Exactement, et j'ajouterai que la double culture ne se limite pas aux couscous et tajines

c'est toute l'histoire du Maroc, sa géo, sa politique, ....... et tout le reste whistling smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/05/08 19:56 par suzmoto750.
 
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